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30 mars 2014 7 30 /03 /mars /2014 21:45

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La propagande et le lobbying ont dû être énormes pour expliquer ce revirement du comité britannique des vaccinations (JCVI) en faveur du vaccin contre le méningocoque B de Novartis. Après seulement une année, ce Comité tire à présent de son chapeau des soi-disant preuves d'efficacité et de rentabilité d'une telle vaccination. Et comme d'habitude, pas un mot sur les risques graves du Bexsero. Retenez bien ce nom car hélas, il est incontestable que nous entendrons sous peu parler de graves effets secondaires liés à cette Xième vaccination !

 

L'article qui suit est diffusé par le site vaccinaliste Mesvaccins.net. Il en dit vraiment long sur le baratin des Etats et leur collusion avec les fabricants qui attendent évidemment que les autorités les aident à écouler leurs produits après avoir investi en recherche et développement.... Dans l'encadré final, nous rappelerons quelques vérités essentielles aux parents pour opérer un consentement réellement éclairé !

 

Le Royaume-Uni recommande la vaccination de tous les nourrissons contre le méningocoque B - 30/03/2014

Le JCVI (Joint Committee on Vaccination and Immunisation, équivalent au Royaume-Uni du comité technique des vaccinations en France) vient de recommander la vaccination de tous les enfants contre la méningite B à l'aide d'un nouveau vaccin, le Bexsero. Cet article fait le point sur cette recommandation. 

 

1. Infections graves à méningocoques : méningites et septicémies

Le méningocoque (nom d'espèce : Neisseria meningitidis) est une bactérie présente dans la gorge de certaines personnes appelées "porteurs du méningocoque". Le méningocoque se transmet directement par voie aérienne par l'intermédiaire de gouttelettes de salive, d'un porteur à une autre personne. Dans les jours qui suivent son installation dans la gorge, le méningocoque peut traverser la muqueuse et atteindre la circulation sanguine, pouvant alors entraîner une infection dite invasive, c'est-à-dire une méningite ou une septicémie. Ces infections peuvent conduire au décès du malade. Le purpura fulminans est une forme particulièrement redoutable de septicémie, qui se traduit par des plaques hémorragiques cutanées et un choc septique foudroyant mortel une fois sur trois.

Il existe plusieurs sérogroupes, parmi lesquels les cinq suivants ont une importance particulière : A, B, C, W et Y. Les sérogroupes en cause peuvent être très différents d'une région du monde à l'autre.

Le Royaume-Uni est l'un des pays d'Europe de l'Ouest où la fréquence des infections invasives à méningocoque est la plus élevée. La vaccination de tous les enfants contre le méningocoque C y a été un succès, puisqu'elle a été suivie d'une chute spectaculaire du nombre de cas de méningite ou de septicémie dus à ce sérogroupe. Malgré une réduction du taux d'incidence des infections invasives à méningoque B de 50 % au cours de la dernière décennie, le taux d'incidence annuel pour 100.000 nourrissons âgés de moins d'un an est d'environ 25 cas confirmés. Actuellement, le méningocoque B est responsable de la grande majorité (environ 80 %) des infections graves à méningocoque dans ce pays. Le nombre de cas confirmés d'infection invasive à méningocoque B a varié de 600 à 1.000 au cours de ces dernières années. Par comparaison, en France, l'incidence de la maladie est nettement moins élevée puisque 366 cas d'infections invasives à méningocoque B ont été déclarés en 2012, pour une population générale de taille équivalente.

2. Vaccination contre les infections invasives à méningoque

Il existe des vaccins monovalents contre le méningocoque C et quadrivalents contre les méningocoques A, C, Y et W. Tous ces vaccins utilisent comme antigène la capsule de la bactérie, qui est un facteur de virulence. Cependant, cette approche n'est pas possible avec le méningocoque B. En effet, les anticorps dirigés contre la capsule des souches appartenant à ce sérogroupe ont une activité croisée contre le tissu nerveux du fœtus humain. Si rien n'indique que cette réaction est néfaste, elle rend la capsule non immunogène.

Le vaccin contre le méningocoque B Bexsero est un nouveau vaccin comportant 4 antigènes vaccinaux majeurs du méningocoque B. Chacun de ces antigènes, qui ne proviennent pas de la capsule, est capable isolément d'induire des anticorps bactéricides et donc efficaces pour lutter contre les méningocoques. Pour trois d'entre eux (NadA, NHBA et fHbp) il s'agit d'une protéine recombinante, c'est-à-dire fabriquée par génie génétique. Le quatrième antigène correspond à des vésicules de membrane externe (en anglais OMV, pour Outer membrane vesicles), déjà utilisées avec succès pour fabriquer des vaccins capables de protéger contre certaines souches de méningocoque B (vaccin MenBvac notamment). Le vaccin Bexsero a obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne en janvier 2013.

3. Vaccin Bexsero contre la méningite B : les nouvelles recommandations au Royaume-Uni

L'année dernière, le JCVI anglais n'avait pas recommandé la vaccination des enfants ou des adolescents par le Bexsero, car les données alors disponibles n'étaient pas en faveur d'un rapport coût-efficacité favorable. De plus, l'efficacité du vaccin pour empêcher le portage du méningocoque B (et donc sa transmission de personne à personne) n'était pas prouvée.

En 2014, l'évaluation médico-économique a été fondée sur l'analyse de plusieurs scénarios, prenant en compte la couverture des souches contre lesquelles le vaccin devrait être efficace (de 66 % à 88 %), l'efficacité vaccinale (95 %), la durée de la protection (18 mois après la primovaccination et 36 mois après la rappel), l'efficacité contre le portage du méningocoque (0 à 30 %) et le prix du vaccin. Les décisions suivantes ont été prises. 

3.1.  Vaccination de tous les nourrissons avec un schéma vaccinal 2 + 1 (2 mois, 4 mois et 12 mois)

En effet, des études ont montré que ce schéma entrainait une réponse immunologique peu différente de celle obtenue par le schéma décrit dans le résumé des caractéristiques du produit, à savoir un schéma 3 + 1 (3 doses à un mois d'intervalle suivies d'un rappel entre 12 et 23 mois). Le vaccin Bexsero sera administré de manière simultanée avec les autres vaccins pédiatriques (diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, Haemophilus influenzae type b et pneumocoque). Le calendrier vaccinal du Royaume-Uni peut être visualisé de manière interactive avec le vaccine scheduler, un outil réalisé par MesVaccins.net pour le Centre européen de contrôle des maladies (ECDC, European centre for Disease Prevention and Control).

vaccine-brain-injury1.jpg

 

Concernant la sécurité d'emploi du vaccin Bexsero, il a été montré au cours des essais cliniques une augmentation de la fièvre chez les nourrissons lorsque ce vaccin était administré simultanément aux autres vaccins pédiatriques. Cependant, l'administration prophylactique de paracétamol permet de réduire le risque de fièvre sans pour autant diminuer la réponse immunitaire (rapport de l'agence européenne des médicaments). C'est pourquoi le JCVI recommande d'administrer systématiquement du paracétamol juste après la vaccination par Bexsero aux nourrissons.

 

Le vaccin Bexsero réduit probablement le portage (et donc la transmission de personne à personne) du méningocoque B, mais il est difficile d'évaluer l'importance de cette réduction et de prédire son impact si l'on vaccinait une proportion importante de la population.

En raison de l'efficacité attendue du vaccin Bexsero contre les autres sérogroupes du méningocoque, notamment le sérogroupe C, il est proposé de supprimer à terme la dose vaccinale contre le méningocoque C réalisée à l'âge de 3 mois. En effet, le vaccin Bexsero confère une certaine protection contre les autres sérogroupes de méningocoque, y compris le méningocoque C.

3.2. La vaccination contre le méningocoque B des adolescents n'est pas recommandée

Le JCVI a estimé qu'il y avait encore trop d'incertitudes sur l'efficacité vaccinale et sur l'immunité de groupe conférée par le vaccin Bexsero pour proposer la vaccination à tous les adolescents. Par contre, une enquête devrait être réalisée pour déterminer l'impact de la vaccination sur le portage du méningocoque B dans cette tranche d'âge.

Ce nouveau calendrier vaccinal sera évalué dans les deux ans à venir. Nul doute que les autres pays européens suivront attentivement les résultats et l'impact de ces nouvelles recommandations pour définir leur propre politique vaccinale. 

4. Etat des recommandations de vaccination contre la méningite B en France

Pour l'instant en France, où l'incidence des infections invasives à méningocoque B est moins élevée qu'au Royaume-Uni, la vaccination contre le méningocoque B est recommandée uniquement chez les personnes présentant un risque élevé d'infection grave, ou devant la survenue de cas groupés reliés à un clone identique. C'est ainsi qu'une campagne de vaccination contre la méningite B est en cours en Seine-Maritime, dans la Somme et dans certains cantons des Pyrénées-Atlantiques. Des cas groupés d'infections invasives à méningoqque sont récemment survenus à Nice (trois cas dont deux décès), mais les souches en cause appartenaient à des clones différents.   

Des associations de citoyens et de familles confrontées à la méningite se sont réunies sous la bannière Ensemble contre la méningite et demandent le remboursement du vaccin Bexsero.

Source : Joint Committee on Vaccination and Immunisation.

Lien:https://www.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/2...

 

On voit mal comment il pourrait y avoir tellement plus de preuves en un an sur le bienfondé de cette vaccination. Tout est formulé sous formes de doutes et d’hypothèses, « le vaccin devrait être efficace », « la protection attendue » etc…L’efficacité sur le portage de la bactérie n’est absolument pas avérée.

 

On remarquera que ce comité britannique des vaccinations, le JCVI, n’a pas osé ajouter une vaccination supplémentaire aux ados qui peuvent refuser (contrairement aux malheureux nourrissons qui n’ont aucun mot à dire sur ces questions et n’ont surtout aucune chance de se renseigner sur internet !) et qui sont déjà bien échaudés avec le véritable désastre des vaccins HPV (Gardasil et Cervarix) qui ne peut désormais plus être nié par quiconque.

 

L’évaluation sera faite d’ici deux ans mais fort malheureusement, des milliers d’enfants anglais vont entretemps servir de cobayes et leurs parents recevront des informations simplistes et biaisées sur la fréquence et la nature réelles des effets secondaires graves. Que les choses soient claires pour tous : le Bexsero n’a PAS été comparé dans les essais cliniques à un véritable groupe neutre (soit un groupe qui ne recevrait aucune substance toxique pour avoir une comparaison fiable sur la tolérance du vaccin) mais comme toujours à des enfants ayant reçu d’autres vaccins, eux aussi pourvoyeurs d’effets secondaires ! En outre, ces effets secondaires n’ont été évalués que sur 6427 enfants et adolescents et encore, parmi ces enfants, certains n’avaient reçu qu’une seule dose ! Pour ce qui est des bébés et des jeunes enfants, seuls 4843 ont reçu le vaccin Bexsero et seuls 1630 ont reçu une dose de rappel dans leur deuxième année de vie. C’est donc dire si les effets secondaires plus graves et survenant par exemple toutes les 4000 vaccinations ou toutes les 10 000 doses n’ont pas pu être évalués. Inclure par conséquent la totalité des nourrissons va une fois encore consister en une grande expérimentation humaine parfaitement illégale et immorale.

 

Le vaccin Bexsero est fabriqué par génie génétique, c’est donc un vaccin contenant des protéines transgéniques dont vous n’auriez guère envie de nourrir votre enfant, alors pensez donc, en ce qui concerne une injection musculaire profonde, une de plus, ce qui fera déjà trois doses à administrer dans ses pauvres cuisses lors d’une même consultation dès ses 2 mois d’âge !! L’OMS elle-même, dans son rapport N°747 de 1987, faisait déjà état d’une « inquiétude » concernant le risque de malignité associé à des produits fabriqués par génie génétique, à fortiori si on les administre si tôt dans la vie !

 

Pour mieux vous faire peur, on rappelle que l’incidence de cette méningite-là est de 25 sur 100 000 soit 1 sur 4000. Sauf que d’une part cette incidence avait déjà baissé spontanément sans vaccin de 50% ces dernières années mais qu’en plus, quand bien même le vaccin permettrait d’éviter à un enfant sur 4000 cette méningite de type B, il sera parfaitement inutile dans 3999 cas sur 4000 et il n’est absolument pas évident ni prouvé que le vaccin n’entraînera pas au moins et même sans doute beaucoup plus qu’un effet secondaire grave sur 4000 enfants vaccinés ! Bien au contraire, les données relatives au vaccin contre la méningite C indiquent des risques neurologiques GRAVES cent fois plus élevés que la probabilité statistique de faire une méningite C naturelle.

 

Pour mieux noyer le poisson, on est encore ici dans le « cache-symptôme » en recommandant de donner aux enfants des médicaments contre la fièvre : d’un côté donc on réclame au corps une réaction en court-circuitant violemment les voies d’entrées naturellement prévues des microbes dans l’organisme et cela sur un système immunitaire encore largement immature mais en plus, on étouffe ses réactions immunes logiques et on s’étonnera encore que cela contribue à la hausse des cas d’autismes et autres phénomènes débilitants sur la santé des jeunes ! D’autant que des études indiquent que le paracétamol augmenterait le risque d’autisme chez les enfants en bas-âge (mais il est possible que ceci ne soit qu’un biais découlant du fait que les vaccins entraînant l’autisme, on confonde cette cause-là avec une autre cause qui découle de l’usage d’un médicament qu’on donne à quasi tous les enfants vaccinés).

   

Les informations à l’eau de rose en matière de vaccination s’avèrent toujours et les données les plus cruciales ne sont dans l’immense majorité des cas jamais lues à temps par les parents. Par exemple, le fait que des documents confidentiels déclassifiés aient prouvé noir sur blanc les mensonges éhontés et autres dissimulations répétées sur les risques des vaccins de ce comité britannique JCVI pendant plus de 30 ans ! Ou encore, le rappel des stratégies sous-jacentes habituelles qui se jouent pour en arriver à parler d’une association de parents et de victimes qui demandent le remboursement du vaccin (fameusement poussée dans le dos et généreusement soutenue par le fabricant qui SAIT que sans remboursement gouvernemental, le vaccin sera d’emblée un flop !)

   

Et après, on lit que les autres pays vont suivre attentivement la situation britannique ? Ne l’oublions pas, cela fait partie des objectifs avoués de l’OMS de faire en sorte qu’une majorité d’Etats-membres (= TOUS les Etats du Monde) aient adopté un nouveau vaccin dans les 5 ans de sa sortie. La priorité n’est pas la santé publique mais la santé des vaccins et d’un secteur. Il y a toute une idéologie évidente derrière cela. A vous de voir si vous voulez que votre enfant ne soit qu’un chiffre et fasse partie du sinistre calcul prévisionnel de retour sur investissement des fabricants !

 


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commentaires

C
C'est vraiment extraordinaire de voir une telle désinformation ; mais surtout dramatique. Vous entraînez avec vous, avec vos informations qui ne sont que des allégations, voire du négationnisme, des parents naïfs qui pensent que vous vous êtes donnés la peine de vérifier vos allégations puisque vous avez créé un site. D'ailleurs vous l'affichez : vos informations ne reposant sur aucune données scientifique fiable, vous refusez de signer la CHARTE HON que je conseille à tous vos lecteurs... la diphtérie a tué l'an dernier, en Europe, deux enfants victimes de ce genre de site car non vaccinés. Quand au vaccin qui tue, où sont les preuves. Obligations, prix du vaccin, etc.... mais prenez vos responsabilité de parents ! Mettez-vous la ceinture de sécurité à vos enfants parce que c'est une obligation ou parce que vous êtes convaincus que cela le protègera en cas d'accident, malgré le risque qu'éventuellement cette ceinture lui casse une côte, et malgré le fait que les voitures coûtent plus cher depuis qu'on y met des ceintures de sécurité ?
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D
@courtot<br /> Sur le HON<br /> (ça commence honnête, mais aussi comme honteux):<br /> http://www.atoute.org/n/article153.html
D
Merci, IC, pur cette mise au point salutaire qui complète la mienne.<br /> Comment ce Mr Courtot peut-il imaginer qu'après avoir vacciné pendant trente ans, après y avoir cru dur comme fer, j'ai pu renoncer à cette pratique d'un autre âge sans avoir découvert les meilleurs arguments pour le faire, alors que cette décision me privait d'une bonne partie de mes revenus, non seulement d'une façon directe parce que cela représentait un grand nombre d'actes en moins, mais aussi parce que, mes petits patients étant cinq fois moins souvent malades que les vaccinés, ils allaient me consulter cinq fois moins souvent par la suite?<br /> Voyez-vous, Mr (ou Mme) Courtot, je n'ai rien d'un masochiste. J'ai par contre une haute idée de ma mission, et une nature scrupuleuse. Tout médecin qui s'intéresse aux vaccins devrait y renoncer. La vérité est qu'ils ne les étudient ni au cours de leurs études, ni par la suite, parce que c'est très inconfortable de reconnaître qu'on a fait du mal à des enfants pendant des années par défaut de connaissance (ou pour des raisons bien plus inavouables).
I
@Courtot : bcp de raccourcis dans vos propos. Sur la charte HonCode: plusieurs sites comme celui de Dr Dupagne expliquent aussi pourquoi ils ne l'ont pas signé et il nous semble, le formindep aussi. Pour ceux qui ne veulent pas lire idiot et avoir un autre éclairage sur vos propos, qu'ils lisent dont ici: http://www.formindep.org/+HON-Code-l-action-benefique-de+.html?debut_memerub=10<br /> Ensuite, pour la diphtérie, vos propos sont émotifs et non scientifiques CAR combien de centaines de cas de diphtérie sont déjà survenus CHEZ DES GENS DÛMENT VACCINES?? >>> PREUVE que la clef, c'est le terrain mais la vaccination.<br /> Vaccins qui tuent, où sont les preuves? Si avec les milliers d'études scientifiques déjà disponibles, les documents confidentiels de pharmacovigilance des fabricants eux-mêmes et les montants astronomiques d'indemnisation déboursés par les autorités officielles (3 milliards de dollars aux USA depuis 1986 et impunité juridique octroyée par la Cour Suprême aux firmes pour leur éviter de faire faillite sous le poids des poursuites), si avec tout cela, vous ne voyez toujours pas assez clair, un seul mot: courez donc vous faire vacciner mais ne soyez alors guère étonnés que des personnes avec un minimum de bon sens ne vous suivent pas.<br /> Il n'y a pire aveugle que celui qui ne veut voir: les données sur le méningocoque sont "explosives de clarté" en termes de rapport bénéfices/risques notablement négatif, que les personnes aillent lire notre article ici sur le sujet, ils auront accès aux données chiffrées officielles: http://initiativecitoyenne.be/article-meningite-c-le-vaccin-plus-risque-que-la-maladie-les-chiffres-sont-la-111050253.html<br /> Quand à la comparaison entre la ceinture de sécurité et la vaccination, elle ne mérite pas le moindre commentaire tant elle est inadéquate ; -)
D
Vous ne connaissez rien au sujet, c'est déplorable.<br /> Deux enfants en Europe sont morts de la diphtérie sur 150 millions d'enfants?<br /> Mais combien de centaines ou de milliers sont morts ou estropiés par le vaccin, en avez-vous la moindre idée?<br /> Savez-vous seulement si ces deux enfants étaient vaccinés ou non? Les deux cas, l'espagnol et le belge, sont fort mal documentés à ce sujet.<br /> La diphtérie est facile à diagnostiquer et très sensible aux antibiotiques. Le sérum antidiphtérique est très efficace et maintenant bien toléré. Blâmez plutôt un mauvais diagnostic.<br /> Et reprenez vos études au lieu de lire la propagande vaccinale.<br /> Il est absurde de mettre en danger 150 millions d'enfants pour en sauver (éventuellement) deux en 25 ans, mettez vous ça dans le crâne. Cela s'appelle le rapport bénéfice-risque.<br /> La charte HON, comme l'ANSM, sont des foutaises infiltrées par les laboratoires, même si cette dernière a cru se faire une virginité en changeant de nom à la suite de nombreux scandales pharmaceutiques qu'elle avait couverts (ex AFFSAP).<br /> C'était après le scandale du mediator (1/5/2012), qui faisait suite à bien d'autres:<br /> http://www.ufc-quechoisir-var-est.org/afssap-est-devenue-ansm
D
Ce vaccin coûte la coquette somme de 93 euros la dose, un prix qui est susceptible d’être supérieur en fonction de la pharmacie.<br /> Comme il faut trois vaccins et un rappel, on arrive à 372 euros.<br /> Si on se réfère au Gardasil et au Cervarix, il semble que 400 euros soit la somme de base qu'on peut extorquer aux mamans rendues folles d'inquiétude par leur médecin (et bientôt aux états<br /> complices) pour chaque trouvaille de l'industrie.<br /> Il parait qu'elle en a près de 300 sous le coude...<br /> Il nait 600.000 enfants chaque année en France, de mémoire.<br /> Rien que pour ce vaccin, et si on ajoute les 92 euros pour l'injecter (4x23), c'est donc 278.400.000 Euros qui vont ainsi changer de poche chaque année, juste en France.<br /> Ce qu'on ne saura jamais, c'est combien de millions d'euros il faudra pour sauver un seul enfant, si tant est que ce vaccin puisse en sauver un seul.<br /> Par contre, nous ne tarderons pas à savoir combien il en tuera. Et là, on n'est plus, hélas, dans l'hypothèse.
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