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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 21:50

gARDASIL.jpg

Voici un exemple extrêmement concret de la façon dont le système vaccinal totalitaire et autoritaire fonctionne: après avoir lourdement culpabilisé les mères pour les inciter à vacciner leur(s) fille(s) avec 3 injections de vaccins HPV (Gardasil ou Cervarix), voilà qu'on peut lire aujourd'hui dans les médias qu'une seule dose serait finalement suffisante...

 

Comme nous allons le voir, cette information soulève des questions extrêmement lourdes de sens et de conséquences. Et en même temps qu'elle soulève des questions, elle fournit d'ailleurs aussi des réponses à tous ceux à qui il reste encore un tout petit peu de bon sens.

 

Pour discuter valablement de ce sujet, jetons prioritairement un oeil sur 3 types d'informations qui ont justifié la rédaction de cet article:

 

1°) Un courrier type possiblement intimidant pour certains parents de la médecine scolaire (région namuroise, Belgique) à l'attention des parents au sujet de la vaccination anti-HPV "proposée" dans le cadre scolaire. On notera tout particulièrement cette phrase fallacieuse-ci, de nature à faire croire que la vaccination a un caractère contraignant et que la poursuite des 2ièmes et 3ièmes doses de vaccins est impérative: 

 

"Si, pour différentes raisons, vous ne vous présentez pas lors de nos permanences pour la 2ième et/ou la troisième dose, vous devez les programmer chez votre médecin traitant."  

 

Et d'ajouter: "Pour une vaccination HPV efficace, les 3 doses de la vaccination sont indispensables."

 

2°) Le contenu d'un article du Soir de ce jour sur la possibilité d'une dose au lieu de 3

 

3°) La rubrique "Col de l'utérus/HPV" de ce site qui aborde abondamment les innombrables victimes qui se sont manifestées après cette vaccination (et qui ne représentent bien sûr que la partie émergée de l'iceberg) et qui montre sur base de nombreux cas (encore ici, le dernier cas publié) que les effets secondaires les plus graves et les plus irréversibles surviennent le plus souvent après une deuxième ou une troisième dose de vaccin.

 

Et maintenant, que peut-on dégager de ces trois types d'informations, comment les décrypter?

 

Tout d'abord, on peut observer le contraste saisissant entre le degré d'affirmation et de certitude qui se dégage du courrier autoritaire de la médecine scolaire quant au nombre de doses à administrer et les "données les plus actuelles de la Science". Cela nous fournit donc déjà un premier indice très éclairant sur l'extrême fragilité des recommandations officielles.

 

Ensuite, on peut (et on doit même) être capable de réaliser que si cette information sur le nombre exact de doses requises n'était pas connue plus tôt (alors que ces vaccins sont tout de même sur le marché depuis 2006 et 2007!), c'est que c'est du même coup bien la preuve que l'évaluation des vaccins est en réalité bâclée et que nous sommes avec la vaccination dans un vaste processus expérimental et donc aussi dans une expérimentation humaine illicite car sans consentement, situation posant d'énormes problèmes éthiques (cf aussi ici les autres explications incontournables sur le caractère expérimental tout à fait certain et facile à établir de TOUS les vaccins.) 

 

On peut en outre se demander comment des milliers de victimes dont la vie a définitivement chaviré après une deuxième et une troisième doses vont réagir à cette nouvelle: réaliser qu'à quelques années près, si elles avaient par exemple été deux ou trois ans plus jeunes ou plus âgées, elles auraient pu "passer entre les mailles" de ce sinistre filet vaccinal et leur vie être tellement plus légère et normale... réaliser à quoi cela peut-il tenir, à seulement quelques années et à quelques avis d' "experts"...

 

Mais cela est bien sûr considéré comme monnaie négligeable par les officiels qui se considèrent depuis fort longtemps comme "les partenaires naturels" des industries pharmaceutiques (ils n'ont même plus honte de le dire, comme on peut le lire dans un rapport du Sénat français de 2007) et dont ils considèrent aussi qu'il faut accroître et hâter le business le plus possible, prétendûment au nom de l'emploi (la bonne blague)!

 

L'article du Soir (qui donne de nouveau unilatéralement la parole au Pr Van Laethem, consultant pour plusieurs fabricants de vaccins et donc en conflits d'intérêts) signale aussi plusieurs choses qui devraient tous nous faire réagir:

 

- Que les chercheurs/auteurs d'une étude sur la possibilité d'une seule injection ont analysé les taux d'anticorps dans le sang des femmes du Costa Rica qui ont reçu accidentellement une seule dose de Cervarix. (Bizarre que ce genre d' "accident" soit à ce point systématique qu'il rende possible la constitution d'un groupe homogène qui pourra servir de base à une étude; ca fait vraiment penser aussi à toutes ces femmes du Costa Rica et de quelques autres pays pauvres qui avaient elles aussi reçu dans les années 90' soi-disant "par accident" des vaccins contre le tétanos qui contenant de l'hormone HCG, de sorte que celles-ci allaient développer des anticorps anti-HCG et devenir stériles du même coup. Là aussi la notion d'"accident" était d'autant plus contestable qu'un projet de vaccin anti-fertilité était encouragé et en cours d'évaluation par des instances comme l'OMS avant la survenue de ce soi-disant accident.)

 

Ces populations pauvres ont avant tout besoin d'eau et de nourriture (1 milliard de gens ont faim dans le monde et le même nombre est toujours privé d'eau potable au 21° siècle!) et aussi de programmes organisés de dépistage (ils n'en n'ont pas et c'est cette absence de dépistage couplé au manque d'eau, de nourriture et d'hygiène qui font que les taux de cancers du col de l'utérus sont nettement plus fréquents dans ces pays que chez nous) plutôt que d'une rage vaccinatoire accrue !

 

- L'article affirme que les infections aux virus HPV sont la cause de lésions précancéreuses du col. En réalité, les infections aux virus HPV ne sont JAMAIS à elles seule une cause suffisante. Elles sont nécessaires mais jamais suffisantes, il y a d'autres co-facteurs nécessaires et c'est ainsi malhonnête de ne pas le rappeler (tabagisme, partenaires multiples, contraception hormonale, terrain socio-économique défavorisé etc etc.). La médecine actuelle a l'habitude de s'attaquer aux "fausses causes" ou causes secondaires, ce qui ne résout jamais vraiment les problèmes mais contribue à offrir de juteuses niches commerciales aux firmes commercialisant de pseudos-traitements faussement indispensables mais eux-mêmes générateurs d'autres types d'effets néfastes.

 

- L'article évoque aussi les proportions de taux d'anticorps après vaccination HPV. Ce passage est particulièrement intéressant parce qu'il révèle toute l'étroitesse intellectuelle de ceux qui baignent à plein dans l'idéologie vaccinale en vigueur au sein de l'establishment médico-pharmaceutique. On peut lire que les chercheurs ont constaté chez les jeunes filles (vaccinées avec seulement une dose de vaccin HPV), "qu'après quatre ans, elles présentaient un taux d'anticorps cinq fois plus élevé que les femmes n'ayant jamais été vaccinées mais qui avaient été précédemment infectées par le virus du papillome humain (HPV). Avec deux doses, le taux était 24 fois plus élevé."

 

Ce qui est absolument fallacieux ici, c'est qu'on donne à penser que "plus, c'est forcément mieux" ou que la Nature serait mal faite (alors qu'on sait bien que rien, ni aucun vaccin n'égale en qualité et en durée la protection conférée par une immunisation naturelle!).

 

Pas un seul instant le journaliste ou l'"expert" interrogé ne semble en mesure de se demander si le fait justement d'obtenir de telles disproportions dans les taux d'anticorps avec une vaccination (par rapport à ceux que le corps peut naturellement générer) ne constitue pas un forcing immunologique potentiellement très lourd de conséquences.

 

Avec la vaccination contre le tétanos (le parallèle est très intéressant), les officiels considèrent aussi qu'il vaut mieux une vaccination de plus qu'une de moins tout étant axé sur une obsession quantitative d'anticorps, oubliant cependant de rappeler aux gens qu'on peut tout de même encore faire un tétanos malgré de forts taux d'anticorps (plusieurs études scientifiques sont là pour le prouver!) mais aussi que plus le taux d'anticorps résiduels liés à une précédente vaccination est élevé au moment du rappel et plus grand aussi est le risque d'effets secondaires lors d'une prochaine dose!

 

Tout ceci montre donc bien que la Nature est infiniment plus complexe que ce que le réductionnisme vaccinaliste voudrait nous faire croire et d'ailleurs, il faut savoir qu'un tiers des personnes qui contractent le virus du papillome peuvent parfaitement s'en débarraser sans jamais développer d'anticorps. L'étude de Moseman et al. de 2012 a bien montré que les anticorps ne sont pas nécessaires à l'organisme dans sa défense contre divers virus.  Or tout l'édifice vaccinal est bâti sur cette seule obsession des anticorps (on ne compte d'ailleurs plus les publications "scientifiques" uniquement focalisées sur les capacités de tel ou tel vaccin à faire produire plus de taux d'anticorps que tel autre!)

 

En réalité, cette annonce selon laquelle une dose de vaccin suffirait au lieu de trois s'inscrit dans un contexte de désaffection croissante pour cette vaccination, dénoncée dans le monde entier non seulement pour son coût exorbitant mais aussi et surtout pour sa dangerosité tout à fait flagrante. Dans les essais cliniques, et même après la mise sur le marché, diverses études et enquêtes convergentes ont montré un (trop) important taux de déperdition entre la première et la troisième dose de vaccin, ce qui constitue un signal de pharmacovigilance particulièrement fiable pour supposer une très mauvaise tolérance du vaccin.

 

En affirmant qu'une seule dose de vaccin suffit, on espère ainsi rebuter moins de jeunes filles (trois injections, c'est forcément plus contraignant qu'une seule.) et éviter une rupture trop nette des profits dans les pays occidentaux où les prix ne sont pas bradés comme dans le Tiers-monde mais où ils sont simplement "épongés" par les deniers des contribuables. Mais on espère aussi pouvoir affirmer plus facilement aux jeunes filles qui souffriront déjà d'effets secondaires après la seule et première dose que c'est juste "le hasard" (la notion de "rechallenge" c'est à dire le fait qu'une nouvelle administration d'un même médicament suspecté donne à nouveau lieu au même type d'effets secondaires dont on le suspectait d'être la cause, constitue un signal assez fiable d'une relation de causalité en matière de pharmacovigilance.)

 

Et si on rajoute à l'accablant volet de la "tolérance" celui de "l'efficacité" avec un caractère contre-productif de cette vaccination tout à fait prévisible au niveau de l'épidémiologie des différents sérotypes de HPV (= l'équilibre des différentes souches de ce virus qui peut être modifié sous l'effet d'une vaccination étendue, comme cela s'est par exemple déjà vu avec les vaccins contre les pneumocoques, avec un phénomène de compensation par des souches non incluses/non couvertes par la vaccination), on conçoit sans peine que l'industrie va redoubler d'inventivité pour essayer de sauver ses parts de marché: passer de trois doses à une (il ne faut pas oublier que l'industrie finance une majorité des études scientifiques de ce type destinées à faire prescrire ou modifier tel ou tel schéma de prescription) ou encore travailler déjà sur un nouveau vaccin qui lavera plus blanc que blanc et sera donc encore plus parfait que les précédents (comme le fait Merck, fabricant du Gardasil en train de travailler sur un nouveau vaccin anti-HPV)...

 

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

Vaccins HPV, fausse protection et vrais risques: démêler le vrai du faux?

 

"Vaccins anti-HPV: quand le slogan de Merck "Une de moins" ("One less") devient en fait "Une de plus" ("One more")

 

Le Gardasil a détruit les ovaires d'une jeune fille

 

Commentaire posté par Initiative Citoyenne sur le site médical Caducée.net suite à leur article sur le caractère suffisant d'une dose de vaccin HPV Cervarix (!):

 

Commentaire-d-Initiative-Citoyenne--site-Caducee.JPG

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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 18:47

Le Gardasil a volé ma santé

  

Par Katie Davis, Tennessee, 2 novembre 2013

 

Katie-Davis-1AAA.JPG

 

Je m’appelle Katie Davis. J’ai 23 ans, et je vis la vie comme si j’étais coincée dans le corps d’une personne âgée. Je vis sans arrêt dans la douleur et dans la peur de ne jamais trouver un soulagement à mes tourments. C’est le 22 mai 2009, que pour moi, la vie que je connaissais a cessé d’exister. Ce fut le jour où j’ai reçu la première dose du vaccin Gardasil.

 

Avant le Gardasil, j’étais une adolescente pleine de santé et active. Je jouais du softball, j’aimais être à l’extérieur et je me sentais en pleine forme. Je n’avais jamais eu de problèmes de santé, et c’est très rarement que je voyais un médecin. . J’étais heureuse, sans souci et j’aimais tellement apprendre. J’aimais passer beaucoup de temps avec mes parents et avec des amis. Deux fois par an, je me rendais au Colorado pour rendre visite à mes frères et à mon père. Nous allions camper et nous étions heureux d’être ensemble. Je rêvais de devenir une joueuse professionnelle de softball ou une infirmière.

 

C’est en 2008 que j’ai eu ma fille. Je n’ai pas cessé d’être active et pleine de santé. Ma vie a repris son train habituel, mais j’avais en plus une jolie fille dont j’aimais m’occuper. Je n’avais alors aucune idée de la manière dont les choses pouvaient changer brusquement.

 

Le Gardasil est administré en une série de 3  injections. Peu de temps après la première injection en mai 2009, j’ai commencé à avoir de fortes douleurs à l’estomac. J’en ai parlé à ma mère qui m’a dit que c’était probablement une suite de l’accouchement, et qu’avec le temps tout allait s’arranger. Mais après des mois de ce qui m’apparaissait être une véritable agonie, la douleur n’avait toujours pas disparu. – elle s’était même aggravée. J’ai consulté beaucoup de médecins, mais je n’ai pu obtenir aucune réponse.

 

Des mois plus tard, soit le 8 septembre 2009, j’ai été consulter un médecin au sujet de mes nouveaux problèmes de santé. Au cours de cette visite, le médecin a constaté que je n’avais toujours pas reçu ma seconde dose de Gardasil. Personne n’avais jusqu’alors établi quelque rapport que ce soit entre mes problèmes d’estomac et  le Gardasil. Mais on me dit alors que, comme j’avais des problèmes d’estomac, je pourrais être davantage sujette à contracter le cancer du col de l’utérus. Comme je me sentais terrifiée et menacée par cette déclaration, je me suis immédiatement décidée à recevoir la seconde dose.

 

Peu de temps après, j’ai commencé à avoir de graves problèmes d’anxiété. J’ai de nouveau consulté plusieurs médecins et je n’ai, une nouvelle fois, pas pu obtenir réponse à mes questions. Ces médecins m’ont prescrit davantage de médicaments qui n’ont fait qu’empirer ma situation.

 

J’ai lutté pendant des années pour essayer d’accepter le fait que finalement c’était cela ma vie. Bien que je continuais à chercher des moyens qui auraient pu soulager mes douleurs. C’était déprimant. Même ma propre famille allait jusqu’à se demander si tout n’était pas dans ma tête parce que tous les médecins que j’avais vus n’avaient rien trouvé. Je me sentais si seule et coupée des autres. Il n’est jamais venu à l’idée de personne, y compris à moi-même que mes nouveaux symptômes auraient pu être liés aux injections du Gardasil. En dépit du fait que le Gardasil est normalement administré au cours d’une période de six mois, le médecin qui, le 5 mars 2012, avait remarqué que je n’avais pas reçu la troisième injection, se décida de me l’administrer. C’est après cette dernière dose du vaccin que mon état de santé s’aggrava sérieusement.

 

Je souffrais des problèmes suivants :

 

  • Sensation de brûlures dans les doigts et la clavicule
  • Douleurs au poignet et dans les doigts
  • Migraines
  • Douleurs oculaires, vision double, parfois perte de la vue.
  • Confusion, cerveau embrouillé
  • Problèmes de mémoire
  • Essoufflement
  • Frissons et tremblements
  • Bouffées de chaleur et variations de température
  • Douleurs à la hanche, aux genoux et aux pieds
  • Pieds enflés
  • Maux d’estomac et maux de dos
  • Nausées
  • Vertiges
  • Augmentation du rythme cardiaque
  • Ecchymoses inexpliquées
  • Fatigue
  • Impression de ne pas pouvoir contrôler le corps
  • Douleurs pelviennes
  • Fausse couche
  • Kystes ovariens
  • Sautes d’humeur, colère, agressivité.

 

Je pourrais continuer la liste car ma situation change tous les jours. En général, un nouveau symptôme apparaît tous les jours et mes maux d’estomac continuent d’empirer. Maintenant, j’ai des kystes partout sur les ovaires. Je viens d’avoir une fausse couche alors que j’étais enceinte de 14 semaines.

 

J’ai une petite fille de 5 ans et il faut que je me batte pour pouvoir me lever et jouer un peu avec elle. Je ne puis malheureusement pas profiter du bonheur de la voir grandir. Parfois je me demande s’il sera possible que j’aie encore des enfants.

 

Le Gardasil m’a non seulement pris la santé, mais aussi la personne que j’étais

J’ai perdu ma personnalité quelque part au cours de cette horrible maladie. Chaque jour, c’est la bataille entre moi et mon corps. Mon corps me fait comprendre  que je ne puis rien faire d’autre que de rester allongée dans le lit et dans la douleur. Mon cœur aurait envie de dire : lève-toi  et bats-toi. Certaines nuits, je suis éveillée, je me sens épuisée et je me demande si c’est de ces problèmes de santé que je vais mourir. Je commence alors à paniquer car pour moi la mort c’est l’horreur. Mais ma vie ne vaudrait-elle finalement pas la peine d’être vécue ?

 

Ce qui me parait le plus dur, c’est que je n’ai vraiment personne avec qui je pourrais vraiment parler ; personne qui pourrait vraiment comprendre ce que je vis. J’ai eu beaucoup de problèmes, et j’ai tout gardé à l’intérieur parce que j’étais fatiguée de réaliser que personne ne voulait ou ne pouvait me croire. Je ne puis décrire le sentiment d’isolement que pareille situation engendre.

 

C’est après qu’une personne de ma famille ait connu les mêmes problèmes après avoir été vaccinée avec le Gardasil que les choses ont commencé à changer. Maintenant que nous sommes deux de la même famille à connaître les mêmes souffrances, cette dernière commence peu à peu à réaliser à quel point ces souffrances affectent nos vies. Ils commencent tous à voir que le seul dénominateur commun est le Gardasil.

 

Le Gardasil représente pour moi un combat que je vais livrer tous les jours parce que je ne veux pas perdre cette guerre. Je veux partager mon histoire parce que je ne veux pas que d’autres se sentent seuls dans leur lutte contre les effets du Gardasil.

Je veux tout faire pour qu’il y ait moins de victimes du Gardasil.

 

Source : SaneVax

 

Rapports d’effets secondaires après les vaccinations contre le HPV recensés par le VAERS  (Organisme officiel américain qui enregistre les effets secondaires des vaccins) jusqu’en septembre 2013.

 

Description

Total

 

 

Infirmes

981

Décès

144

N’ont pas récupéré

6.248

Frottis du col anormaux

542

Dysplasies du col de l’utérus

221

Cancers du col de l’utérus

67

Cas où le pronostic vital a été engagé

581

Visites aux urgences

10.849

Hospitalisations

3.213

Séjours hospitaliers prolongés

239

Effets secondaires graves

4.270

Effets secondaires

31.741

 

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 23:29

Voici la vidéo de la conférence internationale sur l'aluminium vaccinal qui s'est tenue le 12 novembre 2012 à Paris à l'initiative de l'eurodéputée française Michèle Rivasi:

 

  

 

Rappel important: la toxicité de l'aluminium vaccinal constitue seulement UN des innombrables risques associés aux vaccins. Par divers autres aspects et mécanismes, les vaccins peuvent entraîner des effets secondaires graves, pouvant induire parfois des symptômes identiques, parfois totalement différents de ceux décrits dans cette vidéo.
 
Il est important de rappeler aussi que les effets secondaires des vaccins sont constamment sous-estimés en fréquence, en gravité et en variété.

 

Comme le Pr Gherardi le mentionne dans la vidéo, il peut souvent y avoir un intervalle libre important entre le déclenchement des symptômes et la vaccination (plusieurs mois ou plus), cela signifie donc que les troubles peuvent apparaître de façon différée dans le temps, avec pour conséquence que les patients ne pensent alors plus facilement à faire le lien.
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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 13:35

Gardasil : mon pire cauchemar

 

« J’espère et prie pour que cette histoire vous parvienne à temps… »

 

Par Julie Davidson, 31 octobre 2013

 

Julie-Davidson-Gardasil.jpg

 

Je m’appelle Julie et j’ai 26 ans. Je n’ai pas fait beaucoup de bruit depuis que j’ai été vaccinée avec le Gardasil parce qu’il m’est très pénible d’évoquer les préjudices que j’ai dû subir. Les douleurs intérieures que j’ai vécues étaient à ce point extrêmes que ça a été plus facile pour moi de tout faire pour essayer d’oublier que le Gardasil ait jamais existé. Au cours des deux dernières années, j’ai essayé de faire comme si ma vie ne m’avait pas été volée et de tenter d’oublier que j’avais été empoisonnée. Malheureusement, je ne parviens pas à oublier parce que, chaque jour je me réveille dans un véritable cauchemar.

 

Aujourd’hui, j’ai décidé de parler parce que chaque jour j’apprends qu’une autre fille souffre des mêmes problèmes inexplicables de santé. On dit à ces jeunes filles qu’elles sont folles ou qu’il n’est pas possible de leur venir en aide. Quel est ce lien entre moi et ces milliers d’autres  jeunes filles ? -  Le Gardasil.

 

C’est une étrangère que je vois quand je repense à la fille que j’étais avant de me faire vacciner avec le Gardasil. Cette vaccination a bouleversé ma vie de fond en comble. D’une certaine manière, il y a un côté positif au fait de ne plus être la même fille, car aujourd’hui je puis beaucoup mieux comprendre celles qui vivent des problèmes de santé débilitants. Au lieu de passer devant une personne en fauteuil roulant sans penser plus loin, je salue la personne et commence à pleurer. Je pleure parce que je sais les luttes que ces personnes traversent ; je pleure parce que je sais  qu’il y a tellement peu de gens qui s’inquiètent du sort de ces malheureuses personnes. Au travers de mes souffrances, j’ai pu savoir quelle était ma véritable famille, quels étaient mes vrais amis. J’ai aussi appris toute l’importance qu’il y a à rechercher la vérité au lieu de faire aveuglément confiance à la médecine. J’ai surtout appris la vraie valeur de la santé parce que sans la santé, nous avons tout perdu. Je suis extrêmement triste de réaliser que la fille que j’étais m’a littéralement été volée. Avant la vaccination, j’étais en parfaite santé, j’étais très active et pleine d’énergie. J’étais entraîneur, j’adorais tout ce qui avait trait à la santé, au fitness, aux activités de plein air et tout ce qui relevait un peu de l’aventure. J’avais l’esprit libre et je recherchais partout la beauté de la vie. A 23 ans, je faisais beaucoup de rêves et je m’enthousiasmais pour l’avenir.

 

Gardasil et vaccin antitétanique après une infection des sinus – Mais pourquoi donc ai-je écouté mon médecin ?

 

C’est le 26 mars 2011, j’avais alors 23 ans, que j’ai consulté un médecin pour une infection des sinus. A cette époque, ce médecin pensait qu’il serait sage de m’administrer le vaccin Gardasil, ainsi que le vaccin contre le tétanos.

 

Immédiatement après, j’ai regretté, parce que je me sentais bizarre, et j’ai pensé que ça n’avait pas beaucoup de sens de me faire vacciner alors que mon système immunitaire était occupé  à combattre une infection des sinus. Je me rappelle avoir appelé ma mère parce que je pleurais et j’avais peur que quelque chose de grave me soit arrivé. Mon intuition était juste. Dans les jours qui ont suivi les vaccinations, j’ai développé une fatigue extrême. Il m’était difficile d’accomplir les tâches journalières. J’étais tout le temps étourdie et souvent éteinte. J’ai aussi souffert de douleurs pelviennes, de nausées, de vomissements. Je perdais l’appétit et du poids : environ 15 Kg en deux mois. J’éprouvais d’énormes difficultés à faire mon travail d’entraineuse parce que j’avais  tout le temps l’impression d’avoir la grippe. En juillet, les choses s’aggravèrent très rapidement. J’avais de fortes douleurs thoraciques qui s’étendaient tout le long de mon bras gauche et me provoquaient des arythmies cardiaques. A trois reprises, tout mon corps frissonnait et s’engourdissait. A ce moment là, j’ai commencé à réaliser que j’avais quelque chose de grave, mais je n’aurais jamais pu imaginer à quel point ça allait encore s’aggraver.

 

Paralysie post Gardasil et lésions du système nerveux central

 

Le 6 août 2011, en me levant, pour sortir de mon lit, je suis tombée par terre. Etendue par terre, j’ai vite pu réaliser que je ne pouvais plus bouger ma jambe gauche. Quelques jours plus tard, la même chose arriva à ma jambe droite. Mes deux jambes étaient paralysées, je ne pouvais plus ni marcher, ni me tenir debout. J’ai été admise à l’hôpital où je suis restée dix jours. J’ai subi tous les examens et tests possibles : deux ponctions lombaires, tomodensitométrie, résonnance magnétique du cerveau, de la colonne vertébrale, électrocardiogramme, scanner abdominal et quantité de prises de sang. Comme les médecins ne comprenaient pas ce dont je souffrais, on m’administra de fortes doses de stéroïdes avant de me renvoyer à la maison sans que mon état de santé se soit amélioré.

 

En septembre, je me suis réveillée en constatant qu’il m’était impossible de bouger quoi que ce soit en dessous de ma tête. J’étais paralysée à partir du cou. J’ai été conduite dans un autre centre d’urgences où je suis restée une semaine. J’ai passé des tests plus poussés encore, et une fois de plus les médecins m’ont dit qu’ils ne savaient pas ce dont je souffrais. Ils m’ont envoyé dans un service ambulatoire pour y rencontrer un spécialiste des problèmes neuro-musculaires. Finalement je suis rentrée à la maison sans que mon état de santé se soit amélioré.

 

Ce fut là le début d’un périple parmi des spécialistes qui devait durer deux ans. J’ai vu de nombreux neurologues, des spécialistes des problèmes neuro-musculaires, de nombreux rhumatologues, un spécialiste des maladies infectieuses, un neuro-immunologue, un neurophysiologiste. Les seules découvertes qui ont pu être réalisées au travers des tests, c’est que mon système immunitaire ne fonctionnait pas correctement et que mon corps était enflammé. On a aussi diagnostiqué que j’avais un sphincter hyperactif.

 

Pourquoi une jeune fille de 23 ans en parfaite santé devrait-elle soudainement souffrir d’une vessie hyperactive, de problèmes neurologiques inexplicables sans qu’il y ait une véritable cause ?

 

Pendant tout un temps, les rhumatologues me renvoyaient aux  neurologues et vice versa, pensant que l’autre spécialiste arriverait finalement à poser un diagnostic. Finalement un rhumatologue et un neurophysiologiste ont décidé de travailler ensemble pour pouvoir me venir en aide. Ces deux spécialistes suspectèrent que je devais souffrir de myélite transverse. Les examens et mes symptômes montraient qu’il y avait un problème neurologique et moteur. Ils m’ont expliqué que l’inflammation détectée par les tests devait vraisemblablement provenir de dommages à mon cerveau et/ou à ma moelle épinière. Ils m’expliquèrent qu’il n’y avait rien à faire, sauf attendre et compter sur le temps. A ce jour, personne n’est capable d’expliquer mes symptômes comme les dommages de santé dont je souffre.

 

Le tableau des symptômes post-Gardasil

 

Depuis ma vaccination avec le Gardasil, j’ai présenté les symptômes suivants : Paralysies, troubles de la marche, paresthésies, hypersensibilité aux sons et au toucher, tremblement de l’ensemble du corps, raideur et douleurs aux articulations, pieds et mains qui deviennent rouges et bleues , insuffisance surrénale, problèmes endocriniens,  perte de poids, nausées, vomissements, hyperventilation, pleurs ou rires incontrôlables, hypoglycémie, extrême sensibilité aux odeurs et produits chimiques, intolérance au chaud comme au froid, perte d’appétit, douleurs pelviennes, incontinence urinaire, douleurs de poitrine, essoufflement, gonflement des ganglions, perte de mémoire, trous de mémoire, confusion, perte de cheveux, étourdissements, fatigue telle qu’il est impossible d’accomplir les tâches quotidiennes.

 

Mes symptômes physiques ont été difficiles à supporter, mais les bouleversements émotionnel et mental que mon état a entraînés ont encore été plus difficiles à vivre.

 

Cette fille qui avait l’esprit clair et libre a aujourd’hui peur de la vie. -  Ma grande fatigue, mon esprit confus et la crainte de voir mes jambes se paralyser font que j’ai peur de conduire. Je sais que je pourrais m’endormir au volant. J’ai peur de participer à des fêtes, de voyager à cause des germes que je pourrais rencontrer. Je tombe malade au moins une fois par mois, c’est un gros rhume ou un virus, et chaque fois que je tombe malade, les progrès que j’avais faits s’estompent. Alors que j’étais une femme indépendante, je suis maintenant devenue complètement dépendante de mon mari. Jadis, j’étais tellement pleine d’énergie, alors qu’aujourd’hui je croule de fatigue. La fille qui ne rêvait que de sorties et d’aventures, a maintenant peur de sortir de chez elle à la suite des nouvelles allergies qui sont récemment apparues. Quand ces allergies apparaissent, mon système immunitaire s’emballe et tous mes symptômes réapparaissent plus fort que jamais.

 

Ce qui m’apparaît le plus dur, c’est de réaliser tout ce que je pourrais faire et réaliser si je n’étais pas tombée malade. J’aurais peut-être pu terminer mes études et me lancer dans la formation personnelle ou fonder une famille avec mon mari. Je ne puis m’empêcher de voir les autres vivre leurs vies alors que je reste clouée à la maison. Certains ont la possibilité de réaliser leurs rêves et d’autres gaspillent le précieux don qu’ils ont reçu. J’aspire tellement à une vie normale, mais j’en suis incapable à cause de ma grande fatigue et de ma faiblesse. Le Gardasil m’a mis dans une prison à l’intérieur de mon propre corps. Je ne puis plus me permettre de penser au futur parce que je ne sais pas si mon corps me permettra jamais de réaliser mes rêves.

 

Mais tu n’as pas l’air malade

 

Bien que je n’arrête pas de me battre pour aller mieux, je ne puis compter le nombre de fois où on m’a dit que je ne donnais pas l’impression d’être malade. Il est vrai que je fais des efforts pour ne pas montrer ces côtés affreux de ma maladie. Je sais que comme des milliers d’autres filles je n’arrête pas de souffrir jour après jour. Nous nous sentons seules parce que personne ne nous comprend. Nous sommes obligées de souffrir en silence puisque tout le monde nous dit que nous n’avons pas l’air d’êtes malades, qu’on ne peut rien faire pour nous, que tout est dans notre tête. Il nous arrive aussi de rencontrer des personnes qui ne veulent pas nous entendre ou nous croire parce que nous ne portons pas « l’étiquette  d’une maladie. C’est quand nous avions le plus besoin d’amitié que nous avons perdu nos amis. Même certaines de nos relations familiales sont devenues tendues en raison du manque de compréhension. Les personnes que j’ai rencontrées après que je sois tombée malade, ne connaitront jamais la vraie fille que j’étais et qui s’est fait piéger dans sa maladie. Mon mari n’a même pas pu expérimenter la vie avec la femme qu’il avait épousée. Il passe ses journées à prendre soin de moi au lieu de pouvoir vivre le bonheur d’un jeune marié. C’est le Gardasil qui nous a volé tout cela.

 

Tenter de guérir après le Gardasil

 

Aujourd’hui, je mange, je respire, je dors et me focalise sur tout ce qui pourrait m’aider à guérir.  Je suis obligée de vivre en quelque sorte dans une bulle pour m’assurer que rien ne pourra me faire régresser, et pour qu’un jour je puisse avoir un avenir. Le seul spécialiste qui a pu m’aider pratique une médecine naturelle et fonctionnelle. C’est grâce à mon régime alimentaire strict, aux suppléments que je commence à remarcher après avoir passé  deux ans dans un fauteuil roulant, bien que j’aie encore à lutter chaque jour. En janvier 2014, je prévois de demander l’aide d’un homéopathe pour détoxifier mon corps et le libérer du vaccin grâce à la thérapie CEASE .

 

Après deux ans, j’ai choisi de partager mon histoire parce que je ne puis plus rester les bras croisés et voir de belles vies détruites par une chose qui était censée les protéger. Je ne puis qu’espérer et prier pour comprendre que tout ce qui m’est arrivé avait un sens. -  Si mon histoire ne vous a pas convaincu vous ou d’autres personnes par rapport à ce vaccin, j’ose au moins espérer que j’ai pu vous convaincre de faire davantage de recherches avant de faire votre choix. La recherche parlera d’elle-même. C’est parce que je n’ai pas été avertie et parce que je n’ai effectué aucune recherche que j’ai été forcée de vivre tout ce qui m’est arrivé. J’espère et je prie pour que cette histoire vous parvienne à temps afin qu’elle vous permette de vous protéger vous et ceux que vous aimez du vaccin Gardasil.

 

Source: SaneVax

 

Rapports d’effets secondaires après les vaccinations contre le HPV recensés par le VAERS  (Organisme officiel américain qui enregistre les effets secondaires des vaccins) jusqu’en septembre 2013

 

Description

Total

 

 

Infirmes

981

Décès

144

N’ont pas récupéré

6.248

Frottis du col anormaux

542

Dysplasies du col de l’utérus

221

Cancers du col de l’utérus

67

Cas où le pronostic vital a été engagé

581

Visites aux urgences

10.849

Hospitalisations

3.213

Séjours hospitaliers prolongés

239

Effets secondaires graves

4.270

Effets secondaires

31.741

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2 novembre 2013 6 02 /11 /novembre /2013 11:30

« J’ai vécu le cauchemar du Gardasil »

 

Lisa de Spokane, Washington, 30 octobre 2013

 

Lisa--Gardasil-.jpg

 

 

Je m’appelle Lisa. J’ai fait une horrible réaction à l’ensemble des doses du vaccin Gardasil. Il m’a fallu presque six ans pour redevenir à peu près normale.

 

En 2007, quand j’avais 22 ans, je me suis rendue à une visite médicale routinière. Mon test s’est avéré positif. J’avais des « cellules anormales ». Il s’agissait de cellules cancéreuses causées par le HPV.

 

Après m’être soumise à la procédure habituelle « couper et brûler », mon médecin m’a dit qu’il existait un nouveau vaccin appelé Gardasil et qui était destiné à protéger contre le cancer du col de l’utérus. Le médecin m’a dit que je devais faire ce vaccin pour ne plus refaire un cancer ou perdre ma fertilité. Comme mon assurance couvrait les frais, j’ai dit : « allez-y, je ne veux plus faire de cancer. »

 

Et bien, après que le médecin m’ait eu administré le premier des trois vaccins, j’ai commencé à ressentir des vertiges. Le médecin m’a répondu : c’est normal ; je vous reverrai pour la seconde dose. »

 

J’ai donc quitté le bureau du médecin et ai pris l’ascenseur dans lequel je finis par m’évanouir. Heureusement,  une personne est parvenue à me ramener dans le bureau du médecin. Après 15 à 20 minutes, j’ai finalement pu reprendre ma voiture, mais je me sentais vraiment « lourde ». Je n’y ai pas prêté beaucoup d’attention et j’ai voulu me sortir tout cela de la tête.

 

Au cours des quelques semaines qui suivirent, j’ai commencé à avoir des migraines horribles qui me faisaient hurler ; la douleur persistait pendant 3 ou 4 jours ! Je perdis toute sensation dans mes mains et je sentais des picotements partout dans mes bras. Mon visage et mes lèvres étaient engourdis et de travers. Je finis par perdre la vue. Je ne pouvais plus parler. Les mots ne se formaient pas dans mon esprit. J’étais terriblement effrayée.

 

On m’a conduite aux urgences parce que je pensais souffrir d’un AVC. On m’a dirigé vers un neurologue. Ce médecin me diagnostiqua une migraine chronique et me proposa des calmants. Je ne les ai pas acceptés et ai demandé s’il n’y avait pas un moyen de régler totalement le problème.

 

Après deux mois, je suis allée recevoir ma seconde dose de Gardasil. Les mêmes phénomènes se sont à nouveau reproduits, mais cette fois j’y étais en quelque sorte préparée et décidai de rester pendant 30 minutes après l’injection dans le bureau du médecin.

 

Après cette seconde injection mes migraines empirèrent. Mon cerveau me faisait tellement mal ! Le sang coulait si abondamment de mon nez  que je me demandais si je n’allais pas me vider de mon sang. J’ai commencé à me sentir mal en conduisant ; je ne parvenais plus à réaliser si un feu vert signifiait qu’il fallait m’arrêter ou si je pouvais continuer ma route. Un jour, alors que je me rendais à mon travail,  je n’ai pas été capable de freiner et suis allée emboutir les escaliers de béton du bâtiment.

 

Mon patron n’a su quoi me dire. Il ne savait comment me venir en aide. Il m’a finalement dit que je devais prendre un jour de congé. Avec ces horribles migraines, j’ai dû appeler mon fiancé pour rentrer à la maison pour éviter un accident. Je ne savais plus lire les panneaux de signalisation. Je ne parvenais plus à comprendre les mots.

 

J’ai, une fois de plus, été consulter la neurologue. Elle me dit qu’avec de pareilles migraines, la confusion est tout à fait normale.

 

Et bien, après être passée pendant 6 mois par ces douleurs horribles, ces hémorragies, cette confusion, ces engourdissements, ces problèmes de vue et d’ouïe, je suis allée me faire injecter la troisième dose de Gardasil, en ne réalisant même pas que tous ces problèmes pouvaient être liés au vaccin !

 

Après toutes ces souffrances qui ne recevaient pas de véritables explications, j’ai pris la décision d’effectuer une recherche sur tous les symptômes que j’avais connus. J’ai tout d’abord découvert que je n’étais pas seule. J’ai trouvé quelques groupes de soutien et des blogs de mamans et d’adolescentes qui avaient été aux prises avec les mêmes symptômes que ceux que j’avais. Pour certains, la situation était même pire, d’autres étaient même décédées.

 

La seule chose que nous avions en commun était le fait que nous avions toutes reçu le vaccin contre le HPV, le vaccin Gardasil. Je ne crois vraiment pas qu’il s’agisse d’une coïncidence.

 

J’ai ainsi souffert pendant 5 ans avant de penser à chercher d’autres moyens qui pourraient soulager mes symptômes. J’ai appris à me détoxiquer, à changer mon alimentation, à utiliser des méthodes naturelles alternatives.

 

Il m’a fallu utiliser ces différentes méthodes (nourriture biologique, détoxification des métaux lourds, sels d’Epson, etc., pendant une année entière avant de commencer à voir un peu de lumière au bout du tunnel. Aujourd’hui mes symptômes sont loin d’être aussi horribles que ceux que j’avais précédemment connus.

 

J’ai encore des périodes où mes mains s’engourdissent et où je ne les sens même plus, mais c’est plutôt rare. Je suis malgré tout heureuse que le plus gros soit passé.

 

Avant que vous vous décidiez à vous faire vacciner avec le Gardasil, je vous prie de faire vos propres recherches. Les examens cervicaux réguliers ne m’auraient jamais causé toutes les souffrances que j’ai eu à endurer avec le Gardasil.

 

Source : SaneVax

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 22:05

La RTBF nous traite de complotistes mais...

nous ne sommes pas des pigeons!

 

fotolia-presse.jpg

   

Ceux qui connaissent un peu le domaine des vaccins et de leurs effets secondaires savent que c'est un sujet tabou à propos duquel les médias ne sont tout simplement pas libres de faire preuve d'une objectivité et d'une impartialité totales.

 

Mais s'il en était besoin, voici encore un nouvel exemple particulièrement révélateur: l'extrait d'interview audio d'Initiative Citoyenne diffusée ce mardi dans le JT de la radio RTBF La Première au sujet de la vaccination obligatoire des enfants (la RTBF souhaitant rebondir sur l'article particulièrement dérangeant d'une maman dans la Libre Belgique de ce week-end).

 

 

Lundi en fin de matinée, le journaliste de la RTBF Maxime Paquay, qui a réalisé le reportage, contacte par mail Initiative Citoyenne en vue de réaliser son sujet. L'interview est réalisée le même jour par téléphone aux alentours de midi et dure environ 10-15 minutes.

 

Plusieurs questions ont été posées par le journaliste et notamment la question (habituelle) demandant si nous considérions qu'il s'agit d'un complot des autorités en lien avec l'industrie pharmaceutique. Nous répondons extrêmement clairement que nous ne voyons pas les choses ainsi, insistant sur les passe-droits en matière de règlementation pharmaceutique qui sont accordés aux pharmas en ce qui à trait aux vaccins (et qui sont un fait incontestable et vérifiable dès lors que les vaccinés ne sont pas comparés à des non vaccinés; que l'évaluation des effets secondaires se fait sur un temps beaucoup trop bref et sur un nombre beaucoup trop faible de sujets, qu'on n'évalue pas leur potentiel cancérogène, contrairement aux cosmétiques etc.).

 

De même, nous mentionnons également l'exemple incontournable de la publicité trompeuse (et reconnue comme telle par le JEP) de la Communauté Française en faveur des vaccins tout au long de la vie, une pub qui était un véritable cadeau (payé par le contribuable) pour le business des pharmas et que la RTBF a continué à diffuser bien après que le Jury d'Ethique Publicitaire l'ait considérée comme trompeuse en novembre 2011!

 

Nous indiquons également dans le cours de l'interview qu'il y a, selon nous, des indices graves que le rapport bénéfices/risques des vaccins est défavorable et loin de ce que des instances officielles comme l'ONE affirment (évoquant par exemple le hiatus hallucinant entre leur affirmation selon laquelle "Pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'existe pas de complication grave des vaccins" et les plus de 2,7 milliards de $ déjà déboursés à ce stade par les autorités américaines en dédommagement des victimes d'effets secondaires vaccinaux qui sont donc loin d'être si rares que cela.)

 

Nous n'avons pas indiqué que nous vaccinons contre des maladies qui ont quasiment disparu ni formulé les choses ainsi, nous avons au contraire tenté de faire passer la nuance suivante: vacciner... mais à quel prix?

 

Nous avons parlé au journaliste du caractère expérimental des vaccins mais nous avons fourni de solides preuves concrètes de cette affirmation qui ne se retrouvent étrangement pas dans cet extrait soigneusement sélectionné. Nous avons par exemple rappelé les propos du Dr Jean-François Saluzzo qui est tout de même Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi Pasteur et consultant pour l'OMS et qui avoue de façon limpide dans un cours de vaccinologie en ligne qu'"ils ne savent pas comment marchent les vaccins" et qu' "à l'avenir, si on veut développer d'autres nouveaux vaccins il faudrait commencer par étudier le système immunitaire." Si cela n'est pas la preuve que les vaccins sont tous et depuis le début des produits expérimentaux, on se demande ce que c'est?

 

Mr Paquay a sûrement un diplôme universitaire mais il n'a visiblement pas pu (ou voulu?) comprendre cela... et c'est d'ailleurs d'autant plus décevant que nous avions d'emblée commencé l'entretien en signalant notre volonté d'étayer nos propos, en proposant bien sûr de lui fournir toutes les preuves qu'il souhaiterait quant à nos affirmations/nos déclarations, proposition qu'il a déclinée prétextant avoir déjà largement parcouru notre site internet.

 

Mr Paquay a manifestement préféré s'en remettre aux apparences des diplômes et des titres de personnes ou d'institutions (indépendamment des liens d'intérêts accablants qui les concernent!) oubliant au passage le plus élémentaire bon sens puisqu'il a laissé dire au Dr Van Laethem dans sa sélection visiblement très partiale que nous serions "à 95% dans les mensonges scientifiques" ALORS même (cf plus haut pour la source) que le Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur et également consultant pour l'OMS a révélé en une seule phrase tout le toc de la vaccinologie qui n'est qu'une fausse science, parfaitement vide et creuse, dont les moindres affirmations ne reposent malheureusement que sur du vent (la base élémentaire des données sur les effets immunologiques des vaccins faisant totalement défaut) !

 

S'il n'y a pas d'indices graves de collusion entre les industries pharmaceutiques, que Mrs Paquay et Van Laethem expliquent donc au public (s'ils en sont du moins capables) pourquoi:

 

- L'ONE dit qu'il n'y a pas de complication grave des vaccins et que les documents confidentiels des firmes pharmaceutiques listent pour un seul vaccin plus de 800 effets secondaires possibles dont plusieurs dizaines de décès de nourrissons, dont l'autisme, dont la mort subite du nourrisson, dont même aussi le syndrome de l'enfant maltraité/secoué ?

 

- Les autorités qui ont connaissance de ces dossiers confidentiels des firmes pharmaceutiques n'en font jamais part aux parents en se contentant de leur parler de simple douleur, rougeur au point d'injection et cela même alors que ce sont ces mêmes autorités qui ont hypocritement fait passer la loi du 22 août 2002 sur les droits des patients qui prévoit en son article 8 l'obligation d'informer suffisamment complètement et objectivement les patients sur les bénéfices des traitements mais aussi sur leurs risques (en termes de nature des risques, gravité et fréquence possibles)??

 

- Pourquoi aussi les autorités n'imposent-elles pas des évaluations réellement scientifiques, c'est à dire avec une méthodologie suffisamment rigoureuse, aux firmes pharmaceutiques AVANT d'autoriser la moindre mise sur le marché du moindre vaccin? Peut-être que Mr Paquay devrait oser regarder la vidéo ci-dessous qui est celle d'une officielle américaine, ex directrice du National Institute of Health des USA (un poste sans commune mesure avec celui de Mr Van Laethem...) qui expliquait elle aussi que les autorités se refusent à des évaluations sérieuses de peur de ce qu'elles pourraient trouver, c'est à dire qu'elles se refusent à une véritable Science tout en sacrifiant inutilement des enfants, chose qui la déçoit elle aussi (mais devient-elle alors elle aussi pour autant "complotiste"????):

 

 

On notera que le Dr Healy affirme que la question du lien entre vaccins et autisme n'est donc toujours pas réglée/tranchée alors que le Dr Van Laethem osait lui affirmer dans une émission sur RTL que cette histoire d'autisme en lien avec les vaccins a été "montée à la manière d'une pièce de théâtre"!! C'est donc dire tout le sérieux scientifique des invités conviés par la RTBF censés jeter plein de poudre aux yeux aux citoyens du haut de leur titre qui ne semble malheureusement pas aller de pair avec une simple lecture des données scientifiques et des carences méthodologiques existantes.

 

Si le Dr Van Laethem affirme que nous sommes "à 95% dans le mensonge scientifique", c'est qu'il n'a du reste pas dû lire non plus le célèbre journal JAMA du 3 septembre 2008 dans lequel l'ex éditrice en chef  du prestigieux New England Journal of Medicine, le Dr Marcia Angell déclarait, nous citons : « […] Il serait naïf de conclure que les conflits d’intérêts et les biais qu’ils induisent ne sont que le fait de quelques instances isolées. En réalité, ils imprègnent le système dans son ensemble. Les médecins ne peuvent plus compter sur la littérature médicale comme une source d’informations valides et fiables. C’est la conclusion que j’ai dû tirer, à contrecœur, vers la fin de mes 20 ans à la tête de la rédaction du New England Journal of Medicine, et cette conclusion n’a fait que se renforcer depuis. Les cliniciens n’ont plus moyen de savoir quels sont l’efficacité et le profil de sécurité réels des médicaments qu’ils prescrivent, et il est fort probable que ces produits sont loin d’avoir les qualités que leurs prêtent les publications médicales. » (lire la suite des propos de Marci Angell ici)

 

Les lecteurs et visiteurs intéressés compareront aussi l'idéologie du Dr Van Laethem et des médias complaisants qui lui ont déroulé le tapis rouge aux propos pondérés et rationnels du pédiatre américain Dr Lawrence Palevsky:

 

 

Pour les êtres d'intelligence même moyenne, il n'est guère difficile de se rendre compte que le secteur vaccinal fait partie des secteurs économiques stratégiques des Etats qui les hébergent (USA, France, Grande-Bretagne, Belgique,...) et qu'ils sont dès lors assimilés pour cela à une sorte de "raison d'Etat" qui passe évidemment bien avant les victimes d'effets secondaires soi-disant si rares des vaccins.

 

Cela s'est vu en France lors de la campagne de propagande monstre en faveur des vaccins anti-hépatite B dans les années 90 (lors de laquelle les contestataires étaient fichés par les Renseignements généraux - ça ne s'invente pas - que Mr Paquay ose donc prendre connaissance de la copie d'une note officielle des Ministères français à cette époque, reproduite dans le livre de Lucienne Foucras, "Le Nouveau dossier noir du vaccin contre l'hépatite B" !).

 

Dans un rapport du Sénat français de 2007, les autorités déclarent que le secteur pharmaceutique est "leur partenaire naturel". (là encore ce sont leurs mots que nous reprenons fidèlement... on notera qu'ils n'écrivent pas que les citoyens sont leurs "partenaires naturels" en revanche, juste de vulgaires électeurs dans leur esprit probablement.)

 

Le 14 octobre 2008, le journal Libération rapportait que le Pr Marc Tardieu, neuropédiatre, avait été interdit de conférence de presse pour qu'il ne puisse ainsi pas trop faire de bruit au sujet des résultats dérangeants qu'il avait obtenus et qui montraient que le vaccin anti-hépatite B de GSK (qui est inclus dans le vaccin hexavalent Infanrix hexa) entraîne un sur-risque de sclérose en plaques.

 

Le contrat léonin d'achat de vaccins H1N1 (qui était confidentiel et est "tombé du camion") a lui aussi montré une proximité nettement plus grande entre l'Etat et GSK que ce qu'on veut bien dire et un article de ce contrat indiquait même expressément que les 2 co-contractants devaient se garder d'attitudes pouvant laisser penser qu'ils sont plus que 2 simples co-contractants! Lors de nos actions en justice contre l'Etat belge dans le contexte du H1N1 fin 2009 et début 2010, nous avions demandé la publication de ce contrat d'achat de vaccins H1N1, une demande rejetée, bien que l'Etat n'avait en réalité fourni dans le cadre de ces procédures qu'une partie ridicule (4% seulement!) du texte et que celui-ci avait été largement caviardé, comme la comparaison avec le texte intégral a pu le montrer quand celui-ci a été révélé en mai 2010 par Le Soir.

 

En Grande-Bretagne, trente années de documents confidentiels des autorités en matière d'effets secondaires de divers vaccins ont pu être obtenus en vertu du Freedom of Information Act (Loi sur le droit d'accès à l'information) et leur contenu montre sans l'ombre d'un doute possible tous les efforts de dissimulation délibérés déployés par les membres du Comité de Vaccination anglais pour que les programmes vaccinaux continuent à tout prix et que le public ne soit pas informé de ces risques. En outre, révéler au public la situation telle qu'est est pose aussi un problème de responsabilité juridique insurmontable pour les autorités qui ont recommandé de façon inconséquente tous ces vaccins depuis autant d'années.

 

Dans n'importe quel autre domaine, avec de tels indices aussi solides et aussi convergents, chacun se sentirait obligé de conclure à juste titre qu'il y a une situation au minimum anormalement laxiste vis-à-vis du secteur industriel concerné. Mais non, ici, on ne peut surtout rien dénoncer sans se faire traiter de complotistes. Tout simplement parce que les officiels n'ont plus que ce pseudo-argument, cette seule béquille-là (et souvenez-vous bien qu'ils nous ont fait le même coup au moment du H1N1, essayer de diviser l'opinion en 2 fausses catégories avec d'une part un public raisonnable et docile qui croyait le baratin officiel sur le bienfondé du vaccin et de l'autre, tous les gens qui contestaient sur base de fantasmes car ils étaient paranos et "dans la théorie du complot"... entre temps, les données statistiques ont montré qu'un pays comme la Pologne qui n'a pas acheté de vaccins, a eu moins de cas, moins de décès et aussi que ces vaccins hasardeux et coûteux étaient responsables sans le moindre doute possible d'effets neurologiques et auto-immuns graves comme la narcolepsie, toujours incurable et redoutable pour les malheureux enfants et adultes qui en sont les victimes)

 

Ce qui est ici le plus grave, c'est finalement que les médias n'ont plus l'intelligence, le bon sens mais surtout l'humanité et la liberté d'inciter le public à se réunir largement, au-delà des clivages, pour exiger enfin conjointement la vraie Science. Parce qu'il y a urgence mais aussi parce que tous les citoyens gagnent à ce que les exigences règlementaires des vaccins soient durcies de façon à pouvoir prouver qu'ils sont réellement si sûrs que cela!

 

En lieu et place, nous avons des médias qui diffusent des publicités trompeuses en faveur des vaccins, qui travestissent le discours de certains intervenants selon les consignes éditoriales qu'ils reçoivent et qui se refusent à faire barrage aux lamentables tentatives de division du public par des officiels davantage soucieux de monter les gens les uns contre les autres (pour faire diversion) que de régler valablement et courageusement la situation.

 

La bulle vaccinale (comme toutes les bulles) éclatera tôt ou tard. C'est là une certitude, la seule question étant de savoir combien de victimes en auront fait les frais d'ici là. Difficile à calculer précisément mais guère difficile de voir qui aura à cet égard eu une responsabilité. Celle des médias apparaît d'emblée éclatante (et cette responsabilité était d'ailleurs déjà dénoncée en 1875 par des médecins à une époque où il n'existait encore qu'un seul vaccin, c'est donc dire si les procédés n'ont malheureusement pas changé!).

 

Pour ce qui est d'Initiative Citoyenne et compte tenu que c'est loin d'être la première fois que la RTBF déforme nos propos (droit de réponse refusé en mai 2012, reportage de Question à la Une biaisé et orienté en octobre 2012 pour nous assimiler là aussi plus ou moins subtilement à des complotistes,...), nous leur fermons la porte, estimant que la confiance est définitivement rompue. Cela sera désormais à eux de prouver qu'ils respectent leur public et son droit à l'information et qu'ils traitent suffisamment impartialement le sujet.

 

Dans le même temps, chacun restera libre aussi de se demander s'il trouve sain et normal que:

 

- La ministre de tutelle de la RTBF soit la même Ministre que celle ayant en charge la Santé (Mme Laanan)?

 

- Que la Ministre de tutelle de la RTBF soit aussi la ministre de tutelle de l'ONE (?) et que par ailleurs,

 

- la Ministre de tutelle de l'ONE, de la RTBF et aussi de la Santé ait deux de ses soeurs qui travaillent chez GSK bien qu'elle n'avait jamais signalé cela clairement au public avant son entrée en fonction ?

 

Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme :

 

« Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »

 

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

La stratégie de développement des vaccins: les vraies questions qui se posent



Ethique vaccinale & prostitution de la Science

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Liberté vaccinale & information (conférence d'Initiative Citoyenne en mars 2012 à Sart- Bernard)

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 22:03

Voici une vidéo qui parle d'elle-même et qui pourrait résumer à elle-seule l'urgence qu'il y a d'agir, tout simplement parce que nous ne pouvons plus avoir confiance dans les promoteurs d'une fausse Science mais surtout parce qu'il y a des enfants à sauver et dont les droits les plus élémentaires à l'intégrité physique sont bafoués tous les jours dans notre pays (et pas juste dans les pays lointains comme croient souvent les plus crédules d'entre nous!):

 

 

Sous l’égide de l’UNESCO se réunirent à Tokyo, en automne 1995, des savants du monde entier pour essayer de « réconcilier le savoir et la sagesse » et de déterminer si les nouvelles technologies sont au service de l’homme ou l’homme au service des technologies… Michel Random, écrivain et philosophe qui participa au Colloque, en a fait la synthèse dans un ouvrage collectif LA MUTATION DU FUTUR paru en 1996 aux éditions Albin Michel. Il écrit :

 

« Il est clair qu’il existe aujourd’hui deux sciences qui n’ont heureusement plus rien de commun, une science réductionniste et sans conscience et une science holistique et visionnaire qui associe le réel à la conscience. Cette seconde science est probablement celle qui peut donner un sens nouveau à notre présent et à notre futur. Certes, elle connaît la présence de gaz dans la chambre mais elle ouvre la fenêtre alors qu’il en est encore temps. »

 

Sylvie Simon : la dictature médico-scientifique, p. 263

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 22:00

 HERITAGE INCERTAIN : EFFETS TRANSGENERATIONNELS

DES EXPOSITIONS ENVIRONNEMENTALES

 

http://ehp.niehs.nih.gov/121-A298/

 

Dr-Palevsky-avec-enfant.jpg

 

Commentaires du Dr Palevsky , MD, (Pédiatre): Depuis un an et demi, on a assisté à une véritable explosion d’études sur les effets transgénérationnels  de l’exposition à un large éventail de facteurs environnementaux de stress… C’est un domaine qui commence vraiment à « décoller » …Les derniers résultats nous forcent à réévaluer la manière dont les scientifiques perçoivent les menaces de l’environnement sur la santé.

 

Nous devons penser à plus long terme l’impact des produits chimiques auxquels nous sommes régulièrement exposés. Ces nouvelles études tendent à montrer qu’ils pourraient avoir des conséquences non seulement sur notre propre santé, mais aussi sur la santé des générations à venir.

 

On a rapporté des effets transgénérationnels  pour des produits chimiques comme la perméthrine, le DEET, le bisphénol A, certains phtalates, des dioxines, des mélanges de kérosène, la nicotine, le tributylétain, entre autres. La plupart des résultats proviennent d’études sur les rongeurs.

 

Genes.jpg

 

L’exposition à des produits chimiques contenus dans les vaccins qui constituent cependant  des importants facteurs de stress environnementaux, n’a pas encore fait l’objet de recherches. Beaucoup de personnes se font la réflexion suivante : « Moi j’ai été vacciné(e) et je me porte bien. » Ces personnes se servent ensuite de pareil raisonnement comme preuve suffisante pour affirmer que les vaccins sont sûrs. A l’insu de ces personnes, et en dépit du fait qu’elles n’ont pas eu de réaction apparente et immédiate de cause à effet après avoir été vaccinées, ces personnes n’ont aucune idée de l’effet sournois que l’exposition à des ingrédients de vaccins pourrait avoir sur leur matériel génétique, qu’elles transmettront ensuite à leurs enfants et petits-enfants, et pouvant conduire à l’expression de maladies débilitantes inflammatoires et neurologiques chroniques. 

 

Dr Palevsky’s Newsletter, 29 octobre 2013

 

Voir aussi les articles liés suivants:

 

Effets toxiques des substances chimiques à faibles doses

 

Gardasil: le Ministre français de la Santé reconnaît le caractère reprotoxique du borax

 

L'emballage du vaccin Gardasil portera-t-il le logo à tête de mort?

 

Interview du pédiatre Palevsky sur la vaccination des enfants:

 

 

Le Dr Bernadine Healy sur le fait qu'on sacrifie des enfants en les vaccinant aveuglément:

 

 

 

IL EST URGENT D’AGIR CAR PENDANT QUE CERTAINS SE DISENT QUE « SI C’ETAIT VRAI, CA SE SAURAIT », DES ENFANTS (PARFOIS CEUX DE CES PERSONNES) EN FONT LES FRAIS ET CELA, SANS QU’ILS AIENT JAMAIS LEUR MOT A DIRE….

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27 octobre 2013 7 27 /10 /octobre /2013 22:05

Obligation vaccinale et vérités cachées

 

CONTRIBUTION EXTERNE Publié le samedi 26 octobre 2013

 

Pourquoi cette obligation ? Pourquoi taire les informations sur les conséquences graves ? Pourquoi cette politique de la peur ? Pourquoi le lobbying et l’argent priment-ils sur la santé de nos concitoyens ?

 

En Belgique, le seul vaccin obligatoire est celui contre la poliomyélite.

 

Etrangement (ou pas), le parent non averti, lors du premier vaccin, est déjà confronté à une violation de son droit à soigner son enfant comme il l’entend puisque ce vaccin obligatoire est combiné avec trois autres qui ne le sont pas : la diphtérie, la coqueluche et le tétanos. Vous me direz qu’il est possible de se fournir un vaccin polio monovalent. Mais quel parent souhaiterait consciemment injecter du formaldéhyde, substance cancérigène de classe 1 classée comme telle par le CIRC en 2004 ?

 

Où est passée la loi du 22 août 2002 sur les droits du patient ? L’article 8 exige le consentement libre et pleinement éclairé pour tout acte médical, aucune exception n’étant explicitement faite dans la loi, en matière de vaccins. Le médecin doit communiquer à temps les informations relatives aux bénéfices, mais aussi aux risques et aux alternatives possibles. Nous sommes libres d’accepter ou de refuser tout acte médical et c’est la loi !

 

Je rassemble quelques informations sur les vaccins combinés à celui de la polio :

 

1/ le tétanos : maladie qui n’est pas contagieuse ! En France, la moyenne d’âge des personnes qui ont contracté la maladie est de 78 ans, avec une mortalité de 30 %. On vaccine donc nos enfants pour une maladie qui touche les personnes âgées. Aucune étude scientifique ne prouve l’efficacité de ce vaccin.

 

2/ la coqueluche : lorsque ce vaccin a été ajouté au DiTePol, les accidents vaccinaux ont commencé à se multiplier, surtout les encéphalites. Ce vaccin a été, à titre d’exemple, interdit en Allemagne en 1973, la fréquence de cette atteinte cérébrale étant jugée trop importante… Depuis que l’Allemagne a renoncé à imposer cette vaccination, aucune catastrophe sanitaire due à la coqueluche n’a été signalée.

 

3/ la diphtérie : cette maladie est absente de nos pays, et, de plus, facilement curable par des antibiotiques. Ce vaccin ne peut empêcher la contagion.

 

Je récapitule : le seul vaccin obligatoire (antipolio) chez nous correspond à une maladie qui n’existe plus chez nous et qui donc ne peut y « prospérer ». Ce vaccin est combiné avec trois autres, tous inutiles et dangereux pour la santé.

 

On pourrait se dire qu’au moins il existe un système d’indemnisation en cas de complication du vaccin obligatoire, mais non, rien en Belgique. Alors qu’en France, un système d’indemnisation est accessible pour les victimes de vaccins obligatoires.

 

C’est quand même étrange que la vaccination obligatoire soit toujours d’actualité alors que rien n’est prévu pour indemniser les victimes. En parlant d’obligation vaccinale, je tiens à ajouter qu’en France, selon la jurisprudence (arrêt Courty), les crèches n’ont juridiquement pas le droit d’exiger d’autres vaccins que ceux rendus obligatoires par le législateur (tétanos, diphtérie, polio) donc les crèches n’ont aucun droit, là-bas, d’exiger des valences comme coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole ou haemophilius influenza de type b (Hib) alors que l’ONE nous impose tout cela.

 

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Pour son entrée en crèche, ma fille, qui naîtra en janvier, devra donc recevoir un autre cocktail de vaccins. Alors que ces vaccins protègent moins bien et moins longtemps que si on laisse l’enfant faire ces maladies. De plus, on observe un déplacement de la maladie. C’est-à-dire que ce ne sont plus les enfants qui la font, mais bien les adolescents et les adultes (pourtant vaccinés petits). A cet âge, les complications de la maladie sont plus fréquentes et importantes.

 

On note un lien troublant entre le vaccin contre la rougeole et la multiplication des cas d’autisme.

 

Pour les oreillons, maladie en général très bien supportée par les enfants, les études de Michel Georget notent une inquiétante augmentation de la fréquence des diabètes juvéniles.

 

La rubéole est bénigne, sauf pour les femmes enceintes. Mais de nouveau, empêcher un enfant de faire cette maladie, c’est, comme pour les autres citées ci-dessus, assurer la déficience du système immunitaire. Une étude (JAMA, n°214, 2012) a démontré que 78 % des généralistes et 91 % des obstétriciens et gynécologues refusent de se faire vacciner contre la rubéole…

 

Trop protéger les petits contre tout type d’infections les empêche de créer une immunité solide. Dans chaque étude (une des dernières en date : KIGGS, article dans la revue ALIS, octobre 2011) portant sur la comparaison d’enfants vaccinés et d’enfants non vaccinés, ceux qui résistaient le mieux aux infections et qui étaient le moins malades sont ceux qui n’ont pas de couverture vaccinale, mais qui se sont immunisés naturellement.

 

Je ne vais pas passer tous les vaccins en revue. Cela serait bien trop long. Mais, je souhaite rappeler que dans ces vaccins on trouve des traces de mercure, d’aluminium, d’antibiotiques, de borate de sodium, de squalène, etc. Chacun avec son lot de complications, chacun mis en cause pour des problèmes neurologiques, rénaux, troubles du comportement et j’en passe.

 

Tout n’est qu’une question d’argent, de lobby et non de santé publique.

 

Le droit de chacun (la jurisprudence extrêmement claire de la Cour européenne des droits de l’homme, CEDH, Salvetti, Décision 9.7.2002, en matière d’obligation vaccinale dit notamment ceci : "En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée") est bafoué par toutes ces obligations vaccinales qui, au final, ne laissent aucun choix aux parents raisonnables et informés qui souhaitent ne pas vacciner leur enfant, ou dans une juste mesure. Rien n’est proposé comme alternative à la nocivité des vaccins et tout va jusqu’aux pressions policières.

 

Pourquoi tant de vaccins néfastes ? Pourquoi taire les informations ? Pourquoi cette politique de la peur ? Pourquoi, encore et toujours, l’argent prime-t-il sur la santé de nos concitoyens ? Jamais, au grand jamais l’argent ne devrait primer sur la santé.

 

N’est-il pas nécessaire de revoir la politique de la Belgique quant à la vaccination obligatoire, forcée ? Je demande à Madame la ministre de la Santé puisque je ne vais pas avoir le choix, de recevoir une lettre de sa part, m’assurant que ma fille ne risque aucun effet secondaire et que je vais pouvoir me procurer le seul vaccin contre la poliomyélite sans aucun adjuvant néfaste à son organisme. Je souhaite également, Madame la ministre de la Santé, recevoir une lettre signée de votre main qui reconnaît comme discriminatoire un quelconque refus d’inscription dans une crèche ou une école. Merci.

 

Charlotte Renwa

Mère de famille et enseignante

 

Source : La Libre

 

Lire aussi: A qui profitent les vaccins?

 

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27 octobre 2013 7 27 /10 /octobre /2013 21:53

 ESPAGNE : VACCIN CONTRE LE HPV

 

… Et le principe médical : «d’abord ne pas nuire » ?

 

Alicia Capilla, 25 octobre 2013

 

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En réponse directe à ce qui semble être un mépris total pour la santé et la sécurité des jeunes femmes de la part des autorités sanitaires espagnoles, en ce qui concerne les politiques de vaccination contre le HPV, l’Association AAVP (Association des personnes touchées par les vaccins HPV et la Liga para la Libertad de Vaccunacion (Ligue pour la Liberté des Vaccinations) se sont réunies pour publier Documentos 6 para la Reflexion, un dossier d’information sur les vaccins HPV.

 

Ce dossier contient de précieux articles écrits par des spécialistes de la Santé qui pensent que les vaccins contre le HPV doivent être retirés du calendrier espagnol de vaccinations. Des professionnels médicaux et des scientifiques de renom ont librement fait part de leur point de vue sur la sécurité, l’efficacité, ainsi que sur le rapport bénéfices/risques des vaccins contre le HPV. Parmi eux on retrouve le Dr Juan Gervas, médecin généraliste et promoteur de l’équipe CESCA ; Dra Flora Luna , Présidente du Conseil de Surveillance de l’Association Médicale Péruvienne, Maximo Sandin, Docteur en Biologie à l’Université de Madrid ; les études traduites de Chris Shaw, Lucija Tomljenovic et J.P. Spinosa, Neural Dynamics Research Group, Department of Ophtalmology and Visual Sciences, University of British Columbia, Teresa Forcades, Santé Publique ; Carlos Alvarez-Dardet, Professeur de Médecine Préventive et de Santé Publique à l’Université d’Alicante ; Dra Coro-Goitia et Xavier Uriarte.

 

Pourquoi ces experts médicaux se sont-ils sentis obligés de dénoncer les vaccins contre le HPV ?

 

Alicia Capilla explique dans son éditorial que l’Espagne a autorisé l’inclusion des vaccins contre le HPV dans son calendrier vaccinal le 24 août 2007.Il semble que le Ministre Bernat Soria ait abrégé les procédures légales et administratives pour que ces vaccins soient inclus dans le programme vaccinal à une vitesse sans précédent. Il semble que l’on n’ait pas accordé d’importance aux données officielles qui montraient que l’incidence de la maladie que ces vaccins étaient destinés à empêcher (cancer du col de l’utérus) était très faible et se retrouvait principalement chez les femmes âgées. (2/100.000 femmes d’âge moyen de 63 ans). On ne semblait non plus pas accorder d’importance au fait que la vaccination ne pouvait remplacer le dépistage annuel. Le fait que les vaccins contre le HPV ne sont pas des vaccins contre le cancer, mais contre deux des dizaines de souches de HPV impliquées dans le développement du cancer du col de l’utérus (malgré la publicité trompeuse) ne semblait non plus pas avoir grande importance.

 

Immédiatement après l’approbation du Ministre Soria, les deux laboratoires des vaccins contre le HPV (Merck-Sanofi (Gardasil) et GlaxoSmithKline (Cervarix) ont subventionné la mise en œuvre du programme de leurs vaccins dans un grand nombre de régions, à peu près comme ils l’avaient fait dans d’autres pays.

 

La Présidente de l’AAVP, une organisation à but non lucratif, dont le but est de favoriser l’obtention de soins médicaux décents pour les personnes qui ont souffert des effets indésirables de la vaccination contre le HPV, explique

 

« Alors que les vaccins contre le HPV ont d’abord été commercialisés dans notre pays et que notre gouvernement enregistrait des plaintes concernant les pratiques commerciales, que des pressions étaient exercées par les compagnies pharmaceutiques pour augmenter la vente de leurs  vaccins, il est impératif que nous gardions à l’esprit que dans d’autres pays où le vaccin contre le HPV avait été utilisé comme par exemple aux Etats-Unis, des milliers de rapports d’effets secondaires après le Gardasil et le Cervarix parvenaient aux autorités sanitaires.»

 

Un groupe important de professionnels de santé en Espagne a appelé à un moratoire par rapport aux vaccins contre le HPV. Ces professionnels de santé prétendaient avoir de sérieux doutes quant à l’efficacité de ces vaccins et s’inquiétaient de leur coût énorme pour le système de Santé Publique. Ils ont recueilli beaucoup de signatures et appelé à la prudence. Le Ministre de la Santé a ignoré leurs préoccupations.

 

Une campagne de marketing sans précédent ignora la plupart des effets secondaires signalés dans d’autres pays. Il n’avait pas fallu longtemps dans ces pays pour que l’on puisse se rendre compte du côté sombre de ces vaccins contre le HPV. Les mêmes effets secondaires qui avaient été signalés dans d’autres pays avaient aussi commencé à se manifester chez des jeunes femmes en Espagne.

 

Le 4 et le 6 février 2009, deux jeunes filles ont été admises dans le même hôpital de Valence. Toutes deux se trouvaient dans un état critique après avoir reçu le vaccin contre le HPV. Dans le même temps, une jeune fille de Majorque présentait les mêmes symptômes que celles de Valence.

 

Dans un premier temps, les autorités sanitaires de Valence ont reconnu une relation de causalité possible entre les vaccins contre le HPV et les convulsions des jeunes filles. Les autorités s’étaient alors engagées à trouver ce qui s’était passé.

 

Malgré leur engagement écrit à découvrir ce qui s’était passé, il est apparu au cours des rencontres qui ont eu lieu avec les officiels du Ministère de la Santé que ces personnes avaient changé d’avis. Aucune enquête sérieuse ne devait dès lors se produire.

 

Le 9 juillet 2009, une pétition qui demandait un Moratoire au sujet de l’utilisation du vaccin contre le HPV a été remise au Ministère de la Santé de la Communauté de Valence, ainsi qu’au Ministère Espagnol de la Santé. Cette pétition fut pratiquement ignorée.

 

Le 23 décembre 2009, le Ministère de la Santé a reçu une pétition de plus de 9.500 signatures de personnes qui voulaient que les autorités de Santé reconnaissent les effets secondaires des vaccins contre le HPV dont avaient souffert des jeunes filles. Une fois de plus, il n’y eut pas de réponse adéquate de la part du Ministère de la Santé.

 

L’Association AAVP a demandé à plusieurs reprises la reconnaissance des dommages, la possibilité d’un consentement éclairé (en fonction des témoignages d’effets secondaires graves), ainsi que le retrait des vaccins contre le HPV par les autorités de Santé Espagnoles.

 

Etant donné ces circonstances, le décès d’une adolescente de 13 ans à Gijon en septembre 2012 est totalement inacceptable.

 

En conséquence, nous demandons aux praticiens de fournir des informations appropriées aux familles avant d’administrer le vaccin. Nous demandons au Ministère de la Santé de créer un fonds d’indemnisation pour les personnes qui souffrent d’effets secondaires des vaccins et de retirer les vaccins contre le HPV du calendrier vaccinal pour les jeunes filles tout en excluant leur extension aux enfants pour deux raisons  principales :

 

- Les risques que ces vaccins inutiles font courir à la population des jeunes alors que des mesures préventives efficaces et sûres sont disponibles comme la cytologie, les préservatifs et l’éducation sexuelle, étant donné que l’infection s’acquiert par contact sexuel.

 

- Les coûts injustifiés pour le système de Santé espagnol alors que nous subissons des coupes aveugles qui constituent des menaces pour les soins de santé eux-mêmes et compromettent l’équité.

 

Nos efforts pour être reçus par l’un des Ministres de la Santé au cours des quatre dernières années ont été vains. Aucun des Ministres n’a daigné répondre à nos demandes d’audience, une attitude incompréhensible de la part de ceux qui ont l’obligation de veiller à la santé des citoyens, et ce, tout spécialement quand certains d’entre eux ont encouru des risques de santé qui résultent de décisions plus politiques que médicales.

 

Modestement, mais d’une manière persistante, notre Association va continuer à travailler pour que justice soit rendue à ces victimes. La publication de Documentos 6 para la Reflexion est simplement une autre étape dans les efforts déployés pour la protection de nos enfants par rapport aux risques inutiles qui sont pris pour contrôler une maladie qu’ils ont vraiment peu de chances de voir se développer.

 

Source: SaneVax

 

NB: Merci à tous ceux qui comprennent l'espagnol ou connaissent des personnes maîtrisant cette langue de répandre ce dossier qui pourra incontestablement sauver des vies et épargner la santé de nombreuses jeunes filles.

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