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3 juin 2015 3 03 /06 /juin /2015 09:37

« Je vous en supplie, ne permettez pas que les horribles crimes du passé se répètent ! » Laura Hayes

 

Les législateurs californiens, ainsi que le personnel scolaire vont- ils signer un formulaire de responsabilité ?

 

Par Laura Hayes, Mai 2015

 

Cher Membre de l’Assemblée Californienne,

 

Cette lettre concerne la législation qui inspire toutes les conversations du pays, tant au niveau de l’état qu’au niveau fédéral. Cette législation vise à restreindre et/ou à éliminer les exemptions aux vaccins et ainsi qu’à contraindre et forcer les parents et autres personnes à se conformer aux multiples procédures médicales qui, chacune, comporte de graves risques, incluant des handicaps permanents, des maladies chroniques et de possibles décès.

 

Il n’y a absolument aucune justification à pareille législation…/aucune. Cette législation viole toutes les valeurs qui nous sont chères, comme tout ce qui est moral et juste. En outre, les élus outrepassent grandement leur autorité, pour ne pas dire qu’ils violent les codes internationaux d’éthique, ces codes qui ont été établis pour éviter que les crimes perpétrés contre l’humanité se répètent.

 

Je vous en supplie, ne permettez pas que les horribles crimes du passé  se répètent. Votre histoire personnelle, ainsi que l’histoire de notre nation diront si vous étiez du bon ou du mauvais côté de l’histoire en ces temps troublés et difficiles.

 

Il est impératif, essentiel qu’en tant que législateur vous puissiez vous poser les questions suivantes :

 

* Avez-vous le pouvoir de rendre obligatoires des mesures susceptibles de tuer les citoyens que vous servez (en dehors du domaine de la justice pénale), y compris des enfants en bonne santé ?

 

* Avez-vous le pouvoir de rendre obligatoire ce qui nuit aux citoyens que vous servez, y compris les enfants en bonne santé ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’imposer une seule de ces procédures vaccinales avec la compréhension que pas un seul de ces vaccins n’a été testé dans une étude en double aveugle et contrôlée par placebo, ou administrés avec d’autres vaccins (vaccins combinés), ou sur l’éventail particulier des personnes auxquelles ils ont été administrés, ou dans une étude comparative à long terme avec les personnes qui n’ont pas reçu le/les vaccins ?

 

* Avez-vous le pouvoir de rendre obligatoire ce qui est en contradiction totale avec le droit des parents contribuables de donner une éducation publique à leurs enfants ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’exiger que des parents renoncent à leur droit de donner un enseignement privé à leurs enfants ?

 

* Avez-vous le droit d’exiger que des parents renoncent à avoir recours à une garderie pour leurs enfants ?

 

* Avez-vous le droit d’obliger les parents à faire l’école à domicile pour leurs enfants s’ils refusent de se conformer  aux risques de procédures médicales prouvées dangereuses, inefficaces et non nécessaires ?

 

* Avez-vous le droit de rendre obligatoire des pratiques qui violent les croyances religieuses de beaucoup ?

 

* Avez-vous le droit de rendre obligatoire ce qui prive les gens de leur droit inaliénable de décider de ce qui peut ou pas rentrer dans leur corps ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’imposer des dommages certains, y compris des décès pour de nombreux enfants, y compris des enfants en bonne santé pour la protection supposée et non démontrée des autres ?

 

*Avez-vous le droit d’édicter que la vie d’une personne a plus de valeur que celle d’une autre ?

 

* Avez-vous le pouvoir d’exiger que le gouvernement agisse en lieu et place des parents alors que ces derniers n’auraient rien à se reprocher ?

 

* Avez-vous le droit d’interdire l’école aux enfants en bonne santé, tout en permettant à des enfants malades de suivre les cours ?

 

* Avez-vous le droit de promulguer les pouvoirs d’une Etat policier en l’absence d’une situation d’urgence, et avec l’option de mise en quarantaine si la chose s’avérait nécessaire ?

 

Si vous avez répondu NON à une seule de ces questions, et je soupçonne que vous avez répondu NON à plusieurs d’entre elles, si pas à toutes, alors vous devez voter NON au projet de loi SB277.

 

J’inclus ci-dessous un formulaire de responsabilité ayant trait à l’administration du vaccin. Puis-je vous prier de lire et de vous demander si vous seriez prêt à signer personnellement, ainsi qu’à accepter la pleine responsabilité de ce projet de loi. Si vous n’êtes pas disposé à signer ce formulaire de responsabilité par rapport à l’administration du vaccin, il ne vous reste plus qu’à dire NON au projet de loi SB277.

 

Cordialement,

Laura Hayes

Granite Bay, CA

Tyrannie vaccinale en Californie: des parents proposent un "formulaire de responsabilité"

Pourquoi devrais-je être obligée d’assumer la seule et entière responsabilité d’une chose que j’ai choisi de refuser ? Après vous, Messieurs les Législateurs, Directeurs du CDC, PDG des entreprises pharmaceutiques, Médecins … !

 

Les dommages vaccinaux sont bien réels et ils ne sont très certainement pas rares. Les décès qui font suite aux vaccins constituent également une réalité tragique.

 

A la suite de la suppression de mes droits fondamentaux et constitutionnels, et avant que je ne sois forcée de me conformer, contre ma volonté, par des fonctionnaires armés chargés de faire appliquer la loi, il est absolument indispensable que ceux qui ont enlevé mes droits et ceux qui ont participé à leur retrait, acceptent la pleine responsabilité de toute séquelle liée aux vaccins. La chose est absolument nécessaire parce que je ne suis pas capable de subvenir aux besoins d’un enfant handicapé parce que les coûts peuvent s’élever jusqu’à plusieurs millions de dollars. Si mon enfant devait être handicapé à la suite des vaccinations, je ne serais pas non  plus en mesure de lui assurer des soins et une surveillance 24 heures sur 24, et pourtant c’est ce qui peut arriver après une vaccination.

 

En signant le document ci-dessous et avant d’imposer votre volonté pour que mon enfant soit vacciné sans mon consentement, vous vous engagez à couvrir tous les frais associés aux dommages que pourrait subir mon enfant à court, moyen et long terme à la suite d’une procédure médicale indésirable et non autorisée de vaccination.

 

Ces séquelles qui peuvent être liées au vaccin comprennent, mais ne sont pas limitées aux troubles suivants : autisme, asthme, allergies (à la fois alimentaires et environnementales), troubles épileptiques, tics, encéphalite, encéphalopathie, diabète de type 1, toxicité des métaux lourds, leucémie, retards de langage, de l’apprentissage, problèmes de comportement, maladies auto-immunes, cécité, surdité, arthrite rhumatoÏde juvénile, syndrome de tachycardie orthostatique posturale, cancer, purpura, narcolepsie, paralysie, myélite transverse, syndrome de Guillain-Barré, retard mental, troubles obsessionnels compulsifs, démyélinisation, maladie de Crohn, colite ulcéreuse, invagination, et la maladie elle-même visée par les vaccins : la mort subite du nourrisson.- Vous acceptez également  de me dédommager, chaque année, moi et mon enfant, à raison de 1.000.000 de dollars par an pour la perte de moyens de subsistance et tous les problèmes qui peuvent découler des dommages produits par les vaccins. Si le malheur voulait que mon enfant soit tué par les vaccins, vous acceptez de me dédommager pour un montant de 100.000.000 de dollars (Il n’existe pas de dédommagement acceptable pour la mort d’un enfant provoquée par les obligations gouvernementales, mais il est pourtant nécessaire de fixer un montant.)

 

Signatures des personnes qui acceptent de prendre personnellement leur pleine responsabilité :

 

  1. Sénateur/ Membre de l’Assemblée______________________Date :
  2. Gouverneur________________________________________Date :
  3. Directeur du CDC___________________________________Date :
  4. Compagnie pharmaceutique___________________________Date :
  5. Médecin___________________________________________Date :
  6. Surintendant________________________________________Date :
  7. Voisin intervenant____________________________________Date :

 

Si ces partisans de la vaccination forcée ne sont pas disposés à signer et à assumer la pleine responsabilité, en plus des dommages-intérêts compensatoires, alors, moi aussi, je suis disposée à assumer PLEINEMENT mes responsabilités. En conséquence, je ne me conformerai pas aux obligations vaccinales, car il n’y aura pas de fonds ou de personnes désignées pour prendre soin de mon enfant si sa santé devait se trouver endommagée ou s’il devait être tué par les vaccins. Je ne veux absolument pas me mettre moi et mon enfant dans pareille situation.

 

En outre, et surtout, le fait de mettre délibérément mon enfant dans des conditions où il pourrait être lésé ou tué, viole mes croyances religieuses et ma conscience.

 

Source: Age of Autism

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30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 08:01

Faut-il pleurer du discours de la Ministre Touraine en perdition ou au contraire s'en réjouir en ce qu'il pourrait constituer une chance supplémentaire de compréhension pour les futures victimes de vaccins de l'ampleur du problème et du tabou qui y est associé? (Voir approximativement entre le temps 0'55 et 059' pour la célébrissime phrase de la Ministre "La vaccination, ça ne se discute pas!").

Attention toutefois à certaines imprécisions ou petites erreurs du Pr Joyeux: ce n'est pas QUE la valence hépatite B du vaccin hexavalent qui pose problème!!

 

En réalité, c'est tout le mix, comme le confirme un rapport officiel de l'ONE/PROVAC de 2009 (rapport OFFICIEL belge) qui stipule, nous citons:

 

"5% des enfants ont dû consulter un médecin pour effets indésirables endéans les 48h après une vaccination. Vu la simultanéité des vaccins, il est impossible de dire quels sont les vaccins incriminés." (p.43/54)

 

Ce passage appelle évidemment d'autres questions sans fin:

 

* Si 5% (1 enfant sur 20) doivent reconsulter pour effets secondaires endéans les 48H qui suivent la vaccination, combien doivent reconsulter endéans la semaine, la quinzaine, le mois, les six mois et avec quels diagnostics exacts? Car là est toute la question, on parle bien de consultations et de symptômes qui ne se seraient pas produits sans l'acte vaccinal...

 

* Quid du vaccin anti haemophilius influenza (Hib- -qui est inclus dans les vaccins penta et hexavalents et qui induit un sur-risque très net de diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant: voir ici et ici.

 

* Quid aussi de la valence coqueluche, peu efficace (voir iciici, ici et ici notam.) mais qui est toujours associée à des risques neurologiques malgré le passage à la version dite "acellulaire"

 

Etc. etc. 

 

En 2009, Mme Touraine appartenait au Club Avenir de la Santé, un groupe de pression financé par GlaxoSmithKline, fabricant du vaccin Infanrix hexa.... (source: Wikipedia, reprenant une information précédemment diffusée dans le Canard Echaîné du mercredi 8 août 2012)

Marisol Touraine est irresponsable et devrait voir sa responsabilité PENALE engagée au plus vite pour ce type de propos. Les risques sont évidents. Plus de 800 effets secondaires possibles listés par le fabricant de GSK en lien avec l'Infanrix hexa.

 

3 FOIS PLUS DE RISQUES NEUROLOGIQUES EN ADMINISTRANT INFANRIX HEXA ET PREVENAR EN MÊME TEMPS comme ça reste pourtant officiellement recommandé dans le calendrier vaccinal officiel. Ce sont des documents confidentiels du fabricant lui-même qui ont été dûment publiés et communiqués à la presse par nos soins. 

 

Les cas graves inutiles mais désastreux se multiplient avec cette combinaison vaccinale dangereuse. Des enfants tombent dans le coma, d'autres attrapent des hématomes sous-duraux qui font accuser à tort les parents de maltraitance... lisez, voyez les liens suivants, ce sont des cas extrêmement concrets qui pourraient concerner VOS enfants, VOS familles, VOS amis...

 

http://www.initiativecitoyenne.be/2015/05/ayana-dans-le-coma-le-lendemain-de-sa-vaccination.html

 

https://www.youtube.com/watch?v=mPpWX1_R_vk

 

http://www.parismatch.com/Actu/Sante/Cinq-familles-devant-la-justice-547305

 

http://unmaxpoureux.org/notre-histoire/le-jour-ou-tout-bascule/

http://unmaxpoureux.org/hematome-sous-dural-2/mes-recherches/

 

Nous avons TOUS le devoir d'agir et de parler, dans l'intérêt des fragiles et innocents enfants qui n'ont jamais leur mot à dire sur ces actes de robots qui peuvent saper toute leur qualité de vie future. Nous invitons aussi très largement TOUTES les victimes, tous les parents d'enfants dont la vie a basculé suite à ces empoisonnements à ouvrir des blogs, des sites, à faire des vidéos pour mettre tout cela au grand jour car, bien sûr, si toutes les victimes agissaient de la sorte, cela ferait déjà bien longtemps que plus personne ne se risquerait aux vaccins, sauf peut-être les seuls plus crédules qui croient au discours trompeur des autorités dites "publiques"... chaque témoignage de victime a donc une valeur altruiste évidente et une efficacité indéniable.

Paru dans le Canard Enchaîné, en août 2012. http://sante-secu-social.npa2009.org/spip.php?article3209

Paru dans le Canard Enchaîné, en août 2012. http://sante-secu-social.npa2009.org/spip.php?article3209

Sent: Saturday, May 30, 2015 1:35 PM
Subject: Merci de transmettre ceci à Mme la Ministre Touraine svp
 
Madame la Ministre,
 
Nous ne pourrions assez insister pour que vous preniez connaissance du contenu suivant, tout simplement parce que:
 
1. Cela renvoie à des documents confidentiels mais officiels des fabricants de vaccins que notre collectif a divulgués et qui ont été répercutés dans la presse belge. > Par conséquent, ces documents peuvent être utilisés en justice et ils sont censés être connus des agences sanitaires nationales ( y compris celle dont celle vous avez la tutelle) et européenne.
 
2. Vous pourriez être tenue pénalement responsable pour vos propos faussement rassurants sur une controverse scientifique dont vous ne maîtrisez pas les tenants et aboutissants bien que vous ayez tout de même une responsabilité dans les conséquences sanitaires des politiques vaccinales que vous chapeautez.
 
 

En espérant que vous aurez à la fois la prudence et l'intelligence de tenir compte de ces informations factuelles dont vous ne pouvez pas affirmer qu'elles "ne se discutent pas" dès lors que, dans le même temps, vous n'assumez aucunement les conséquences de vos injonctions sociales à se faire vacciner.

 

Pour le collectif citoyen belge indépendant Initiative Citoyenne,

 

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans et Muriel Desclée.

 

PS: Nous transmettons copie de ces informations aux médias qui vous ont donné la parole...

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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 13:08

Dégoûlinante de complaisance, la grand presse habituelle y va de ses titres grotesques et infantilisants qui ne peuvent marcher que sur les plus crédules d'entre nous ainsi bien sûr aussi que sur les malades qui croiront y voir un salut futur: " Vous souffrez d'asthme ou d'allergie? Un vaccin pourrait bientôt vous sauver." titrait par exemple RTL.

 

Un tel article appelle bien entendu un décryptage que les journalistes de la presse officielle n'ont plus ni le courage, la volonté, la liberté rédactionnelle et/ou l'intelligence de faire. Demandez-vous donc encore pourquoi le lectorat/l'audimat de cette presse-là ne cesse de dégringoler quand il monte de façon fulgurante du côté des sites indépendants qui réinforment valablement....

 

Voyons tout d'abord ci-dessous le contenu de l'article (copié-collé) et voyons après en quoi il était urgent de ne pas laisser le lecteur rêver dangereusement à ces fausses-promesses risquées de "progrès scientifique", sans lui fournir des éléments cruciaux et complémentaires pour une saine réfléxion de fond, globale et responsable.

 

Vous souffrez d'asthme ou d'allergie?  Un vaccin pourrait bientôt vous sauver

 

Des chercheurs nantais ont annoncé avoir testé avec succès un vaccin "anéantissant totalement" l’allergie aux acariens sur des souris. "Les résultats sont assez spectaculaires sur les souris", explique Marc Sapène, président de l’association française Asthme et Allergie.


"D’une part parce qu’on voit s’effacer l’asthme. Si on essaie de déclencher à nouveau de l’asthme avec une substance, il ne réapparaît pas. D’autre part, l’asthme est une maladie inflammatoire chronique. Et non seulement cet asthme n’apparaît plus, mais l’inflammation visible dans le sang a également disparue dans cette expérience", précise le médecin.


La mise au point du vaccin pourrait prendre encore quelques années, mais Marc Sapène se montre confiant. "Comme c’est très spectaculaire, je pense qu’on arrivera assez vite à des tests sur d’autres animaux et sur l’homme", explique-t-il. "C’est une piste assez formidable, qui laisse beaucoup d’espoir. Maintenant il faudra voir s’il n’y a pas d’effets secondaires", ajoute-t-il.

 

Source : RTL

 

1) Regardez tout d'abord les mots "magiques", censés frapper, impressionner: "anéantissement total", "résultats spectaculaires", "l'asthme qui s'efface"... Ces mots ne sont pas ceux d'un journalisme ou d'une science responsable mais des mots quasi enfantins, témoins de rêves et d'une immaturité intellectuelle qui vont souvent de pair avec une impulsivité et un enthousiasme excessifs.

 

2) Les illusions d'une médecine magique sont toujours à l'oeuvre avec le vieux réflexe de la médecine traditionnelle/allopathique (aux résultats les plus décevants qui soient dans les maladies chroniques) de simplement "supprimer les symptômes". On essaie de le faire artificiellement apparaître et on ne voit plus l'asthme et donc on en déduit qu'il a disparu: on est ici dans le vieux rêve réaliste que tout ce qui existe doit forcément se voir par un symptôme et si rien ne se voit a priori, c'est que rien ne tourne mal de façon latente et larvée. Quel simplisme! Et d'ailleurs, ça ne colle pas avec le fait que le début véritable des maladies (et leurs très subtils signes annonciateurs parfois très difficilement diagnostiquables cliniquement) ne coïncide le plus souvent pas avec le moment fort tardif du diagnostic officiel. 

 

Supprimer les symptômes est le plus souvent dangereux et contre-productif: donner des anti-pyrétiques systématiquement a montré ses effets néfastes car la fièvre est un mécanisme actif dont le système immunitaire a besoin. Pas étonnant dès lors qu'en supprimant massivement dans les années 50-60 la fièvre chez des patients en incubation de polio (et présentant les symptômes d'une angine), on ait créé de toutes pièces des paralysies et donc des séquelles évitables car le virus polio cesse sa multiplication dans le corps à partir de 39°C. Cette médecine suppressive force la Nature a s'adapter pour continuer à exprimer un problème qui est systémique et n'a pas disparu: si vous cassez le voyant de la voiture, vous ne le verrez plus mais vous pourrez encore tomber en panne de moteur ou de batterie; il en va de même pour le système immunitaire qui a besoin d'une réaction inflammatoire dans certains cas et par conséquent, la suppression de cette réaction inflammatoire chez ces patients-là qui étaient déjà immunitairement déréglés pourrait bien se transformer en une autre tentative beaucoup plus calamiteuse du corps pour contourner cette entrave à l'expression d'un dérèglement persistant... 

 

3) La cause principale de l'asthme et des allergies réside non pas dans un terrain génétique mais d'abord et avant tout dans l'environnement, même si des prédispositions génétiques peuvent accroître les risques. Or l'environnement est une notion large: penser que "la cause" d'une allergie aux acariens, ce sont juste...les acariens est aussi intelligent que de s'arrêter à l'observation du doigt qui montre la lune plutôt que de regarder la lune elle-même! Car une personne qui devient allergique n'a pas été de tout temps allergique à cette cause secondaire, qui ne peut donc en elle-même être une explication satisfaisante de ce véritable basculement immunologique.

 

4) La vaccination constitue une cause majeure d'allergies et cela est dûment prouvé: la vaccination des jeunes enfants dès le plus jeune âge constitue une des principales causes si pas LA principale cause de l'asthme et des allergies infantiles (comme l'ont montré plusieurs études ainsi que les données comparatives entre enfants vaccinés et enfants n'ayant jamais reçu le moindre vaccin; voir notamment dans le petit livre "La bonne santé des enfants non vaccinés" du Dr Françoise Berthoud aux Editions Jouvence). L'aluminium des vaccins constitue une substance qui est en elle-même capable d'induire toutes sortes d'allergies croisées avec toutes les substances auxquelles l'enfant et le sujet adulte peuvent être confrontés dans la même fenêtre de temps comme l'ont expliqué deux allergologues viennoises dans le documentaire d'Arte "Planète alu". C'est ainsi que les vaccins peuvent être la vraie cause d'allergies aux laitages (que le sujet et l'enfant continuent de consommer avant, pendant et après la période des vaccinations), aux acariens, à toutes sortes d'autres substances etc. La vaccination n'a pas un effet neutre sur les bronches puisqu'elle favorise par exemple les apnées des nourrissons

 

Par conséquent, prétendre qu'on va régler avec des vaccins un des problèmes que les vaccins ont largement contribué à causer et à accroître (en termes de nombre de personnes touchées) est d'une aberration indicible. Il est certes compréhensible que les individus dont la vie a été rendue infernale par les bons effets de la médecine et ceci, sans que ces victimes ne le sachent ou ne pensent à faire le lien, soient évidemment tentés de se maintenir dans une sorte de passivité consistant à penser que la solution leur sera aussi apportée par cette médecine et qu'il suffira alors de se la faire administrer. 

 

5) La médecine allopathique a montré en de maintes occasions que son aveuglement idéologique et sa partialité pouvaient provoquer les pires aggravations qui soient de divers problèmes. En médecine plus que jamais, il faut se souvenir de l'adage: Le mieux est l'ennemi du bien. Or, rendez-vous bien compte que les "grands spécialistes" ont déjà recommandé depuis des décennies des vaccinations tous azimuts (et ceci de plus en plus) alors que leur connaissance du système immunitaire sur lequel ils interfèrent est de leurs propres aveux tout à fait balbutiante ou insuffisante. On voit bien en termes de santé publique que si on voit en effet parfois moins de certaines maladies infectieuses, les populations de plus en plus vaccinées (et de plus en plus polluées en général) sont de plus en plus malades avec une véritable explosion des maladies auto-immunes, inflammatoires et neurodégénératives sans parler des cancers. Affirmer qu'il n'y a aucun lien avec les vaccins relève du scientisme et de la crainte d'oser voir en face les données existantes. La grosse question à l'heure actuelle est donc: allons-nous nous entêter dans le même paradigme mortifère qui constitue, au moins en partie, la cause majeure de cette spirale sanitaire descendante et désespérante; allons-nous continuer à faire toujours plus des mêmes vieilles recettes qui ont lamentablement échoué à apporter plus de bien-être et plus de santé? Si c'est le cas, il n'y a, selon nous, pas de grosses illusions à se faire sur l'évolution de l'état global de la santé publique mondiale.

 

 

Voir aussi:

 

Vaccins> allergies> vaccins anti-allergies... bienvenue en absurdie!

 

Des vaccins efficaces... contre d'autres effets secondaires de vaccins?

 

Les vaccins sont les cause principale des allergies alimentaires

 

Allergies & vaccinations: y a-t-il un lien?

 

Grossesse & vaccin anti-allergies: ces médias qui nous abrutissent (parfois au péril de notre vie)

 

Comment les vaccins endommagent le système immunitaire

 

Dr Saluzzo (de Sanofi Pasteur): "On ne sait pas comment marchent les vaccins"!

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Vaccinations des patients à risque? Encore plus risquée!

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 09:29

Une immunologiste diplômée de Harvard démolit les arguments des législateurs californiens qui veulent mettre fin aux exemptions de vaccinations.

Une immunologiste diplômée de Harvard descend en flammes le projet de loi californien liberticide sur les vaccinations

State of the Nation, 23 avril, 2015.

 

Note de l’éditeur

 

La lettre qui suit démolit complètement les arguments des législateurs californiens qui veulent supprimer les exemptions à la vaccination. Que l’on puisse envisager pareille loi est aussi cynique que draconien, mais la chose était prévisible. Après tout, les textes ont été mystérieusement rédigés et soumis au vote peu de temps après l’ « épidémie » de Disneyland fabriquée de toutes pièces.

 

Chaque législateur californien favorable au vote du projet de loi SB277 se devrait de prendre connaissance de la science incontestable à laquelle s’en réfère Tetyana Obukhanych, PhD.

 

Le Dr Obukhanych déconstruit habilement les faux arguments avancés par Big Pharma et par le gouvernement des Etats-Unis, alors qu’ils tentent de mettre en œuvre un Super programme de Vaccination à l’échelle nationale.

 

Quelque chose ne tourne vraiment pas rond quand le Sénat californien refuse de prendre en compte les preuves scientifiques évidentes qui montrent de manière catégorique l’existence de dangereux effets secondaires sur la santé des enfants. Pareille attitude criminelle met en danger la vie et le bien-être des enfants. Ce comportement des officiels doit être reconnu pour ce qu’il est – CRIMINEL – et poursuivi dans toute la mesure où la loi le permet.

 

Lettre ouverte aux législateurs qui envisagent de modifier la loi sur les vaccinations

 

Par Tetyana Obukhanich, Titulaire d'un doctorat (Ph.D.) en immunologie.

 

Cher Législateur,

 

Je m’appelle Tetyana Obukhanich, je détiens un doctorat en immunologie. Je vous écris cette lettre dans l’espoir de pouvoir corriger quelques fausses idées au sujet des vaccins, comme pour vous aider à formuler une compréhension juste et équilibrée basée sur les toutes dernières connaissances scientifiques.

 

Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus importante pour le public que les enfants vaccinés ?

 

On affirme souvent que les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants pour des raisons de conscience mettent en danger le reste de la population. C’est la raison pour laquelle le législateur veut mettre fin aux exemptions vaccinales. Ces questions sont actuellement examinées au niveau fédéral et national. Il importe beaucoup que vous soyez conscients que la nature de la protection offerte par de nombreux vaccins modernes - et cela inclut la plupart des vaccins recommandés par le CDC pour les enfants – ne sont pas compatibles avec pareille affirmation. J’ai repris plus bas les vaccins recommandés qui ne peuvent pas prévenir la transmission de la maladie, soit parce qu’ils n’ont pas été conçus pour empêcher la transmission de l’infection (car ils sont plutôt destinés à prévenir les symptômes de la maladie), ou parce qu’ils protègent contre des maladies non transmissibles. Les gens qui n’ont pas reçu les vaccins mentionnés ci-dessous ne représentent pas de risque plus important pour le public que ceux qui ont reçu ces vaccins. Ceci implique bien entendu une discrimination à l’encontre des enfants non-vaccinés.

 

L’IPV ou vaccin antipoliomyélitique inactivé ne peut pas empêcher la transmission du virus de la polio ( #1). Il y a au moins deux décennies que le virus sauvage de la polio n’existe plus aux Etats-Unis. Même si des virus sauvages de la polio étaient importés par des voyageurs, le fait de vacciner la population avec l’IPV (Vaccin polio injectable inactivé) ne peut en aucune manière mettre en cause la sécurité des espaces publics. Veuillez, s’il vous plaît, prendre en compte que l’éradication du poliovirus sauvage a été attribuée à l’utilisation d’un autre vaccin, le vaccin polio oral (OPV). Bien que ce vaccin soit capable de prévenir la transmission du virus sauvage de la polio, son utilisation a, depuis longtemps été supprimée aux Etats-Unis et remplacée par le vaccin atténué injectable (IPV) en raison de problèmes de sécurité.

 

Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse. Cette maladie est due à des spores de C.Tetani qui contaminent des plaies profondesVacciner contre le tétanos (avec le vaccin combiné DTCa ne peut en aucune manière mettre en cause la sécurité des espaces publics. Ce vaccin est seulement destiné à assurer une protection individuelle.

 

Bien que destiné à prévenir les effets pathogènes de la toxine diphtérique, le vaccin contre la diphtérie (aussi contenu dans le vaccin DTCa) n’a pas été conçu pour empêcher la colonisation et la transmission du C.Diphteriae. Vacciner contre la diphtérie ne peut en aucun cas modifier la sécurité des espaces publics. Il est, lui aussi, destiné à assurer une protection personnelle.

 

Le vaccin acellulaire contre la coqueluche (aP) (le dernier élément du vaccin combiné DTCa), actuellement en usage aux Etats-Unis, a remplacé le vaccin anticoquelucheux cellulaire à la fin des années 1990 parce que ce dernier avait été suivi d’une recrudescence sans précédent de la coqueluche. Une expérience avec des primates infectés par la coqueluche a révélé que le vaccin acellulaire n’était pas capable d’empêcher la colonisation et la transmission  de B. Pertussis (Voir annexe pour l’étude scientifique, article # 2.) La FDA a émis un avertissement au sujet  de cette découverte cruciale.

 

En outre, la réunion (2013) des conseillers scientifiques du CDC a révélé des données alarmantes supplémentaires qui montrent que des variantes de pertussis (Souches PRN négatives) qui circulent aujourd’hui aux Etats-Unis ont acquis l’avantage sélectif de pouvoir infecter ceux qui ont reçu leurs rappels de DTCa (Voir annexe pour le CDC ; document #3), ce qui signifie que les gens qui ont reçu leurs rappels ont plus de chances d’être infectés et donc de devenir contagieux que les personnes qui ne sont pas vaccinées.

 

Parmi les nombreux types de H. Influenzae, le vaccin Hib ne couvre que le type b. En dépit de l’intention qui était de réduire les aspects symptomatiques et asymptomatiques du Hib, l’introduction du vaccin Hib a, par inadvertance, déplacé la souche dominante vers d’autres types de H. Influenzae (types a jusqu’à f.) Ces types ont été à l’origine d’une grave maladie invasive et ont présenté une incidence croissante chez les adultes au cours de la période de vaccination des enfants contre le Hib. (Voir annexe pour l’étude scientifique, point #4.)

 

La population en général est plus vulnérable à la maladie invasive qu’elle n’était avant le début de la campagne de vaccination contre le Hib. La discrimination vis-à-vis des enfants qui ne sont pas vaccinés contre le Hib n’a guère de sens sur le plan scientifique.

 

L’hépatite B est un virus transmissible par le sang. Il ne se propage pas dans un cadre communautaire, surtout chez les enfants qui sont peu susceptibles d’adopter des comportements à haut risque, tels que le partage de seringues ou le sexe. La vaccination des enfants contre l’hépatite B ne peut pas modifier de manière significative la sécurité des espaces publics. En outre, l’école n’est pas interdite aux enfants qui sont porteurs de l’hépatite B chronique. Interdire l’accès à l’école aux non-vaccinés constituerait une discrimination déraisonnable et illogique.

 

En résumé, une personne qui n’a pas été vaccinée avec le VPI, DTCa, Hépatite B et Hib pour des raisons de conscience, ne pose pas plus de dangers pour le public qu’une personne qui est vaccinée. Aucune discrimination n’est justifiée.

 

Les effets secondaires des vaccins se produisent-ils souvent ?

 

On affirme souvent que les vaccinations ne produisent que très rarement de graves effets indésirables. Malheureusement pareille déclaration n’est pas confirmée par la science. Une étude récente réalisée en Ontario, Canada a établi qu’au cours de leur visite de 12 mois chez le médecin, la vaccination entraînait une visite aux urgences pour 1 enfant sur 168 et pour 1 enfant sur 730 après leur rendez-vous vaccinal de 18 mois (Voir annexe pour une étude scientifique. L’article # 5)

 

Quand le risque d’un effet indésirable est à ce point élevé qu’il nécessite un recours aux urgences après les vaccinations, ces dernières doivent être soumises au choix des parents qui, on le comprendra facilement, ne veulent pas assumer ce risque immédiat pour protéger leurs enfants de ces maladies qui sont généralement considérées comme légères et auxquelles ils ne seront peut-être jamais exposés.

 

La discrimination contre les familles qui s’opposent aux vaccins pour des raisons de conscience peut-elle empêcher de futures épidémies de maladies virales transmissibles comme, par exemple, la rougeole ?

 

Pendant longtemps, les chercheurs ont été conscients du « paradoxe de la rougeole » Je cite un article de Poland & Jacobson (1994) : «  Echec par rapport à l’objectif de l’élimination de la rougeole : paradoxe apparent des infections rougeoleuses chez des personnes immunisées. »

 

Arch. Intern. Med, 154 :1815-1820 :

 

« Le paradoxe veut que quand, dans une population, l’immunisation contre la rougeole atteint des niveaux élevés, la rougeole devienne une maladie de personnes immunisées. » [2]

 

D’autres recherches ont déterminé que derrière « le paradoxe de la rougeole », il existe une fraction de la population qu’on appelle des NON REPONDEURS ou des MAUVAIS REPONDEURS. Les mauvais répondeurs sont ceux qui ne répondent pas comme il le faudrait à la première dose du vaccin contre la rougeole. Ces personnes  présentent une réponse faible à une re-vaccination qui  ne peut pas corriger la faible réactivité. Ces personnes se retrouvent donc dans la catégorie des « susceptibles » (sensibles) endéans les 2 à 5 ans, malgré le fait qu’elles aient été complètement vaccinées. [3]

 

La re-vaccination ne peut pas corriger la faible réactivité. Il semble que le problème relève d’une particularité immuno-génétique [4] Parmi les enfants, la proportion des  faibles répondeurs est estimée à 4,7% aux USA. [5]

 

Des études réalisées sur les flambées de rougeole au Québec, au Canada et en Chine attestent que les flambées de rougeole se produisent encore, même lorsque les taux de vaccination sont au plus haut (entre 95 et 97% ou même 99 ; voir l’annexe pour les études scientifiques, les articles # 6 et 7). Ceci se produit même parmi les bons répondeurs parce que les anticorps induits par le vaccin décroissent au fil du temps. L’immunité vaccinale ne correspond pas à une immunité de longue durée acquise par une exposition naturelle.

 

Il a été démontré que les personnes vaccinées qui font des percées de rougeole sont contagieuses. En fait, deux grandes épidémies de rougeole en 2011 (au Québec, au Canada et à New York, NY) furent réimportées par des personnes déjà vaccinées. [6, 7]

 

Avec l’ensemble de ces données, il est évident que la suppression  des exemptions vaccinales, actuellement réclamées par un faible pourcentage des familles ne pourra, de toute manière ni résoudre le problème de la résurgence de la maladie, ni empêcher la réimportation ou les flambées de maladies qui avaient auparavant été éliminées.

 

La discrimination à l’encontre des objecteurs de conscience serait-elle la seule solution pratique ?

 

La majorité des cas récents de rougeole au cours des flambées qui se sont produites aux Etats-Unis ( y compris l’épidémie de Disneyland) concerne des adultes et de jeunes bébés. Tandis qu’au cours de la période pré-vaccination, la rougeole apparaissait principalement entre 1 et 15 ans. L’exposition naturelle à la rougeole a conféré une immunité à vie, alors que l’immunité produite par le vaccin diminue au fil du temps laissant les adultes non protégés par les vaccins qu’ils avaient reçu dans l’enfance. La rougeole est plus dangereuse pour les nourrissons et pour les adultes que pour les enfants en âge scolaire. Malgré les fortes chances d’exposition au cours de la période pré-vaccination, la rougeole n’apparaissait pratiquement jamais chez les bébés de moins d’un an, et ce, à la suite du mécanisme robuste de transfert de l’immunité maternelle. Aujourd’hui, la vulnérabilité des très jeunes bébés à la rougeole est le résultat direct des campagnes de vaccination de masse du passé, au cours desquelles, les mères elles-mêmes vaccinées dans l’enfance, ne pouvaient plus faire la rougeole à un âge scolaire plus sécuritaire et ainsi bénéficier d’une immunité à vie. Il s’ensuit qu’elles ne pouvaient plus transmettre cette immunité à leurs bébés pour les protéger de la rougeole, au moins au cours de leur première année de vie.- Il existe heureusement une sauvegarde thérapeutique qui imite l’immunité naturelle maintenant disparue. Les nourrissons, ainsi que d’autres personnes vulnérables ou immunodéprimées peuvent maintenant recevoir des immunoglobulines, une mesure susceptible de sauver des vies en fournissant des anticorps contre le virus pour soit prévenir, soit atténuer la maladie lors d’une exposition (Voir annexe, article # 8)

 

En résumé :1) en raison des propriétés des vaccins modernes, les individus non vaccinés ne posent pas plus de risques de transmission de la polio, de la diphtérie, de la coqueluche, et de nombreuses souches de H. Influenzae que les vaccinés. Les non vaccinés ne posent vi-rtuellement aucun danger de transmission de l’hépatite B à l’école et le tétanos n’est pas du tout transmissible. 2) Il existe un risque significativement élevé de recours aux centres d’urgences après des vaccinations infantiles qui démontrent que les vaccinations ne sont pas sans risques. 3) Les épidémies de rougeole ne peuvent pas être totalement évitées même si les taux de vaccination étaient presque parfaits. 4) Une méthode efficace de prévention de la rougeole et d’autres maladies virales chez les nourrissons et les personnes immunodéprimées sont les immunoglobulines qui sont toujours disponibles pour tous ceux qui pourraient être exposés à ces maladies.

 

Dans l’ensemble, ces quatre éléments font apparaitre clairement que la discrimination vis-à-vis des enfants qui fréquentent l’école et qui ne sont pas vaccinés pour des raisons de conscience est complètement injustifiée. Le statut  vaccinal des objecteurs de conscience ne pose pas de risque indu pour le public.

 

Cordialement,

 

Tetyana Obukhanych, PhD

 

Source : Alethonews

 

Pour les différentes annexes et notes (trop nombreux) consulter le lien source.

Voici une conférence au Canada du Dr Tetyana Obukhanych en 2013

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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 08:41

Santé : un médecin congolais s’oppose à la vaccination de son enfant

 

 

C’est rare de voir qu’un professionnel de santé, de surcroît un médecin,  puisse refuser que son enfant soit vacciné. Et pourtant, c’est bien ce qui vient de se passer à Matadi dans la province du Kongo-central.

 

Dans le cadre de la commémoration de la semaine africaine de vaccination du 27 avril au 2 mai sur le thème "Communautés vaccinées, communautés sauvées", six provinces de la RDC ont organisé des journées locales de vaccination contre la polio intégrée à la supplémentation en vitamine A et au déparasitage au mebendazole. Il s’agit du Nord-Kivu, Kinshasa, Equateur, Bandundu, Province- Orientale et Kongo-central, ex-Bas –Congo.

 

Dans la province du Kongo-central, dans la zone de Santé de Matadi, si globalement la campagne de vaccination des enfants contre la polio s’est bien déroulée, comme l'a  déclaré la ministre provinciale à la Santé, le Pr Mambu Niangi, à l’issue de la réunion du comité provincial de coordination qu’elle a présidée dans la salle de réunion de la Direction provinciale du programme élargi de vaccination, on a toutefois noté des cas de résistance dans les neuf aires de santé de la zone de santé de Matadi, notamment dans l’aire de santé de Mpozo, Hygiène B, Soyo.

 

Mais tous ces cas de refus ont été récupérés parce qu’après la descente du médecin chef de zone de Matadi, par exemple  à l’aire de santé Hygiène B au quartier Nsansa ditumba, des enfants dont les parents avaient refusé qu’ils soient vaccinés l’ont été. Dans la zone de santé de Nzanza,  treize cas de refus ont tous été récupérés.

 

Treize autres cas de résistance ont été signalés dans la zone de santé de Nzanza dans le district sanitaire de Matadi. Mais ils ont tous  été récupérés. Il s’agit de l’aire de santé de Banana où six enfants ont été vaccinés, Epon deux enfants, Baobab trois enfants, Kitomesa un enfant et Nzinga lutete, un enfant.

 

Cependant le cas de refus, qui a suscité plus de bruit dans la ville de Matadi, est celui d’un chirurgien–dentiste. Celui –ci a tout simplement refusé que son enfant soit vacciné contre la polio. Les vaccinateurs qui s’étaient rendus en sa résidence ont été surpris de constater qu’un professionnel de santé puisse s’opposer à la vaccination. Le cas a été rapporté à la réunion du soir du comité local de coordination.

 

À l’issue de cette réunion, le médecin chef de zone, le Dr Goethe Makindu, décidera le lendemain d’aller voir son collègue. Mais quelle ne sera pas la surprise de l’équipe qui accompagnait le médecin chef de zone de Matadi ? La femme reçoit froidement le collègue de son mari. A la fin, l’équipe du médecin chef de zone  de Matadi a été éconduite par l’épouse du chirurgien-dentiste qui a refusé de prêter attention aux explications de la superviseure provinciale du programme national de nutrition.

 

Toutes tentatives pour vacciner l’enfant  du chirurgien-dentiste se sont avérées sans succès. Car, joint au téléphone par le chef de division provincial à la santé, le Dr Jacques Kimfuta, le chirurgien-dentiste fait savoir qu’il est à Kinshasa. Jusqu’au dernier jour de la campagne de vaccination, l’enfant du médecin n’a pas malheureusement été vacciné.

 

Aline Nzuzi

 

Source : Adiac-Congo.com

 

L'article qui précède démontre l'absence totale de liberté vaccinale dans ces pays où, quand les parents (qui ont en général fort mûrement réfléchi leur décision avant) disent "non aux vaccins!", les autorités disent "oui" à leur place et "récupèrent" leurs enfants, c'est-à-dire les vaccinent quand même de façon forcée et contre l'avis parental, comme cela se fait déjà dans nos pays riches dits "plus démocratiques". L'attitude partiale des médias (ici de ce média congolais) montre aussi que les journalistes occidentaux n'ont pas à être particulièrement fiers puisqu'ils sont finalement tout aussi soumis que les journalistes des pays pauvres (qui eux, ont nettement moins de moyens disponibles pour investiguer vraiment les sujets qu'ils relatent).

 

Voir aussi: Afrique & vaccination (chronique d'un voyage au Congo par deux professionnels de santé français, en 2007)

 

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20 avril 2015 1 20 /04 /avril /2015 15:52

Est-il possible d’être à la fois pro-science et pro-vaccins ?

 

Par Leslie Manookian, 10 juin 2014, réalisatrice du film The Greater Good

 

 

Récemment, Laura Hayes, une maman dont les enfants ont eu la santé endommagée par les vaccins, a écrit un article pour le site « Age of autism » dans lequel elle explique pourquoi elle est anti-vaccin. Elle répondait en fait à un article qui avait été écrit par le papa d’un enfant dont la santé avait aussi été endommagée par les vaccins. Ce papa écrivait ce qui suit : «  Mais la plupart des personnes qui demandent la sécurité des vaccins sont des pro-vaccins, ces personnes veulent un calendrier de vaccination national, et ils savent que les vaccins constituent un moyen efficace et important pour assurer la santé publique ».

 

L’article de Laura est un synopsis fantastique qui explique pourquoi de plus en plus de parents qui sont fortement « pro-science » sont aussi anti-vaccins. Nous sommes d’accord avec l’article de Laura, mais voulions en dire un peu plus.

 

Notre commentaire :

 

Il est décidément anti-scientifique d’être « pro-vaccin » s’il s’agit des vaccins sous leur forme actuelle. Pourquoi ?

 

Parce que les vaccins n’ont pas été correctement étudiés comme le souligne justement Laura.

 

Jusqu’à ce que chaque ingrédient des vaccins soit étudié individuellement et en combinaison avec tous les autres ingrédients pour que l’on puisse connaître, à court, moyen ou à long terme, les résultats sur la santé de leur injection, les vaccins constituent tout simplement une vaste expérimentation sur les populations qui les reçoivent.

 

Leslie Manookian réalisatrice du film The Greater Good (http://www.greatergoodmovie.org/)

Est-ce que des parents donneraient un antibiotique ou tout autre médicament à un enfant (ou prendraient eux-mêmes) qui n’aurait pas été correctement étudié comme c’est le cas avec les vaccins ? Bien sûr que non. Seul un dérangé mental pourrait sciemment permettre que l’on administre à son enfant un produit pharmaceutique qui n’a pas été correctement étudié.

 

Bien que le CDC (Centres de Contrôle et de Prévention Américains des Maladies), la FDA (Food & Drug Administration) et l’Académie Américaine de Pédiatrie continuent de nous assurer que les vaccins sont sûrs, nous ne pouvons avoir aucune idée  des dégâts collatéraux globaux causés par les vaccins non correctement testés, jusqu’à ce qu’une véritable recherche soit effectuée. Tout qui se dit « pro-vaccins » et « pro-science » est en fait une personne non informée du véritable état de la science des vaccins.

 

Nous savons que 90% des essais cliniques des médicaments n’utilisent pas un bon placebo.

 

Nous savons que les études sur la sécurité des vaccins durent souvent quelques jours ou quelques semaines.

 

Nous savons que les vaccins sont étudiés individuellement mais sont souvent administrés en combinaison avec d’autres vaccins.

 

Nous savons que cela peut prendre de 8 à 10 ans pour que l’aluminium des vaccins puisse, à partir du  site d’injection, migrer, à travers le système lymphatique, vers différents organes comme le cerveau, le foie, la rate ou ailleurs où il est susceptible de provoquer des dommages incalculables. Nous savons que la science indépendante a établi des liens entre le syndrome de la mort subite du nourrisson, des dommages cérébraux, des paralysies, des convulsions, des troubles de l’apprentissage, des maladies auto-immunes, la fatigue chronique, des troubles digestifs, de l’asthme, des allergies, etc., etc. Qu’est-ce qui pourrait être plus scientifique, plus rationnel et plus sage que d’attendre qu’une recherche correcte soit faite avant d’autoriser qu’un produit pharmaceutique puisse pénétrer dans notre corps ?

 

Ceux qui se disent « pro-science » et « pro-vaccins » n’ont tout simplement pas examiné tous les éléments de preuves. Et l’étiquetage d’ « anti-vaccins » de ceux qui ont examiné les éléments de preuves n’est rien d’autre qu’une tentative ad hominem de les discréditer et de saper leur réputation.

 

Source: site du film The Greater Good

 

Voir l'introduction au film:

Voir le film en entier (payant): ICI

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 18:03

 

Cette information est extrêmement intéressante quant aux stratégies utilisées par les firmes pharmaceutiques productrices de vaccins. Reprenons succintement les épisodes de cette saga anglaise que nous avions déjà commentés il y a plusieurs mois:

 

* Les firmes pharmaceutiques qui misent de plus en plus sur les vaccins (+ de 300 projets de nouveaux vaccins dans leur pipeline) avec l'arrivée à échéance de nombreux brevets de leurs molécules-phares, investissent des centaines de millions d'euros et de dollars dans toutes sortes de vaccins, y compris bien sûr dans des vaccins qui visent soit des maladies graves mais qui sont vraiment très rares soit des maladies anodines mais très répandues

 

* Parmi ces firmes, la firme suisse Novartis avait donc investi certaines sommes conséquentes dans le développement d'un vaccin contre le méningocoque B (donc une autre souche que celle incluse dans les vaccins antérieurs contre le méningocoque, principalement le méningocoque de type C chez les enfants). C'est alors que le vaccin Bexsero est arrivé sur le marché après avoir reçu l'aval de l'Agence européenne des Médicaments en novembre 2012.

 

* Quand un vaccin arrive sur le marché, il est impensable et inenvisageable pour les firmes de ne pas obtenir de retour sur investissement, c'est-à-dire de ne pas trouver de marché (et donc de personnes cibles à vacciner) or le public n'est en général pas très enthousiaste  pour aller payer des vaccins aux effets secondaires de plus en plus médiatisés. Comment dans ce cas créer malgré tout un marché? C'est simple, il FAUT mêler les autorités, il FAUT la complicité essentielle des autorités sanitaires dans la manoeuvre marketing: c'est alors que celles-ci usent de leur pouvoir d'influence en recommandant cette vaccination voire en l'ajoutant au calendrier vaccinal. Ce type de recommandation aura un effet sur les personnes les plus crédules mais ne sera pas forcément suffisant. C'est alors que les autorités envisagent dans un second temps un financement plus étendu du vaccin voire un achat total (présentant alors aux patients-pigeons le cadeau empoisonné comme "gratuit"). Dans certains pays, une mesure plus radicale encore est prise: l'obligation vaccinale qui assure des marchés certains et sécurisés, pas pour les patients bien sûr mais pour les fabricants.

 

* Dans notre monde globalisé, un des arguments indispensables des fabricants vis-à-vis des gouvernements des différentes pays est de pouvoir faire part de statistiques prétendument favorables issues de différents pays qui auraient déjà généralisé la vaccination à tout un groupe cible. Il est donc essentiel pour les fabricants de focaliser, au moins au début, avec un lobbying qui est bien plus que du harcèlement, sur certains pays européens ou occidentaux influents qui leur serviront en quelque sorte de "carte de visite" vis-à-vis des futurs clients. C'est ainsi que Novartis avait été frapper en 2013 à la porte du gouvernement britannique pour essayer d'y implanter une campagne nationale sur les enfants-cobayes de ce pays mais le comité britannique des vaccinations avait alors refusé à l'époque déclarant notamment: "Le JCVI a conclu, sur la base des données disponibles, qu'il est hautement improbable que l'immunisation de routine des nourrissons et jeunes enfants utilisant Bexsero soit efficace en termes de coûts". 

 

La firme pharmaceutique s'était alors dite déçue de cette décision qui n'était alors guère surprenante si on veut bien être rationnel et tenir compte du nombre infime d'enfants qui feront une méningite B naturelle....

 

* Au printemps 2014, la presse révélait que GSK avait racheté la section vaccins du groupe Novartis avec le vaccin Bexsero dans le portefeuille du groupe du coup... Andrew Witty, le PDG de GSK ne cachait alors pas son enthousiasme à l'époque: "L'acquisition de l'activité vaccins de Novartis va renforcer significativement l'ampleur de notre portefeuille de vaccins et de produits en développement, en particulier en ce qui concerne la méningite avec l'apport du Bexsero, un nouveau vaccin préventif contre la méningite B enthousiasmant". 

 

Les lobbyistes de GSK se sont donc mis à l'oeuvre pour tâcher de faire changer d'avis les autorités sanitaires britanniques. Et moins d'un an plus tard, les autorités sanitaires britanniques n'étaient pas gênées d'annoncer leur volte-face! Ainsi, malgré que ce type de méningite avait spontanément, sans vaccin, baissé de 50% au cours de la dernière décennie et que la maladie ne touche tout au plus que 25 nourrissons sur 100 000; malgré aussi que les données sur le rapport coût/bénéfices n'étaient alors pas disponibles de même que pour le portage de la bactérie, quelques mois plus tard, on voudrait nous faire croire que ce vaccin serait finalement quand même devenu une bonne idée... de qui se moque-t-on? Malheureusement d'enfants sans défense qui pourraient bien payer dans leur chair et de façon dramatiquement irréversible le prix de cette insoutenable cupidité. Car outre que ce vaccin n'a une efficacité que contre 60 à 80% des souches de méningocoque B, son "efficacité" ne dépasse pas 18 mois après une primovaccination et 3 ans après un rappel et de plus, elle n'entrave le portage de la bactérie (chez des porteurs pouvant donc être sains mais transmetteurs de la maladie) que dans ... 30% des cas!

 

Le vaccin Bexsero a donc été ajouté au calendrier vaccinal pour être administré avec les autres vaccins dès l'âge de 2 mois...

 

 

* Maintenant, qu'apprend-t-on encore en plus? Que GSK a conclu un partenariat avec le Royaume-Uni pour vacciner gratuitement tous les nourrissons... ben voyons, pourquoi se priver? Les gens n'y verront sans doute que du feu, certains prendront cela pour un "cadeau" ou une fausse preuve que c'est vraiment un vaccin essentiel car ils ne comprendront pas le sens de la manoeuvre: un peu comme quand on distribue des échantillons gratuits au début, pour simplement créer de toutes pièces une demande, un besoin et puis ensuite, il faudra que les contribuables passent à la caisse car il y aura eu entretemps de belles statistiques bien proprettes qui auront montré bien entendu que ce vaccin apporte vraiment une "plus-value"!!

 

Voici ci-dessous ce qu'il en est de l'épisode britannique actuel mais avant, ayez surtout bien à l'esprit 4 éléments-clefs en tête pour votre bonne compréhension de ce sujet:

 

1) La campagne de vaccination universelle contre l'hépatite B a brisé des dizaines de milliers de vies -et d'ailleurs pas qu'en France- avec les scléroses en plaques qui ne sont que la triste partie émergée de l'iceberg (voir ici et ici notamment).

 

2) On est dans un contexte où on en arrive à envisager de payer les gens pour leur faire accepter des vaccins...

 

3) On a des données claires sur les vaccins contre le méningocoque C qui montrent qu'en Belgique, comme en France, les risques graves de ces vaccins sont statistiquement des dizaines de fois supérieurs aux risques  de contracter la maladie naturelle.

 

4) Le vaccin MenBVac, vaccin expérimental contre le méningocoque B (NB: les vaccins sont de toute façon toujours tous expérimentaux, sachez-le!) a laissé un champ de ruines avec des adolescents et des enfants gravement touchés dans les pays qui l'ont implémentée (Norvège, Nouvelle-ZélandeFrance sûrement aussi même si la presse a été moins loquace mais les mêmes causes produisant les mêmes effets...)

 

Soyez lucides, et décryptez les infos que vous trouverez "brutes" dans la presse!!!

 

Méningite B : les anglais lancent la première campagne nationale de vaccination

 

Par Léa Drouelle Publié le 29 Mars 2015

 

Le Royaume-Uni a développé un partenariat avec GSK pour administrer gratuitement un vaccin contre la méningite B à tous les nourrissons du pays. Ce programme national est une première mondiale. 

 

Alors qu’un petit garçon lyonnais de 5 ans a été hospitalisé samedi après-midi à l'hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron pour une suspicion de méningite bactérienne à méningocoque de type B (la forme la plus grave), le Royaume-Uni a annoncé dans le même temps le lancement d’un programme de vaccination gratuite contre cette méningite pour tous les bébés du pays.

 

Un programme lancé avec de longues négociations avec Novartis


« Nous sommes le premier pays au monde à lancer cette campagne », se réjouit le ministre de la Santé britannique Jimmy Hunt. Le gouvernement a développé un partenariat avec la firme anglaise GlaxoSmithKline (GSK), numéro 7 de l’industrie pharmaceutique mondiale, qui a racheté le vaccin Bextero crée par le géant suisse Novartis. 


L’association du gouvernement avec GSK survient 7 mois après de longues négociations vaines avec Novartis autour du prix du vaccin, avant son rachat par GSK. Un retard que les organismes britanniques de lutte contre la méningite déplorent, même s’ils saluent le lancement du programme. 


« Savoir que les bébés seront protégés contre la méningite de type B est fantastique. C’est un autre grand pas en avant dans notre lutte contre cette maladie », a déclaré Sue Davie, directeur général de l’association Meningitis Now. Le vaccin Bexsero serait, selon Novartis, « le premier vaccin à large spectre » contre la méningite B. Il couvre 70 à 90 % des souches de méningocoques B dans les pays d’Europe.

 

Un vaccin remboursé à 65 % en France


La méningite B est la plus fréquente des méningites en Europe et touche plus particulièrement les enfants et les adolescents. Elle est responsable de nombreuses séquelles neurologiques et entraîne le décès de près d'un patient sur dix. En France, on comptait 290 cas en 2011. Depuis décembre 2014, le vaccin Bexsero est remboursé par la Sécurité sociale à 65 %, pour les patients qui n’ont plus de rate ou souffrent d’un dysfonctionnement de cet organe, ainsi que pour ceux ayant subi une greffe de cellules souches. En revanche, le vaccin n'est pas pris en charge pour les autres personnes, y compris les enfants à partir de l'âge de 2 mois.

 

Source : Pourquoi Docteur

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 08:08

Nous en avions déjà plus d'une fois parlé sur ce site mais il est bon de revenir sur le procédé scandaleux et la tristesse qu'autant de parents courbent l'échine et acceptent comme de bons moutons pareils procédés...

 

En Belgique, comme en France, voici le type de modus operandi utilisé:

Lire la lettre qu'Initiative Citoyenne avait envoyée il y a déjà plusieurs années aux Ministres fédérale et communautaire de la Santé en Belgique au sujet de ces procédés.

 

Dr Lee Hieb: L'hystérie vaccinale actuelle pourrait déclencher un cauchemar totalitaire

 

Lire ci-dessous l'état actuel de la situation en France avec ces vaccins de plus en plus groupés/combinés (donc de plus en plus lucratifs pour les pharmas), riches en aluminium et laissant sur le carreau les victimes en cas d'effets secondaires compte tenu que l'Etat n'a qu'à indemniser les victimes des seules valences/composantes obligatoires et pas les autres:

 

Vaccins obligatoires en rupture de Stock

 

Les vaccins suivants : PENTAVAC, INFANRIX QUINTA, TRETAVAC sont en rupture de stock. Les médecins sont obligés de vacciner les bébés contre l'hépatite B même s'ils ne le veulent pas. Et que faire quand une première injection de Pentavac a déjà été réalisée ?


Cette pseudo-rupture de vaccins DTCoqPolio+Hémophilus dure depuis 4 mois.


On nous rejoue  le coup de la suppression du DTPolio (sans adjuvant aluminique) qui a d'abord été indisponible pendant plusieurs mois pour également "rupture de la chaîne de fabrication", puis supprimé après un retour de quelques mois, et une suppression brutale en juin 2008 pour cause de survenue mystérieuse d'un excès de réactions allergiques à ce vaccin pourtant connu et commercialisé depuis plus d'une vingtaine d'années sans problèmes.

 
Ceci avait permis d'imposer de ne plus vendre que le seul vaccin Revaxis Sanofi-Pasteur (avec adjuvant aluminique), seul sur le marché et produit sur une seule chaîne de production au lieu de deux.


Le défaut d’approvisionnement des vaccins pentavalents DTcoqPolio+ Hémophilus (Infanrix Quinta et Pentavac) est bizarrement survenu en même temps sur les chaînes de fabrication des deux fabricants GSK et Sanofi Pasteur.
On a alors proposé de les remplacer par leur petits frères tétravalents DTCoqPolio (Infanrix Tétra et Tétravac) en les mélangeant si besoin avec la valence Hémophilus (Act-HiB). Ce sont désormais ces deux succédanés qui deviennent difficilement trouvables dans les pharmacies et qui vont bientôt disparaître totalement de la circulation.

Conclusions:


- Pour les injections du nourrisson, ou bien on attend le déluge, ou bien on prescrit le vaccin hexavalent contenant l'hépatite B (InfanrixHexa de GSK).


Bénéfices pour le Ministère de la santé, on augmente le pourcentage de couverture vaccinale contre l'hépatite B des nourrissons en forçant les parents réticents en supprimant la liberté de choix.


Bénéfices pour les actionnaires de GSK: Infanrix Hexa est vendu 40,04 € et Infanrix Quinta 27,21 €


- Pour le rappel de 6 ans 1/2, s'il n'y a plus de DTCoqPolio, on se rabat sur les formes adultes seules disponibles (Boostrix et Répévax) dont l'AMM a été avancé il y a peu de temps.


Bénéfices pour les actionnaires de GSK : Boostrix Tétra est vendu 25 € et Infanrix Tétra 14,88 €.


Bénéfices pour les actionnaires de Sanofi-Pasteur : Répévax coute 24,13 € contre un Tétravac acellulaire à 14,88 €.

 
- Perte et profits pour la CPAM : à vos calculettes (Il y a environ 750.000 naissances par an en France).


Cette rupture sent la magouille à plein nez. On comprend difficilement comment deux grands laboratoires internationaux de producteurs de vaccins voient leurs chaînes de fabrication du même vaccin se mettre en roue libre puis en panne sèche en même temps.


On peut lire avec intérêt le dernier bulletin d'Infovac. Ce consortium d'experts ès-vaccinations se déclare totalement indépendant de l'industrie pharmaceutique mais il est en fait pieds et poings liés vis à vis de celle-ci. Il est financé par l'association ACTIV qui ne vit pratiquement que de subsides des laboratoires (http://activ-france.fr/). On y lit une plaidoirie compatissante pour leurs partenaires de l'industrie mais aussi un aveu implicite : la demande mondiale oblige " les fabricants à faire des choix sur les produits finis à privilégier." (et donc en clair les plus rentables)


Le experts acceptent cet état de fait sans trop s'en plaindre. Il faudra faire avec et en rejetant la faute sur "les autorités de santé" qui n'ont qu'à se débrouiller :  "Il va falloir malheureusement s’habituer aux difficultés d’approvisionnement et que les autorités de santé établissent des stratégies de remplacement rapidement".


Un message a été adressé à GSK et à Sanofi Pasteur pour demander les raisons de cette rupture de stock. GSK a renvoyé cette réponse polie mais sibylline :" Suite à votre demande d’information et afin de pouvoir y apporter une réponse rapide et de qualité, nous avons besoin d'informations complémentaires.  Merci de bien vouloir nous contacter au 01 39 17 84 44 du Lundi au Vendredi de 9 h à 18 h.  Restant à votre disposition pour toute information complémentaire, nous vous prions d’agréer, Monsieur, l’assurance de notre considération distinguée." Sanofi-Pasteur fait le mort ou n'a pas daigné répondre.

 

Si vous voulez les appeler, nous pourrions comparer nos retours. Il serait temps de réagir de façon groupée en interpellant l'ANSM et la Ministre de la santé sur les mesures qu'ils comptent prendre sur ce grave dysfonctionnement d'approvisionnement qui ne laisse plus aucun choix aux médecins ni aux parents dans les vaccins à programmer chez  les enfants dont ils ont la charge.

Pour mémoire,  la suspension du DTPolio avait permis aux autorités sanitaires de s'approcher  de leur objectif d'immunisation contre l'Hépatite B des enfants. Avant 2008 : 20 à 30% des nourrissons avaient reçu leur première dose de vaccin contre l'HB.

 

En 2010 : 80%...


Mais l'objectif premier est très certainement de simplifier les processus de fabrication, afin d'améliorer la rentabilité financière des firmes.
Juste pour info, les grands chiffres de Sanofi de 2013:


CA : 33 Md € 

 
Dont branche Vaccins : 3.7 Md € (11% du CA)


Résultat opérationnel : 9.3 Md € (28%)

 

Les Actionnaires ont reçu : 3.7 Md (11% du CA).


Cette rentabilité n'était sans doute pas suffisante, ils en remettent donc une couche ! Avec  la bénédiction des experts qui conseillent les politiques, car cela permet aussi de vacciner tout le monde contre l'hépatite B...

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20 mars 2015 5 20 /03 /mars /2015 09:05

 

 

Les députés ont supprimé aujourd'hui du projet de loi santé l'article qui prévoyait que les pharmaciens pourraient pratiquer certaines vaccinations, la ministre de la Santé Marisol Touraine souhaitant d'abord expérimenter la mesure.


Le rapporteur Jean-Louis Touraine (PS) a lui-même suggéré à la commission des Affaires sociales cette suppression, que défendaient aussi des députés UMP et du Front de gauche, les conditions pour ces vaccinations n'étant pas "réunies" selon lui. "Les pharmaciens ne disposent ni des compétences, ni de la formation indispensables à la réalisation de vaccins", dit cet élu du Rhône, professeur de médecine de profession.


"L'objectif est de prendre à bras-le-corps la question de la couverture vaccinale de notre pays" mais la mesure proposée "a suscité des inquiétudes", notamment chez les médecins, a dit la ministre, promettant "des expérimentations".

 

Source : Le Figaro

 

 

Marisol Touraine (et les autres députés) sentent bien le vent tourner; ils savent bien que dans le climat actuel, des personnes crédules qui auraient accepté une vaccination effectuée par des pharmaciens et qui se seraient effondrées dans la pharmacie ou qui seraient tombées (gravement) malades dans les semaines ou mois qui suivent, ont beaucoup plus de probabilité qu’avant de trouver une information sur les risques vaccinaux et que ces personnes risquent alors d’attaquer publiquement Touraine, son projet ou les pharmaciens.

 

Mais il ne faut pas non plus oublier là-dedans un des motifs cruciaux qui est de l’ordre du corporatisme : les médecins pour qui les vaccins sont une belle rentrée (12,6% des revenus annuels des généralistes et 33% de ceux des pédiatres selon le rapport d’octobre 2012 de la Cour des Comptes française, cf. p.114) n’ont pas envie de concurrents. Ils préfèrent donner l’illusion qu’eux, au moins, y connaissent quelque chose, alors qu’en réalité, ils n’y connaissent rien de rien… Les expérimentations que Touraine annonce ne doivent donc leurrer personne: elles ont déjà lieu tous les jours dans les cabinets médicaux avec des vaccins qui sont déjà, tous autant qu'ils sont, des produits expérimentaux administrés à des cobayes qui s'ignorent (comprenez pourquoi!)

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18 mars 2015 3 18 /03 /mars /2015 16:13

LA GUERRE IDEOLOGIQUE DES VACCINALISTES AUX U.S.A.

Etes-vous prêts ?

 

Par Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC, 12 mars 2015

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Aux Etats-Unis, 1,2 millions de personnes sont infectées par le HIV [1], mais les fonctionnaires du gouvernement n’interdisent pas aux enfants et aux adultes infectés par le HIV de fréquenter l’école, de recevoir des soins médicaux, d’être employés dans une société ou de participer à quelque manifestation publique. En fait, il existe des lois anti-discrimination qui garantissent la protection des droits civils pour les américains infectés par le HIV ou vivant avec des personnes infectées par le HIV [2].

 

Aucune discrimination ni aucune sanction pour les citoyens infectés.

 

En 2012, les responsables de la Santé publique ont indiqué que près de deux millions de personnes en Amérique étaient infectées par la chlamydia, la tuberculose, la syphilis et la gonorrhée [3]. Ces responsables estiment en outre que trois autres millions de personnes sont infectées par l’hépatite C [4]. Tout comme les personnes qui sont infectées par le HIV, ces citoyens ne font pas l’objet de discrimination, ne sont pas empêchés de fréquenter une école, d’être employés dans une société ou de se déplacer librement dans le pays.

 

Les enfants qui ont reçu le vaccin polio vivant ont toujours pu fréquenter l’école.

 

Entre 1963 et 1999, les médecins ont administré le vaccin oral vivant contre la polio à des millions d’enfants américains en bonne santé. Certains de ces enfants ont été infectés par la souche vaccinale du vaccin contre la polio qu’ils transmettaient ensuite à des enfants et des adultes de leur entourage qui faisaient  des polios paralytiques et mouraient. [5, 6]. Les personnes dont le système immunitaire était affaibli étaient tout particulièrement à risque de faire une polio avec la souche du vaccin. Ces personnes excrétaient la souche vaccinale pendant des périodes plus longues que ne l’auraient fait des personnes en parfaite santé. Il est à noter que les enfants qui ont récemment reçu le vaccin polio oral vivant n’ont pas été empêchés de fréquenter l’école.

 

Demandes de sanctions après que des cas de rougeole aient été diagnostiqués à Disney Land

 

Mais en 2015, après que quelques cas de rougeole aient été identifiés à Disneyland, les américains sont brusquement invités à abandonner leurs libertés civiles. On nous demande d’établir une discrimination et de fermer les yeux sur des sanctions sociales extrêmes à l’encontre de nos concitoyens [7], y compris sur la suppression des exonérations de vaccinations pour raisons religieuses ou de conscience [8,9]. En sorte que les enfants ne peuvent plus fréquenter l’école s’ils n’ont pas reçu 49 doses de 14 vaccins recommandés par le gouvernement fédéral jusqu’à l’âge de six ans et 20 vaccins supplémentaires jusqu’à l’âge de 18 ans. [10]

 

Comment est-il possible que quelques cas de rougeole à Disneyland puissent se transformer en une attaque à grande échelle sur les droits civils et humains en Amérique ?

 

12 états on introduit des projets de loi visant à éliminer les exemptions non médicales des vaccins, laissant seulement une exemption médicale très étroite que la plupart des gens ne pourront obtenir. [11,12]

 

Avec 93% des pédiatres qui déclarent que les parents ne font plus confiance à la sécurité du programme de vaccinations recommandé par le gouvernement [13], pourquoi donc nombre d’entre eux refusent-ils de fournir des soins médicaux aux enfants qui n’ont pas reçu chaque dose de chaque vaccin recommandé par le gouvernement fédéral – sans qu’il puisse y avoir d’exceptions, et sans que les parents puissent poser de questions ? [14,15,16 ]

 

Censure, condamnation, emprisonnement, licences médicales supprimées, toutes ces choses ont-elles encore du sens ?

 

Pourquoi des éditoriaux en appellent-ils à la censure [17, 18] pourquoi pourchasse-t-on et identifie-t-on publiquement les parents d’enfants non vaccinés [19], pourquoi les poursuit-on, leur fait-on des procès, les emprisonne-t-on [19, 20, 21, 22], pourquoi les médecins qui critiquent les vaccins se voient-ils radiés de l’Ordre ? [23]

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?
La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Ce qui se passe actuellement en Amérique n’a rien à voir avec la rougeole ou la santé publique.

 

Le « Patient Zéro » de Disneyland n’a jamais été trouvé – Ca n’a pas empêché de faire des suppositions.

 

Tout a commencé en janvier 2015 quand les responsables de la Santé ont annoncé à 320 millions d’Américains [24] que neuf visiteurs de Disneyland avaient attrapé la rougeole. [25] Deux semaines plus tard, le nombre de cas de rougeole était de 51. [26] mais aucun médecin dans le pays n’a non plus pu trouver le « Patient Zéro ». [26] Tout ceci n’a pu empêcher les journaux de proclamer qu’une seule personne « non vaccinée » contre la rougeole avait tout gâché et que la rougeole envahissait l’Amérique en raison de « la baisse du nombre de parents qui font vacciner leurs enfants » [27, 28]

 

Le taux de vaccination ROR est élevé aux Etats-Unis, et l’immunité contre la rougeole diminue.

 

Il importe peu que la science montre que l’immunité conférée par le vaccin contre la rougeole ne soit pas permanente et décroisse progressivement [29, 30, 31, 32] tout comme l’immunité vaccinale par rapport à la coqueluche est aussi temporaire et décroît progressivement [33, 34, 35]. Il est illogique  de jeter tout le blâme pour la rougeole sur ce que s’est passé à Disneyland alors que 1,8% qui fréquentent l’école bénéficient d’exemptions [36, 37] et que 95% des enfants qui entrent à l’école maternelle ont déjà reçu 2 injections du vaccin ROR [38, 39]. Seul 1% des enfants en-dessous de trois ans ne sont pas vaccinés.[40] Avec un grand total de 170 cas de rougeole rapportés dans 17 états en mars 2015, comparativement aux 644 cas rapportés dans 27 états l’an dernier [41], avec 42% des cas rapportés en Californie survenus chez des personnes non vaccinées, alors que 13% des cas étaient bel et bien vaccinés [42], il n’existe aucune justification pour la suppression des exemptions de vaccins dans les lois de Santé publique.

 

C’est la chasse aux sorcières organisée par les médecins contre les familles et les médecins qui ne partagent pas la pensée unique.

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

La pensée rationnelle a été la première victime en ce 21ème siècle [43] d’une chasse aux sorcières comme il s’en est produit au 17ème siècle, et qui a été menée par des médecins du gouvernement sur la défensive, par des gens de l’industrie, des académies et des médias qui en avaient marre qu’on leur pose des questions sur les risques et échecs vaccinaux auxquelles ils ne savaient pas répondre. [44, 45, 46, 47]

 

Assistés par les conglomérats de la communication [48, 49, 50, 51, 52, 53], ils agitent religieusement le drapeau de la science pour pouvoir qualifier « d’antisociaux » les parents qui ne veulent pas vacciner leurs enfants, [54] tout en ignorant complètement les parents d’enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins. Ces parents  déplorent le fait que leur enfant ne pourra plus jamais recouvrer la santé.[55]. Certaines des attaques les plus vicieuses ont porté sur les familles qui avaient consciemment choisi de rester en bonne santé en ayant recours à d’autres moyens que la vaccination, [56, 57] comme aussi contre les médecins qui ont continué à s’occuper des familles dont les enfants n’avaient pas été vaccinés ou n’avaient reçu que quelques vaccins [58, 59]

 

Une guerre idéologique contre les libertés, les grandes valeurs et les croyances

 

Après des titres comme « Que ferait Jésus à propos de la rougeole ? » [60] et « Dieu veut que vous fassiez vacciner vos enfants » [61], on peut mieux se rendre compte du niveau bien bas du journalisme américain. Il est dès lors devenu clair que la soi-disant « guerre des vaccins » [62, 63] est véritablement une guerre culturelle, idéologique [64] contre les libertés, les grandes valeurs, les croyances qui ont longtemps défini qui nous sommes  en tant que Nation. [65, 66, 67] De la manière dont ces tendances seront combattues et comment tout cela finira, déterminera le type de Nation que sera l’Amérique du 21ème siècle.

 

Les vaccins : un marché de 100 milliards de dollars pour 2025 avec plusieurs nouveaux vaccins

 

Les 30 milliards du marché mondial des vaccins permettent une projection de 100 milliards ou plus dans dix ans. [68]. En grande partie, grâce à vos impôts, un partenariat lucratif d’affaires s’est créé entre le gouvernement et l’industrie pharmaceutique [69, 70, 71,  72,73, 74] pour développer des centaines de nouveaux vaccins [75]

 

Les compagnies pharmaceutiques qui sont complètement à l’abri de toute responsabilité par rapport aux vaccins parce que la Cour Suprême Américaine a déclaré que les vaccins étaient « inévitablement dangereux », [76, 77] se sont précipitées pour obtenir la licence pour des vaccins génétiquement modifiés contre la syphilis [78], la gonorrhée [79], l’herpès [80], le VIH/Sida [81] la tuberculose [82] la chlamydia [83], l’hépatite C [84], l’E-Coli [85], le cytomégalovirus [86] Ebola [87, 88], la salmonellose [89], le norovirus [90], l’adénovirus [91], l’entérovirus [92], l’asthme, le diabète [93, 94], l’obésité [95], l’hypertension artérielle [96], l’anti-tabac [97] , l’anti-cocaïne [98], l’anti-héroïne [99], ainsi que beaucoup d’autres que les compagnies pharmaceutiques et les gouvernements voudront développer pour les adultes comme pour les enfants.

 

Les projets d’immunisation pour adultes visent les femmes, les employés, les groupes confessionnels

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Le nouveau plan national d’immunisation des adultes cible agressivement les femmes enceintes [100], les employeurs et leurs employés [101], les groupes confessionnels [102] et autres adultes [103, 104]. Les membres du personnel de santé sont déjà licenciés s’ils n’acceptent pas le vaccin annuel contre la grippe [105], un vaccin qui fonctionne moins d’une fois sur deux et qui, en plus, a été complètement inefficace cette année [106, 107]

 

La profession qui est aussi visée est celle des enseignants [108, 109]. Un médecin du Vermont qui est devenu politicien veut faire passer un projet de loi qui exigerait que tous les enseignants et toutes les personnes qui travaillent dans une école puissent prouver qu’ils ont reçu tous les vaccins recommandés par le gouvernement ou qu’ils ont été revaccinés.[110]

 

Votre profession sera-t-elle la suivante sur la liste ?

 

Allons-nous être empêchés de nous déplacer librement et allons-nous être punis ?

 

Va-t-on voter des lois qui, non seulement vous interdiront d’avoir accès à l’enseignement public, vous interdiront de prendre une assurance maladie, une entrée à l’hôpital ou dans une maison de retraite, vous interdiront de prendre un bus, un avion ou le train, acheter un billet pour une entrée au cinéma ou un match de football, d’entrer dans un grand magasin, d’obtenir un permis de conduire, de remplir votre déclaration de contributions, de participer à quelque activité, ou vous déplacer librement sauf si vous pouvez apporter la preuve que vous avez reçu tous les vaccins recommandés par le gouvernement ?

 

Vos enfants non vaccinés et en parfaite santé vont-ils vous être enlevés [111] et aurez-vous à payer une amende avant d’être jetés en prison ? [112, 113]

 

Du personnel médical appuyé par des forces de police va-t-il un jour frapper à votre porte pour vous emmener dans des camps de quarantaine afin de vous administrer de force à vous et à vos enfants des vaccins sans votre consentement éclairé ?

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Si les exemptions non médicales sont supprimées, vous n’aurez plus aucun choix

 

Même si vous et vos enfants avez déjà librement, reçu tous les vaccins recommandés par le gouvernement, vous n’aurez plus le moindre choix de refuser chaque nouveau vaccin  que le gouvernement pourra recommander dans la suite.

 

Cette guerre idéologique touche à bien plus qu’à un problème vaccinal

 

« Parce que si l’Etat se permet d’étiqueter, de traquer et de vous forcer contre votre volonté à vous faire injecter des produits biologiques dont la toxicité est aujourd’hui connue ou inconnue, il n’y aura plus de limites au sujet des libertés que l’état pourra vous enlever demain au nom du plus grand bien. »

 

Que pouvez-vous faire si vous êtes prêts à passer à l’action?

 

Si vous être prêt à vous battre pour vos libertés, voici ce que vous pouvez faire :

 

VOUS IMPLIQUER.- Participez à la démocratie. Consultez par exemple régulièrement le réseau internet pour un libre choix vaccinal – NVICAdvocacy.org et participez à des actions avec d’autres personnes de votre région. Contactez vos parlementaires, envoyez-leur des mails. N’hésitez pas à témoigner au cours de procès en justice. Invitez les membres de votre famille et vos amis à faire de même.

 

TEMOIGNAGES. - Si vous avez eu des réactions négatives aux vaccins, si vous êtes atteint de maladie chronique ou handicapé, partagez votre expérience avec d’autres. Vous n’êtes pas seul.

 

Les réactions aux vaccins et les handicaps ne sont pas aussi rares que les médecins veulent bien admettre tant pour eux-mêmes que pour leurs patients. [114] Aujourd’hui, tout le monde connait quelqu’un qui était en parfaite santé, qui s’est fait vacciner et qui n’a jamais plus été bien dans la suite. Parlez de ce qui est arrivé à votre enfant après les vaccinations.

 

Si, en tant que parent, vous avez, dans les jours ou semaines qui ont suivi la vaccination, vu que votre enfant a hurlé comme jamais pendant des heures, s’est contracturé, effondré, a régressé physiquement, mentalement et émotionnellement pour devenir un enfant complètement différent [115, 116, 117, 118, 119, 120]  vous avez été témoin d’une réaction grave dont vous pouvez parler. Vous pouvez aussi en informer vos parlementaires.

 

Si votre enfant a été revacciné et que vous avez observé les mêmes symptômes qu’à une vaccination précédente ou si la santé de votre enfant s’est aggravée, il s’agit de preuves scientifiques irréfutables d’une relation causale entre la vaccination et ce qui est arrivé à votre enfant. Ce que vous avez pu observer s’appelle une observation clinique [121, 122]. Même quand les parents font ces observations, la plupart des médecins les rejettent comme étant anecdotiques [123] ou des « coïncidences » qui n’ont aucune valeur. [124, 125]

 

La vie de votre enfant à toute sa valeur. Ne permettez pas que quiconque vous intimide ou vous fasse honte

 

Ce dont vous avez été témoin après que votre enfant ait reçu ses vaccins a de la valeur tout simplement parce que la vie de votre enfant a de la valeur. Ne permettez pas que votre médecin ou qui que ce soit vous intimide ou vous fasse honte quand vous exposerez ce qui s’est passé après la vaccination, et tout spécialement si votre enfant a attrapé une maladie chronique, est handicapé ou éprouve des difficultés d’apprentissage, s’il souffre de TDAH, d’épilepsie, de maladies auto-immunes, d’autisme, de problèmes de communication, de comportement, de développement, d’asthme, d’une forme d’allergie, d’un dysfonctionnement du cerveau ou du système immunitaire. [126]

 

Témoigner de ce qui s’est passé après la vaccination est un moyen d’aider les autres à comprendre que chaque vie a une valeur, que celle des autres est éminemment respectable. Nous ne devons jamais oublier ces vérités universelles.

 

RAPPORTS - On estime que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves comme des hospitalisations, des dommages corporels et des décès associés aux vaccins sont officiellement rapportés au système VAERS – Vaccine Adverse Event Reporting System- [127, 128] bien que les lois fédérales exigent que tous les fournisseurs de vaccins fassent des rapports. Si votre médecin refuse de faire un rapport pour un effet secondaire de vaccin, vous pouvez le réaliser vous-même. Consultez le NVIC.org pour voir comment vous y prendre.

 

Registre NVIC des réactions vaccinales – Mur de la liberté – Mémorial – Mur des échecs

 

Si vous ou votre enfant êtes intimidés ou menacés de perte d’emploi, de refus de soins médicaux, d’assurance santé, d’assistance alimentaire ou d’assistance au logement, au droit de fréquenter une école, ou quoi que soit d’autre à cause de votre statut vaccinal, vous pouvez en faire rapport à votre état ou au législateur fédéral. Inscrivez-vous au « NVIC Advocacy Portal » pour pouvoir être mis en contact électronique direct avec eux. […]

 

S’INFORMER DAVANTAGE - Documentez-vous sur les maladies infectieuses,  la science, la politique, le droit et l’éthique ayant trait à la vaccination.

 

Nous allons maintenant passer en revue cinq mythes et faits qui vous aideront à comprendre ce qu’est exactement la guerre idéologique des vaccinalistes

 

GUERRE IDEOLOGIQUE DES VACCINALISTES - Mythe numéro 1

 

La plupart des médecins disent que les vaccins ne provoquent pas de dommages ni de décès. Cela doit donc être vrai !

 

Les médecins qui disent que les vaccins sont sûrs pour tout le monde et ne provoquent ni dommages, ni décès sont soit mal informés, soit ils sont dans le déni ou alors ils mentent tout simplement. Depuis le premier vaccin contre la variole, les médecins ont su - et la chose a été parfaitement documentée – que l’inflammation du cerveau, des dommages cérébraux irréversibles et des décès ont toujours figuré parmi les complications les plus graves de la vaccination. [129, 130].

 

Tout comme n’importe quel autre produit pharmaceutique, les vaccins comportent un risque de dommages et de décès. Ces risques peuvent être plus importants pour certaines personnes présentant des facteurs de risque génétiques, biologiques et environnementaux que les médecins ne comprennent pas ou ne peuvent pas prévoir.[131]

 

Congrès des Etats-Unis – la Cour Suprême déclare que les vaccins sont « inévitablement dangereux »

 

En fonction de cela, le Congrès a, en 1986 [132] dégagé les compagnies pharmaceutiques de toute responsabilité par rapport à leurs produits.[134] C’est en 2011 que la Cour Suprême des Etats-Unis a déclaré que les vaccins étaient « inévitablement dangereux » [133]. Ainsi, si vous-même ou votre enfant avez la santé endommagée ou s’il y a un décès à la suite d’une vaccination, la firme qui fabrique les vaccins et en retire des bénéfices, ou toute personne qui régule, favorise administre ou prescrit un vaccin, aucune de ces personnes ou firmes  ne peuvent être tenues responsables devant un tribunal civil ou devant un jury de pairs !

 

Les fabricants de ceintures de sécurité peuvent être rendus responsables – rien de tout cela en ce qui concerne les fabricants de vaccins

 

Les firmes qui fabriquent des ceintures de sécurité ont la responsabilité de leurs produits [135], mais pas les fabricants de vaccins. Les médecins peuvent être poursuivis en justice pour faute professionnelle, sauf quand ils administrent des vaccins qui endommagent la santé ou qui entraînent des décès.

 

Les vaccins sont les seuls produits que le gouvernement rend obligatoires et indemnise.

 

Le gouvernement fédéral a déjà payé plus de 3 milliards de dollars en dédommagement aux victimes des vaccins, en conformité avec le National Childhood Vaccine Injury Act de 1986. [136]

 

GUERRE IDEOLOGIQUE DES VACCINALISTES - Mythe numéro 2

 

Les gens qui se posent des questions sur la sécurité des vaccins sont des ignorants qui ne comprennent rien à la science.

 

En fait, c’est tout juste l’inverse qui est vrai. La plupart des gens qui se posent des questions sur les vaccins sont très intelligents et peuvent comprendre la différence entre la vraie science et une science de pacotille.[137, 138, 139]

 

Les études montrent que les pères et les mères qui possèdent des diplômes d’études supérieures sont ceux qui, le plus souvent, remettent en question la sécurité des vaccins. [140, 141, 142]. Ils se demandent si la politique gouvernementale qui conseille aux pédiatres d’administrer aux enfants trois fois plus de vaccins que les enfants recevaient il y a 30 ans [143] est une politique sûre, efficace et nécessaire.

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

De graves lacunes dans les connaissances scientifiques ayant trait à la sécurité des vaccins

 

Si les préoccupations croissantes des parents au sujet de la vaccination étaient tout simplement dues à l’ignorance, on n’aurait pas trouvé d’énormes lacunes dans les connaissances scientifiques publiées dans les rapports de l’Institut de médecine depuis deux décennies.[144] A titre d’exemple, il y a moins de 40 études qui ont été publiées sur l’évaluation de la sécurité du programme de vaccination des enfants et des nourrissons de moins de 6 ans recommandé au niveau fédéral. [145]

 

GUERRE IDEOLOGIQUE DES VACCINALISTES - Mythe numéro 3

 

Les personnes qui ne veulent pas se faire vacciner sont égoïstes et ne se soucient pas de la santé publique.

 

Alors que nous sommes tous nés égaux, avec égalité de droits face à la loi, chacun de nous est né avec des gènes différents et une flore microbienne unique, influencée par l’épigénétique [146] qui affectent la façon dont nous répondons aux maladies [147, 148] comme aux produits pharmaceutiques, y compris les vaccins. [149, 150]

 

Beaucoup d’américains ont décidé de ne plus vacciner parce que, pour ces personnes, les risques des vaccinations se sont avérés être de 100% pour eux-mêmes, leurs enfants ou des membres de leur famille. Ces personnes ont de bonnes raisons de penser que les gènes avec lesquels ils sont nés les rendent plus sensibles et augmentent les risques d’effets secondaires. [151, 152, 153, 154, 155]

 

Les familles vulnérables ne peuvent pas trouver de médecins qui rédigeraient une exemption médicale

 

Ces personnes ne peuvent plus trouver de médecin qui leur rédigerait un rapport d’exemption parce que désormais pratiquement aucun problème de santé ne peut  plus justifier une exemption. [156] A moins d’être en train de mourir de cancer et sous chimiothérapie, à moins que vous n’ayez tout juste bénéficié d’une transplantation récente d’organe ou que vous souffriez d’un grave déficit immunitaire, la plupart des médecins ne vous accorderont aucune exemption médicale aux vaccins. [157]

 

Des exemptions non médicales constituent pourtant le seul moyen pour ces familles vulnérables de protéger leurs vies.

 

Certains américains ont choisi d’autres voies pour se maintenir en parfaite santé

 

Certains américains qui ont choisi une autre voie de santé font moins de vaccins ou ne se font tout simplement pas vacciner. Ils portent tous leurs efforts sur le renforcement du système immunitaire grâce à une excellente alimentation, à de l’exercice. Ils font tout leur possible pour éviter un maximum de toxines environnementales et ont recours à toute une série de solutions de rechange dans le domaine de la santé holistique qui ne reposent pas sur une utilisation intensive de produits pharmaceutiques. [158, 159, 160, 161]. Ces personnes contribuent considérablement à une meilleure santé publique. Elles et leurs enfants sont pratiquement toujours en excellente santé.

 

Il n’est pas du tout égoïste de vouloir faire des choix éclairés sur les différentes manières de se maintenir en bonne santé. Il n’est pas du tout égoïste de vous protéger et de vouloir protéger vos enfants de tout mal, surtout si vous pensez que votre famille est plus vulnérable que d’autres aux effets secondaires des vaccins. Si toutes les familles se soucient de protéger leur propre santé et celle de leurs enfants, il est certain que la santé publique sera d’autant mieux protégée.

 

GUERRE IDEOLOGIQUE DES VACCINALISTES - Mythe numéro 4

 

La science l’emporte sur les croyances religieuses. En conséquence, les exemptions pour motif religieux doivent être supprimées.

 

Dans cette guerre idéologique, les attaques que subissent les américains pour leurs croyances religieuses ou spirituelles sont au cœur même de ce programme politique. [162, 163, 164] Les citoyens qui ne croient pas en Dieu [165, 166, 167, 168] demandent à ceux qui ont foi en Dieu de placer la même foi dans la science et dans les médecins.[169] Il existe une grande différence entre les humains faillibles et Dieu, mais certains médecins ne voient pas de différence.

 

L’inventeur d’un vaccin ridiculise les croyances religieuses, mais cite les Ecritures !

 

Un éminent pédiatre, inventeur de vaccin [170] qui insiste sur le fait que les bébés peuvent, sans danger, recevoir jusqu’à 10.000 vaccins le même jour [171] a publiquement ridiculisé les croyances religieuses [172, 173, 174 ] mais il ne se gêne pas non plus de citer de manière hypocrite les saintes écritures [175] en comparant Disneyland au « Jardin d’Eden » [176] Invoquant le nom de Jésus, il essaie de faire honte aux parents chrétiens qui refusent d’obéir à ses ordres de faire administrer à leurs enfants tous les vaccins recommandés par le gouvernement, y compris le vaccin qu’il a lui-même créé [177] et qui en a fait un homme riche. [178, 179, 180]

 

Ce sont les mamans qui sont responsables de la santé de leurs enfants

 

Je me souviens de ce qui s’est passé il y a plusieurs années quand un médecin de la Santé publique avait, en Amérique, lancé la campagne : « Pas de vaccins, pas d’école » Ceci sous-entendait que j’étais « égoïste » d’avoir refusé de faire administrer le vaccin contre la coqueluche à mes deux plus jeunes enfants alors que la santé de mon fils aîné avait été endommagée par le vaccin Diphtétie-Tétanos-Coqueluche. La suggestion implicite était que je n’avais pas le droit de protéger la santé de mes propres enfants si ma décision entrait en conflit avec les croyances des médecins pour la protection de la santé publique.

 

J’ai regardé ce médecin droit dans les yeux et lui ai dit : «  Docteur, si oui ou non je décide de risquer la vie de mon enfant pour vous et votre vaccin, c’est une affaire entre moi et Dieu et non entre vous et moi. »

 

En tant que mères, nous portons notre bébé en nous pendant neuf mois, nous leur donnons naissance, nous aimons nos enfants plus que tout, nous les nourrissons pendant toute leur enfance pour qu’ils puissent grandir et devenir des membres adultes et productifs de la société. Nous sommes responsables de leur santé, et c’est nous qui nous en occupons quand ils sont malades ou incapables de prendre soin d’eux-mêmes pour une raison quelconque. C’est nous aussi qui pleurons sur leur tombe s’il leur arrive de mourir avant nous.

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Ne permettez à personne de contester vos convictions religieuses ou de fouler aux pieds votre objection de conscience

 

Vous ne devez pas appartenir à une religion organisée ou à une église reconnue par l’état pour avoir des croyances sincères sur un plan spirituel au sujet de la santé et de la vaccination. [181, 182, 183]. En tant que père ou mère vous possédez le droit naturel de vous servir de votre cerveau, de votre instinct et de votre intuition pour examiner en toute conscience les preuves qui vous sont apportées. Vous avez aussi le droit de demander d’être guidés, comme d’exercer votre droit le plus strict à un consentement éclairé par rapport à des risques médicaux que pourrait encourir votre enfant. Ne permettez pas à un médecin, à un employé du gouvernement ou à un politicien de vous enlever les droits qui vous sont donnés par le Créateur.

 

C’est une violation de la liberté religieuse que de forcer à la vaccination quand vos convictions spirituelles s’opposent à l’injection de vaccins, et c’est une violation de l’esprit humain que de vous forcer à désobéir à ce que vous dicte votre conscience.

 

GUERRE IDEOLOGIQUE DES VACCINALISTES - Mythe numéro 5 :

 

Le gouvernement trouve qu’il est conforme à l’éthique de sacrifier quelques personnes pour le plus grand nombre.

 

Basée sur l’hédonisme [184], et sur une équation mathématique, cette philosophie porte le nom d’utilitarisme [185, 186, 187] qui provient du mot « utilité » […]

 

Les eugénistes américains et la Cour Suprême des Etats-Unis sont d’accord avec la conception de l’utilitarisme.

 

Les eugénistes américains et les réformateurs sociaux ont adopté l’utilitarisme au début du 20ème siècle. [192, 193] Ces gens ont soutenu que le gouvernement avait le droit d’opérer des discriminations à l’encontre d’une minorité de citoyens, jugés génétiquement défectueux ou qui présenteraient une menace pour la santé et le bien-être de la société. En 1923, Oliver Wendall Holmes [194], juge à la Cour Suprême des Etats-Unis a donné le feu vert à l’état de Virginie pour stériliser de force une jeune femme, Carrie Buck parce que les médecins l’avaient jugée mentalement retardée comme c’était le cas de sa fille et de sa mère. Froidement Holmes a proclamé : « Trois générations d’imbéciles suffisent » et a ajouté : « le principe qui est à la base des vaccinations obligatoires est suffisamment large pour couvrir la résection des trompes de Fallope/ la Stérilisation. » [195] Il s’est ultérieurement avéré que Carrie Buck n’était pas du tout retardée mentale, ni sa mère, ni sa fille. [196]

Le principe qui est à la base des vaccinations obligatoires est suffisamment large pour couvrir la résection des trompes de Fallope.

Le principe qui est à la base des vaccinations obligatoires est suffisamment large pour couvrir la résection des trompes de Fallope.

L’utilitarisme pseudo-éthique dans sa forme la plus extrême

 

Les médecins et les responsables de la Santé publique du Troisième Reich ont mis en œuvre l’utilitarisme dans sa forme la plus extrême pour justifier la réalisation d’expériences scientifiques horribles sur des personnes en captivité. [197, 198] Après la seconde guerre mondiale, les juges du tribunal de Nuremberg ont déclaré que l’utilitarisme relevait d’une pseudo-éthique. Ils ont promulgué le Code de Nuremberg décrivant le principe du consentement éclairé [199, 200] qui a, depuis lors, guidé la recherche et les pratiques médicales éthiques. [201, 202, 203]

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Les lois sur les vaccinations obligatoires sacrifient les personnes génétiquement vulnérables

 

L’Institut de médecine a confirmé que certains individus présentent des facteurs de risque génétique inconnus qui les rendent plus vulnérables aux complications vaccinales qui peuvent parfois conduire à la mort. [204] Ce qui signifie que les lois sur les vaccinations obligatoires qui ne prévoient pas d’exemptions médicales et non médicales flexibles deviennent des lois utilitaristes qui, de facto, opèrent une sélection en sacrifiant les personnes génétiquement vulnérables [205]

 

L’Amérique va-t-elle vraiment marcher dans cette voie ? Allons-nous punir les citoyens pour les gènes avec lesquels ils sont nés au nom de la Santé publique ?

 

Allons-nous continuer à avancer sur cette pente glissante de l’utilitarisme et continuer d’ignorer les importantes questions éthiques et juridiques qui se posent ? Qui va décider de ce qui protège la Santé publique ? Quels sont les individus qui devront être sacrifiés ? Demander combien de personnes seraient sacrifiées, n’est-ce pas déjà une question superflue ?

 

L’industrie et le gouvernement ne financent pas une science correcte qui s’occuperait vraiment de la sécurité des vaccins

 

L’industrie [206] et le gouvernement ont refusé de financer une bonne science qui permettrait de mieux comprendre les mécanismes biologiques des dommages et des décès dus aux vaccins. Ils ont aussi refusé d’évaluer les différences importantes de santé des vaccinés par rapport aux non vaccinés.[207]. Ils ont aussi refusé de voir si l’utilisation accrue des vaccins au cours des 20 dernières années était ou non un cofacteur majeur intervenant dans les maladies chroniques et l’épidémie de handicaps qui accable le pays.

 

Quand un enfant sur 6 reçoit le diagnostic de « troubles de l’apprentissage » [208] quand 1 enfant sur 9 est atteint d’asthme [209, 2010], quand 1 enfant sur 50 est autiste [211], quand 1 enfant sur 400 est diabétique [212, 213] et que des millions d’Américains souffrent de cancers, de troubles du système immunitaire et de troubles cérébraux qui, pour leur traitement coûtent au pays 3 trillons de dollars par an [214, 215, 216, 217] n’est-il pas grand temps que le gouvernement puisse expliquer aux contribuables pourquoi la science qui traite de la sécurité des vaccins ne devrait pas figurer au programme de recherche scientifique du pays ?

 

Peut-être qu’ils savent déjà qu’ils n’ont pas à le faire parce qu’ils ont déjà fait passer des lois pour traquer et vacciner tous les enfants et les adultes en Amérique.

 

Le fait d’éliminer les exemptions non médicales de vaccins pourra garantir que toute évaluation scientifique des états de santé des gens vaccinés par rapport aux personnes non vaccinées en Amérique ne sera jamais réalisée.

 

Le futur est entre nos mains.

 

Le futur de la santé et de la liberté en Amérique est dans nos mains. Il est dans vos mains.

 

C’est votre santé, votre famille, votre choix !

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?

Source: Health Impact News (cf l'article original pour consulter une ou plusieurs des 217 références bibliographiques. )

 

L'Europe suivra-t-elle ce harcèlement et cette dictature affligeants? Tout dépendra de la détermination et de la vigilance citoyennes. Voici les résultats enthousiasmants d'un sondage récent:

La guerre idéologique des vaccinalistes aux Etats-Unis: êtes-vous prêts à la vivre ici?
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