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15 septembre 2013 7 15 /09 /septembre /2013 11:20

Beaucoup de gens continuent d'être maintenus dans l'illusion on ne peut plus fausse que ce serait la vaccination qui aurait permis l'éradication de la variole...

 

Voici tout d'abord un extrait du rapport final d'éradication de la variole de l'OMS (de 1980):

 

« Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. [...] ...il fallait absolument changer de stratégie. »

 

Et maintenant, pour mieux comprendre, voici un ensemble de vidéos explicatives, réalisées par Bernard Guennebaud, docteur ès sciences, mathématicien, ancien chercheur au CNRS et auteur du blog La Question des Vaccins:

 

 

 

 

 

  

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 20:45

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La fin de la carte SIS a été évoquée récemment sur le site de la mutualité belge Euromut.

 

En Belgique, la carte SIS est l'équivalent français de la "carte vitale". Elle sert de "sésame" aux patients pour se faire soigner dans les hôpitaux ou ailleurs.

 

Euromut annonce en fait la fin programmée de la carte SIS car celle-ci va être intégrée dans la carte d'identité.

 

Les pharmacies du pays sont désormais prêtes à cette grande "interconnexion" via le réseau "Mycare.net" mais elles disposeront d'une période de 6 mois pour utiliser ce nouveau système "sur base volontaire". Cela signifie donc que dès le 1er janvier 2014, les gens qui ne souhaiteraient par exemple pas présenter leur carte d'identité à un pharmacien, parce que cela leur semblerait abusif, payeront leurs médicaments divers au prix plein (mettons des hormones thyroïdiennes, des antibiotiques, etc). Cela s'appelle une dictature. Mais bien sûr, on prétend toujours que cela poursuit un but de simplification administrative, que cela sera plus pratique, etc.

 

Lier la carte d'identité à la carte SIS nous paraît hasardeux car toute centralisation abusive de données intimes et personnelles, ne nous paraît jamais bonne et saine pour les libertés publiques. Combien de citoyens refuseront de tendre leur carte d'identité si c'est pour payer plus cher leurs médicaments? Toujours ce bon vieux système de la carotte et du bâton...Et un public qui méconnaît le pouvoir réel qu'il aurait de faire échouer ce genre de systèmes s'il réagissait de façon solidaire et cohérente!

 

Et puis, peut-être, un jour, vu les informations trop nombreuses et trop importantes qui seront concentrées dans les cartes d'identité, finira-t-on par nous imposer un système encore "plus pratique" et empêchant un vol: le puçage avec des nanotechnologies qui sont de plus cancérigènes?

 

En Belgique, les citoyens sont habitués à tolérer (beaucoup) trop de choses. Un système de contrôle des empreintes digitales des élèves est d'ailleurs déjà en vigueur dans plusieurs écoles du pays! Les gens semblent s'en indigner dans divers commentaires mais cela se soldera-t-il par des actes et des décisions concrètes des parents et des citoyens?

 

Si nous voulons un autre monde que celui de l'hypercontrôle et de l'hypersurveillance, nous devrons faire plus que parler et le critiquer, nous aurons aussi besoin d'agir concrètement et individuellement dans nos vies quotidiennes et à défaut, les générations futures auront raison de nous reprocher de ne pas l'avoir fait à temps.

 

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14 septembre 2013 6 14 /09 /septembre /2013 11:00

Peut-on comparer l’industrie pharmaceutique à la mafia ?

 

Richard Smith (BMJ Group), 10 septembre 2013

Richard Smith fut rédacteur en chef du British Medical Journal jusqu'en 2004.

 

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                                   Richard Smith                                          Dr. Peter Gøtzsche

 

Extrait de la préface du livre du Dr. Peter Gøtzsche, MD., Directeur du Centre Cochrane Nordique: Deadly Medicines and Organised Crime : How Big Pharma has Corrupted Healthcare » (“Médicaments meurtriers et crime organisé. Comment Big Pharma a corrompu la Santé. ») par Richard Smith, paru dans le BMJ Group (Groupe du British Medical Journal Blog)

 

Corruption systématique

 

L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.

 

Deadly-Medicine-and-organised-crime.jpg

 

Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir  que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.

 

Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.

 

Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. Peter raconte plusieurs histoires de dénonciateurs pourchassés, tout comme le roman de John Le Carré mettant en scène une société pharmaceutique impitoyable et qui est devenu un bestseller, ainsi qu’un film à grand succès d’Hollywood.

 

Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia, et le public, en dépit de son enthousiasme pour les médicaments, reste sceptique par rapport à l’industrie pharmaceutique. Dans un sondage réalisé au Danemark, le public a classé l’industrie du médicament en second rang par rapport aux firmes en lesquelles il avait le moins confiance et un sondage réalisé aux Etats-Unis a classé cette industrie  tout en bas avec l’industrie du tabac et les industries pétrolières…

 

Source: blogs.bmj.com

 

Free chapter from Deadly Medicines and Organised Crime: How big pharma has corrupted healthcare (Chapitre (18) gratuit en anglais sur le thème « Pousser les enfants au suicide avec les pilules du bonheur. »)

 

«  Si vous ne pensez pas que le système est hors contrôle, alors s’il vous plaît écrivez-moi pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de décès. » Dr. Peter Gøtzsche, M.D.

 

« L’industrie pharmaceutique est la plus lucrative, la plus cynique, la moins éthique de toutes les industries, de tous les domaines réunis. Et ça se passe dans le domaine de la santé, ça me paraît deux fois plus grave. » Pr Philippe Even

 

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 14:55

Le côté obscur du Gardasil

 

Par Ashley Adair, 11 septembre 2013 (SaneVax)

 

Ashley-Adair.jpg

   

Je m’appelle Ashley Adair. J’ai souffert pendant cinq ans des effets secondaires de quelque chose qui était censé me venir en aide. J’ai accepté de me faire vacciner avec le Gardasil parce que les gens et les médecins qui m’entouraient n’arrêtaient pas de me dire : « Oh, ce vaccin est la meilleure chose que l'industrie médicale ait jamais mis au point ! » Evidemment ma mère et moi-même avons pensé que c’était vrai comme d’ailleurs aussi beaucoup d’autres. Aujourd’hui, je veux que les gens sachent qu’il y a un côté obscur à toute cette affaire.

 

Avant que je ne reçoive ce vaccin contre le HPV, j’étais une fille bourrée d’énergie. Après avoir passé 8 heures à l’école, j’allais faire de la gymnastique pendant 3 heures et je faisais ensuite mes devoirs jusque tard dans la nuit. Mes week-ends, je les passais à des tournois de gymnastique. J’ai fait de la compétition, je suis devenue dirigeante d’un club. Je vivais pour la gym, j’adorais la gym. J’étais heureuse. J’étais en parfaite santé.

 

J’ai reçu ma première injection en avril 2008. Cette injection m’a fait un peu plus mal qu’une injection habituelle. J’ai eu une légère douleur, ainsi qu’une rougeur de la peau. A cette époque, les symptômes que je présentais ne m’inquiétaient nullement. J’étais un peu plus fatiguée et parfois, j’avais très mal à la gorge. J’avais des problèmes à la langue que j’attribuais à une réaction allergique au chlore parce que je nageais très souvent.

 

Mon cauchemar a commencé en juin 2008. Quand j’ai reçu ma deuxième injection, j’ai remarqué qu’elle m’avait fait plus mal que la première fois. J’ai même eu envie de pleurer ; ce qui ne me ressemble pas du tout. Je me suis aussi sentie un peu étourdie, mais une demi-heure après, je me suis de nouveau sentie bien.

 

Le soir suivant, j’ai dit à ma mère que je me sentais vraiment malade. Je pleurais de douleur : mon bassin et mes jambes me faisaient souffrir atrocement. J’avais de la fièvre et des nausées. Mes parents m’ont conduite aux urgences. Les médecins ne se sont occupés que d’un symptôme, il m’ont dit que j’avais un virus à l’estomac, qu’ils ne pouvaient rien faire et m’ont renvoyée à la maison.

 

Le lendemain, j’étais à ce point épuisée que j’ai dormi jusqu’à trois heures de l’après-midi. Quand ma mère est rentrée du travail, on a remarqué que j’avais une espèce d’éruption cutanée sur tout le corps. On aurait dit que quelqu’un avait pris un marqueur rouge et qu’il l’avait passé sur tout mon corps. Ma mère m’a immédiatement conduite chez notre pédiatre. Celui-ci n’a pas pu comprendre ce qui m’arrivait. Il m’a fait plusieurs prises de sang et nous sommes rentrés à la maison.

 

Vers 9 heures, ma mère a reçu l’un des plus affreux coups de fil de sa vie. Notre médecin lui a dit que je devais me rendre dès que possible aux urgences parce que mes analyses de sang étaient mauvaises et que je souffrais d’une éruption pétéchiale. Mes globules rouges et mes globules blancs étaient presqu’anéantis. Ils m’ont dit que si je devais prendre certaines positions, mes gencives risquaient de se mettre à saigner et que je pourrais saigner jusqu’à en mourir. Si j’attrapais un rhume, mon corps ne serait pas en mesure de le combattre et que je pourrais aussi en mourir.

 

Au cours des 6 semaines qui ont suivi, j’ai souffert d’éruptions cutanées, de fatigue extrême, de douleurs articulaires, de douleurs dans les jambes, aux épaules, j’avais aussi des étourdissements et une pression artérielle trop basse.

 

Nous nous sommes finalement rendus chez un spécialiste des maladies infectieuses. Ce dernier me conseilla de ne pas faire la troisième injection du vaccin, sinon je risquais de ne plus être là.

 

Peu à peu, j’ai commencé à aller mieux. A 15 ans, je n’avais toujours pas de règles. J’ai été trouver un gynécologue qui m’a mise sous pilule pour que je puisse avoir mes premières règles. Ca aurait pu vouloir dire que la situation s’améliorait, mais je n’ai malheureusement jamais retrouvé mon énergie.

 

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J’ai fait un hémangiome sur la lèvre; chose étrange, car ce sont la plupart du temps les bébés qui ont pareil problème, et pas les adultes. Après cet hémangiome, je suis devenue très malade. J’ai raté des semaines d’école. J’attrapais toujours de graves bronchites dont je ne parvenais pas à me débarrasser. J’ai à nouveau dû reconsulter un médecin parce que j’étais très déprimée. On m’a donné du Zoloft (= un antidépresseur).

 

Mes professeurs m’ont heureusement beaucoup aidée et j’ai ainsi pu réussir mon année avec des A et des B.

 

Au cours des 5 années qui ont suivi cette deuxième et dernière injection, j’étais pratiquement toujours comme endormie, sans énergie. J’avais des douleurs que j’étais tentée d’attribuer à la croissance. Mais en 2012, ces douleurs s’aggravèrent dans les genoux et les jambes. Les médecins ne comprenaient pas ce qui se passait. On m’a mis une attelle au genou et on m’a donné des médicaments. Comme je recommençais à me sentir de plus en plus mal, le médecin ordonna de nouvelles analyses de sang. Ces analyses ont montré que je souffrais d’hypothyroïdie pour laquelle on m’a donné des médicaments.

 

J’ai eu 8 injections épidurales de stéroïdes, mais aucune n’a donné de résultats. J’ai finalement reçu le diagnostic de fibromyalgie. Mon taux d'anticorps contre la mononucléose (Ig G Epstein Barr) était de 544 alors que la normale est de 16,0 ou moins encore. J’ai aussi eu des problèmes de coagulation.

 

Depuis juin 2012, je souffre tous les jours terriblement. Les douleurs se situent surtout dans le bas du dos, la région pelvienne, les hanches, les jambes et genoux.  Il arrive que mes jambes soient violacées et même presque noires et le phénomène descend jusqu’à mes pieds.

 

Au cours de l’IRM que j’ai dû faire pour mon dos, on a découvert que je n’avais plus qu’un ovaire et que j’avais une masse sur l’utérus.

 

Quand j’ai été trouver le gynécologue, il a fait une échographie et n’a pu retrouver ni la masse ni mon ovaire. Il m’a renvoyé comme s’il n’y avait pratiquement pas de problème. Maintenant, je ne sais vraiment plus quoi penser. Cette situation m’a fait découvrir que certains médecins n’essaient vraiment pas de vous aider. Souvent, ils ne vous croient pas ou vous envoient tout simplement chez un confrère parce qu’ils ne peuvent pas trouver de quoi vous souffrez.

 

Tout cela a provoqué de sérieux problèmes dans la famille. Certains membres de la famille ne peuvent pas croire ce que vous racontez, ce que vous devez endurer. Ce que je veux, c’est simplement faire connaître à tous ce qui m’est arrivé pour qu’aucune autre fille ou garçon ne soit obligé de passer par les misères au travers lesquelles j’ai moi-même dû passer.

Je veux que mes terribles souffrances puissent servir.

 

Source: SaneVax

 

Les chiffres des victimes des vaccins HPV aux USA (actualisation des chiffres du VAERS de juillet 2013) :

 

VAERS-july-2013.JPG

 

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 15:38

 

 

Cette vidéo est très rélévatrice de la médecine idéologique (et non plus scientifique) et robotisée qui est en train de niveler par le bas l'ensemble de la santé publique de tous les pays du monde. Le plus grave ici, c'est finalement le fait que la santé de générations entières est impactée sans que les principaux intéressés (c'est à dire les enfants qui subissent) aient véritablement leur mot à dire! Comme cela a déjà été rappelé dans un précédent témoignage, les bébés et les jeunes enfants n'ont tout simplement pas les mots et donc les outils pour dénoncer le drame qu'ils peuvent vivre dans leur chair (et malheureusement aussi, parfois pas tout de suite, pas immédiatement!). Tout ceci est donc une véritable aubaine pour les pharmas qui ont encore énormément de vaccins dans leur pipeline à écouler.
 
Avec les vaccins, il s'agit en permanence de manipuler les parents en jouant sur la peur de complications minoritaires de maladies hypothétiques en y substituant des vaccins mal évalués aux effets secondaires notoirement sous-estimés. Que les firmes pharmaceutiques s'adonnent à ce sinistre jeu est déjà grave en soi mais "logique". Mais que les autorités publiques cautionnent pareille fuite en avant, en n'hésitant par exemple pas à diffuser des PUBLICITES TROMPEUSES (et reconnues comme telles par le Jury d'Ethique Publicitaire par exemple) est scandaleux et révoltant.
 
Au niveau international, diverses instances comme l'UNICEF répondent par exemple à leurs donateurs déçus qui sont venus lire sur ce site , qu'ils n'entrent « pas dans le débat « pour ou contre la vaccination » et nous voulons simplement que chaque enfant ait accès aux soins de santé et puisse grandir en bonne santé. C’est leur droit le plus strict. ». Ainsi donc, il suffit d'évoquer la Convention relative aux Droits de l'Enfant pour arriver avec une facilité déconcertante à échapper à toute démonstration scientifique du bienfondé médical de la vaccination et faire des vaccins des "droits". Quel glissement, quelle façon de procéder!
 
Mais en attendant, les enfants, eux, continuent de trinquer. Et les parents de jouer aux complices bien malgré eux. Quelle tragédie!
 

Beaucoup trop de médecins marchent comme de bons petits soldats. Hélas, en coulisses, c'est souvent la sinistre politique du "Faites ce que je dis, pas ce que je fais!" qui prévaut comme le montre noir sur blanc le résultat d'enquêtes au sein de la profession, officielles mais dérangeantes au point de ne pas être publiées! Il faut dire que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, les vaccinations  représentent au minimum 12, 6% des revenus des médecins généralistes et 33% des revenus des pédiatres mais ces chiffres-là ne comprennent que le prix des consultations pour l'administration des vaccins et n'incluent donc pas toutes les rentrées qui découlent des nombreuses consultations pour effets secondaires de ces mêmes vaccins. Dans le business vaccinal, il y a donc les vaccins ET LEURS SUITES (qui elles ne sont jamais calculées) alors que de l'aveu même de l'ONE et Provac, au moins 1 enfant sur 20 (5%) est obligé de consulter endéans les 48H pour effets secondaires après les vaccins (cf. p 43/54). Et ceci, c'est donc pour la seule période des 48H post-vaccination mais donc combien de consultations évitables pour effets secondaires ont-elles lieu dans la semaine, dans les deux semaines, dans le mois ou même l'année après chaque vaccin??

 
Les propos suivants du Dr Pilette sont une conclusion d'une rare justesse à l'obligation vaccinale qui, pour les enfants, concerne toujours 100% des vaccins étant donné qu'ils restent liés et contraints aux décisions le plus souvent non éclairées de leurs parents "qui font confiance à leur médecin":

 

"La vaccination, ce n'est pas un drame, ce sont d'innombrables drames. Des enfants gravement abîmés par un vaccin devront, jour après jour, leur vie durant, en supporter les conséquences. Bien souvent, à leur handicap physique, s'ajoutera la douleur morale de n'être ni compris, ni soutenu dans leur démarche de faire reconnaître ce vaccin comme la cause de leur drame. Omissions, mensonges ou tout simplement ignorance, se retrouvent dans les discours de certains défenseurs des vaccins, et tout cela est curieusement mélangé à des considérations philanthropiques. Pour ces défenseurs-là de la vaccination, l'obligation vaccinale est une nécessité. Etre obligé de subir une vaccination potentiellement dangereuse est inadmissible. Nous devons demander la suppression de l'obligation vaccinale. Nous devons exiger des pouvoirs publics la liberté de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Que chacun puisse, après s'être informé des avantages et des inconvénients de la vaccination, décider, en âme et conscience, de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Appliquons le premier principe d'Hippocrate: "Primum non nocere"- "D'abord ne pas nuire".  (Dr Jean Pilette)

 

PS: Vous pourrez aussi remarquer, au niveau de la teneur des commentaires sous cette vidéo de Youtube, que la plupart des gens manquent l'essentiel, ils manquent toutes ces considérations les plus importantes sur les effets réels et parfois différés de tous ces cocktails vaccinaux qu'ils ne connaissent en réalité pas du tout; à la place, ils se focalisent sur le fait que la petite fille semble "courageuse", qu'elle ne pleure pas, etc. Derrière les apparences toutefois, et compte tenu de cette expérimentation à l'insu de la petite fille (première intéressée), il y a toutefois plus que jamais de quoi pleurer.

 

Voir aussi les deux articles suivants du blog Expovaccins :

 

Cinq tactiques psychologiques utilisées par les médecins pour vacciner vos enfants

 

Non à la survaccination des nourrissons… sachez compter les vaccins !

 

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 20:55

Accident Post vaccinal : "Je n'étais pas assez informée"  

enfant en otage

 

Moi, C, maman d'un petit garçon d'aujourd'hui 7 mois, Y., né le 31/01/2013, souhaite témoigner de l'accident post-vaccinal dont ce dernier a été victime suite à une double injection à l'âge de quatre mois. Son père et moi-même avons décidé de prendre cette mesure afin de conserver une trace de ce qu'il s'est passé, dans le but de protéger notre fils si éventuellement il en gardait des séquelles mais aussi de nous protéger nous-mêmes au cas où l'on essaierait de nous contraindre à vacciner de nouveau notre enfant malgré nos alertes auprès des médecins que nous avons consultés. Ces derniers ont reconnu officieusement pour la plupart le lien de cause à effet entre la réaction de notre enfant et sa vaccination mais ils n'ont rien fait pour faire remonter l'information aux autorités de pharmacovigilance compétentes et l'ont souvent minimisée sans toutefois être en mesure de nous expliquer ce qui s'est produit. Par ailleurs, ils nous ont tous poussés à continuer la vaccination selon le calendrier de recommandations vaccinales en vigueur, malgré les consignes énoncées par le Ministère de la Santé

 (http://www.sante.gouv.fr/dossiers/cshpf/r_mt_0104_coqueluche.pdf)

 

"En cas de forte réaction survenue dans les 48 heures suivant une injection vaccinale antérieure (fièvre supérieure ou égale à 40 °C, syndrome du cri persistant, convulsion fébrile ou non fébrile, syndrome d'hypotonie-hyporéactivité) l'attitude classique consiste à contre-indiquer la poursuite de la vaccination coquelucheuse. Dans ces cas, la vaccination doit être poursuivie avec un vaccin ne comportant pas de valence coquelucheuse".

 

Tout d'abord, je tiens à préciser qu'ayant moi-même été vaccinée contre toutes les maladies et /ayant eu des parents très "sécuritaires", j'étais plutôt favorable à la vaccination même si j'appréhendais un peu que mon fils, nourrisson, soit vacciné si petit...

 

En réalité, jeune maman peu informée sur la vaccination, j'ai fait pleinement confiance au calendrier vaccinal et à mon médecin traitant lorsqu'il a prescrit à mon fils d'un mois une série de vaccins à réaliser à l'âge de deux mois. Bien évidemment, je trouvais que mon bébé était bien trop petit pour ça et comme je l'allaitais, je pensais qu'il serait au moins partiellement protégé via mon système immunitaire. J'aurais voulu avoir des renseignements sur la vaccination en général, sur les injections obligatoires et non obligatoires, sur ces vaccins qu'il venait de me prescrire... Mais mon médecin m'a tout de suite arrêtée net et s'est tout de suite ouvertement moqué de ma naïveté ("non il n'y a pas de bébé trop petit pour la vaccination et non l'allaitement maternel ne protège pas un enfant... De plus, tous les vaccins sont obligatoires sauf celui de l'hépatite B qui est sujet à controverse mais elle n'est pas vraiment justifiée car le vaccin est sûr et il n'y aucun risque à vacciner bébé...) Un peu bousculée mais rassurée, j'ai fait confiance car après tout, à qui peut-on faire confiance si ce n'est pas à son médecin...? Et puis mes questions étaient peut-être un peu stupides après tout, il connaît son métier le docteur hein? 

 

Et voilà qu'à deux mois et à peine plus de trois kilos, je fais subir à mon petit bébé deux injections combinant au total 19 valences vaccinales (ce que je ne savais pas à l'époque, mon médecin s'était bien gardé de me l'expliquer) via l'Infanrix hexa et le Prevenar 13... Mon petit cœur pleure énormément mais je me dis que c'est sûrement normal après une vaccination... il est amorphe et semble éteint quelques heures après les injections et ce pendant quelques jours... Ça aussi, je me dis que ça doit être normal... Et puis, il dort beaucoup mais je ne me pose pas davantage de questions car je me dis aussi qu'après tout, mon médecin n'injecterait pas quoi que ce soit qui puisse faire du mal à mon bébé et que des millions d'enfants se font vacciner chaque année à travers le monde... alors pourquoi m'inquiéter?

 

Nous voilà donc partis pour réaliser les injections du troisième mois chez un pédiatre... oui parce qu'on m'a dit qu'il était important de faire suivre un enfant par un spécialiste des enfants, spécialiste qui ajoutera d'ailleurs au cocktail prévu pour le mois d'après (Infanrix Hexa+ Prevenar 13) un autre vaccin à réaliser dès que possible (Méningitec)... 

 

Suite à la double injection de ce troisième mois (Infanrix Quinta + Prevenar 13), notre petit coeur réagira de la même façon qu'après celles du deuxième mois sauf qu'il fera également de la fièvre, laquelle restera peu élevée (39°C) puisque la pédiatre nous avait conseillé de lui administrer préventivement du Doliprane. On ne se pose toujours pas de questions: les réactions après un vaccin, c'est normal paraît-il...

 

Mais suite aux injections du quatrième mois (Infanrix Hexa + Méningitec: heureusement la pédiatre a jugé bon de ne pas lui administrer la dose de Prevenar 13 en même temps sinon je n'ose imaginer ce qui se serait passé...), notre bout de chou a vraiment mal réagi: à peine sorti du cabinet, notre fils était complètement apathique, comme drogué, amorphe, somnolent pendant plusieurs heures... J'étais très inquiète... Puis, 5 à 6 heures après les injections, toujours amorphe, il s'est mis à hurler à la mort, sans raison. Un cri strident, des pleurs inconsolables, comme pour crier une douleur... Des pleurs que nous ne sommes parvenus à calmer qu'après plusieurs heures et après lui avoir administré une bonne dose de Doliprane, selon les conseils de la pédiatre que nous avons contactée en panique...

  

Nous n'avions jamais vu ni entendu notre enfant dans un tel état... Il semblait beaucoup souffrir et nous ne parvenions pas à le soulager ni à l'apaiser en dépit de tous nos soins et nos efforts... Ce furent les pires heures de notre vie...  

 

La pédiatre qui l'avait vacciné et que nous avons alors contactée par téléphone a bien reconnu le lien de cause à effet entre l'état dans le quel se trouvait notre enfant et la vaccination mais elle n'a répondu à aucune autre de nos questions, nous laissant dans la panique la plus totale, la peur et l'incompréhension... Aux questions: "qu'est-ce qu'il se passe? Est-ce qu'il souffre? On ne l'a jamais vu comme ça, doit-on aller à l'hôpital?", elle a brièvement répondu: "donnez-lui du paracétamol dans un premier temps et on avisera après"... Il était presque 19h et son cabinet allait fermer. Alors, qu'est-ce qu'on allait faire si la situation ne s'arrangeait pas... Mais elle semblait mal à l'aise et incapable de se prononcer quant au dénouement de notre affaire... Elle a donc coupé court à notre conversation en raccrochant brutalement...

 

Désemparés, nous avons suivi son conseil, lui avons donné du Doliprane et avons attendu que notre petit bébé se calme sous nos soins, nos mots doux et nos caresses, ce qui s'est produit au bout de quelques heures... Ces heures où nous l'avons entendu gémir de douleur et pleurer de souffrance furent une vraie torture...  

 

Et oui, je dis bien SOUFFRIR! Nous en sommes bien certains à 100% malgré ce qu'a osé prétendre notre médecin traitant auquel nous avons exposé la situation et lequel nous a rétorqué que "les pleurs des bébés sont soumis à interprétation par les parents" ...  "Parce que, vous, en tant que parent, vous ne savez pas faire la différence entre les pleurs lambda de l'un de vos enfants et ses cris lorsque quelque-chose ne tourne vraiment pas rond et qu'il souffre???", lui ai-je répondu... Ce à quoi il n'a su que répondre.

 

C'est bien plus tard que j'ai compris que l'incapacité des nourrissons à dire leur douleur est bien commode lorsqu'il s'agit de vaccination.... Et que la mort subite du nourrisson a probablement bon dos... 

 

Après cette troisième série de vaccins, notre bébé a perdu certains de ses acquis (il ne maîtrisait plus la préhension alors qu'il l'avait acquise parfaitement, il ne souriait et ne babillait presque plus alors qu'il s'agissait de ses deux activités préférées), son regard sombrait souvent dans le vague et nous avions du mal à attirer son attention. Notre fils, jusqu'alors très interactif, était comme éteint. Il dormait plus aussi, semblait beaucoup moins tonique et éveillé... Et puis, de gros problèmes digestifs sont apparus (RGO, constipation/diarrhées, gaz et ballonnements intestinaux) et sa croissance s'est beaucoup ralentie.

 

C'est bien à ce moment que nous nous sommes posé des questions, que tout ça nous est apparu anormal et que les pièces du puzzle ont commencé à s'imbriquer dans nos têtes... Notre questionnement s'est d'ailleurs accentué face au "nihilisme" du corps médical qui a continué à nier l'évidence et à faire comme si de rien n'était, sans jamais remettre en cause la vaccination. Nous avons eu affaire à un médecin généraliste et deux pédiatres auxquels nous avons expliqué ce à quoi nous avions été confrontés et deux types de réactions se sont distingués:

 

- l'un a nié toute possibilité de cause à effet et a remis en cause notre appréciation de la situation (les vaccins sont sûrs, votre jugement de parent ne l'est pas)

 

- les deux autres ont reconnu officieusement ou à demi-mot la relation de cause à effet tout en tentant de la minimiser.

 

Quoi qu'il en soit, aucun d'entre eux n'a jugé utile de faire remonter l'information, ni d'interrompre la vaccination comme le stipule pourtant le Ministère de la Santé et les notices des vaccins en cas de réactions importantes telles que celles qu'a faites notre fils (hypotonie, hyporéactivité, syndrome du cri persistant, fièvre...)

 

Aujourd'hui, malgré ce qui s'est passé, on nous pousse à poursuivre la vaccination de notre enfant en nous faisant croire, qui plus est, que tous les vaccins sont obligatoires, ce qui est faux et parfaitement illégal! En effet, lorsque l'on prend le temps de se renseigner un peu par soi-même, on réalise que seule la vaccination contre le DTP est légalement obligatoire! 

 

La pression vaccinale latente est très forte et nous peinons, malgré les antécédents de notre fils et tous nos efforts pour expliquer la situation, à trouver un médecin qui appliquerait tout simplement le principe de précaution... C'est bien simple, lorsqu'on parle vaccination avec un médecin, on a l'impression de parler d'un sujet tabou et qu'il faut marcher sur des œufs!

 

Si j'avais su que ces injections pouvaient faire du mal à mon enfant, je m'en serai bien évidemment abstenue ou tout du moins, j'aurais opté pour le strict minimum... Mais je pensais le protéger, pas lui faire du mal!!!

 

Bref, tout ça pour dire qu'à l'heure d'aujourd'hui, notre fils semble (et je dis bien semble car étant donné qu'il n'a pas achevé son développement psycho-moteur, nous ne pouvons en être certains à 100%) avoir récupéré ses capacités et il semble aller bien même s'il a conservé ses troubles digestifs et que nous peinons à lui faire prendre du poids...

 

Nous avons eu très peur pendant quelques semaines et quoique les médecins en disent, nous savons pertinemment qu'il s'est passé quelque-chose de grave suite à ces vaccins et qu'il aurait pu ou pourrait en conserver des séquelles... A cause de la valence coquelucheuse, à cause de la vaccination multiple, à cause de l'aluminium, à cause des différents produits chimiques et/ou toxiques contenus dans les vaccins ou peut-être bien le cocktail explosif que tous ces éléments représentent pour un si petit être humain dont on ne connait rien (de sa santé, de ses constantes biologiques, de sa potentielle sensibilité aux différents produits alimentaires et environnementaux) et dont le système immunitaire est encore complètement immature.... 

 

En tant que maman, je m'en veux atrocement d'avoir fait subir ça à mon enfant... Et surtout je m'en veux d'avoir fait aveuglément confiance à des médecins, qui lorsque nous avons eu besoin d'eux, de leur soutien, de leur écoute... nous ont fermé la porte, ont décrédibilisé nos propos en ignorant tout bonnement le principe de précaution et en nous incitant sciemment à exposer de nouveau notre enfant aux risques de la vaccination qu'ils sacralisent plus que tout au détriment de la santé des patients dont ils sont pourtant censés être les garants, vaccination qui lui a pourtant déjà été de toute évidence préjudiciable...

 

Il m'est aujourd'hui inconcevable d'imaginer que la grande majorité des parents exposent ainsi, sans le savoir, leur enfant à un risque qu'ils ignorent via un acte qui leur semble anodin et ordinaire alors qu'il peut pourtant être très lourd de conséquences... La propagande pro-vaccination est partout, via des publicités vantant les mérites de nouveaux vaccins dont on a aucun retour et jouant sur la peur que les parents ressentent à l'idée que leurs enfants contractent une maladie... Mais le corps médical et les autorités sanitaires se montrent néanmoins beaucoup moins loquaces quant on leur pose des questions liées aux effets indésirables possibles ou des interrogations inhérentes à la balance bénéfice/risque... Pire, remettre la vaccination en question est quasiment un crime! 

 

Il ne faut pas être né de la dernière pluie pour comprendre où sont les conflits d'intérêts dans cette affaire et il est évident que lorsqu'on commence à s'informer sur le sujet, l'acte vaccinal est rapidement remis en question... C'est ainsi que pas mal d'interrogations me sont venues :

 

- Pourquoi nous pousse-t-on à penser que tous les vaccins sont obligatoires alors que seul le DTP l'est en réalité en France?

 

- Seul le DTP est obligatoire en France, ce qui signifie qu'il est possible d'opter pour une vaccination minimale alors pourquoi ce vaccin n'existe-t-il plus sur le marché? (en effet le DTP est aujourd'hui systématiquement combiné avec AU MINIMUM la coqueluche sous la forme de l'Infanrix Tetra ou du Tetravac)

 

- Etant donné que seule la vaccination contre le DTP est obligatoire en France, en cas d'accident post-vaccinal suite à une vaccination combinant plusieurs autres valences vaccinales, il semblerait que c'est la responsabilité parentale qui est engagée et non plus celle de l'industrie pharmaceutique, de l'état ou du médecin vaccinateur... alors pourquoi ce DTP SEUL n'est-il plus disponible sur le marché? Et qui paye les pots cassés lorsqu'un enfant reste sur le carreau suite à l'une de ces vaccinations multiples?

 

- Il semblerait que les médecins soient incités par l'ordre des médecins à procéder au signalement de parents qui, afin de protéger leur enfant, souhaitent retarder la vaccination, refusent de soumettre leur enfant au programme de vaccination établi par le calendrier des recommandations (qui n'est pourtant pas obligatoire!) ou souhaitent simplement se limiter à l'obligation vaccinale légale. Ces parents sont alors stigmatisés comme étant maltraitants alors même que la loi va dans leur sens en exigeant seulement de commencer la vaccination contre le DTP comme suit:

 

---> Diphtérie : (Loi 1938) CSP Art. L 3111­2. Avant 18 mois, 3 injections à un mois d’intervalle, un rappel un an après, aucun autre rappel n’est exigé.

 

--->Tétanos : (Loi 1940) CSP Art. L 3111­2. Avant 18 mois, 3 injections à un mois d’intervalle, un rappel  un an  après, aucun  autre rappel n’est exigé.

 

---> Polio : (Loi 1964) CSP Art. L 3111­3. Avant 18 mois, 3 injections à un mois d’intervalle, un rappel  un an  après, aucun autre rappel n’est exigé.

 

Je précise qu'un signalement aboutit parfois à un placement de l'enfant, lequel est alors dans ce cas totalement abusif! 

 

(http://www.conseil-national.medecin.fr/derives-sectaires-1256)

(http://www.hcsp.fr/docspdf/avisrapports/hcspa20111213_defoblvacadinde.pdf)

 

- Les médecins, insoumis quant à la politique vaccinale promue seraient menacés de radiation par l'ordre des médecins... Pourquoi alors même qu'ils appliquent tout bonnement le principe de précaution et respectent le serment d'Hippocrate? ("Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité. J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.")

 

- La vaccination est aujourd'hui au coeur d'une polémique et elle est soupçonnée d'être à l'origine de différentes pathologies plus ou moins méconnues: myofasciite à macrophages, lupus, autisme, sclérose en plaques (et j'en passe et des meilleurs) mais aussi et surtout la mort subite du nourrisson...

 

---> Pourquoi au sein des populations qui ne vaccinent pas (comme la population Amish), l'autisme est-il inexistant?

 

---> Pourquoi au sein des populations qui ne vaccinent pas les enfants avant deux ans, la mort subite du nourrisson est-elle également inexistante?

 

---> Pourquoi les enfants non vaccinés sont-ils en meilleure santé que les enfants vaccinés?

 

---> Pourquoi les enfants vaccinés selon les recommandations contractent-ils quand même les maladies contre lesquelles ils devraient être protégés?

 

---> Pourquoi ne fait-on rien pour ôter l'aluminium et le mercure présents dans les vaccins actuels, métaux lourds dont la dangerosité et la toxicité neurologique ne sont plus à prouver, lesquels ont pourtant déjà été retirés d'autres objets de notre quotidien (thermomètres, piles, déodorants...) car hautement cancérigènes? (surtout qu'il existe des adjuvants non toxiques et biodégradables...)

 

---> Pourquoi nous pousse-t-on à vacciner les enfants si petits alors même que leur système immunitaire est immature et qu'on ne connait encore rien de leur santé? (il est certain qu'un accident post-vaccinal chez un bébé, ça passe plus facilement inaperçu: un bébé ça ne parle pas et ça pleure déjà beaucoup... Et quand bien même cette vaccination laisserait des séquelles, la mort subite du nourrisson, le syndrome du bébé secoué, les retards mentaux et autres déficits neurologiques en tous genres sont des termes fourre-tout qui ont très bon dos...)

 

- Pourquoi la balance bénéfices/risques (qui est capitale pour connaître le plus scientifiquement possible l’intérêt d’un vaccin) n’a-t-elle pas été scientifiquement calculée (pour les vaccins obligatoires) depuis le lancement de l’obligation vaccinale il y a plus de 50 ans???

 

- Malgré les nombreux antécédents de catastrophes sanitaires dues à la vaccination et aux médicaments en général, pourquoi ne pas appliquer tout simplement le principe de précaution?

 

Voici quelques faits historiques qui étayent ces questions:

 

Aux Etats-Unis en 1960, deux virologues ont découvert que les deux vaccins contre la polio avaient été contaminés par le virus SV40 qui cause le cancer chez les animaux ainsi que des changements dans les cultures cellulaires des tissus humains. Des millions d’enfants ont reçu ces vaccins. (Med Jnl de l’Australie 17/3/1973 P555)

 

• En 1871-2, l’Angleterre, avec 98% des personnes âgées entre 2 et 50 ans vaccinées contre la variole, a connu sa pire épidémie de variole avec 45.000 morts. Pendant la même période en Allemagne, avec un taux de vaccination de 96%, il existait plus de 125.000 décès dus à la variole. (http://www.soilandhealth.org/02/020 …) Le Hadwen Documents

 

• En Allemagne, la vaccination de masse obligatoire contre la diphtérie a commencé en 1940, et en 1945, les cas de diphtérie ont augmenté de 40.000 à 250.000. (Don’t Get Stuck, Hannah Allen)

 

 • En 1967, le Ghana a été déclaré libéré de la rougeole par l’ OMS (Organisation mondiale de la santé), après que 96% de sa population eut été vaccinée. En 1972, le Ghana a connu l'’une de ses pires épidémies de rougeole en atteignant son plus haut taux de mortalité. (Dr H Albônico, des vaccins ROR campagne en Suisse, Mars 1990)

 

• En 1977, le Dr Jonas Salk, qui a développé le premier vaccin antipoliomyélitique, a témoigné avec d’autres scientifiques, que la vaccination de masse contre la poliomyélite a été la cause de la plupart des cas de poliomyélite à travers les USA depuis 1961. (Science 4/4/77 « Résumés»)

 

• Au Royaume-Uni entre 1970 et 1990, plus de 200.000 cas de coqueluche sont survenus chez des enfants vaccinés. (Community Disease Surveillance Centre, UK)

 

• Dans les années 1970, un essai du vaccin contre la tuberculose en Inde impliquant 260.000 personnes a révélé que plus de cas de tuberculose sont survenus chez les vaccinés que les non vaccinés. (The Lancet 12/1/80 p73)

 

• En 1978, une enquête auprès de 30 États aux États-Unis a révélé que plus de la moitié des enfants qui ont contracté la rougeole avaient été correctement vaccinés. (The People’s docteur, le Dr R. Mendelsohn)

 

• En Février 1981, le Journal  « Journal of the American Medical Association » a révélé que 90% des obstétriciens et 66% des pédiatres ont refusé de prendre le vaccin contre la rubéole.

 

• En 1979, la Suède a abandonné le vaccin contre la coqueluche en raison de son inefficacité: 5140 cas en 1978, et il a été constaté que 84% avaient été vaccinés trois fois! (BMJ 283:696-697, 1981)

 

• Aux USA, le coût du vaccin DTC (diphtérique- tétanique- coqueluche) est passé de 11 cents en 1982 à 11,40 $ en 1987. Les fabricants du vaccin mettaient de côté 8 $ pour couvrir les frais juridiques et les dommages qu’ils payaient aux parents des enfants aux cerveaux endommagés et aux parents d’enfants qui sont morts après la vaccination. (Le Vine, n o 7, Janvier 1994, Nambour, Qld)

 

Selon moi, tout est fait pour que l'on n'ait pas le loisir de penser, réfléchir, questionner l'acte vaccinal de façon à choisir librement en étant tout à fait bien informé...

Pourtant, chacun est en droit de savoir, et il revient à chacun de s'informer par ses propres moyens afin d'être en mesure de choisir librement de se faire vacciner... partiellement, totalement ou pas! 

 

Personnellement notre malheureuse expérience m'a servi de leçon et je ne ferai pas l'autruche car ce serait aussi me rendre complice du prochain scandale sanitaire... 

 

Bien évidemment, nous ne nous ferons plus vacciner tant qu'un vaccin dont la totale innocuité ne sera pas prouvée avant d'être mis sur le marché... Ce qui, selon toute vraisemblance, n'arrivera pas avant très longtemps.

  

Source: site de la Fondation Stacy

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 20:30

Vous pouvez lire ici le communiqué co-signé par six médecins du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins, au sujet de cette dangereuse loi qui gagne réellement à être rejetée lors de la votation prévue le 22 septembre prochain.

 

Nous vous rappelons que vous pouvez aussi écouter ou réécouter l'interview audio du Dr J-P. Ecklin sur ce même sujet il y a encore quelques jours. Vous pouvez aussi visiter l'excellent site trilingue du groupe à l'origine de la possibilité de voter pour ou contre cette loi: www.non-a-la-vaccination-obligatoire.ch

 

Informez-vous, lisez, c'est MAINTENANT qu'il faut le faire et pas regretter par après d'avoir contribué à son propre escalavage et à sa propre mise en danger!

 

manif-suisse-votation.jpg

Séance d'information à Lausanne au sujet de la future loi sur les épidémies  

 

 

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 20:55

Une Loi du Minnesota interdit le formaldéhyde cancérigène dans les objets pour enfants, à l’exception des vaccins

 

Par Jeffry John Aufderheide, 8 septembre 2013

 

Formaldehyde-ban--enfant-.jpg

 

Le formaldéhyde est désormais interdit dans les produits pour enfants mais une exception ait été faite pour les vaccins.

 

Les législateurs de l’Etat du Minnesota ont décidé que le formaldéhyde, agent cancérigène connu, était trop dangereux pour qu’il puisse se trouver dans les produits pour enfants.

 

Conformément à l’article 325F.175–(HF458), les produits contenant du formaldéhyde sont interdits à la vente à partir du 1er août 2014 pour les fabricants, et à partir du 1er août 2014 pour les détaillants][1]

 

Enfin une réponse à l’un des nombreux ingrédients toxiques injectés dans le corps des enfants ?

 

Pas si vite. A première vue, il semble que le Minnesota s’attaque à au moins l’un des nombreux produits chimiques toxiques que l’on trouve dans les vaccins. Toutefois, un paragraphe soigneusement pensé, crée une exception pour exclure les vaccins de cette interdiction.

 

L’échappatoire pharmaceutique

 

Comment se fait-il que le formaldéhyde soit interdit dans les jouets et les vêtements pour enfants et qu’il puisse encore se trouver dans les vaccins ? La nouvelle loi du Minnesota fait une exception pour les vaccins dans la section « 325F.174-Définitions »

 

On y lit :

 

 « Produit pour enfant » s’applique à tout produit conçu ou destiné par le fabricant pour être en contact physique ou pour être introduit dans le corps d’un enfant, y compris tout article utilisé en tant que composant d’un produit, à l’exclusion de tout aliment, boisson, complément alimentaire, produit pharmaceutique ou biologique, jouets qui sont couverts par la norme ASTM International F963 sécurité des jouets ou d’un dispositif médical tel que défini dans le « Federal Food,Drug, and cosmetic Act,United States Code, title 21, section 321(h), tel que modifié au 15 février 2013. » [1] (Souligné par l’auteur de l’article).

 

Franchement, je reste perplexe. Les législateurs ne veulent pas que votre enfant puisse jouer ou mettre dans sa bouche des produits qui contiennent du formaldéhyde, mais si votre médecin injecte un vaccin contenant du formaldéhyde, là il n’y aurait aucun problème ?

 

Quels sont les vaccins qui contiennent du formaldéhyde ?

 

On pourrait tout d’abord se poser la question de savoir pourquoi on trouve du formaldéhyde dans les vaccins ?

 

En résumé, on peut dire que ce produit chimique a été utilisé dans le processus de fabrication des vaccins pendant plus d’un demi siècle. On a commencé à l’utiliser pour inactiver le virus de la polio dans les premiers vaccins mis au point par Jonas Salk à la fin des années 1940 et au début des années 1950. [2]

 

Boite-vac--polio.JPG

Le formaldéhyde n’a pu inactiver tous les virus du vaccin.- Le vaccin polio a été contaminé par le virus simien cancérogène SV40

 

Après avoir été utilisé dans le vaccin polio, le formaldéhyde a été largement utilisé dans la fabrication des vaccins pédiatriques.

 

Pour nous rendre compte du nombre de vaccins qui contiennent ce produit chimique cancérogène, jetons un coup d’œil au site de l’Hôpital pour enfants de Philadelphie. Par rapport à la teneur en formaldéhyde des vaccins homologués pour utilisation aux Etats-Unis, la quantité par dose a été convertie de mg en mcg [3] :

 

Nom commercial / Quantité (par dose)

 

  • Td / DT:  ≤ 20 mcg – 100 mcg
  • Daptacel: ≤ 100 mcg
  • Infanrix: ≤ 100 mcg
  • Tripedia: ≤ 100 mcg
  • Pediarix: ≤ 100 mcg
  • Havrix: ≤ 50 mcg (pediatric)
  • Vaqta: 4 mcg (pediatric)
  • Twinrix: ≤ 100 mcg
  • Comvax: < 0.4 mcg
  • IPOL: ≤20 mcg
  • JE-Vax: < 200 mcg
  • ADACEL: < 5 mcg
  • Boostrix: < 100 mcg
  • Fluarix: ≤ 5 mcg
  • FluLaval: < 25 mcg
  • Fluzone – intradermal: < 20 mcg

 

Il est important de jeter un coup d’œil au calendrier de vaccinations (USA) pour se rendre compte des doses de formaldéhyde qui seront injectées à votre enfant :

http://vactruth.com/baby-vaccine-schedule/

 

Que disent les experts ?

 

Il semble bien y avoir divergences de vues par rapport à la sûreté du formaldéhyde.

 

D’une part, la recherche sur le site de l’Environmental Protection Agency (EPA), nous met en garde en disant : «  Le formaldéhyde peut endommager les cellules en se liant à l’ADN et ainsi former des adduits ADN de formaldéhyde ; ce processus peut interférer avec la réplication de l’ADN et conduire à des mutations comme à des tumeurs cancéreuses. » (Souligné par l’auteur de l’article)

 

Cela devrait être extrêmement préoccupant parce que dans chaque notice de vaccin http://vactruth.com/vaccine-inserts/ on peut trouver le passage suivant « Ce vaccin n’a pas été évalué pour ses effets cancérogènes [qui peut provoquer le cancer], ses potentiels mutagènes ou l’altération de la fertilité. »

 

Personnellement, je prends cela comme un avertissement très sérieux étant donné qu’il est donné par la Food and Drug Administration (FDA).

 

L’autre aspect de l’argument avancé par la FDA et qui justifie la présence de formaldéhyde dans les vaccins est le suivant : «  La quantité de formaldéhyde présente dans certains vaccins administrés aux nourrissons est si faible par rapport à la concentration qui se produit naturellement  dans le corps qu’elle ne pose pas un problème de sécurité, selon une étude utilisant un modèle mathématique mis au point par des scientifiques de la FDA américaine. » [5]  (Souligné par l’auteur de l’article).

 

Il s’agit de ne pas oublier ce point : l’hypothèse est basée sur un modèle mathématique. ..

 

Ci-dessous 7 questions fondamentales que chaque parent devrait pouvoir poser :

 

- Ce modèle mathématique a-t-il été le seul critère utilisé pour déterminer si le formaldéhyde ne présentait aucun danger quand il est injecté à des bébés ?

 

- Le formaldéhyde a-t-il été testé sur des animaux ? Si oui, quels en  sont les résultats et ou se trouvent ces données ?

 

- Quelles sont les mesures scientifiques qui ont été utilisées pour évaluer les dommages possibles chez les nourrissons ?

 

 - A quel type de test puis-je m’en référer pour vérifier si le formaldéhyde n’a pas endommagé la santé de mon enfant ?

 

- Tous les bébés ne sont pas identiques et ne possèdent pas le même métabolisme. Les modèles mathématiques ont-t-ils pu prendre en compte et assurer les compensations qui s’imposent pour les différences sur le plan génétique, ou ont-ils considéré que tous les enfants étaient les mêmes ?

 

- Quelle attention a-t-on porté au fait que ce produit chimique est administré de manière répétée aux nourrissons. Ce produit ne pourrait-il pas être susceptible de les sensibiliser et de créer des allergies à vie ?

 

De nombreux pharmaciens recommandent de ne pas mélanger les médicaments. Les vaccins ne seraient-ils pas après tout aussi des médicaments ?

Quels sont les effets synergiques de vaccins multiples, d’ingrédients multiples comme le mercure, l’aluminium que l’on injecte parfois en même temps à des bébés ?

 

La littérature pharmaceutique met en garde les scientifiques arrogants par rapport à de grandes hypothèses concernant l’impact d’ingrédients « inoffensifs » sur les enfants.

 

«  Les produits pharmaceutiques peuvent contenir, en plus de l’agent actif ou thérapeutique, une variété d’autres ingrédients considérés comme inertes ou inactifs et qui sont classés comme excipients ou additifs (aromatisants, édulcorants, conservateurs, stabilisants, diluants, lubrifiants, etc.). Pour certains excipients, les mots « inertes » ou « inactifs » peuvent être erronément désignés comme tels parce qu’il a été montré que certains pouvaient provoquer des effets indésirables. Les nouveau-nés et les jeunes enfants courent plus de risques d’avoir des effets indésirables parce qu’ils pourraient ne pas être capables de métaboliser ou d’éliminer tel ou tel ingrédient d’un produit pharmaceutique de la même manière que pourrait le faire un adulte. » (pp.344) (L’auteur souligne) Swarbrick, James and Boylan, James C. Encyclopedia of Pharmaceutical Technology. Vol. 11. 1995. New York: Marcel Dekker, Inc.

 

[…]

 

Conclusion

 

Si la législature est préoccupée par les vêtements ou les jouets d’enfants qui contiennent du formaldéhyde, pourquoi peut-on sans problème accorder un passe-droit à des produits pharmaceutiques qui en contiennent ?

 

En fin de compte, les responsables gouvernementaux ne connaissent ni le nom ni le visage de votre enfant. Ils se préoccupent de garder leur poste en veillant à respecter les politiques mises en place. La vérité toute crue est la suivante : s’il arrive que votre enfant soit victime d’un effet secondaire de vaccin, les fabricants, eux, sont protégés par la loi.

 

Enfin, comme point de départ, je vous recommande la lecture d’un document plus ancien qui explique ce qui arrive quand on injecte du formaldéhyde à des animaux :   Martin H. Fisher : « Les effets toxiques du Formaldéhyde et du formol. » [6]

 

Références

 

1. https://www.revisor.mn.gov/bills/text.php?number=HF458…

2. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2537623/pdf/bullwho00525-0116.pdf

3. http://www.chop.edu/service/vaccine-education-center/vaccine-safety…

4.http://cfpub.epa.gov/ncer_abstracts/index.cfm/fuseaction/display.abstractDetail/abstract/2338

5. http://www.fda.gov/BiologicsBloodVaccines/ScienceResearch/ucm349473.htm

6. http://jem.rupress.org/content/6/4-6/487.full.pdf+html

 

"En tant qu’êtres intelligents, c’est notre incapacité à voir les effets des faibles niveaux de toxicité chronique sur la santé qui a été et qui reste notre échec le plus retentissant." Pr Dr Boyd HALEY, Université du Kentucky

 

Voir aussi l'article connexe suivant:

 

Tapis-Puzzle vs Vaccins: quelle politique pour les produits contenant des substances toxiques voire cancérigènes?

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 20:25

science et vie 001

Une lectrice nous a fait parvenir un ancien numéro de Science & Vie (de septembre 2012) dans lequel on peut lire l'article intitulé "Les vaccins à la loupe; ceux qui sont indispensables... et les autres."

 

Faire croire à priori et sans évaluer la situation particulière des gens que certains vaccins seraient vraiment indispensables relève bien davantage d'une tentative d'aider un establishment vaccinaliste à la dérive que d'une vraie Science intelligente, lucide et objective.

 

Mais il est bien évident qu'au fur et à mesure que la désaffection vaccinale va augmenter, certains, au nom des meilleures intentions du monde, vont tout faire pour essayer de "sauver les meubles" comme on dit.

 

Avant de commencer, voici déjà comment la revue explique la méthode qu'elle a utilisée pour classer les vaccins en trois catégories: indispensables, recommandés et "on peut s'en passer".

 

"Pour établir cette classification de la pertinence des vaccins en fonction des maladies, nous nous sommes basés sur le calendrier vaccinal 2012 élaboré par le Ministère de la Santé à partir des recommandations du Comité Technique des Vaccinations. Pour chaque maladie, nous avons examiné les données épidémiologiques (incidence, mortalité, risques de séquelles) publiées par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Institut National de Veille Sanitaire (INVS), complétés par une série d'entretiens avec des membres du Comité Technique des Vaccinations et de l'INVS."

 

Plus loin dans l'article, Science & Vie précise encore "avoir été chercher les informations OFFICIELLEMENT disponibles" pour établir son classement.

 

Tout ceci pose donc déjà d'emblée un énorme problème d'objectivité et de rigueur journalistique compte tenu de solides précédents historiques que des journalistes compétents ne peuvent ignorer (information officielle parcellaire, complaisante avec les intérêts des laboratoires, conflits d'intérêts majeurs au Comité Technique des Vaccinations & à l'OMS; erreurs d'appréciation manifestes dans le chef de l'INVS comme quand le Dr Françoise Weber de cette instance affirmait péremptoirement à la télé en 2009 que ce qui était certain, c'est que le H1N1 ferait un plus grand nombre de malades et de décès qu'une grippe saisonnière saisonnière, cf temps 1'21'' dans cette vidéo.). Combien d'autres documents confidentiels (cf. ici, ici ou ici) et donc généralement indisponibles ne sont pas venus montrer, une fois révélés, à quel point il est DANGEREUX et même irresponsable de ne baser ses choix que sur cette "information officiellement disponible"??

 

La parole est une fois encore donnée dans cet article à l'indéboulonnable Daniel Floret, sans que ses lourds conflits d'intérêts soient ici rappelés.

 

Finalement, pour Science & Vie, quasi tous les vaccins sont "indispensables" ou "recommandés" avec juste un ou deux étiquetés "on peut s'en passer", sans doute pour faire croire qu'ils peuvent aussi avoir l'esprit critique. Mais l'illusion sera de courte durée quand on lit par exemple dans un encadré en page  127 que "Certains vaccins peu ou pas utiles pendant l'enfance peuvent le devenir avec l'entrée dans la vie d'adulte. C'est par exemple le cas des vaccins contre les infections sexuelles transmissibles comme l'hépatite B et les papillomavirus (HPV). La vaccination contre l'hépatite B semble alors indispensable pour tous. Celle contre les HPV est à recommander aux jeunes filles qui souhaitent bénéficier d'une protection complémentaire au dépistage préventif par frottis."

 

Seuls les vaccins BCG et hépatite B sont donc notés comme "on peut s'en passer" et encore, avec toute une série de précautions oratoires.

 

Science & Vie ose même noter que le vaccin anti-hépatite B est "très efficace et bien toléré" mais si cela était réellement le cas, non seulement l'industrie pharmaceutique ne travaillerait pas à une nouvelle génération de vaccins anti-hépatite B mais aussi, cette vaccination n'aurait pas été responsable d'une des plus grandes séries d'effets secondaires de toute l'histoire de la pharmacovigilance comme en atteste pourtant le rapport Dartigues!!

 

Quant aux vaccins anti-HPV, la revue fait évidemment fi des risques conséquents du Gardasil et du Cervarix qui pèsent évidemment hélas plus lourd que des prétendues protections, toujours inconsistantes et bien trop limitées pour les jeunes filles cobayes qui le subissent. C'est si vrai que la contestation populaire augmente contre ces vaccins, y compris par exemple au Japon où ils ont cessé de la recommander officiellement et aussi en Israël où des associations de victimes demandent également sa suspension.

 

Le vaccin contre la méningite C est classé comme "indispensable" alors que les générations antérieures ont très bien vécu sans, que cette maladie est très rare et surtout, que les chiffres disponibles montrent que les complications graves du vaccin sont plus fréquentes que le risque statistique d'attraper naturellement une telle maladie! La "justification" affligeante de Science & Vie est que cette affection aurait touché 125 personnes en France en 2009 dont 16% de décès et ce sur plus de 61 millions d'habitants! Les chiffres d'effets secondaires GRAVES d'un vaccin comme le Meningitec sont selon son fabricant de 4 pour 100 000 vaccinations et selon des études indépendantes, ces chiffres sont plus de 100 fois plus importants avec un taux réel de 459 effets graves dont des cas neurologiques irréversibles sur 100 000 vaccinations. Avec ces chiffres, le calcul est très vite fait et on voit aisément que si on vaccine tous les enfants et les adolescents en France, le taux d'effets graves sera sûrement supérieur aux taux de complications de la maladie naturelle. En outre, il serait intéressant de pouvoir disposer de données nettement plus détaillées sur les dossiers médicaux individuels et les paramètres immunitaires ainsi que le mode de vie des victimes de cette maladie naturelle.

 

Le vaccin contre la rubéole est lui aussi présenté comme indispensable (pour tous) alors que Science & Vie admet pourtant que le bénéfice est en réalité nul pour les hommes et les garçons. L'excuse de Science & Vie est de dire que si on ne faisait pas une vaccination généralisée, l'effet pervers de... la vaccination serait que les femmes précédemment vaccinées (càd dans l'enfance) seraient davantage enclines à contracter la maladie au mauvais moment c'est à dire en cours de grossesse. Quelle incohérence, c'est incroyable! C'est en fait admettre qu'il est tout à fait ABSURDE de vacciner les enfants dont les fillettes qui n'encourent à ce jeune âge absolument aucun risque-que du contraire!- en contractant une rubéole naturelle qui les immunisera de façon durable contrairement à la vaccination qui les laissera en réalité vulnérables au moment d'entamer une grossesse. La vaccination généralisée des enfants est donc un triste exemple du caractère idéologique de la vaccination et il s'agit bien entendu d'une fausse protection. D'autant que plus qu'avant l'introduction du vaccin, plus de 90 à 95% des jeunes femmes étaient déjà NATURELLEMENT immunisées à l'âge où elles pouvaient être mères.

 

Chose "étrange", c'est aussi l'incohérence de Science et Vie qui n'hésite pas à qualifier la varicelle de maladie bénigne dans l'enfance et de ne recommander ainsi cette vaccination qu'à l'âge adulte si la personne n'a pas été naturellement immunisée avant, mais qui n'applique par exemple pas ce genre de recommandation pour la rubéole alors que cette maladie est tout aussi bénigne dans l'enfance et encore même plus!

 

Pour la vaccination contre la rougeole, c'est la même recette de peur et d'incohérence et elle est donc classée "indispensable". Les chiffres avancés sont de 714 pneumopathies graves, de 16 complications neurologiques, 6 décès depuis 2008 sur un total de 15 000 cas. Hélas, sur plusieurs centaines de milliers de jeunes enfants vaccinés et même revaccinés avec une deuxième dose de ROR (qui double ainsi les risques par enfant ne l'oublions pas!) chaque année, il n'est pas du tout évident que le taux de décès et de complications neurologiques irréversibles ne soit pas supérieur avec la vaccination que sans, d'autant plus que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement comptabilisés.

 

La très inutile et très risquée vaccination contre les pneumocoques (Prevenar) est elle aussi classée dans les "indispensables" avec le prétexte que les pneumocoques peuvent générer des méningites mais sans bien sûr avouer que cette vaccination a en réalité augmenté les méningites à pneumocoques en France, comme le rappelait le Figaro en octobre 2011 (or cette revue de Science & Vie fut publiée quasi un an plus tard, en septembre 2012, c'est donc dire si leurs journalistes se tiennent au courant!). En outre, cette vaccination a engendré plusieurs décès, des comas, des cas d'enfants qui crachent du sang etc. Des séquelles neurologiques aussi (lire par exemple ICI, ICI et ICI pour + d'infos)

 

La vaccination antitétanique est classée dans les "indispensables" sur base du seul critère de gravité possible de la maladie. C'est donc une sorte de pensée magique qui est à l'oeuvre ici, si la maladie est grave, d'office, ça mérite le vaccin (et finalement, peu importe ses risques liés à ses composants, peu importe si on peut faire quand même la maladie en ayant été bien vacciné et en ayant suffisamment d'anticorps). 14 cas de tétanos sur plus de 61 millions d'habitants en 2010. A comparer aux accidents de la route...

 

La vaccination contre la coqueluche est elle encore classée dans les "indispensables" avec l'indication qu'une vaccination est aussi conseillée à l'entourage du nourrisson alors qu'une publication canadienne rigoureuse a pourtant clairement démontré dès février 2012 l'inefficacité flagrante d'une telle stratégie ("cocoon") de vaccination !! Là encore, on peut vraiment se demander si les journalistes de cette revue se tiennent au courant?!

 

La vaccination anti-haemophilius (Hib) est également classée dans les "indispensables" mais là encore, rien n'est dit sur ses effets secondaires ni sur le fait que des générations entières ont très bien vécu sans! Quid par exemple du risque de diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant, autrement plus grave en terme d'irréversibilité qu'une infection par Hib statistiquement parlant!) qui selon des auteurs comme Classen est supérieur au bénéfice qu'on peut vraiment attendre de cette vaccination Hib? Là encore, l'information était diffusée depuis des années puisque le Dr Classen sonnait déjà l'alerte dans le British Medical Journal en 1999!! Science & Vie affirme que cette vaccination évite "à coup sûr" les infections à Hib mais jamais aucun vaccin ne protège à coup sûr car aucun n'a jamais une efficacité de 100%, les individus étant immunologiquement différents les uns des autres!

 

La vaccination contre la diphtérie est classée dans les "recommandées" alors que c'est l'une des moins efficaces et des plus inutiles. Malgré une vaccination obligatoire à l'époque de la Seconde Guerre Mondiale, cela n'a NULLEMENT empêché un pic de cas et de décès, preuve que c'est avant tout les conditions sociales et socio-économiques qui sont les plus déterminantes pour ce genre de "maladie de la pauvreté" dont les complications graves se produisent lorsque le taux de fer libre est insuffisant dans le sang. La vaccination n'a d'ailleurs aucun impact sur la bactérie puisqu'elle est dirigée contre la toxine or toutes les bactéries ne sont pas pathogènes, il faut pour cela qu'elles aient été infectées par un virus spécial (phage bêta).

 

La vaccination contre la poliomyélite est quant à elle aussi classée dans celles recommandées. La revue signale la baisse des cas depuis plusieurs décennies mais elle ne rappelle pas le changement de définition de la maladie qui est intervenu peu après l'introduction des vaccins (et qui a évidemment joué à la baisse sur le nombre de cas recensés car ces critères avaient été durcis), ni les revers accablants des programmes (comme les plus de 47 000 cas de paralysie flasque aiguë, deux fois plus meurtière, survenus en Inde rien qu'en 2011 grâce au vaccin!). Rien n'est dit non plus sur les dizaines de millions de gens qui ont été contaminés par le virus simien cancérogène SV40 par le biais de ces vaccins produits sur cultures de cellules de reins de singes. En France, au pic de l'épidémie, c'était 4500 cas qui étaient recensés au maximum mais dont tous ne se soldaient évidemment pas par une paralysie ou une séquelle définitive. Normalement, seul un cas de polio naturelle sur 200 est à même de déboucher sur une paralysie.

 

Au terme de ce petit tour d'horizon sur le sérieux des infos vaccinales fournies par Science & Vie, on est donc en droit de se demander si le magazine sert vraiment l'intérêt et la santé de ses lecteurs ou plutôt l'establishment médico-pharmaceutique. Les lecteurs de ce site jugeront!

 

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 15:40

Le journal Le Soir a publié dans l'édition de ces 7 et 8 septembre un article des plus inquiétants sur l'avènement (ou presque) du fichage ADN généralisé.

 

On commence doucement mais selon nous, il est évident que l'argent sera trouvé et que ce genre de projet sera promu "au nom de la Science", de potentielles découvertes positives etc etc.

 

Mais le fait est que le séquençage de l'ADN de milliers de nourrissons débute déjà aux USA à l'heure actuelle. Tous ces enfants auraient-ils marqué leur accord s'ils étaient en âge de le faire? L'accord de tous les parents a-t-il vraiment été sollicité? Nous pouvons à tout le moins être très sceptiques et circonspects sur ce point aussi.

 

Détectera-t-on des mutations ou finira-t-on aussi peut-être par en provoquer pour prétendument mieux les étudier? (ce qui est le même genre de "raisonnement" que celui des apprentis sorciers qui ont déjà croisé les virus H1N1 et H5N1 mais aussi H7N9 et H5N1 pour soi-disant mieux prévenir et mieux préparer une future pandémie!)

 

ADN-sequencage.jpg

A, T, C, G, les "lettres de base" qui composent l'alphabet général (le génome). L'information génétique des êtres vivants se retrouve au niveau du noyau de toutes les cellules et sa nature dépend de l'ordre d'enchaînement de ces "lettres". L'ADN a une structure en "double hélice" et les nucléotides (associations d'un sucre à cinq atomes de carbone, d'un groupement phosphate et d'une baze azotée (A, T, C ou G) ) ne s'apparient pas n'importe comment entre les deux brins de cette double hélice. Les bases A s'associent toujours sur l'autre branche de l'hélice à un T et vice-versa. De même, les bases C s'associent toujours à G et vice-versa, aucune autre combinaison n'étant possible entre les deux brins. On a longtemps pensé que l'ADN commandait l'aval sans que l'aval (influences extérieures diverses) puisse cependant aussi influencer en retour l'ADN ce qui est pourtant bien le cas. 

 

Là encore, qui en profitera le plus? Big Pharma avec des traitements déjà tout prêts en embuscade, qui ne manqueront pas d'occulter toutes les autres possibilités de traitements et de prévention. C'est le même danger et le même carcan idéologique qui est ici à l'oeuvre que celui des vaccins ou encore tout le vaste champ d'une médecine purement symptomatique.

 

Avec les vaccins, on simplifie de façon éhontée les mécanismes immunologiques, on se trouve dans un cadre conceptuel qui est à mille lieues de la complexité réelle du système immunitaire. Le "tout vaccin" est le pendant, en matière de vaccinologie, du réflexe des médicaments symptomatiques à la moindre occasion en médecine en général (antibiotiques, cortisone, médicaments pour faire baisser la fièvre etc).

 

Avec l'origine génétique, on est souvent dans le même type de simplisme, parce que quelque part, ce serait psychologiquement plus confortable pour toute une série de malades de se décharger de leur responsabilité personnelle dans l'apparition de telle ou telle maladie chronique (bien davantage liée au mode de vie qu'à des déterminants purement génétiques!). Dans cette situation, on peut alors affirmer "C'est la faute à pas de chance, j'avais les mauvais gènes!" Mais il ne faudrait pas oublier que seule une infime minorité de maladies sont des maladies génétiques pures c'est à dire des maladies qui sont entièrement conditionnées par la présence ou l'absence de telle ou telle version d'un ou de plusieurs gènes qui suffit alors à elle seule à faire apparaître un état pathologique. Dans les autres cas, l'implication des gènes ne pèse en moyenne jamais plus de 30% dans la responsabilité globale de tel ou tel état morbide.

 

Les questions éthiques risquent évidemment de recouper celles liées aux vaccinations forcées ou encore au puçage. Il est absurde et hallucinant que l'ADN des gens puisse être séquencé ou même analysé/interprété sans leur accord, même au nom de soi-disant grandes avancées scientifiques!. Dénuder ainsi le patrimoine génétique des populations est extrêmement risqué parce que cela ouvre ainsi la porte à toutes les dérives possibles, y compris de la part des dirigeants eux-mêmes ou des instances internationales noyautées par toutes sortes de lobbies, devant lesquelles les dirigeants nationaux se prosternent.

 

Nous sommes à une époque où nous ne pouvons plus faire une joyeuse et sincère confiance dans la Science pour la simple et bonne raison qu'elle est largement prostituée. Or, pour faire une analogie qui a ici vraiment tout son sens, que se passe-t-il si une personne qui fréquente les prostituées ou si les prostituées elles-mêmes ne pensent pas suffisamment à se protéger? Ils risquent des maladies sexuelles transmissibles. Eh bien ici c'est pareil, si nous ne pensons pas suffisamment à nous protéger des influences générales que peuvent avoir sur nous toutes sortes d'instances, de gouvernements ou d'idéologies, nous risquons bien entendu d'en payer le TRES GROS PRIX.

 

A une époque, Mayer Amschell Rotschild disait "Donnez-moi le droit d'émettre et de contrôler l'Argent d'une Nation et alors, peut m'importe qui fait ses lois.". Mais on pourrait avec cette affaire de séquençage ADN généralisé paraphraser ses propos en disant "Donnez-moi le droit de connaître et de contrôler l'ADN d'une Nation et alors peu m'importe le droit des gens d'être en bonne santé en se soignant comme ils le veulent."

 

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