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28 avril 2014 1 28 /04 /avril /2014 17:38

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En septembre 2012, nous publiions déjà un article sur le futur vaccin contre la dengue de Sanofi.

 

La dengue est une maladie qui se transmet par les moustiques et qui guérit spontanément dans la majorité des cas après une semaine. Il existe cependant des formes hémorragiques rares avec syndrome de choc sévère pouvant entraîner la mort.


A l'époque, en 2012, les articles de presse insistaient notamment sur le fait que ce futur vaccin n'avait pas d'efficacité sur une des 4 variantes existantes du virus de la dengue et que cela risquait d'amener des problèmes, des résistances futures.

 

Même le site Global Vaccines qui est pourtant un site à la gloire des vaccins, faisait alors cet avertissement limpide: « Il y a une compréhension limitée de la façon dont le virus interagit avec le système immunitaire et du fait qu’une immunité préexistante pourrait exacerber la maladie. Par conséquent, un vaccin sûr et efficace contre la Dengue devra être tétravalent et induire une solide protection à vie contre les 4 souches simultanément, de façon à ne pas sensibiliser les vaccinés à une maladie encore plus sévère. »

 

Nous nous doutions déjà à l'époque, au sein d'Initiative Citoyenne, qu'il ne serait tenu aucun compte de ce type de risque car la firme et les actionnaires seraient fort pressés de rentabiliser au plus tôt les investissements déjà réalisés pour le développement de ce vaccin. Et il semble hélas que vous avions vu juste en découvrant ce que des médias comme BFM TV ou Lyonmag viennent de publier à ce sujet...

 

Sanofi va créer le premier vaccin contre la dengue

 

 28-04-2014

 

Sanofi Pasteur, la division vaccins basée à Lyon du groupe pharmaceutique Sanofi, a annoncé ce lundi les résultats positifs de sa série de tests d'efficacité d'un vaccin contre la dengue. 

 

C'est au terme d'une étude menée auprès de plus de 10 000 volontaires en Asie que le laboratoire a obtenu une réduction significative de 56% des cas de cette fièvre. Une autre étude va bientôt être menée auprès de 20 000 volontaires d'Amérique du Sud. 

Le laboratoire Sanofi Pasteur mène des recherches pour guérir la dengue depuis vingt ans "Notre objectif est de faire de la dengue la prochaine maladie évitable grâce à la vaccination, a déclaré Olivier Charmeil, PDG de Sanofi Pasteur, dans un communiqué, et ainsi de soutenir l'ambition de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de réduire de 50% la mortalité de la dengue et de 25% sa morbidité d'ici 2020." Le docteur Capeding, investigateur principal de l'étude clinique, Institut de recherche de médecine tropicale des Philippines, ajoute :"C'est la première fois qu'un vaccin contre la dengue franchit avec succès le cap d'une étude d'efficacité de phase III. Ces résultats cliniques significatifs, associés au bon profil de sécurité du vaccin, apportent un réel espoir à plus de 100 millions de personnes affectées chaque année par la dengue." 


La commercialisation du vaccin pourrait être lancée dès 2015. Actuellement, la dengue représente une menace pour près de la moitié de la population mondiale. Il n'existe aucun traitement spécifique pour la soigner. 500 000 personnes (dont des enfants), sont atteintes chaque année de fièvre hémorragique, qui est la forme la plus sévère de la dengue. La maladie est souvent identifiée trop tard en raison de trop nombreux symptômes : fièvre hémorragiques, vomissements, etc.

 

Sources : Lyonmag et BFMTV

 

Non seulement cette vaccination va donc plus que probablement s’avérer DANGEREUSE à court, moyen ou long terme en risquant d’augmenter considérablement le risque de complication GRAVE de la dengue par un phénomène de résistance et de compensation de la souche sur laquelle ce vaccin n’a AUCUNE efficacité mais en plus, il y a un risque absolument non négligeable et bien connu des « experts » de l’OMS de recombinaison explosive de plusieurs virus vaccinaux entre eux sur lesquels on n’aura alors plus aucun contrôle. Car il se trouve en effet qu’un nouveau vaccin contre l’encéphalite japonaise a récemment émergé (le vaccin Imojev). Il s’agit d’un vaccin-chimère fabriqué en mélangeant le virus vivant atténué de la fièvre jaune avec le virus vivant atténué de l’encéphalite japonaise, deux virus qui se transmettent par les moustiques bien que la zone géographique naturelle de la fièvre jaune dans le monde ne corresponde pas à celle où sévit l’encéphalite japonaise (l’encéphalite japonaise concerne l’Asie alors que la fièvre jaune concerne surtout l’Afrique et dans une moindre mesure l’Amérique du Sud). Les experts de l’OMS prédisent eux-mêmes que cette vaccination-chimère pourrait donner lieu à des surprises en termes d’évolution du virus vaccinal « mixé » et cela d’autant plus si le vaccin contre la dengue de Sanofi venait à être largement utilisé car il s’agit aussi d’un vaccin à virus vivant, pouvant donc donner lieu à une recombinaison explosive de 3 virus qui ont tous les trois le moustique comme vecteur commun.

 

Reprenons, car c’est extrêmement important, les propos des experts de l’OMS sur ce risque concret mais honteusement négligé ce qui est littéralement criminel et irresponsable pour l’ENTIERETE des citoyens du monde (et pas uniquement pour les 500 000 personnes touchées par des formes graves dans le monde, auxquelles la société devrait proposer d’autres approches innovantes et surtout moins dangereuses en développant toutes les méthodes prophylactiques et thérapeutiques possibles en lieu et place de monopoles pharmaceutiques dominants comme le dogme du vaccin) :

 

Vaccin chimère contre l'encéphalite japonaise

 

Il s'agit d'un vaccin vivant, produit par recombinaison ciblée de virus de la fièvre jaune atténué (virus 17D utilisé comme vaccin anti-amaril) et de virus de l'encéphalite japonaise également atténué (souche SA-14-14-2). Au cours des essais pré-homologation, le vaccin s'est montré immunogène, y compris lorsqu'il a été administré en même temps que le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR), et bien toléré, particulièrement chez l'adulte (les effets indésirables ont été moins fréquents qu'avec un vaccin plus ancien préparé sur cerveau de souriceau). Depuis, ce nouveau vaccin a été homologué en Australie, en Malaisie, aux Philippines et en Thaïlande, où il est disponible sous le nom d'Imojev®. Environ 49.000 doses ont à présent été utilisées, mais ce nombre est encore insuffisant pour permettre d'identifier les événements indésirables rares dont le vaccin pourrait être responsable. Il est également trop tôt pour savoir si un vaccin de ce type ne présentera pas un risque dans l'environnement, et le GACVS a exprimé son souhait d'être informé sur ce sujet. En effet, le virus artificiel qui a été créé pourrait évoluer de façon inattendue s'il trouvait à infecter des hôtes nombreux et variés, par exemple en se recombinant.

 

La probabilité d'un tel événement est considérée comme faible, puisque le virus provoque une virémie très brève chez l'homme et qu'il n'est pas capable d'infecter efficacement les moustiques. Son utilisation à grande échelle pourrait toutefois créer des opportunités, et la surveillance des événements indésirables post-vaccinaux est donc nécessaire. Ce risque de voir émerger des virus pathogènes à partir de vaccins se trouverait toutefois accru si d'autres vaccins à très large diffusion conçus sur le modèle de l'Imojev®, tel le candidat vaccin contre la dengue de Sanofi, venaient également à être utilisés (NDR).

 

Le site Global Vaccines, déjà mentionné plus haut, indiquait que le vaccin devrait être efficace contre 4 souches et être efficace à vie. Une fois encore, rien ne dit que ce vaccin-ci de Sanofi sera efficace à vie et on voit mal comment il pourrait l'être quand on sait qu'AUCUN vaccin n'est démontré efficace "à vie". D'ailleurs, c'est bien simple, même les fabricants de vaccins avouent que la production d'anticorps est le paramètre évalué dans les essais cliniques pour être ensuite extrapolé à une efficacité en situation réelle, alors qu'ils avouent cependant qu'il n'y a PAS de corrélation entre le taux d'anticorps et le degré de protection effective dans la réalité! On nage vraiment en plein délire parce que comme le site de Global Vaccines le rappelait, il n'y a même pas une connaissance suffisante des mécanismes immunitaires exacts en cas d'infection naturelle par le virus de la dengue! Par conséquent, aller jouer aux apprentis-sorciers en concevant des vaccins déclarés après coup "bien tolérés" ne peut que constituer une blague tragique. Le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi et également consultant pour l'OMS l'a avoué: ils ne comprennent pas comment marchent les vaccins et si on veut à l'avenir développer de nouveaux vaccins, il faudra D'ABORD commencer par étudier le système immunitaire! Mais à part ça, on va encore rajouter un vaccin de plus dans un système immunitaire ultra-complexe dont on ne connaît pas les rouages exacts. Qui donc irait jeter des cailloux ou du sucre dans le réservoir à essence d'une auto sans en connaître les effets? Avec les vaccins, on fait bien pire, sauf que le prix à payer est nettement plus élevé et irréversible car l'on ne pourrait se racheter un nouveau système immunitaire si on a bousillé le sien avec des vaccins hasardeux.

 

Un mot enfin sur la méthodologie des essais cliniques: outre qu'on peut s'interroger sur la nature exacte du consentement informé des "volontaires" ayant participé aux essais cliniques, une publication médicale attire fortement l'attention sur les dessous des évaluations de sécurité d'un tel vaccin. Il y a dans cette publication plusieurs données accablantes:

 

- Evaluation des effets sur 28 jours seulement.

 

- Seulement 66 personnes incluses réparties en 2 groupes dont le groupe 1 qui a reçu 3 doses de ce vaccin et le groupe 2 dans lequel les participants reçoivent 2 doses de vaccin et une injection de solution saline au temps T0. Et comme par hasard, c'est dans le groupe 1 (dont les participants ont donc reçu le plus grand nombre de doses) qu'on retrouve tous les effets graves: 5 tout de même mais tous sont, là aussi, comme par hasard, estimés sans aucun lien avec le vaccin alors qu'il y a tout de même eu 2 attaques ischémiques FATALES (ce qui rejoint pourtant ce que des chercheurs avaient déjà soupçonné en 2012,  à savoir un lien entre accident vasculaire cérébral et vaccins.)

 

- Il y a aussi eu 3 interruptions  de participants dans le groupe 1 après la première dose et 14 autres interruptions (7 dans chacun des deux groupes) entre la deuxième et la troisième dose soit 17 abandons sur 66 personnes, ce qui équivaut à un taux d'abandon de plus de 25% ! Autant de signaux qui montrent que ces vaccins sont loin de pouvoir être déclarés sûrs ou « bien tolérés » !! Il risque donc d'y avoir de sales surprises à court, moyen ou long terme pour ces 20 000 cobayes humains et même pour tous les dizaines de milliers d'autres qui recevront ce produit une fois officiellement mis sur le marché. Des essais effectués sur 66 personnes peuvent indiquer des dangers (et ils l'ont fait ici mais Sanofi a, à chaque fois, déclaré qu'aucun des effets graves n'était lié à son candidat vaccin!) mais à contrario, des essais qui n'indiqueraient rien de préjudiciable ne seraient pas pour autant une preuve de sécurité ni une permission d'extrapoler d'une façon scientifiquement valide ce genre de conclusion hâtive à toute une population générale, où des effets très graves mais statistiquement plus rares peuvent se manifester.

 

 

Voir aussi: Futur vaccin contre la Dengue: grand espoir ou grosse désillusion en perspective?

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

Dr Jean-François Saluzzo (de Sanofi): "On ne comprend pas comment marchent les vaccins"

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23 avril 2014 3 23 /04 /avril /2014 20:39

Soi-disant pour "redonner confiance" dans la vaccination, l'OMS nous offre une Semaine désormais Mondiale de la Vaccination. Un évènement qui n'a plus rien d'un "évènement" (vu la propagande vaccinale tout au long de l'année) et qui soulève bien des questions, avec une  presse peu objective qui n'ose rien révéler des informations-clés.

 

Consulter notre dossier de presse sur la Semaine Mondiale de la Vaccination 2014

 

Ci-dessous, les résultats d'un sondage intéressant sur plus de 80 000 personnes qui montrent que si 1 personne sur 2 fait encore confiance aux vaccins, 1 personne sur 2 n'a plus confiance, des chiffres donc bien différents de ce que la RTBF prétend (selon lesquels seuls 2% des gens seraient opposés aux vaccins).

 

02---23-avril-09h05.jpgSondage effectué le mercredi 23 avril 2014

 

+ d'infos et de preuves sur cette presse qui vous désinforme

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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 21:45

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La propagande et le lobbying ont dû être énormes pour expliquer ce revirement du comité britannique des vaccinations (JCVI) en faveur du vaccin contre le méningocoque B de Novartis. Après seulement une année, ce Comité tire à présent de son chapeau des soi-disant preuves d'efficacité et de rentabilité d'une telle vaccination. Et comme d'habitude, pas un mot sur les risques graves du Bexsero. Retenez bien ce nom car hélas, il est incontestable que nous entendrons sous peu parler de graves effets secondaires liés à cette Xième vaccination !

 

L'article qui suit est diffusé par le site vaccinaliste Mesvaccins.net. Il en dit vraiment long sur le baratin des Etats et leur collusion avec les fabricants qui attendent évidemment que les autorités les aident à écouler leurs produits après avoir investi en recherche et développement.... Dans l'encadré final, nous rappelerons quelques vérités essentielles aux parents pour opérer un consentement réellement éclairé !

 

Le Royaume-Uni recommande la vaccination de tous les nourrissons contre le méningocoque B - 30/03/2014

Le JCVI (Joint Committee on Vaccination and Immunisation, équivalent au Royaume-Uni du comité technique des vaccinations en France) vient de recommander la vaccination de tous les enfants contre la méningite B à l'aide d'un nouveau vaccin, le Bexsero. Cet article fait le point sur cette recommandation. 

 

1. Infections graves à méningocoques : méningites et septicémies

Le méningocoque (nom d'espèce : Neisseria meningitidis) est une bactérie présente dans la gorge de certaines personnes appelées "porteurs du méningocoque". Le méningocoque se transmet directement par voie aérienne par l'intermédiaire de gouttelettes de salive, d'un porteur à une autre personne. Dans les jours qui suivent son installation dans la gorge, le méningocoque peut traverser la muqueuse et atteindre la circulation sanguine, pouvant alors entraîner une infection dite invasive, c'est-à-dire une méningite ou une septicémie. Ces infections peuvent conduire au décès du malade. Le purpura fulminans est une forme particulièrement redoutable de septicémie, qui se traduit par des plaques hémorragiques cutanées et un choc septique foudroyant mortel une fois sur trois.

Il existe plusieurs sérogroupes, parmi lesquels les cinq suivants ont une importance particulière : A, B, C, W et Y. Les sérogroupes en cause peuvent être très différents d'une région du monde à l'autre.

Le Royaume-Uni est l'un des pays d'Europe de l'Ouest où la fréquence des infections invasives à méningocoque est la plus élevée. La vaccination de tous les enfants contre le méningocoque C y a été un succès, puisqu'elle a été suivie d'une chute spectaculaire du nombre de cas de méningite ou de septicémie dus à ce sérogroupe. Malgré une réduction du taux d'incidence des infections invasives à méningoque B de 50 % au cours de la dernière décennie, le taux d'incidence annuel pour 100.000 nourrissons âgés de moins d'un an est d'environ 25 cas confirmés. Actuellement, le méningocoque B est responsable de la grande majorité (environ 80 %) des infections graves à méningocoque dans ce pays. Le nombre de cas confirmés d'infection invasive à méningocoque B a varié de 600 à 1.000 au cours de ces dernières années. Par comparaison, en France, l'incidence de la maladie est nettement moins élevée puisque 366 cas d'infections invasives à méningocoque B ont été déclarés en 2012, pour une population générale de taille équivalente.

2. Vaccination contre les infections invasives à méningoque

Il existe des vaccins monovalents contre le méningocoque C et quadrivalents contre les méningocoques A, C, Y et W. Tous ces vaccins utilisent comme antigène la capsule de la bactérie, qui est un facteur de virulence. Cependant, cette approche n'est pas possible avec le méningocoque B. En effet, les anticorps dirigés contre la capsule des souches appartenant à ce sérogroupe ont une activité croisée contre le tissu nerveux du fœtus humain. Si rien n'indique que cette réaction est néfaste, elle rend la capsule non immunogène.

Le vaccin contre le méningocoque B Bexsero est un nouveau vaccin comportant 4 antigènes vaccinaux majeurs du méningocoque B. Chacun de ces antigènes, qui ne proviennent pas de la capsule, est capable isolément d'induire des anticorps bactéricides et donc efficaces pour lutter contre les méningocoques. Pour trois d'entre eux (NadA, NHBA et fHbp) il s'agit d'une protéine recombinante, c'est-à-dire fabriquée par génie génétique. Le quatrième antigène correspond à des vésicules de membrane externe (en anglais OMV, pour Outer membrane vesicles), déjà utilisées avec succès pour fabriquer des vaccins capables de protéger contre certaines souches de méningocoque B (vaccin MenBvac notamment). Le vaccin Bexsero a obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne en janvier 2013.

3. Vaccin Bexsero contre la méningite B : les nouvelles recommandations au Royaume-Uni

L'année dernière, le JCVI anglais n'avait pas recommandé la vaccination des enfants ou des adolescents par le Bexsero, car les données alors disponibles n'étaient pas en faveur d'un rapport coût-efficacité favorable. De plus, l'efficacité du vaccin pour empêcher le portage du méningocoque B (et donc sa transmission de personne à personne) n'était pas prouvée.

En 2014, l'évaluation médico-économique a été fondée sur l'analyse de plusieurs scénarios, prenant en compte la couverture des souches contre lesquelles le vaccin devrait être efficace (de 66 % à 88 %), l'efficacité vaccinale (95 %), la durée de la protection (18 mois après la primovaccination et 36 mois après la rappel), l'efficacité contre le portage du méningocoque (0 à 30 %) et le prix du vaccin. Les décisions suivantes ont été prises. 

3.1.  Vaccination de tous les nourrissons avec un schéma vaccinal 2 + 1 (2 mois, 4 mois et 12 mois)

En effet, des études ont montré que ce schéma entrainait une réponse immunologique peu différente de celle obtenue par le schéma décrit dans le résumé des caractéristiques du produit, à savoir un schéma 3 + 1 (3 doses à un mois d'intervalle suivies d'un rappel entre 12 et 23 mois). Le vaccin Bexsero sera administré de manière simultanée avec les autres vaccins pédiatriques (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, Haemophilus influenzae type b et pneumocoque). Le calendrier vaccinal du Royaume-Uni peut être visualisé de manière interactive avec le vaccine scheduler, un outil réalisé par MesVaccins.net pour le Centre européen de contrôle des maladies (ECDC, European centre for Disease Prevention and Control).

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Concernant la sécurité d'emploi du vaccin Bexsero, il a été montré au cours des essais cliniques une augmentation de la fièvre chez les nourrissons lorsque ce vaccin était administré simultanément aux autres vaccins pédiatriques. Cependant, l'administration prophylactique de paracétamol permet de réduire le risque de fièvre sans pour autant diminuer la réponse immunitaire (rapport de l'agence européenne des médicaments). C'est pourquoi le JCVI recommande d'administrer systématiquement du paracétamol juste après la vaccination par Bexsero aux nourrissons.

 

Le vaccin Bexsero réduit probablement le portage (et donc la transmission de personne à personne) du méningocoque B, mais il est difficile d'évaluer l'importance de cette réduction et de prédire son impact si l'on vaccinait une proportion importante de la population.

En raison de l'efficacité attendue du vaccin Bexsero contre les autres sérogroupes du méningocoque, notamment le sérogroupe C, il est proposé de supprimer à terme la dose vaccinale contre le méningocoque C réalisée à l'âge de 3 mois. En effet, le vaccin Bexsero confère une certaine protection contre les autres sérogroupes de méningocoque, y compris le méningocoque C.

3.2. La vaccination contre le méningocoque B des adolescents n'est pas recommandée

Le JCVI a estimé qu'il y avait encore trop d'incertitudes sur l'efficacité vaccinale et sur l'immunité de groupe conférée par le vaccin Bexsero pour proposer la vaccination à tous les adolescents. Par contre, une enquête devrait être réalisée pour déterminer l'impact de la vaccination sur le portage du méningocoque B dans cette tranche d'âge.

Ce nouveau calendrier vaccinal sera évalué dans les deux ans à venir. Nul doute que les autres pays européens suivront attentivement les résultats et l'impact de ces nouvelles recommandations pour définir leur propre politique vaccinale. 

4. Etat des recommandations de vaccination contre la méningite B en France

Pour l'instant en France, où l'incidence des infections invasives à méningocoque B est moins élevée qu'au Royaume-Uni, la vaccination contre le méningocoque B est recommandée uniquement chez les personnes présentant un risque élevé d'infection grave, ou devant la survenue de cas groupés reliés à un clone identique. C'est ainsi qu'une campagne de vaccination contre la méningite B est en cours en Seine-Maritime, dans la Somme et dans certains cantons des Pyrénées-Atlantiques. Des cas groupés d'infections invasives à méningoqque sont récemment survenus à Nice (trois cas dont deux décès), mais les souches en cause appartenaient à des clones différents.   

Des associations de citoyens et de familles confrontées à la méningite se sont réunies sous la bannière Ensemble contre la méningite et demandent le remboursement du vaccin Bexsero.

Source : Joint Committee on Vaccination and Immunisation.

Lien:https://www.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/2...

 

On voit mal comment il pourrait y avoir tellement plus de preuves en un an sur le bienfondé de cette vaccination. Tout est formulé sous formes de doutes et d’hypothèses, « le vaccin devrait être efficace », « la protection attendue » etc…L’efficacité sur le portage de la bactérie n’est absolument pas avérée.

 

On remarquera que ce comité britannique des vaccinations, le JCVI, n’a pas osé ajouter une vaccination supplémentaire aux ados qui peuvent refuser (contrairement aux malheureux nourrissons qui n’ont aucun mot à dire sur ces questions et n’ont surtout aucune chance de se renseigner sur internet !) et qui sont déjà bien échaudés avec le véritable désastre des vaccins HPV (Gardasil et Cervarix) qui ne peut désormais plus être nié par quiconque.

 

L’évaluation sera faite d’ici deux ans mais fort malheureusement, des milliers d’enfants anglais vont entretemps servir de cobayes et leurs parents recevront des informations simplistes et biaisées sur la fréquence et la nature réelles des effets secondaires graves. Que les choses soient claires pour tous : le Bexsero n’a PAS été comparé dans les essais cliniques à un véritable groupe neutre (soit un groupe qui ne recevrait aucune substance toxique pour avoir une comparaison fiable sur la tolérance du vaccin) mais comme toujours à des enfants ayant reçu d’autres vaccins, eux aussi pourvoyeurs d’effets secondaires ! En outre, ces effets secondaires n’ont été évalués que sur 6427 enfants et adolescents et encore, parmi ces enfants, certains n’avaient reçu qu’une seule dose ! Pour ce qui est des bébés et des jeunes enfants, seuls 4843 ont reçu le vaccin Bexsero et seuls 1630 ont reçu une dose de rappel dans leur deuxième année de vie. C’est donc dire si les effets secondaires plus graves et survenant par exemple toutes les 4000 vaccinations ou toutes les 10 000 doses n’ont pas pu être évalués. Inclure par conséquent la totalité des nourrissons va une fois encore consister en une grande expérimentation humaine parfaitement illégale et immorale.

 

Le vaccin Bexsero est fabriqué par génie génétique, c’est donc un vaccin contenant des protéines transgéniques dont vous n’auriez guère envie de nourrir votre enfant, alors pensez donc, en ce qui concerne une injection musculaire profonde, une de plus, ce qui fera déjà trois doses à administrer dans ses pauvres cuisses lors d’une même consultation dès ses 2 mois d’âge !! L’OMS elle-même, dans son rapport N°747 de 1987, faisait déjà état d’une « inquiétude » concernant le risque de malignité associé à des produits fabriqués par génie génétique, à fortiori si on les administre si tôt dans la vie !

 

Pour mieux vous faire peur, on rappelle que l’incidence de cette méningite-là est de 25 sur 100 000 soit 1 sur 4000. Sauf que d’une part cette incidence avait déjà baissé spontanément sans vaccin de 50% ces dernières années mais qu’en plus, quand bien même le vaccin permettrait d’éviter à un enfant sur 4000 cette méningite de type B, il sera parfaitement inutile dans 3999 cas sur 4000 et il n’est absolument pas évident ni prouvé que le vaccin n’entraînera pas au moins et même sans doute beaucoup plus qu’un effet secondaire grave sur 4000 enfants vaccinés ! Bien au contraire, les données relatives au vaccin contre la méningite C indiquent des risques neurologiques GRAVES cent fois plus élevés que la probabilité statistique de faire une méningite C naturelle.

 

Pour mieux noyer le poisson, on est encore ici dans le « cache-symptôme » en recommandant de donner aux enfants des médicaments contre la fièvre : d’un côté donc on réclame au corps une réaction en court-circuitant violemment les voies d’entrées naturellement prévues des microbes dans l’organisme et cela sur un système immunitaire encore largement immature mais en plus, on étouffe ses réactions immunes logiques et on s’étonnera encore que cela contribue à la hausse des cas d’autismes et autres phénomènes débilitants sur la santé des jeunes ! D’autant que des études indiquent que le paracétamol augmenterait le risque d’autisme chez les enfants en bas-âge (mais il est possible que ceci ne soit qu’un biais découlant du fait que les vaccins entraînant l’autisme, on confonde cette cause-là avec une autre cause qui découle de l’usage d’un médicament qu’on donne à quasi tous les enfants vaccinés).

   

Les informations à l’eau de rose en matière de vaccination s’avèrent toujours et les données les plus cruciales ne sont dans l’immense majorité des cas jamais lues à temps par les parents. Par exemple, le fait que des documents confidentiels déclassifiés aient prouvé noir sur blanc les mensonges éhontés et autres dissimulations répétées sur les risques des vaccins de ce comité britannique JCVI pendant plus de 30 ans ! Ou encore, le rappel des stratégies sous-jacentes habituelles qui se jouent pour en arriver à parler d’une association de parents et de victimes qui demandent le remboursement du vaccin (fameusement poussée dans le dos et généreusement soutenue par le fabricant qui SAIT que sans remboursement gouvernemental, le vaccin sera d’emblée un flop !)

   

Et après, on lit que les autres pays vont suivre attentivement la situation britannique ? Ne l’oublions pas, cela fait partie des objectifs avoués de l’OMS de faire en sorte qu’une majorité d’Etats-membres (= TOUS les Etats du Monde) aient adopté un nouveau vaccin dans les 5 ans de sa sortie. La priorité n’est pas la santé publique mais la santé des vaccins et d’un secteur. Il y a toute une idéologie évidente derrière cela. A vous de voir si vous voulez que votre enfant ne soit qu’un chiffre et fasse partie du sinistre calcul prévisionnel de retour sur investissement des fabricants !

 


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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 20:10

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Plusieurs personnes nous ont demandé s'il était normal qu'un média - particulièrement docile- comme la RTBF (et Vivacité, tout cela fait partie du même ensemble) diffuse de façon aussi répétitive une telle propagande en faveur de la vaccination contre la coqueluche, préconisée même aux femmes enceintes !

 

Le message tourne en boucle, à la télé, à la radio. Un message simpliste qui vise à faire peur pour pousser à accepter le vaccin. Problème: la stratégie vaccinale préconisée - et qui fait sourire les pharmas de plaisir- a été démontrée INEFFICACE depuis 2012 par une étude canadienne de grande ampleur, menée par des chercheurs de l'Université de Laval au Québec. Pour ceux-ci, la vaccination des parents, ados et adultes n'est PAS la solution à la recrudescence des cas de coqueluche chez les plus jeunes enfants.

 

Face à ce torrent d'inepties que vous déversent actuellement les médias sur cette vaccination anti-coquelucheuse, Initiative Citoyenne a décidé de vous concocter cet article-synthèse pour tout savoir sur le prétendu bienfondé de cette vaccination et vous permettre ainsi de vous faire une opinion par vous-mêmes (cf. encadré final qui vous fera gagner beaucoup de temps de recherche). Car il se fait qu'en Belgique, il n'existe absolument AUCUNE possibilité d'indemnisation des victimes de vaccins (enfants comme adultes), en dépit du fait que cet acte médical peut se solder par des morts subites, des encéphalopathies avec séquelles graves, des épilepsies, des apnées, des cas d'asthme chronique et grave, des diabètes, des fibromyalgies, des syndromes de fatigue chronique, des cas de myofasciite à macrophages avec incapacités définitives de travail etc. etc.

 

En fait, avant la vaccination généralisée, la coqueluche, maladie certes inconfortable, survenait très majoritairement chez des enfants d'âge primaire qui n'aboutissaient ainsi pas à l'hôpital et qui n'avaient pas plus de risque de décès. Il y avait des dizaines de milliers de cas chaque année (et donc nettement plus que les ridicules 409 cas survenus l'année passée en Wallonie) mais ceux-ci n'étaient absolument pas un risque de santé publique. La Nature faisant bien les choses, la maladie se développait statistiquement dans la tranche d'âge la plus sécurisée pour les enfants atteints, c'est à dire quasi tous.

 

Avec la vaccination, on a troqué une immunité naturelle plus forte et plus durable contre une immunité médiocre et nettement plus éphémère ce qui a eu pour conséquence de donner lieu à un déplacement d'âge de survenue de la maladie: les adolescents, les jeunes adultes et les mères n'ont plus de protection naturelle efficace et deviennent, de par leurs nombreuses vaccinations, une source de contamination des plus fragiles (les plus jeunes). Pas étonnant dès lors que vacciner de plus belle les aînés ne résolve absolument rien, les mêmes causes produisant les mêmes effets. Mais voilà, il y a un dogme en matière de vaccins. Des générations entières de médecins ont subi un véritable lavage de cerveau pendant toutes leurs études, on ne leur a jamais parlé que de ça. C'est devenu un réflexe pavlovien et il ne faut dès lors pas s'attendre à une analyse très fine ou élaborée de leur part. Ceux-ci vous resserviront donc pour la plupart les consignes venues d'en haut sur base d'arguments fallacieux et comme d'habitude inconsistants. D'autant que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, les vaccins sont un réel business pour les médecins: l'acte vaccinal représente 12,6% des revenus annuels des généralistes en moyenne et 33% des revenus annuels des pédiatres (et encore on ne compte donc pas dans ces chiffres les nouvelles consultations pour effets secondaires. Selon un rapport conjoint ONE/Provac de 2009, 5% des enfants au moins doivent consulter pour effets secondaires endéans les 48 heures qui suivent une vaccination donc combien endéans la semaine, les deux semaines, le mois?)

 

Effrayer la population parce que 409 cas de coqueluche sont survenus en Wallonie l'an passé est tout à fait indigne du rôle d'évaluation censé être opéré par un média pour éviter de banaliser les vraies alarmes et les mettre sur le même pied que les fausses. Dire que 81% des enfants atteints ont dû être hospitalisés ne donne pas non plus leur nombre en valeur absolue, cela consiste tout au plus à rappeler que les politiques effrénées de vaccination ont rendu proportionnellement les nouveau-nés plus vulnérables qu'avant en dépit de leur vaccination (50 % ont reçu une vaccination contre la coqueluche). Par ailleurs, on ne donne non plus aucun point de comparaison avec le nombre d'enfants qui sont hospitalisés chaque année ou qui décèdent suite aux effets secondaires des vaccins (et ceci que les parents aient pensé ou non à faire le lien!). Par conséquent, si on compare ces 409 cas de coqueluche qui ne laisseront pas de séquelles aux centaines de cas graves (adultes et enfants) avec séquelles qui sont causés chaque année par les vaccins, on se dit que la balance bénéfices/risques prétendument positive des vaccins relève bien davantage de l'idéologie que de la Science ou du bon sens!

 

Ces chiffres de 409 cas sont tirés d'un rapport de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui s'est déjà rendu coupable de PUBLICITE VACCINALE TROMPEUSE, "de nature à induire le consommateur en erreur" selon les termes de la décision du Jury d'Ethique Publicitaire car elle taisait complètement les risques graves tout en présentant l'efficacité et la nécessité de la vaccination de façon trop absolue. Comment dès lors accorder encore la moindre crédibilité à ce genre d'instance dans un domaine aussi important que la santé humaine??

 

Si vous souhaitez une information générale sur l'efficacité et les revers du vaccin contre la coqueluche (Boostrix ou autre) :

 

- Coqueluche: l'échec cuisant de la vaccination cocoon

 

- Coqueluche, l’obsession de la vaccination « cocoon »

  

- Coqueluche : l’efficacité ultra-limitée du vaccin 

 

- La moitié des cas de coqueluche surviennent chez des sujets vaccinés 

 

- Coqueluche: la vérité en face (et le vaccin à sa place) 

 

- Coqueluche : culpabiliser pour mieux vacciner

 

- Coqueluche : la vérité sur le vaccin émerge enfin

 

- Le vaccin contre la coqueluche ne fonctionne pas – GSK déclare « Nous n’avons jamais pris la peine de vérifier »

 

- Coqueluche : propagande et désinformation vaccinales de la RTBF

 

- Coqueluche: le faux dilemme entre les deux vaccins au secours du business des pharmas

 

- La coqueluche déjoue le vaccin (mais la vieille garde continue d’y croire)

 

- Coqueluche : grosse baisse d’efficacité du vaccin après la 5° dose

 

- Les vaccins échouent à protéger les bébés contre la coqueluche

 

- La vaccination anticoquelucheuse augmente la colonisation par la bactérie (proche) Bordetella.parapertussis

 

Si vous êtes enceinte ou qu’on a proposé à votre compagne de recevoir cette vaccination pendant sa grossesse (même au 3ème trimestre) :

 

- Un vaccin de plus recommandé… aux femmes enceintes !

 

- Mortalité fœtale : hausse de 4000% après la vaccination des femmes enceintes

 

- Vaccination des femmes enceintes : les officiels américains obligés d’avouer qu’ils ont menti

 

- Vaccination des femmes enceintes, inflammation et autisme

 

Si vous souhaitez connaître la composition du Boostrix (du moins pour les ingrédients déclarés car certains ne sont pas de déclaration obligatoire), reportez-vous à la page 62 de ce document-ci du Dr Jean Pilette.

 

Si vous souhaitez avoir une idée du potentiel cancérogène du formaldéhyde (= un des constituants du vaccin Boostrix contre tétanos-coqueluche-diphtérie- et des potentiels cancérogène et neurotoxique de l’aluminium (lui aussi inclus dans ce vaccin), visitez les liens suivants :

 

- Le formaldéhyde est un cancérigène certain

 

- L’aluminium vaccinal migre au cerveau sans plus jamais pouvoir en ressortir ; des parlementaires français ont demandé un moratoire sur son usage dans TOUS les vaccins.

 

- Des chercheurs en neurologie ont montré que l’aluminium détruit les cellules du cerveau chez la souris : implication plus que probable dans des maladies comme Alzheimer, Parkinson, Sclérose latérale amyotrophique (maladie de Charcot)

 

- L’aluminium est source de handicaps et source de cancers (reportage France 3)

 

- Les jeunes enfants dont la barrière hémato-encéphalique (= barrière sang-cerveau) est encore largement immature sont d’autant plus vulnérables à la toxicité neurologique de l’aluminium, que ce soit in utero ou après la naissance 

 

- Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

- Dr Jean-François Saluzzo (de Sanofi Pasteur): "on ne sait pas comment marchent les vaccins"

 

Si vous souhaitez avoir un exemple d’alternative (information non exhaustive) :

 

- Intérêt de la vitamine C dans les cas de coqueluche

 

- Vitamine C : extrêmement indiquée en cas de coqueluche (Expovaccins)

 

- Coqueluche et vitamine C : pourquoi c’est tabou (Expovaccins)

 

 

 

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15 février 2014 6 15 /02 /février /2014 22:00

ROTAVIRUS-ROTATEQ.jpg

Il faut croire que les pharmas ont dû beaucoup insister pour en arriver au remboursement des vaccins anti-rotavirus (= diarrhée du nourrisson) pour tous les enfants en France!

 

En Belgique, ces vaccins sont remboursés depuis juin 2006. En France, le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) avait jusque-là refusé en raison d'une part du risque connu d'invagination intestinale, un état grave, pouvant se solder par le décès du nourrisson et requérant toujours une opération chirurgicale lourde et à haut risque vital et d'autre part, parce que ces vaccins anti-rotavirus avaient aussi fait scandale en raison de leur contamination par des circovirus porcins.

 

Comme par "magie" et comme l'avait ardemment souhaité l'ex Ministre déchu Cahuzac, ces vaccins sont désormais recommandés à tous les nourrissons en France, ce qui creusera encore un peu plus le trou de la sécu, car l' "efficacité" de ces vaccins ne dépasse par 50 à 60% contre près de 100% pour ce qu'on appelle les "solutés de réhydratation orale". Ces solutés, qu'on trouve facilement en pharmacie coûtent seulement 6,2 euros pour 10 sachets contre 131 à 150 euros pour les 2 ou 3 doses de vaccins selon les marques!

 

Dans son livre "Faut-il faire vacciner son enfant?", la journaliste Virginie Belle nous rafraîchit la mémoire sur les risques statistiques d'invagination intestinale après cette vaccination. Elle rappelle les propres données du HCSP soit "un risque d'invagination intestinale multiplié par 6,7 dans la semaine qui suit la première dose de vaccin par rapport aux autres périodes post-vaccinales". Concrètement, et sur base des données françaises entre janvier 2007 et février 2010, l'incidence de l'invagination intestinale a été de 11,6 cas pour 100 000 enfants vaccinés avec le Rotarix de GSK et de 12,4 cas pour 100 000 enfants vaccinés avec le vaccin Rotateq de Merck.

 

Si on prend les chiffres des naissances annuelles en France, par exemple 792 000 enfants en 2012, et si 100% de ces enfants recevaient l'un de ces deux vaccins, on pourrait avoir plus de 90 cas d'invagination intestinale par an dus à cette vaccination (et là-dedans, combien de décès??). L'argument invoqué par les officiels est de prétendre que la vaccination pourrait réduire de 80% le chiffre traditionnellement affirmé de 18 000 hospitalisations annuelles d'enfants à cause de cette gastroentérite à rotavirus ainsi que d'éviter les décès (9 par an). Mais ces hospitalisations de sécurité servent surtout à réhydrater les enfants de façon à éviter les complications. Avec la vaccination, on va faire encourir des risques graves statistiquement supérieurs parce que les enfants vaccinés qui vont être hospitalisés devront passer par le bistouri au lieu d'une simple réhydratation sous surveillance médicale...

 

Les officiels affirment aussi sans aucune preuve solide que la présence de circovirus de porcs dans ces vaccins ne pose pas de problème de sécurité chez l'homme mais cette affirmation n'a aucun fondement scientifique dès lors que le recul de plusieurs années et même dizaines d'années fait défaut pour évaluer de façon comparative les conséquences potentielles entre des enfants vaccinés avec de tels vaccins contaminés par rapport à des enfants non vaccinés. Avec le virus simien cancérigène SV40 qui a pourtant contaminé des DIZAINES DE MILLIONS DE GENS via les vaccins polio dans les années '50 et '60 (et qu'on a retrouvé ensuite dans des tumeurs cancéreuses de diverses localisations comme cela fut publié dans de nombreux articles médicaux), le public avait déjà eu droit au même discours fumeux et faussement rassurant. Il serait donc hautement profitable à la population qu'elle n'ait pas la mémoire trop courte et qu'elle sache ainsi utiliser à bon escient les expériences passées tragiques de façon à éviter à temps de les reproduire avec d'autres vaccins!

 

Lire l'article du 14/2 publié à ce sujet dans la revue Le Généraliste:

 

La vaccination anti rotavirus recommandée pour tous les nourissons 

  

14.02.2014

 

Ça y est ! Après plusieurs avis négatif, le HCSP vient de recommander la vaccination anti-rotavirus pour tous les nourrissons. Pour arriver à cette décision de rupture, le Haut Conseil de la santé publique a pris en considération « l’impact bénéfique, dans les pays industrialisés, de cette vaccination qui réduit le taux d’hospitalisation de plus de 80 % ; les données en faveur d’une immunité de groupe en cas de couverture vaccinale élevée ; et l’évaluation désormais précise du risque de survenue d’invaginations intestinales aiguës (IIA) post-vaccination, pour les deux vaccins existants ».

 

En 2010, c’est en effet l’existence d’un signal en faveur d’une augmentation faible de risque d’invagination intestinale aiguë (et dans une moindre mesure l’identification de circovirus porcins dans les vaccins) qui avaient conduit le HCSP à ne pas recommander la vaccination antirotavirus. Depuis, les résultats des études de sécurité post-AMM conduites au Mexique, au Brésil, en Australie, et aux Etats-Unis et ceux d’une analyse de l’Inserm conduite sur les cas mondiaux, confirment certes l’augmentation du risque d’IIA, mais « comparé à la fréquence des IIA spontanées, ce risque est faible (1 à 6 cas pour 100 000 enfants vaccinés) et essentiellement limité à la période de 7 jours suivant l’administration de la première dose », indique le HCSP. De plus, l’absence de conséquences sur la santé humaine de la présence de fragments de circovirus porcins présents dans les deux vaccins a pu être établie.

 

Deux vaccins disponibles

 

Suite à ces données rassurantes, le HCSP préconise donc la vaccination des nourrissons âgés de moins de 6 mois selon un schéma vaccinal à 2 doses (2 et 3 mois de vie) pour le vaccin monovalent (Rotarix®) et à 3 doses (2, 3 et 4 mois de vie) pour le vaccin pentavalent (Rotateq®). Ces vaccins administrés par voie orale peuvent être co-administrés avec les vaccins du calendrier vaccinal du nourrisson. Reste la question du prix, le HCSP émettant cette recommandation« sous réserve d’une politique tarifaire conduisant à des ratios coût/efficacité acceptables pour les deux vaccins disponibles».

 

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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 16:01

Coqueluche: un vaccin nasal testé avec succès sur l'homme

 

8 janv. 2014

 

coqueluche.jpg

Kevork Djansezian

 

Un vaccin nasal contre la coqueluche dont une seule dose pourrait suffire à protéger les bébés de moins de six mois, a été testé avec succès sur l'homme, selon une étude préliminaire publiée mercredi dans la revue scientifique en ligne Plos One. Kevork Djansezian

 

Un vaccin nasal contre la coqueluche dont une seule dose pourrait suffire à protéger les bébés de moins de six mois, a été testé avec succès sur l'homme, selon une étude préliminaire publiée mercredi dans la revue scientifique en ligne Plos One.


Pathologie respiratoire très contagieuse qui se traduit par des quintes de toux violentes, la coqueluche, d'origine bactérienne, continue à toucher plusieurs dizaines de millions de personnes et d'être à l'origine d'environ 300. 000 décès chaque année dans le monde, particulièrement chez les nourrissons trop jeunes pour être immunisés par les vaccins actuels.


Elle est en recrudescence depuis quelques années dans plusieurs pays occidentaux comme les Etats-Unis, l'Australie, le Royaume-Uni et la France.


Génétiquement modifié et spécialement conçu pour une administration nasale, le vaccin expérimental a été mis au point par une équipe de chercheurs européens dans le cadre d'un consortium européen piloté par des chercheurs de l'Inserm.


Selon Camille Locht, coordinateur du projet Child-Innovac, il a été testé avec succès chez 48 personnes adultes dans le cadre d'un essai de phase 1 qui a permis de mesurer principalement son innocuité.

 


Les adultes ont été répartis en 4 groupes, l'un recevant un placebo alors que les trois autres ont reçu différentes doses du vaccin.


Après six mois de suivi, les résultats ont montré qu'une seule administration nasale suffisait à induire rapidement une réponse immunitaire et que le vaccin ne présentait aucun effet secondaire comparé au placebo, même à forte dose", a indiqué M. Locht.


La prochaine étape consistera à "optimiser" la dose nécessaire et à "stabiliser" le vaccin - qui pour l'instant "ne l'est qu'à des températures de l'ordre de -80 degrés Celsius" - afin de pouvoir envisager un développement industriel, a-t-il ajouté.


Parmi les avantages du vaccin, le chercheur cite sa facilité d'administration et un coût bien moindre que les vaccins disponibles sur le marché.


Les vaccins existants nécessitent trois injections au total, généralement effectuées à 2, 3 et 4 mois, pour obtenir une protection optimale à partir de 6 mois, alors que la coqueluche est souvent grave, voire mortelle chez les bébés les plus jeunes.


Mis au point pour lutter contre la coqueluche, le vaccin nasal pourrait de surcroit être utilisé pour prévenir d'autres infections respiratoires comme la bronchiolite du nourrisson (essentiellement due à un virus, le VRS), un "effet positif auquel on ne s'attendait pas", a encore indiqué le chercheur.

 


Mis en place il y a deux ans et demi, le consortium européen Child-Innovac rassemble des experts originaires de sept pays européens et a bénéficié d'un financement de 5 millions d'euros accordé par la Commission européenne.

 

Source : Le Parisien

 

Un futur miracle contre une conséquence prévisible d’une vaccination massive et aveugle pendant les décennies précédentes ? C’est devenu un procédé classique : maintenir la population dans le cercle vicieux éternel des vaccins qui se succèdent. La recrudescence de la coqueluche n'est pas le seul retour de boomerang vaccinal, la bronchiolite est une affection évidemment favorisée par la vaccination précoce des jeunes nourrissons qui fragilise leur système immunitaire et le rend ainsi plus vulnérable à toutes sortes d'infections (dont celle à RSV impliquée dans la bronchiolite). Mais "comble du bonheur", la "bonne surprise" est que le vaccin a des effets imprévus contre la bronchiolite... un vaccin contre des effets de vaccins et la boucle infernale est bouclée!!

 

Autre astuce et autre ficelle, brandir la perspective d’une seule dose de vaccin ! Autre astuce là encore pour accroître l’acceptabilité des vaccins : l’absence d’aiguille, un vaccin nasal ! 

 

MAIS il s’agit d’un vaccin génétiquement modifié, quelles en seront les conséquences à long terme ? Comment la Nature risque de réagir à cette variante inconnue, ingérable et complètement non prévue par l’évolution des souches ??

 

Qu’en sera-t-il aussi du risque de diffusion de ces souches génétiquement modifiées incontrôlables qui seront plus que probablement vivantes car administrées par la muqueuse nasale ? La vérité, c’est que quasiment aucun vaccin n’a pu générer jusqu'ici une immunité réellement fiable parce chaque vaccination constitue un court-circuit du système immunitaire, un non respect des barrières muqueuses naturelles au niveau desquelles s’initie déjà un début de réponse immunitaire. On espère donc ainsi masquer un échec récurrent des politiques vaccinales passées. Mais à quel prix?

 

Comment fera-t-on pour que la liberté des gens qui souhaitent se faire vacciner ne vienne pas empiéter de façon scandaleuse sur la liberté des non vaccinés à ne pas vouloir être en contact avec ces souches de coqueluche génétiquement modifiées ??

 

L’article révèle que les méthodes n’ont pas changé : on ose prétendre évaluer la sécurité de ce vaccin sur base de…. 48 personnes, quel leurre !!! 48 personnes !! Même 10 000 sujets ce serait encore nettement trop faible ! Et on parle ici d'un "placebo" mais on serait étonné de savoir de quel placebo il s'agit étant donné que les groupes placebos sont toujours FAUX dans les essais cliniques de vaccins pour le volet "sécurité/tolérance", sans quoi le contraste serait beaucoup trop flagrant entre ceux qui ont reçu le vaccin et ceux qui auraient reçu une substance neutre réellement inoffensive!! Peut-être que le FAUX groupe "placebo" de ces essais cliniques regroupe donc des gens qui ont reçu un vaccin oral ou nasal contre la polio ou contre la grippe? Ce vaccin Flumist qui est un vaccin nasal à virus vivant contre la grippe et qui augmente PENDANT 6 MOIS le risque d'hospitalisation et de complications liées à la grippe chez les enfants vaccinés...

 

Les apprentis sorciers ont plus d’un tour dans leur sac, tout est bon pour sauver le dogme des vaccins.

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30 décembre 2013 1 30 /12 /décembre /2013 10:12

En voilà de beaux aveux que la grand presse n'est pas pressée de diffuser... 38,2% de gens en France qui auraient sérieusement commencé à réfléchir au point de voir que les vaccins ne sont sûrement pas ce qu'il y a de mieux pour leur santé et celle de leurs enfants (chiffres officiels Eurosurveillance cf ci-dessous).... ça en dit donc long sur l'ampleur des faux-certificats qui doivent être nettement plus fréquents qu'on ne pense (bien que nous n'ayons jamais fait la promotion de ce système de confort peu courageux et illégal) et d'autre part aussi sur le mythe qu'il faut absolument avoir 95 ou 99% de gens réellement vaccinés pour éviter des épidémies généralisées!!!!

 

Mais imaginez que cela se sache, que des gens non vaccinés par dizaines de % ne constituent aucunement un danger grave pour la population (mais bien au contraire une économie pour la Sécurité Sociale...), cela ferait s'écrouler le SEUL argument commercial d'ailleurs des pharmas et le meilleur alibi de leur business, le mythe que nous devons tous nous faire vacciner, par altruisme et par solidarité envers la communauté au nom du mythe ridicule de la couverture vaccinale. QUELLE PERTE POUR EUX!!

 

En 2010, nous avons observé un changement radical dans les attitudes de la population française à l'égard de la vaccination en général: les attitudes défavorables sont devenues beaucoup plus fréquentes, et le profil socio-démographique correspondant a également changé. Ces attitudes et profil socio-démographique doivent être étroitement surveillés à l'avenir car ce changement peut soit persister ou disparaître. En outre, la pandémie de 2009 de la grippe A (H1N1) a certainement contribué à ce bouleversement. Comme les attitudes et les comportements sont généralement compatibles l'une avec l'autre, ce phénomène pourrait avoir un impact considérable sur la couverture vaccinale à l’avenir. En conséquence, les autorités sanitaires doivent s'attaquer de toute urgence à ce manque de confiance dans la vaccination.

 

Les attitudes envers la vaccination 2000-2010


Les non-réponses sont très rares pour les trois vagues (<1%). Les distributions d'attitudes envers la vaccination en général étaient quasi identiques en 2000 et 2005. Attitudes défavorables ont été signalées par 8,5% des répondants en 2000 et 9,6% en 2005, mais cette proportion a considérablement augmenté en 2010, atteignant 38,2%

 

Impact de la grippe 2009 A (H1N1) sur les attitudes envers la vaccination.

 

Malgré la troisième limitation mentionnée ci-dessus, nos résultats suggèrent fortement que l'épisode 2009 de la grippe A (H1N1) a eu un impact dramatique sur les attitudes envers la vaccination en général, au moins chez les Français (hypothèse (i) confirmer). Au-delà de l'augmentation des attitudes négatives observées en 2009 et 2010, la moitié des répondants qui ont approuvé ces attitudes ont mentionné spontanément leur opposition à la grippe A (H1N1). Ces attitudes ont atteint un sommet en Décembre et Janvier, lorsque les autorités sanitaires françaises et l'Organisation mondiale de la santé ont commencé à être vivement critiquées dans les médias français pour avoir exagéré la menace de la grippe A (H1N1). Ce changement d'attitude illustre l'idée que beaucoup de gens qui acceptent les vaccins pourraient changer d'avis.

 

Source : Eurosurveillance.org

 

Ceux qui évoquent –seulement parce qu’ils sont acculés notez bien !- la possibilité de lever l’obligation vaccinale (style Floret ou autres) seront crus quand leurs prétendus souhaits auront été concrétisés et pas avant car ces gens-là savent aussi et certains, comme le Dr Snacken en Belgique (toujours des gens liés aux pharmas, comme Floret etc…) l’ont avoué, que les obligations vaccinales ont « un effet d’entrain » sur tous les autres vaccins. Retirer une carte, c’est risquer de faire tomber tout le château qui AUTOMATIQUEMENT finira toutefois par s’écrouler aussi de lui-même à un moment donné sous le poids des nouveaux vaccins qui seront inévitablement ajoutés parce qu’ils doivent être écoulés, logique commerciale oblige ! Les idéologues vaccinalistes savent donc que leur idéologie est vouée à l’échec et qu’elle ne tiendra pas la distance. Tout encore une fois n’est qu’une question de temps mais il est certain que beaucoup doivent regretter la gabegie et la grande arnaque du H1N1. Dommage pour eux qu’au lieu de la narcolepsie, il n’y ait pas eu un effet d’amnésie contagieux sur tous les vaccinés avec ces vaccins une fois encore bâclés et hasardeux, comme tous les autres !

 

Mais voilà, le public a encore des yeux pour voir et pour certains aussi la capacité de s’indigner que tous ces pseudos experts et ces officiels qui ne sont même pas fichus de répondre à nos questions éminemment logiques et légitimes, se permettant néanmoins d’imposer à tous une telle violation de leur intégrité physique !!

 

Soyons en tout cas tous très clairement conscients que ces gens qui n'ont comme SEUL but de promouvoir la vaccination par principe, ne comptent absolument pas s'attaquer aux raisons réelles qui font que les gens n'en veulent pas, c'est à dire au statut expérimental des vaccins et aux conditions d'évaluation bâclées de leur sécurité. Non, cela va rester ainsi par confort pour les donneurs d'ordre que sont les pharmas.

 

La "confiance" qu'ils entendent réinsuffler se basera sur des propos à l'eau de rose et des réassurances bidon qui n'engageront que ceux qui les croiront. Et dans le même temps, pour gagner du temps, toutes sortes de manoeuvres futiles et vaines seront déployées pour essayer de discréditer ceux qui mettent le doigt sur le véritable noeud du problème. On en a déjà un indice quand des chaînes publiques manipulent nos propos pour nous faire passer pour des "complotistes". On a d'autres exemples de ce genre de stratégie pour "gagner du temps" là encore avec les manoeuvres de Google qui a dû changer ses critères pour les sites dérangeants au point que les fréquentations de ce site via des moteurs de recherche comme Google ont été divisées par cinq en quatre ans alors que le nombre de visiteurs global, lui, n'a cessé d'augmenter. Pour bien comprendre ce phénomène, car c'est quelque chose d'important, il faut savoir que les sources d'accès au site peuvent être:

 

-Par hasard (via des moteurs de recherche donc les gens qui n'ont en général pas encore assez d'informations, en majorité les plus indécis, ceux que les officiels veulent empêcher de devenir "irrattrapables" en termes de future propagande)

- Ceux qui viennent directement parce qu'ils connaissent déjà notre site et son adresse

 -Ceux enfin qui nous lisent et viennent sur le site via des sites alliés qui relaient nos infos.

 

 C'est malgré tout l'hommage du vice à la vertu car c'est la preuve que nos informations sont dangereusement convaincantes et pour cause, tellement accablantes, qu'il en deviendrait après coup impossible de satisfaire intellectuellement la raison des lecteurs en se contentant de leur affirmer "Faites-vous vacciner, les vaccins sont sûrs et cela protègera la communauté!"

 

 

Allez, comme on ne s'en lasse pas, voici la petite vidéo du Directeur médical de la Production des Vaccins viraux chez Sanofi Pasteur, aussi consultant pour l'OMS, le Dr Saluzzo qui vous fait de beaux aveux de nature à augmenter encore le nombre de gens qui ouvrent les yeux sur l'ENORME problème lié aux vaccins:

 

 

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24 décembre 2013 2 24 /12 /décembre /2013 22:23

Même TF1 Canal + (qui parodie le journal de TF1 d'où la confusion) ose désormais dévoiler les dessous de la "mécanique vaccinale" avec ses "Guignols"... il est évident qu'ils n'auraient encore jamais osé faire ça il y a 10 ans... et pourtant, cela aurait alors permi d'éviter à bien des gens de tomber malades après l'inutile vaccin H1N1 ou avec l'énorme arnaque des vaccins HPV qui n'en finissent plus de faire scandale.

 

 
Que reste-t-il à faire si ce n'est vous souhaiter de bonnes fêtes de fin d'année et le dévoilement décisif en 2014 du vrai visage de la vaccinologie??
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23 décembre 2013 1 23 /12 /décembre /2013 11:21

Vaccination en pharmacie possible dans cinq cantons, dont Neuchâtel

 

22 décembre 2013

 

VALISE ARGENT VACCINS

Il n'est pas toujours nécessaire d'aller chez le médecin pour se faire vacciner. Cinq cantons autorisent pour l'heure des pharmaciens à dispenser cette prestation à certaines conditions, principalement contre la grippe.


Neuchâtel, Zurich, le Tessin, Soleure et Bâle-Campagne offrent cette possibilité. Au total, plus de 400 pharmaciens sont autorisés à vacciner ou accomplissent la formation continue dans ce but, souligne à l'ats Stephanie Rohrer, responsable de la communication à la Société suisse des pharmaciens pharmaSuisse.


Les pharmaciens doivent remplir plusieurs conditions pour vacciner des patients. Ils doivent acquérir le certificat de formation continue FPH, attester qu'ils maîtrisent les techniques de sauvetage, disposer d'un local séparé et obtenir une autorisation du canton.

Condition dissuasive

 
Autre condition, plutôt dissuasive, regrette le secrétaire général de pharmaSuisse Marcel Mesnil, le patient doit présenter une ordonnance médicale. Certes, le document peut s'obtenir via télémédecine, mais une telle exigence vide de son sens tout l'intérêt de l'offre qui est dès lors peu demandée.


"C'est un problème", relève M. Mesnil. L'objectif est de sensibiliser les cantons afin qu'ils suppriment cette condition dans les ordonnances correspondantes, une compétence dont ils disposent.


Adultes en bonne santé 


Les pharmaciens se défendent de marcher sur les platebandes des médecins. Ils ciblent une autre clientèle: des adultes en bonne santé, sans suivi médical, et souvent même sans médecin traitant, a récemment précisé le président de la société des pharmaciens du canton de Fribourg Christian Repond sur les ondes de "La Télé". Ils espèrent augmenter la couverture vaccinale, contre la grippe en particulier.


Fribourg compte parmi les cantons où les pharmaciens revendiquent cette nouvelle prestation. Les autorités sanitaires sont chargées d'élaborer une loi dont M. Repond espère l'entrée en vigueur d'ici l'hiver 2014/15. A Genève, un texte de loi devrait aboutir ce printemps alors que dans le canton de Vaud, l'association des pharmaciens étudie le dossier.

 

Source : Swissinfo.ch

 

Avez-vous envie d’être ciblé à la manière d’un troupeau par des gens qui banalisent les effets possibles de la vaccination alors qu’ils doivent pourtant pour vacciner avoir été formés aux « conditions de sauvetage » (terme pudique pour réanimation en cas de vie en danger !) ? Le fait que les pharmaciens doivent disposer d’un local séparé n’est pas anodin, c’est surtout INDISPENSABLE pour éviter d’ouvrir les yeux à beaucoup de clients qui pourraient alors être « vaccinés à vie contre la vaccination » rien qu’en voyant le désastre immédiat qui peut survenir après un vaccin…Et puis cela aide aussi à lutter contre l’image réelle des vaccinations : un business à la chaîne sans aucun lien avec la santé.

 

Il est manifeste ici que chacun CIBLE « sa petite clientèle », l’article le montre, même ceux qui ne consultent pas de médecin CAR ILS N’EN N’ONT PAS BESOIN. La vaccination est ainsi une forme de médicalisation abusive particulièrement vicieuse car elle est source de problèmes et de maladies rentables pour le système médico-pharmaceutique et qui plonge les gens dans une véritable dépendance plutôt qu’une autonomie de santé.

 

Une autre incohérence monumentale ici est que les pharmaciens ne devront s’occuper que des patients en bonne santé. Ahh bon ? Pourquoi donc puisqu’ils devront être formés aux techniques de sauvetage et que, par ailleurs, les officiels nous affirment à longueur de temps par médias interposés que la vaccination des sujets à risque, des gens au sortir de chimiothérapies et même de gens présentant déjà des maladies auto-immunes ou neurodégénératives, est sans risque et qu’elle doit être effectuée aussi comme chez les biens portants ?

 

Chez les animaux de compagnie du reste, les notices recommandent de ne jamais vacciner que des animaux bien portants et jamais des animaux malades, ce qui témoigne là encore que ceux-ci ont droit à plus d’égard que nous en matière de vaccination !

 

La vaccination constitue un big business où tout est bon pour vous piquer à tout prix, quel que soit votre âge, votre statut, ou le vaccin en cause ou encore celui qui l’administre. Voilà le véritable visage de la vaccinologie : une pseudo-médecine commerçante truffée de mensonges et d’incohérences tous plus gros les uns que les autres !

 

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22 décembre 2013 7 22 /12 /décembre /2013 09:00

Le Projet « Tycho » de Bill Gates et les Vaccins Vaudou

 

Gary Null, Ph. D & Richard Gale, 17 décembre 2013

 

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                    Cet homme détient 500 000 actions de Monsanto, la compagnie la plus malfaisante au

                    monde mais il affirme cependant vouloir améliorer l'état du monde

 

 

Des groupes de population  et des études écologiques sont aujourd’hui devenues les normes pour déterminer l’efficacité d’un vaccin et servir de base à la croyance que c’est la vaccination qui a réduit (en toute sécurité) la propagation des maladies infectieuses et a sauvé des millions de vies.

 

Ce ne sont plus des normes de références scientifiques, mais des études de population qui constituent maintenant l’essentiel de l’arsenal clinique des défenseurs des vaccins pour discréditer un peu plus les arguments de la recherche biologique la plus factuelle qui sont en faveur des opposants aux vaccins.

 

Un article récent publié dans le numéro de Novembre 2013 du New England Journal of Medicine, « Les maladies contagieuses aux Etats-Unis de 1988 à nos jours », est en fait le premier d’une quantité d’autres futures études du genre destinées à convaincre les législateurs et le public que la vaccination devrait être rendue obligatoire pour assurer la santé de la nation. [1]

 

L’étude a été lancée à partir d’un nouveau projet  à l’université de Pittsburg, le projet « Tycho » ainsi nommé d’après le célèbre astronome et mathématicien du 16ème siècle, Tycho Brahe et mentor de Johannes Kepler.

 

Financé par la Fondation Bill et Melinda Gates et le National Institute of Health, le projet est une énorme entreprise multi-niveaux destinée à enregistrer les données de mortalité de 56 maladies infectieuses entre 1888 et aujourd’hui en vue de créer de futures réserves de données et d’analyse et qui auraient comme objectif d’élaborer des stratégies politiques futures destinées à augmenter les taux de vaccination.

 

Les auteurs de l’article prétendent d’une manière extraordinaire que «  103 millions de cas de maladies infantiles (95% de celles qui auraient normalement dû avoir lieu) ont été évitées depuis 1924. Au cours de la seule dernière décennie, 26 millions de cas (99% des cas qui auraient dû se produire normalement) ont été évités grâce à la vaccination ».

 

Eternel valet obéissant aux diktats du CDC et de Big Pharma, le New York Times renchérit, en affirmant  qu’il s’agit « d’un type d’analyses qui ne peut être réalisée que lorsque d’énormes ensembles de données sont rassemblées et exploitées » [2].

 

Si cette analyse est en accord avec les faits, elle pourrait être saluée  comme l’une des réalisations les plus importantes destinées à soutenir l’action miraculeuse et les avantages des vaccins.

 

D’autre part, si l’analyse des chercheurs de l’université de Pittsburgh s’avérait scientifiquement peu fiable et éventuellement trompeuse à l’issue d’un examen empirique solide, alors cette étude relèverait en fait d’une escroquerie de propagande parmi les plus trompeuses qui aient été publiées au cours des dernières années dans la littérature médicale revue par les pairs.

 

Ce ne serait pas la première fois que  le NEJM ne réussirait pas à assurer une revue par les pairs suffisamment diligente et satisfaisante avant publication. Dans le passé, ce prestigieux journal n’a pas hésité à publier des articles scientifiques hypocrites qui pourraient être considérés comme relevant du racket médical.

 

Ce qui est le plus important c’est d’examiner les données sur lesquelles les scientifiques de Pittsburgh se sont basés pour arriver à leurs conclusions.

 

Un examen du site relatif au projet « Tycho » comme à sa base de données révèle l’absence de l’information critique nécessaire pour pouvoir historiquement prendre position sur l’efficacité d’un vaccin, sans parler du nombre de décès qui auraient été évités. [3]

 

La seule réalisation du projet est l’accumulation d’une grande quantité de données (200 millions de clics de souris) ayant trait aux statistiques de mortalité, (comprenant le temps et le lieu) pour 56 maladies infectieuses sur une période de 125 ans.

 

Les données scientifiques relatives aux statistiques ayant spécifiquement trait à la vaccination de huit maladies contagieuses reprises dans l’article du NEJM sont inexistantes. Il n’existe donc aucune donnée concernant le nombre de personnes vaccinées pour aucune des maladies visées dans quelque année ou dans quelque lieu que ce soit. Il n’existe pas non plus de données concernant le nombre de décès relevés parmi les personnes non vaccinées. Il n’existe pas non plus de données concernant les décès provoqués par une maladie infectieuse qui aurait pu être provoquée par un agent infectieux du vaccin ou des données concernant une population pour laquelle le vaccin s’est montré inefficace et n’a pu assurer de protection. En fait, le projet ne contient absolument aucune information ayant trait aux données de vaccination !!  

 

En outre, les données se basent sur l’hypothèse à priori qu’au cours de ces 125 ans, la cause des décès déclarés et dus aux maladies infectieuses est exacte. Il est cependant évident que pour cette période, les technologies permettant de confirmer le diagnostic d’infection comme cause probable de décès, soit n’existaient pas, soit n’étaient pas couramment appliquées.

 

Alors, comment les scientifiques de Pittsburgh tirent-ils leurs conclusions ?  Pour comprendre leur modus operandi, le lecteur est prié de mettre de côté les principes les plus fondamentaux de la méthode scientifique et de la pensée critique. Faudrait-il retourner 500 ans en arrière et adopter une pensée irrationnelle qui aurait plus de traits communs aux croyances alchimiques et magiques qu’à la science moderne ?

 

En l’absence de ces données cruciales qui permettraient d’obtenir des estimations mêmes rudimentaires pour les vaccinés et les non vaccinés (relativement à telle ou telle année) en vue de pouvoir faire des calculs appropriés, la méthode adoptée par la présente étude peut paraître très simple. «  Nous avons estimé le nombre de cas de polio, de rougeole, de rubéole, des oreillons, de l’hépatite A, de diphtérie et de  coqueluche qui ont été évités par les vaccins », le document précisant d’ailleurs que : « en soustrayant le nombre de cas hebdomadaires après l’introduction des vaccins à partir d’une simulation du nombre hypothétique de cas qui se seraient produits  (italiques des auteurs de l’article) en l’absence de la vaccination. »

 

La définition  du dictionnaire de « nombre hypothétique » a trait à quelque chose qui ne s’est pas produit ou à un cas qui n’existe pas. En d’autres termes, il s’agit d’un nombre magique évoqué en s’appuyant sur des algorithmes mathématiques sans véritable correspondance à la réalité des taux d’infection concrets. En outre, le document indique qu’il s’appuie sur « une histoire quantitative », ce qui ne fait que traduire en chiffres simples le nombre de décès sans préciser ce que ces chiffres représentent effectivement (par exemple vaccinés comparés à des non vaccinés, marges d’erreurs pour des diagnostics erronés par rapport aux causes de décès, le nombre croissant de cas de personnes qui ont contracté les infections contre lesquelles elles ont été vaccinées, etc.)

 

Le fait que les taux de mortalité pour la plupart des huit maladies infectieuses « évitables »  visées par l’enquête étaient déjà en déclin rapide avant l’introduction des vaccins est aussi catégoriquement ignoré. L’équipe de Pittsburgh ferme donc les yeux sur la diminution rapide du nombre de décès avant que n’apparaissent les vaccins spécifiques.

 

Le taux de mortalité dû à la rougeole est un excellent exemple. Avant que  la vaccination n’apparaisse en 1963, les taux de décès avaient spontanément chuté de 98,6% pour la période au sujet de laquelle les enregistrements de décès ont été faits. Cette baisse constante a commencé à se stabiliser à moins de 1 pour 100.000 en 1944 et a progressivement diminué au cours des dernières années, mis à part un pic anormal en 1990, après que le vaccin contre la rougeole ait fait partie intégrante du calendrier vaccinal. En 1959, le taux était d’environ 1 pour un demi million et s’approchant de zéro avant l’apparition du vaccin en 1963 [4].

 

Comme l’étude ignore tout des raisons possibles de la baisse spontanée de 98,6% de la mortalité rougeoleuse avant 1963, il n’y a aucune raison de conclure que le vaccin contre la rougeole ait empêché quelque décès que ce soit. Compte tenu des nombreuses décennies de déclin avant que n’apparaisse le vaccin, et quelle que soit la cause de ce mouvement vers le bas, il est très probable que ce mouvement aurait continué pour rejoindre les taux actuels de mortalité par rougeole, sans qu’aucun vaccin ait jamais été mis au point.

 

A titre d’exemple, bien qu’on n’ait  jamais mis au point un vaccin contre la scarlatine, cette maladie était, au Royaume Uni, l’une des maladies infectieuses parmi le plus mortelles avec un taux de mortalité de 160 pour 100.000 aux alentours de 1860 et ce taux est tombé à pratiquement zéro en 1940. De même, la coqueluche était déjà en rapide déclin avant que le vaccin ne soit largement utilisé à la fin des années 1940. [5]

 

Par rapport à ce qui est devenu une « agression normalisée » contre les parents qui retardent ou refusent la vaccination de leurs enfants, les auteurs de Pittsburgh veulent nous faire croire que les enfants non vaccinés sont responsables de l’augmentation récente des cas de coqueluche. Même en mettant de côté la liste des risques graves et meurtriers du vaccin contre la coqueluche, les données concernant son efficacité révèlent de plus en plus que ce vaccin constitue l’un des plus grands fiascos de la médecine. Les auteurs ne s’interrogent pas non plus sur la possibilité que le vaccin lui-même ait pu provoquer cette escalade.

 

Le Dr Ruiting Lan et ses collègues de l’Université de New South Wales ont identifié un nouveau génotype résistant du vaccin contre la coqueluche (ptxP3) qui a augmenté de façon spectaculaire. Il a été responsable d’environ 30% des cas de coqueluche avant l’épidémie de 2008, pour atteindre 84% des cas de coqueluche en Australie aujourd’hui. [6,7] Cette nouvelle souche plus meurtrière a, selon le CDC, été introduite aux Etats-Unis, et un nombre croissant de recherches tenteraient à montrer que les récentes épidémies de coqueluche pourraient être directement liées au vaccin. [8,9]

 

Cela seul pourrait expliquer l’augmentation des cas de coqueluche auxquels fait allusion l’article du NEJM et être une raison pour laquelle des enfants vaccinés attrapent aussi la maladie. Au lieu d’investir des millions de dollars dans des jeux informatiques qui jonglent avec des nombres magiques, la question la plus importante qui devrait préoccuper les scientifiques serait de déterminer si le vaccin Diphtérie-Tétanos-Coqueluche est effectivement responsable de l’émergence d’épidémies de coqueluche résistantes au vaccin.

   

Il y a pourtant encore des recherches plus accablantes sur le vaccin contre la coqueluche et ses échecs. En 2009, le CDC a pu déterminer que 99,94 % des enfants Américains avaient été vaccinés contre la coqueluche ; par conséquent, le seuil d’immunité de groupe avait été dépassé et selon cette théorie non prouvée, il ne devrait y avoir aucune transmission.

 

Une récente étude biologique de la FDA réalisée sur de jeunes babouins a montré que le vaccin contre la coqueluche, censé protéger contre l’infection du virus sauvage, n’empêchait en fait pas l’infection. L’étude a, au contraire, montré que les babouins vaccinés étaient malgré tout colonisés par la bactérie et pouvaient la transmettre à d’autres. [10] Si cette recherche s’avère exacte, elle démystifie et fait perdre toute crédibilité à la notion d’immunité de groupe.

 

L’article fait aussi référence à la grande épidémie de coqueluche de 2010, mais omet de mentionner que, selon une étude publiée dans le numéro de décembre 2012 du Journal of Pediatrics, « parmi les quelque 9.000 cas et plus qui se sont produits en Californie (le plus grand des états américains), 91% étaient complètement « vaccinés conformément aux recommandations nationales. » [11]

 

Lors de l’épidémie de coqueluche de 1986 au Kansas, 90% des cas confirmés avaient été vaccinés. Ce pourcentage élevé de flambées de coqueluche chez les enfants vaccinés a été habituel au cours des derniers pics de coqueluche dans différents endroits. - Et donc quels sont ceux qui mettent la société en danger ?

 

Le vaccin contre la coqueluche est un exemple parmi d’autres des « retours de flamme » possibles après la généralisation d’une vaccination qui augmentent ainsi de façon contre-productive l’incidence des infections, des hospitalisations et des décès. Cependant aucune de ces statistiques historiques et qualitatives ne sont prises en compte dans les calculs du projet « Tycho ».

 

L’article de l’université de Pittsburgh paru dans le NEJM semble bien relever d’une grandiose entreprise de désinformation. Les chercheurs ont soit manqué, soit ignoré les données les plus critiques comme les statistiques nécessaires pour arriver à des conclusions médicales valables sur les causes des décès attribuables à une maladie infectieuse virale et bactérienne.

 

Par conséquent, le rapport est davantage perçu comme une tentative archaïque et pseudo-scientifique visant à discréditer ceux qui critiquent la vaccination et à faire progresser les ambitions de Bill Gates à savoir rendre la vaccination légalement obligatoire, comme enlever aux parents et à quiconque la liberté de prendre leurs propres décisions en ce qui concerne leur santé ou celle de leurs enfants.

 

Partout  où l’on retrouve des traces de financement de Bill Gates en rapport avec la vaccination, on  peut être certain que c’est dans le but de faire avancer ses projets de faire vacciner chaque nourrisson et chaque enfant de la planète quels que soient les dangers des vaccins, qu’ils soient ou non efficaces comme le prétendent cependant le CDC et les fabricants de vaccins.

 

Finalement, la présentation du projet « Tycho » dans les articles du NEJM et du New York Times donnent à réfléchir. Pourquoi un projet visant  à accroître les taux de vaccination, porterait-il le nom d’un astronome crédité pour avoir expliqué le fondement des lois de Kepler sur les mouvements planétaires ?

 

C’est en effet une excellente idée que celle de donner au Projet le nom d’un célèbre astronome danois du 16ème siècle. L’importance du nom de Tycho pour une initiative en matière de vaccins n’a en fait rien à voir avec l’observation du mouvement des corps célestes. Nous devons plutôt nous tourner vers le Tycho qui fut un célèbre alchimiste pour comprendre qui est le Saint Patron du Projet. C’est alors qu’il nous est possible de réaliser que l’alchimie de Tycho constitue en quelque sorte un reflet du soutien financier de Gates aux scientifiques qui en appellent aux statistiques magiques fallacieuses basées sur des algorithmes abstraits pour induire les médias et le public en erreur.

 

Une des plus grandes craintes des parents au sujet de la vaccination de leurs enfants concerne les nombreux produits chimiques et ingrédients toxiques des vaccins, comme leurs graves effets indésirables, potentiellement mortels.

 

Pendant de nombreuses décennies, la littérature scientifique a documenté une grande variété de troubles neurologiques et physiques attribués aux vaccins.

 

Beaucoup de ces réactions à long terme (troubles neurologiques, asthme, allergies, diabète de type 1, troubles gastro-intestinaux, etc.) sont maintenant observées dans des proportions épidémiques chez les enfants. Comme nous l’avons noté, les chercheurs de l’université de Pittsburgh ont, dans leur étude, complètement  ignoré les questions relatives à l’efficacité et à la sécurité du vaccin. Leur méthodologie reste strictement restreinte  au monde abstrait de mathématiques imaginaires, éloignée des sciences solides comme l’immunologie et la biologie moléculaire.

 

Leurs conclusions pour trouver une correspondance entre les taux de décès par maladies infectieuses et les mathématiques vaudou censés prouver le sauvetage de millions de vies grâce à une vaccination hypothétique, possèdent autant de crédibilité que les propres croyances de Tycho qui voyait une correspondance directe entre les planètes, certains métaux et les différents organes du corps.

 

C’est en 1901 et de nouveau en 2010 que le corps de Tycho fut exhumé pour expertise médicale. Les découvertes qui ont été faites pour trouver la cause du décès de Tycho ont fait apparaître une grave intoxication. Le crâne et les cavités nasales étaient verdâtres suite à une exposition excessive au cuivre. Des taux élevés de mercure furent aussi détectés qui provenaient vraisemblablement de ses nombreuses expériences alchimiques destinées à transformer le métal vulgaire en or et en argent. Le second but de la vie de ce savant était de trouver un remède universel pour guérir toutes les maladies. [12]

 

Bill Gates et l’université de Pittsburgh n’auraient pas pu trouver un personnage historique mieux approprié pour rendre hommage à leurs activités de surveillance (de plusieurs millions de dollars) et au projet d’exploration de données en vue de convaincre les législateurs de rendre la vaccination obligatoire pour tous les américains.

 

Il semble certain qu’à la suite de ses deux projets alchimiques, ce soit le propre orgueil de Tycho qui l’ait finalement tué. Tous les éléments qui ont poussé  l’alchimiste dans ses audacieuses recherches et expériences semblent bien trouver une correspondance dans ce que nous voyons aujourd’hui par rapport aux dangers que représentent les vaccins avec leurs douzaines de produits chimiques toxiques, l’épidémie croissante des problèmes de santé, les troubles du développement chez les enfants qui, souvent, les condamnent à une vie de souffrance et à une mort prématurée.

 

Par conséquent, le fait d’avoir dédié à Tycho ce projet extraordinaire de recueil de données est peut-être la seule chose pour laquelle Gates et l’université ne se sont pas trompés.

 

Références

 

[1] Van Panhuis WG, Greenfenstette J, Jung SY, Chok NS, Cross A, Eng H, Lee BY, Zdorozhny V, Brown S, Cummings D, Burke DS. "Contagious Diseases in the United States from 1888 to the Present." New England Journal of Medicine November 28, 2013, 369; 22.

 

[2] Lohr S. "The Vaccination Effect: 100 Million Cases of Contagious Disease Prevented," New York Times. November 27, 2013   

http://bits.blogs.nytimes.com/2013/11/27/the-vaccination-effect-100-million-cases-of-contagious-disease-prevented/?_r=0

 

[3] Project Tycho, University of Pittsburgh. http://www.tycho.pitt.edu

 

[4] Humphries, S, Bystrianyk R. Dissolving Illusions: Disease, Vaccines and the Forgotten History.  Self-published.  www.dissolvingillusions.com

 

[5] Humphries, S.  Ibid.

 

[6] Lam, C., Octavia, S., Bahrame, Z., Sintchenko, V., Gilbert, G.L., & Lan, R. (2012) Selection and emergence of pertussis toxin promoter ptxP3 allele in the evolution of Bordetella Pertussis.Infection Genetics and Evolution. 12(2): 492-495;  Octavia, S., Sintchenko, V., Gilbert, G.L., Lawrence, A.L., Keil, A.D., Hogg, G., & Lan, R. (2012) "Newly emerging clones of bordetella Pertussis carrying prn2 and ptxP3 alleles implicated in australian pertussis epidemic in 2008-2010".Journal of Infectious Diseases. 205(8): 1220-1224

 

[7] Norrie J. "Vaccine Resistant Whooping Cough Takes Epidemic to New Level," The Conversation, March 21, 2012

 

[8] "New Wooping Cough Strain in US Raises Questions"  Fox News 

http://www.foxnews.com/health/2013/02/07/new-whooping-cough-strain-in-us-raises-questions/

 

[9] Mooi FR, van Loo I, van Gent M, He Q, Bart MJ, Heuvelman KJ, de Greeff S, Diavatopoulos D, Teunis P, Nagelkerke N, and Mertsola J, "Bordetella pertussis Strains with Increased Toxin Production Associated with Pertussis Resurgence" Centers for Disease Control and Prevention. 

http://wwwnc.cdc.gov/eid/article/15/8/08-1511_article.htm

 

[10]  Mercola J. "FDA Pertussis Vaccine Study Shatters Illusions of Vaccine-Induced Immunity."  Mercola.com December 10, 2013.

 

[11] California Pertussis Epidemic 2010, Journal of Pediatrics 2012 Dec; 161 (6): 1091 http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22819634

 

[12] Tycho Brahe Biography. Alchemy and Alchemists. http://alchemy-and-alchemists.blogspot.com/2010/07/tycho-brahe-biography.html

Wikipedia http://en.wikipedia.org/wiki/Tycho_Brahe

 

Source: Greenmedinfo.com

 

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