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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 12:06

Comme d'habitude, les médias fanfaronnent au sujet de futurs vaccins  contre des maladies chroniques débilitantes... dont les vaccins sont eux-mêmes une grande source, mais ces mêmes médias se gardent bien entendu toujours de le rappeler. Car ça viendrait tout simplement trop noircir leur joyeuse fanfaronnade de circonstance.

 

Récemment encore, on pouvait lire ceci sur RTBF info:

 

« Le printemps, c’est aussi la pleine saison des allergies. 300 millions de personnes à travers le monde souffrent d’asthme allergique. Mais aujourd’hui une lueur d’espoir survient avec cette annonce : des chercheurs français viennent de mettre au point un vaccin qui a déjà fait ses preuves sur des souris. […] Des chercheurs de l'INSERM en France viennent de mettre au point un vaccin, constitué notamment d’ADN d'acariens, et qui s’est avéré efficace sur des souris. »

  

ou encore:

 

Explication scientifique d’un nouveau vaccin prometteur

 

Le docteur Olivier Michel, allergologue au CHU Brugmann, en explique le principe : "au lieu d’injecter la protéine, elle-même allergisante, les chercheurs ont utilisé le gêne qui code pour cette protéine. Ils ont ensuite injecté le gêne à la souris, qui l’a reconnu comme étant anormal car provenant d’acariens. L’animal a alors déclenché une réponse immunitaire tout à fait différente de la réponse allergique. Ces souris ont alors fait une "immuno-déviation" vers une réponse bénigne qui se solde par l’absence totale de symptômes". »

 

Injecter un gène n'est pas anodin. Une fois encore, on voit les possibles résultats mais il y a hélas fort à craindre que les véritables risques ne soient jamais correctement évalués, même au cours d'essais cliniques longs et fastidieux débutés chez la souris et éventuellement poursuivis chez l'homme.

 

Une fois encore, on se braque sur la cause secondaire, ici "les acariens" alors que cette cause peut être considérée comme une fausse cause, tout simplement parce qu'on ne naît pas ainsi. Il y a donc à chaque fois une explication située plus en amont d'une telle sensibilisation du corps à telle ou telle substance et qui n'a donc pas toujours et de tout temps posé problème.

 

Ainsi, au lieu de se demander d'où viennent vraiment ces hausses très inquiétantes d'allergies et d'asthme dans de nombreux pays  (dans lesquels on vaccine par ailleurs de plus en plus et ce, dès le plus jeune âge), on tente de trouver des palliatifs pour rendre ces tares plus supportables aux malades.

 

Mais pendant ce temps, ces mêmes patients déjà allergiques et fragilisés continuent à recevoir les vaccins qui ont pu, pour une très grande part d'entre eux, être à la base même de leurs troubles.... cherchez l'erreur!

 

Car il faut le rappeler, la vaccination infantile peut provoquer et favoriser l'asthme, et ce dès le plus jeune âge, période où les vaccinations sont d'ailleurs incessantes.

 

Plusieurs études sont en faveur de cette relation très nette, sans pour autant jamais affirmer qu'il s'agisse de la seule cause possible, toutes origines confondues.

 

Tout d'abord, pour mieux comprendre, il faut rappeler que le système immunitaire d'un enfant n'est pas pleinement mature avant 6 à 7 ans d'âge et qu'on vaccine pourtant avec des vaccins multiples dès l'âge de 2 mois.

 

D'après plusieurs études et enquêtes, notamment commentées dans le petit livre de la pédiatre Françoise Berthoud "La Santé des enfants non vaccinés, au-delà de la polémique", les enfants non vaccinés souffrent significativement moins d'asthme que les vaccinés, preuve que le contact avec divers agents microbiens semble bien jouer un rôle important dans la maturation du système immunitaire.

 

Par ailleurs, la vaccination favorise le déséquilibre immunitaire entre les voies Th1 et Th2 à la faveur de cette dernière, ce qui est justement ce qui se passe en cas d'asthme ou d'allergies.

 

asthma.JPG

Selon les investigations du Dr Michel Odent, les enfants vaccinés contre la coqueluche ont 5 fois plus de risque de souffrir d'asthme que les non vaccinés.

 

Selon les résultats d'une large étude de chercheurs canadiens du Manitoba, publiés en 2008 dans le Journal of Allergy & Clinical Immunology, 14% des enfants vaccinés dès deux mois avec un vaccin DTC risquent de développer un asthme en-déans les 7 premières années de vie, contre moins de 6% chez les enfants dont la vaccination ne débute qu'à 4 mois ou plus tard (soit un risque 2,5 fois moindre en reportant les premières vaccinations d'au moins 2 mois). Ces résultats -très solides au vu du nombre d'enfants inclus soit plus de 11 000 - démontrent donc le caractère totalement péjoratif de la vaccination pratiquée à un tel stade d'immaturité immunitaire.

 

En 2000 déjà, une étude de l'Ecole de Santé Publique de l'Université californienne de Los Angeles (UCLA) incluant près de 14 000 enfants avait établi que la vaccination DTC (diphtérie tétanos coqueluche) multipliait par deux le risque de développer un asthme, permettant ainsi de mieux comprendre pourquoi cette maladie avait plus que doublé ces vingt dernières années avec 30 à 50 millions d'asthmatiques et d'allergiques dans ce pays.

 

Cette étude indique ainsi notamment que " 50% des cas d'asthme diagnostiqués chez les enfants et adolescents américains (2,93 millions) auraient pu être évités si la vaccination DTC ne leur avait pas été administrée. De façon similaire, 45% des cas de sinusite (4,94 millions) et 54% des épisodes allergiques affectant le nez et les yeux (10,54 millions) pourraient être évités chaque année si la vaccination DTC était interrompue."

 

Selon le groupe One Click qui cite un bulletin de l'OMS, la vaccination contre les pneumocoques augmente elle aussi le risque d'asthme.

 

En 2004, le journal australien Sunday Morning Herald rapportait que la vaccination infantile des enfants asthmatiques, telle qu'effectuée et préconisée aux Etats-Unis était loin d'être une bonne idée et que les enfants asthmatiques vaccinés aboutissaient deux fois plus aux urgences pour leur asthme que ceux qui ne l'étaient pas, indiquant ainsi que la vaccination pourrait bien aggraver l'état de ces enfants déjà fragilisés. Chez les enfants vaccinés de moins de trois ans utilisant le Flu-Mist (le vaccin antigrippal nasal qu'on s'apprête à présent à utiliser en Europe) en effet, le risque de maladies respiratoires réactionnelles était multiplié par 4.

 

Chez les adultes également, cette vaccination antigrippale peut exacerber les états asthmatiques, selon une publication parue dans The Lancet en 98.

 

En 1997, une étude de médecins généralistes britanniques, aux résultats étrangement non publiés, liait également la vaccination des enfants contre la coqueluche à l'asthme, au rhume des foins et à l'eczéma. Selon cette étude, la vaccination augmente ce risque de 50% alors que la consommation précoce d'antibiotiques au cours des premiers mois de vie multiplie le risque de maladies allergiques par trois.

 

En 2010, une étude parue dans Clinical & Experimental Allergy, a démontré que les + de 90% d'enfants à qui on donne du paracétamol ou ses dérivés au cours de leurs 15 premiers mois de vie ont trois fois plus de risques d'être sensibilisés à des allergènes et deux fois plus de risques de développer de l'asthme avant l'âge de 6 ans que ceux qui n'en ont pas reçu.

 

Or, faut-il le rappeler, le paracétamol est quasi systématiquement prescrit aux enfants en pré et/ou en post-vaccination, en raison des effets secondaires de vaccins.

 

Là encore, on se rend donc bien compte du véritable cercle vicieux dans lequel nous plongent les vaccins: ils accablent les enfants à qui il faut alors donner du paracétamol (pour que leurs parents continuent surtout bien de les faire vacciner), lequel augmente le risque d'asthme, déjà augmenté par l'acte vaccinal lui-même!

 

De même, les vaccinations abaissant considérablement les défenses immunitaires du sujet vacciné, elles contribuent à un surplus d'infections opportunistes et donc aussi à une surconsommation d'antibiotiques qui eux aussi, accroissent le risque d'asthme lorsqu'ils sont consommés en bas âge. C'est ce qui s'appelle vraiment de la fausse prévention des maladies ou, en d'autres mots, un véritable nivellement de la santé publique par le bas avec une affligeante substitution des maladies "chaudes" aiguës (infectieuses) par des maladies "froides" (chroniques, durables et sans traitement curatif). Qu'y a-t-on gagné?

 

Sur Doctissimo pourtant (site notoirement connu pour sa grande proximité avec l'industrie pharmaceutique qui y fait sa pub au quotidien), on trouve notamment un article intitulé "Les vaccins protègent de l'asthme". Un article qui fait référence à une étude britanno-suisse ayant suivi un grand nombre d'enfants sur 5 ans.

 

Cette étude arrive à un taux d'asthme avec respiration sifflante de 14% chez les 6 à 9 ans complètement vaccinés selon les conseils en vigueur (un chiffre qui est pourtant déjà terriblement élevé donc car cela représente pas moins d'un enfant vacciné sur 6!!) contre 21% dans le groupe des enfants incomplètement ou non vaccinés.

 

Déjà, on devine ce qu'implique en terme de fiabilité cet énorme biais: on a en fait amalgamé, par commodité, les "vaccinés partiels" avec les non vaccinés, ce qui empêche bien sûr toute comparaison valable car il aurait fallu pour bien faire et par honnêteté, ranger les vaccinés (complètement et incomplètement) à part des non vaccinés (zéro vaccins au cours de leur vie). Mais ce genre de subdivisions bien commodes des groupes en sous-groupes est une tactique bien connue des fabricants comme des instances officielles pour faire dire aux études exactement l'inverse de ce qu'elles disent en réalité (c'est d'ailleurs le même genre de tactique qui avait été de mise en matière d'évaluation des risques neurologiques de la vaccination anti-hépatite B avec l'étude de Fourrier- Costagliola, une étude qui était hautement significative mais que les officiels ont volontairement dédoublée en deux études qu'ils ont alors prétendues "non significatives"!)

 

Les rares études comparant valablement les enfants vaccinés d'un côté aux enfants absolument vierges de tout vaccin de l'autre, convergent toutes vers les mêmes résultats à savoir un risque d'asthme ou d'autres maladies chroniques très nettement inférieur chez les non vaccinés par rapport aux autres.

 

Ainsi, l'enquête indépendante du NVKP qui a comparé les enfants au cours de leurs cinq premières années de vie selon qu'ils étaient complètement vaccinés selon les recommandations hollandaises en vigueur ou pas vaccinés du tout, a révélé un taux d'enfants asthmatiques de 46 enfants sur 312 dans le groupe vacciné (14,74%) contre 19 sur 231 dans le groupe d'enfants vierges de tout vaccin (8,22%).

 

Deux autres études viennent encore corroborer ces résultats. Ainsi, l'étude KIGGS qui a porté sur plus de 17 000 enfants a retrouvé une prévalence de l'asthme de 4,7% chez les enfants non vaccinés. Une autre étude sur près de 8000 enfants retrouve quant à elle une prévalence de moins de 8% chez les enfants non vaccinés (on est donc loin des 14 à 15% chez les enfants "bien vaccinés"!)

 

Toutes ces données et études extrêmement solides démontrent donc parfaitement que les officiels SAVENT et qu'ils ont bien conscience de ces risques, qu'ils se gardent toutefois bien de vous communiquer avant que vous n'acceptiez de faire vacciner vos enfants.

 

Voici encore, à titre d'exemple, ce qu'a concédé le Pr Lucienne Chatenoud du Service d'Immunologie biologique de l'hôpital Necker Enfants malades à Paris:

 

" L'hypothèse la plus avancée est l'hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l'utilisation des antibiotiques; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires: diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires des intestins, mais aussi les allergies."

 

Les autorités ont donc pris des décisions et fait des choix lourds de conséquences à la place des parents, elles se sont donc en quelque sorte substituées à eux en leur donnant des informations partiales et biaisées, de façon à ce qu'ils acceptent à tout prix la vaccination. Or une fois encore, les conseilleurs n'ont donc pas été les payeurs.

 

Et ce qui est le plus terrible dans tout cela, c'est ce sinistre fatalisme et cette incapacité totale à se remettre en question. Car la tendance est au développement accru de nouveaux vaccins et même si on se dirige ainsi vers l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale, il faut déplorer que beaucoup trop d'enfants auront encore à en faire les frais d'ici-là!

 

On remarque qu'il y a finalement avec la problématique de l'asthme, les mêmes erreurs d'approche, la même bêtise et le même manque de volonté réelle que pour une question comme la hausse des cas de démences où les seules (fausses) solutions proposées sont de "se préparer en construisant suffisamment d'infrastructures d'accueil" pour les futurs malades, ce qui bien sûr ne résout absolument pas ce problème, envisagé comme une fatalité. Toutefois, ce n'est pas une fatalité car il est possible de s'informer à temps, de refuser ces risques vaccinaux inacceptables et totalement disproportionnés par rapport aux risques de la maladie contre laquelle on vaccine et de réclamer enfin de véritables études véritablement comparatives entre vaccinés et gens véritablement non vaccinés.

 

L'OMS quant à elle recommande de développer de meilleurs diagnostics et de meilleurs traitements tout en luttant contre "la stigmatisation des malades" (entendez par là: banaliser progressivement cette maladie en hausse) mais n'évoque cependant jamais le rôle évident des vaccins dans le développement exponentiel d'une maladie comme Alzheimer dont le coût annuel est tout de même de 604 milliards de dollars, une paille!

 

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