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2 juillet 2016 6 02 /07 /juillet /2016 16:20

LA CENSURE EST PARTOUT

Vaccins: la censure est vraiment partout

Dr Suzanne Humphries, M.D., néphrologue (extrait de sa conférence à Copenhague (Novembre 2015)

 

Nous constatons aujourd’hui que la censure touche pratiquement toutes les publications anti-vaccinales. Les opposants sont présentés comme stupides et idiots.

 

Pour pouvoir colmater les fissures qui apparaissent de plus en plus dans ce « barrage », il convient que les journalistes soient eux aussi censurés.

 

Dans la presse populaire, le magazine Forbes (4 août 2015) le dit carrément :

 

Le journal Forbes du 4 août 2015 titrait : « Comment pouvoir changer la mentalité des anti-vaccins ?– Foutez-leur la trouille pour éliminer toutes leurs conneries ! »

 

Pour atteindre ces objectifs, ils sont obligés de restreindre l’information parce que quand les parents et les médecins se trouvent en possession de tous les faits, il leur est très facile d’établir la connexion entre les dommages de santé de leur enfant et les vaccinations. En outre, ces parents et ces médecins veulent toujours en apprendre davantage.

 

Avez-vous déjà entendu parler du Dr Paul Offit. C’est lui qui établit les recommandations pour les médecins et les organismes de consultance aux Etats-Unis. Il dit clairement que les journalistes qui colportent ou publient des arguments anti-vaccins devraient être jetés en prison !

 

Il en découle qu’aujourd’hui la plupart d’entre eux sont terrifiés à l’idée de perdre leurs sponsors. Mais les journalistes qui sont toujours intéressés par un débat équilibré doivent malgré tout être censurés.

 

Ainsi, Kathleen Sebelius, Secrétaire d’Etat au Ministère de la Santé publique (2009-2014) a écrit dans le célèbre magazine Reader’s Digest : dans la presse, les critiques des vaccins ne peuvent disposer d’une place égale, et ce, même quand les arguments et les critiques sont parfaitement fondés :

 

Tout doute possible au sujet de la sécurité des vaccins, qu’il soit fondé ou non, ne peut être autorisé d’exister. Federal Register DHHS, FDA, 1984, June 1- Docket n° 84N-0178. (Ministère Fédéral de la Santé et des Services Sociaux).

Vaccins: la censure est vraiment partout

Est-il possible de dire les choses plus clairement ?

 

Partout les médecins sont sous la menace. -  la vaccination n’est-elle pas une chose qui va de soi, qui ne doit poser aucun problème, qui ne se discute pas ?

 

Commentaire d'Initiative Citoyenne:

 

Les exemples de censure abondent en matière de vaccination, ils sont la règle et non l'exception. Songeons à ce qui s'est passé avec le documentaire Vaxxed du Dr Wakefield et de Del Bigtree au festival de Tribeca (la saga avec l'acteur Robert de Niro) mais aussi plus récemment avec un autre documentaire Man Made Epidemic (Epidémie crée par l'homme) de la cinéaste allemande Nathalie Beer, qui a été déprogrammé du festival londonien d'East End parce qu'il évoque l'insécurité des vaccins et leur lien avec l'autisme. Les choses sont assez simples: pour l'immense majorité des personnes dogmatiques et religieusement attachées aux vaccins, il leur suffit dans ce cas de se demander si des documentaires critiques sur les vaccins peuvent tout simplement avoir le statut de documentaires!

 

Quand des universitaires font des thèses critiques sur les politiques vaccinales, il est aussi question d'essayer de les bâillonner et d'exercer des pressions sur leurs universités, cela s'est vu avec l'australienne Judy Wilyman qui pointait le rôle de l'OMS et d'autres organisations dans la mise en place de programmes de vaccination aveugles et mondialisés; cela s'est aussi vu avec les chercheurs Chris Shaw et Lucija Tomljenovic de l'université de Colombie britannique mais hélas, la mentalité de moutons est encouragée dans la plupart des universités du monde

 

Quand des chercheurs mettent en évidence dans leurs travaux de recherches et dans leurs publications des risques sérieux associés aux vaccins (fibromyalgie, sclérose en plaques etc.), ils sont tout simplement privés de crédits de recherche ou encore interdits de conférence de presse, par exemple comme le Pr Marc Tardieu, neuropédiatre à la Pitié Salpétrière à Paris dont l'étude a démontré un sur-risque clair de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés contre l'hépatite B.

 

Le 18 mai dernier, lorsque nous nous sommes rendus pour certains d'entre nous à l'Assemblée générale du Conseil Supérieur de la Santé qui prétendait de façon tout à fait fallacieuse dévoiler les "coulisses de la vaccination", nous avons pu constater le même malaise criant face au concept de liberté d'expression et la volonté évidente de fuir les questions dérangeantes. Pour assister à ce genre d'évènement, vous êtes d'abord fouillés à l'entrée puis vous êtes photographiés à plusieurs reprises quand vous êtes assis dans la salle des participants et enfin, vous n'avez droit qu'à un temps ridicule de 20 minutes pour une salle de plusieurs centaines de participants pour espérer pouvoir poser une question que vous ne pourrez quand même pas poser tant les orateurs se montrent terrorisés quand vous levez le bras et qu'ils s'empressent de parler dans le vague pour que vous n'ayez surtout pas la parole.  Ces gens-là sont mal à l'aise avec toute idée de débat car ils savent hélas pertinemment qu'ils sont dans le mensonge et la contradiction permanente. Risquer de perdre brutalement la face devant des centaines de médecins venus docilement boire leurs paroles, parce que des dissidents ont eu l'outrecuidance de venir assister à leur grand messe et qu'il existe tellement de questions possibles auxquelles ces "grands experts" ne sauront tout simplement pas répondre s'avère à bien des égards une expérience angoissante et un véritable exercice d'équilibriste pour ces bonzes. Comment s'étonner alors que ces gens-là préconisent explicitement dans leurs discours culpabilisants le recours à des partenariats médiatiques en vue de ne surtout plus donner le moindre espace aux opposants/dissidents? C'est pourtant ce qu'ils font ET... ce qu'ils obtiennent, au détriment de la santé du plus grand nombre fort malheureusement ainsi que de la liberté et de la dignité les plus fondamentales des individus ainsi privés purement et simplement du droit à une information plurielle et donc du droit à un consentement réellement libre et éclairé. 

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26 juin 2016 7 26 /06 /juin /2016 17:31

ENCEPHALITE JAPONAISE :

 

Une étude montre que le vaccin actuel contre la souche émergente de l’encéphalite japonaise pourrait ne pas être protecteur

 

Xinhua, 3 mai 2016 (New China)

Encéphalite japonaise: le vaccin actuel pourrait ne pas protéger

Washington, 3 mai (Xinhua)

 

Des chercheurs chinois ont déclaré mardi que les vaccins actuels  ne pouvaient pas protéger les individus contre une souche émergente du virus de l’encéphalite japonaise, la principale cause d’encéphalite virale en Asie.

 

Le virus de l’encéphalite japonaise peut être divisé en cinq génotypes, à savoir de G1 à G5. La souche G5  a été initialement isolée à partir d’un patient et décrite en 1951. Cette souche n’a plus été détectée jusqu’en 2009 où elle a été retrouvée en Chine et ensuite en Corée du Sud.

 

Il n’existe aucun traitement spécifique contre le virus, mais on utilise un certain nombre de vaccins pour protéger les populations locales et les voyageurs. Tous les vaccins sont basés sur les souches de virus G3. Il avait précédemment été démontré qu’ils pouvaient être efficaces contre les souches de G1 à G4.

 

Dans la nouvelle étude publiée dans la revue américaine PLOS (Neglected Tropical Diseases), Guodong Liang et ses collègues du Centre chinois pour le contrôle et la prévention des virus G3 et G5 ont effectué des tests pour vérifier si le vaccin couramment utilisé en Chine pouvait protéger contre les virus G5.

 

Ils ont injecté à des souris le vaccin à base de G3, et ont trouvé que le vaccin protégeait toutes les souris contre une provocation létale avec le virus G3, mais seulement 50% des souris infectées par le virus G5 ont survécu.

 

Ensuite, les chercheurs ont cherché à inactiver les anticorps de 26 enfants de 2 ans qui avaient été vaccinés. Ils furent capables de détecter  des anticorps neutralisants contre les souches G3 chez tous les enfants, mais seuls 35% d’entre eux avaient également des anticorps susceptibles de neutraliser les souches G5.

 

Enfin, les chercheurs ont analysé les échantillons de 45 patients qui avaient été infectés naturellement par le virus. Et alors que  tous les patients avaient des anticorps neutralisants contre les souches G3, seulement 29 parmi les 45 patients, soit 64% avaient la possibilité de neutraliser les souches G5.

 

La plupart de ces derniers étaient des patients plus âgés, tandis que moins de la moitié des moins de 15 ans avaient des anticorps neutralisants contre les virus G5.

 

Les résultats suggèrent que l’infection naturelle par une souche différente pourrait ne pas protéger contre une infection ultérieure de G5, en particulier chez les enfants.

 

Le document précise que « sur base de ces résultats, les chercheurs précisent que le vaccin actuel JE (Encéphalite Japonaise) dérivé du virus G3 JE (JEV) ne fournit pas un niveau adéquat de protection contre les génotypes émergents G5 JEV. »

 

«  Nos résultats démontrent la nécessité d’études plus détaillées pour réévaluer si oui ou non l’émergence apparente du G5 JEV peut être attribuée à l’échec du vaccin actuel pour induire une protection immunitaire appropriée contre ce génotype de JEV. »

 

Source: Xinhuanet

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22 juin 2016 3 22 /06 /juin /2016 13:25

Souvenez-vous, en 2009, notre collectif citoyen (pas que lui bien sûr mais lui aussi!) mettait en garde contre les dangers très conséquents que les populations du monde entier encoureraient à recevoir pareil vaccin expérimental..... comme seul "argument" les officiels avaient alors essayé en vain de nous présenter comme des illuminés ou des membres de sectes....

 

Ce petit rappel qui suit vous aidera, il nous semble, à mieux comprendre les dangers véritables de s'en remettre naïvement à l'avis des "grands experts" officiels dont la dangerosité en termes de conseils et de recommandations dépasse hélas a bien des égards celle des prétendus "membres de sectes", une étiquette très commode qui fait le plus souvent office d'épouvantail. Qu'en serait-il advenu à la santé globale/générale des populations (déjà si déclinante actuellement!) si 100% des populations avaient suivi 100% des conseils vaccinaux officiels depuis toujours? En voilà une sacrément bonne question quand vous entendrez les prochaines culpabilisations et pressions pour vous faire vacciner à tout prix....

 

A Stockholm, en Suède, pour parler des conséquences catastrophiques du vaccin H1N1 - par Anne-Françoise Hivert

 

 

En 2009, une campagne de vaccination contre la grippe H1N1 a eu des conséquences catastrophiques pour plus de 300 personnes. De nombreuses personnes ont contracté une narcolepsie (grave trouble du sommeil) après avoir été vaccinées. Reportage auprès de victimes de ce vaccin... 

 

Ecoutez l'émission!

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18 juin 2016 6 18 /06 /juin /2016 09:17

Un bébé de deux mois a souffert d’apnées et est décédé après avoir reçu 8 doses de vaccins

 

Vactruth, 16 juin 2016

Le petit Cash décède après avoir reçu 8 vaccins

 

Encore une famille en deuil suite à la perte de leur bébé de deux mois après une vaccination de routine.

 

Après l’injection de vitamine K et du vaccin contre l’hépatite B qui lui furent administrés immédiatement après la naissance, le petit Cash Dewayne Thomas a fait des épisodes d’apnée. Quand la maman a fait part de ses inquiétudes à plusieurs médecins, ceux-ci n’ont pas voulu prêter attention à ses préoccupations et mettre l’enfant sur moniteur respiratoire.

 

A sa visite médicale de deux mois, le pédiatre a assuré la maman que les vaccins étaient sans danger. Il a ensuite signé un document permettant à une infirmière d’administrer 8 vaccins à Cash, alors que personne ne s’était préoccupé de ses problèmes respiratoires. Le petit Cash est mort 16 jours plus tard. C’est là un des jours critiques où les nourrissons risquent de souffrir de problèmes respiratoires après des vaccinations. [1,2]

 

Après avoir enterré leur petit garçon, les parents de Cash  ont regretté avoir écouté le pédiatre plutôt que leur propre intuition.

 

Le papa et la maman de Cash veulent envoyer un message fort aux parents qui soutiennent les vaccins dans l’espoir que l’histoire tragique de leur petit garçon pourra épargner à d’autres parents les souffrances par lesquelles ils ont dû passer.

 

Cash n’a pas pu échapper à l’assaut des médecins qui ont voulu vacciner sa maman quand elle était enceinte.

 

Cash avait déjà survécu à l’assaut de dangereux vaccins que sa maman a dû recevoir quand elle était enceinte de plus de 6 mois (DTCa et grippe). [3,4]

 

A 40 semaines de gestation, Whitney s’est rendue au Centre médical de Kansas City. Comme on avait découvert qu’elle était positive pour les streptocoques du groupe B, elle a dû recevoir deux doses de pénicilline. C’est relativement peu de temps après que Cash est né. A la naissance, il n’avait aucune réaction et dut être immédiatement  réanimé.

 

Après avoir été réanimé, les médecins ont estimé qu’il était en bonne santé. On lui a alors injecté de la vitamine K et un vaccin contre l’hépatite B. Ceci se passait le jour même de sa naissance. Les deux injections combinées contiennent approximativement 350 mcg d’aluminium. Ces deux injections sont connues pour être liées à des problèmes respiratoires, entre autres complications. [5]

 

Quand il eut 3 semaines, la maman remarqua qu’il présentait des épisodes de suffocation quand il dormait dans son berceau. Quand il se réveillait, il laissait échapper un bruit qui montrait qu’il voulait reprendre son souffle.

 

Quand Cash eut 5 semaines, ses épisodes d’apnée se sont produits plus fréquemment, environ une fois toutes les heures. La maman de Cash devait souffler dans la bouche de l’enfant pour l’aider à reprendre sa respiration.

 

Le 26 mai 2013, Whitney se précipita aux urgences de l’hôpital des enfants de Kansas City pour demander de l’aide. Whitney savait que quelque chose ne tournait pas rond, mais le médecin n’a pas voulu l’écouter, attribuant les problèmes respiratoires de Cash à des réactions de reflux. Il a ensuite écrit une ordonnance pour du Zantac, et a conseillé à la maman de consulter son pédiatre. Whitney se sentait impuissante et frustrée de constater que l’on ne voulait pas brancher son petit garçon à un moniteur respiratoire.

 

Cash a été allaité pendant plusieurs semaines, puis a été nourri au biberon. Il n’a eu aucune congestion, pas de nez qui coule, pas de gonflements des yeux, autant de symptômes qui pourraient être liés à une allergie alimentaire. Estimant que les médecins savaient mieux ce qu’il fallait faire, Whitney a donné le Zantac prescrit à son petit bout. Cette prise du médicament ne fut cependant d’aucune aide.

 

Les crises d’apnée ont continué avant qu’elle puisse voir son pédiatre. Whitney avait pensé qu’elle devait avoir l’avis du pédiatre pour présenter son petit garçon à la clinique afin de pouvoir tester les troubles du sommeil.

 

C’est le 7 juin 2013 que le pédiatre a pris rendez-vous à la clinique du sommeil pour le petit Cash. C’est à cette époque que Whitney avait dû plusieurs fois faire du bouche à bouche avec le petit quand il arrêtait de respirer.

 

L’hôpital finit par faire savoir à Whitney que Cash devait être mis sur une liste d’attente car il devait absolument être vu par un médecin.

 

Les semaines passaient et Cash se trouvait toujours sur la liste d’attente sans que Whitney reçoive quelque aide des médecins. Elle en fut vraiment choquée.

 

Comme la visite médicale des deux mois était proche, Whitney emmena ses trois enfants pour qu’ils reçoivent leurs vaccins à temps. A ce moment-là, elle ne savait pas que les vaccins pouvaient entrainer des apnées et des problèmes respiratoires.

 

A sa visite de deux mois, le médecin recommanda négligemment que Cash reçoive tous les vaccins prévus au programme officiel. Le médecin rassura Whitney en lui précisant que les vaccins étaient sans danger. Il signa ensuite un papier pour que l’infirmière puisse administrer à Cash huit doses supplémentaires de vaccins, bien que personne ne s’était occupé des problèmes respiratoires du petit. Whitney fit confiance au médecin et signa un document de consentement à la vaccination.

 

C’est donc le 19 juin 2013, alors que Cash pesait près de quinze livres, que l’infirmière administra les vaccins contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la polio, le Hib, le pneumocoque et le rotavirus. Le tout en trois injections plus une dose orale, soit un total de huit doses de vaccins.

 

Après avoir reçu ces vaccins, Cash était devenu grincheux et difficile. Sa maman lui administra du Tylenol qui avait été recommandé par le médecin. C’est alors que les problèmes respiratoires de Cash ont commencé à empirer. Les jours passaient et les problèmes d’apnée continuaient.

 

La maman de Cash se sentait impuissante et ne savait que faire en attendant un nouveau rendez-vous. Alors qu’elle soutenait Cash au-dessus de son oreiller, elle a vu que Cash qui tenait ses mains devant son visage avait cessé de respirer. Il ne respira plus pendant environ quinze secondes.

 

Whitney était terrifiée parce que quand Cash dormait, ses apnées s’aggravaient depuis qu’il avait reçu ses vaccins. Aucun médecin ne semblait vouloir les aider.

 

Cash riait et jouait -  5 heures plus tard il mourait !

 

Le 4 juillet 2013, après la célébration du jour d’Indépendance, Cash riait et jouait avec son oreiller. Il alla dormir vers 23h.30. Après l’avoir bercé dans ses bras, sa maman le plaça sur le dos en position élevée. D’habitude, il dormait dans son berceau, mais cette nuit-là, la maman préféra que son petit dorme à côté d’elle.

 

Le 5 juillet 2013, aux environs de 5 heures, la maman se réveilla pensant qu’il était étrange que le petit ne se soit pas réveillé. D’habitude il se réveillait plus tôt pour être nourri. La maman vit que Cash se trouvait exactement dans la même position qu’elle l’avait placé. Whitney se rendit compte que quelque chose n’allait pas. Elle a pris le petit dans ses bras et a crié son nom. Le corps de Cash était encore chaud mais ses lèvres étaient froides. Whitney cria pour que son mari Jesse appelle le 911. Huit minutes plus tard l’ambulance arrivait. Les secouristes ont de suite essayé de ranimer Cash. Mais toutes les tentatives de réanimation furent vaines. Cash fut déclaré mort à l’hôpital pour enfants à 5h.51. Il avait deux mois et demi.- Quand Cash est mort, les secouristes ont remarqué une importante quantité de sang au fond de sa gorge, tout en ne soupçonnant rien de déloyal.

 

Les parents de Cash traités comme des criminels

 

Les parents de Cash furent immédiatement séparés et conduits à l’hôpital dans deux voitures différentes. Quand Whitney entra aux urgences, elle fut accompagnée par dix étrangers qui étaient chargés de lui apprendre que son bébé était mort. Whitney a alors déclaré : « Je ne veux pas entendre cela ! Je vous ai amené mon petit garçon parce qu’il risquait d’arrêter de respirer. Et vous ne vouliez pas nous venir en aide ! »

 

Jesse, le père de Cash arriva 30 minutes plus tard dans une voiture de détective. Quand les parents de Cash ont été autorisés à se retrouver, ils ont eu vite fait de comprendre qu’ils étaient tenus en otage. Un aumônier avait été mis à leur disposition pour leur venir en aide.

 

Whitney et Jesse ne furent pas autorisés à quitter l’hôpital avant que les résultats des radios du squelette de leur fils puissent prouver leur innocence. - Il est impensable que des parents soient traités de cette manière après avoir perdu leur bébé. Ils se sont sentis traités comme des criminels.

 

Les services hospitaliers ont demandé à la maman de Cash s’ils pouvaient prélever des organes et des tissus sur le corps de l’enfant

 

A peine deux heures après qu’ils soient rentrés de l’hôpital, Whitney reçut un coup de fil. On lui demandait si elle pouvait donner la permission que l’on prélève des organes et des tissus sur le corps de l’enfant. Whitney ne put supporter la chose. Elle était tellement bouleversée qu’elle  leur a dit  de ne pas toucher à son bébé.

 

Whitney était à ce point émotionnellement ébranlée qu’elle n’a pu rester dans sa maison pendant une semaine.

 

Le rapport d’autopsie n’a pas mentionné les vaccins

 

Le rapport d’autopsie évoque « l’asphyxie probable » pour expliquer le décès de Cash, asphyxie due au fait que l’enfant dormait avec un adulte. Cette interprétation rendait la maman coupable. Le décès a été jugé accidentel.

 

Cash  avait une quantité importante de sang dans le fond de la gorge et plusieurs de ses organes étaient congestionnés. Son corps avait été privé d’oxygène. Il n’y avait cependant aucun signe de suffocation quand Cash est mort. Il était couché sur le dos et rien ne faisait obstruction à ses voies respiratoires.

 

Aucun vaisseau n’avait éclaté dans les yeux de Cash, il ne présentait aucun gonflement, aucune ecchymose sur le  visage. Son visage n’était pas décoloré. Ce sont là des signes qui pourraient montrer qu’une personne a vraiment étouffé.

 

Les principales conclusions de l’autopsie de Cash émanant du bureau du Jackson County Medical Examiner in Kansas City Missouri sont les suivantes :

 

Asphyxie probable

 

Enfant trouvé inconscient après avoir dormi avec un adulte

 

Pétéchies sur le thymus et les poumons.

 

Congestion sévère des organes internes.

 

AUCUN VACCIN NE FUT MENTIONNE DANS LE RAPPORT D’AUTOPSIE DE CASH

 

Sur base des résultats qui furent trouvés au cours de l’autopsie, on peut comprendre que le système immunitaire du petit avait dû être surexcité. Ces conclusions sur le rapport d’autopsie de Cash sont typiques d’une personne qui a subi une réaction sévère, associée au système immunitaire ou à de l’asthme lié à une réponse inflammatoire.

 

Les pétéchies retrouvées sur le thymus et sur les poumons signifient que les capillaires saignaient. On sait que les vaccins peuvent affecter le thymus. [6,7]

 

Le fait de dormir à côté d’une personne ne conduit pas à ce type de réaction, alors que la réaction à un vaccin pourrait précisément le produire. Le médecin légiste a complètement ignoré la chose. Les notices des vaccins administrés à Cash mentionnent : septicémie, apnée, difficultés respiratoires, MORT SUBITE DU NOURRISSON, réactions allergiques, etc.

 

La maman de Cash n’avait pas été informée par le pédiatre que tous les vaccins qui ont été administrés à Cash pouvaient être associés à des problèmes respiratoires et à des apnées comme réactions possibles aux vaccins. Tout ceci est mentionné sur les notices des vaccins administrés à Cash. [8,9,10,11,12,13] VOIR notices ci-dessous :

Le petit Cash décède après avoir reçu 8 vaccins

 

Si Whitney avait pu disposer de cette information, elle n’aurait pas autorisé que l’on poursuive les vaccinations. Vacciner un enfant au moyen de vaccins qui peuvent provoquer des apnées relève de la négligence, mais les médecins ne s’en occupent généralement pas du fait qu’ils ne peuvent pas être tenus responsables  quand pareilles réactions peuvent se produire.

 

Le décès de Cash est probablement dû à des causes iatrogènes, à une intervention médicale qui comprenait la vaccination. La chose ne peut être ignorée. Whitney avec de nombreux autres parents veulent que le certificat de décès de son enfant soit modifié et qu’il stipule que les vaccins constituent le facteur le plus plausible de la mort de leur enfant.

 

Le pédiatre a vacciné l’enfant avant que les tests d’apnée aient été effectués.

 

Nous possédons le certificat médical prouvant que le médecin a signé l’autorisation de vacciner, alors que Cash avait encore des problèmes d’apnée non résolus. Ceci n’a pas été mentionné dans le rapport d’autopsie.

 

Le médecin légiste a aussi oublié de mentionner le fait que Cash dormait dans son berceau

 

Sur le rapport d’autopsie, le médecin légiste a noté que Cash ne réagissait plus après avoir dormi avec un adulte. Ce médecin légiste a oublié que Cash dormait généralement dans son berceau et que ses épisodes d’apnée se manifestaient aussi dans son berceau, et pas uniquement après avoir dormi près de sa maman.

 

Il faut jeter un coup d’œil aux ingrédients des vaccins reçus par Cash. Le document émane du site du CDC. Ce sont les ingrédients des huit doses de vaccin que Cash a reçus avant de mourir. C’est consternant, et on ne comprend pas pourquoi le médecin légiste n’a pas trouvé nécessaire de mentionner ces vaccins sur le rapport d’autopsie. [14]

 

Le médecin légiste n’a pas mentionné que la maman de Cash a cherché de l’aide pour résoudre le problème des apnées de son fils. Elle n’a, en fait, reçu aucune aide à l’exception d’une prescription pour le reflux. Le médecin légiste a noté que Cash avait été trouvé sans réaction après avoir dormi près d’un adulte, tout en ignorant les autres faits. Whitney veut que le texte du rapport ayant trait au décès de son fils soit modifié. Elle fait partie de ces nombreux parents  qui ont à souffrir de ce camouflage, de ces dissimulations ayant trait aux vaccins.[…]

 

Conclusion

 

Après avoir enterré leur petit, les parents de Cash se sont trouvés plongés dans un monde dont ils n’avaient pas la moindre idée. Ils faisaient maintenant partie d’un groupe de parents qui avaient stupidement perdu leur enfant en raison de pratiques  recommandées par les médecins. Quand on compile les données de mortalité infantile, on se rend compte que les vaccins sont purement et simplement ignorés. En 2013, Cash Dewayne Thomas était en fait l’un des 23.440 bébés qui sont morts aux Etats-Unis avant leur tout premier anniversaire (selon les dernières données de mortalité infantile publiées en 2016. [19]. Ce sont environ 11.300 nouveau-nés qui meurent au cours de leur premier jour d’existence. Beaucoup de bébés meurent très vite à l’hôpital après avoir reçu leur première dose du vaccin contre l’hépatite B. [20]

 

Si les médecins légistes omettent complètement de rapporter les problèmes dus aux vaccins dans leurs rapports d’autopsie, alors les vaccins risquent de n’avoir aucun impact sur les statistiques de mortalité infantile. On doit vraiment se demander pourquoi les vaccins sont exclus si rapidement des causes de décès, alors que tant de bébés décèdent à la suite de vaccinations.

 

C’est le cœur brisé que nous envoyons tout notre amour à Cash. Nous ne pourrons jamais l’oublier ni non plus tout ce qu’il nous a enseigné. 

Le petit Cash décède après avoir reçu 8 vaccins
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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 19:08
Affaire Méningitec : une saisie inédite au laboratoire CSP

 

France 3 Auvergne, 16 juin 2016

Affaire Meningitec: une saisie inédite de lots au laboratoire

Nouvelle étape dans l'affaire Méningitec : des lots de vaccins contaminés ont été saisis ce 16 juin 2016 dans un dépôt du laboratoire CSP à Moussy-le-Neuf en région parisienne. Ils seront ensuite analysés pour établir leur contenu.

 

Les experts mandatés par le juge de Clermont-Ferrand ont obtenu le droit de saisir les lots de vaccins contaminés pour les analyser. Ils se sont rendus au laboratoire CSP dans l'après-midi du 16 juin pour procéder à la saisie. Les avocats des familles et l'UNACS étaient sur place.

Conformément à leur mission, les experts procéderont ensuite aux analyses qualitatives et quantitatives des lots de vaccins saisis, puis devront adresser aux familles un courrier personnalisé pour le(s) lot(s) concernant leur(s) enfant(s). Les analyses devraient permettre de savoir ce que chaque vaccin contient.

Cette saisie inédite n'est qu'une étape dans le processus judiciaire en cours. En effet, avec les avocats des familles, l'Union Nationale des Associations Citoyennes de Santé travaille sur d'autres investigations, en collaboration avec d'autres pays concernés, pour que des réponses soient apportées aux milliers de familles victimes. 

 

Source: France 3 Auvergne

 

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10 juin 2016 5 10 /06 /juin /2016 18:44

Participation d'Initiative Citoyenne à partir de 45'29''...

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9 juin 2016 4 09 /06 /juin /2016 21:45

Le cœur d’un enfant s’arrête de battre après un vaccin

La maman parvient à sauver la vie de sa petite fille

 

« Ce que je vais vous raconter est la chose la plus horrible que des parents puissent vivre »

 

Une petite fille de deux mois a fait une grave réaction après sa visite chez le médecin

 

A la suite de ce qui est arrivé à ma petite fille, je crois pouvoir dire qu’il n’y a pas un seul vaccin qui soit sûr, pas un seul ! Il suffit d’un seul ingrédient de vaccin, et d’un seul pour pouvoir mettre un terme à la vie d’un enfant. Ceci est très important à comprendre parce qu’aujourd’hui des parents sont forcés de prendre la décision de faire vacciner leur enfant pour leur permettre d’aller à l’école. Ces parents sont persuadés qu’il n’y a pas d’autre choix ; c’est vraiment terrifiant, parce que suite à ce que nous avons vécu, il suffit d’un seul ingrédient !

 

Pour la visite médicale de 2 mois, nous avions déjà décidé de ne pas faire tous les vaccins prescrits. Nous avons longtemps discuté avec le pédiatre et lui avons demandé quels vaccins nous devions absolument administrer à notre petite fille à l’âge qu’elle avait. Le pédiatre nous a suggéré le DTCa et le vaccin contre le pneumocoque. Il nous a aussi dit que l’enfant pourrait présenter des rougeurs sur chaque jambe et qu’elle pourrait faire de la fièvre. A aucun moment, il ne nous a dit qu’elle pourrait s’arrêter de respirer, faire des convulsions ou qu’elle pourrait faire d’autres réactions négatives.

 

Après avoir reçu des pressions de la part de médecins, de la famille, nous avons finalement décidé de faire les deux vaccins recommandés par le pédiatre.

 

Alors que ma petite fille dormait dans mes bras, une infirmière est arrivée et l’a vaccinée dans les deux jambes.

 

Il y a plusieurs choses auxquelles il faut prêter attention en cas de vaccination, par exemple : le vaccin a-t-il été soigneusement préparé ? Il faut aussi connaitre les numéros du lot et du vaccin lui-même. Il faut aussi savoir si le vaccin a été conservé dans les meilleures conditions possibles, s’il s’agit du bon vaccin. Combien de parents m’ont expliqué que l’on s’était trompé de vaccin ! Certains parents m’ont même dit que leur enfant avait reçu deux fois le même vaccin ! Ce sont là des choses qui font peur. C’est la raison pour laquelle il convient d’être certain à 100% sur tous les points.

 

Dans ce domaine, il n’est pas possible de prendre des décisions à la va-vite. On ne peut pas non plus vous forcer à prendre une décision qu’en votre âme et conscience vous ne sentez pas juste. Il vous faut aussi connaitre toutes les conséquences possibles de la décision que vous serez amené à prendre. Personnellement, je n’en savais pas assez sur toutes les conséquences possibles. J’ai seulement fait confiance à ce que disait le pédiatre.

 

Peu de temps après que ma petite fille ait été vaccinée, elle a commencé à pleurer, à pousser des cris perçants, à hurler (cris encéphaliques). Nous n’avions jamais entendu cela ! Il était totalement impossible de la consoler ou l’apaiser, rien ne marchait. Je pleurais finalement autant qu’elle !

 

Je me rappelle qu’une fois rentrés à la maison j’ai essayé de l’allaiter. Puis brusquement elle s’est arrêtée de pleurer et de hurler. Je me sentais soulagée : enfin, elle ne pleurait plus !

 

Maintenant, je suis triste et je m’en veux d’avoir été soulagée quand elle s’est endormie parce que ce que je vais vous raconter est la chose la plus horrible que des parents puissent vivre:

 

Mon mari devait rencontrer un ami. Il m’avait promis qu’il ne s’absenterait pas plus d’une heure. J’ai cependant insisté pour qu’il reste avec moi. J’avais peur et ne savais pas à quoi je pouvais m’attendre, bien que la petite semblait bien dormir dans son berceau et ne pleurait plus. Mon mari m’a assurée qu’il n’en aurait pas pour longtemps et que je pouvais le rappeler à n’importe quel moment. Pendant tout ce temps, il a fallu que je m’occupe à faire la cuisine et à nettoyer. J’ai fini par me faire un sandwich parce que je n’avais rien mangé de toute la journée.

 

J’étais assise dans le fauteuil quand brusquement je fus prise de terribles nausées que je ne m’expliquais pas. Il y avait comme une force qui me contraignait à me lever et à aller vérifier l’état de notre petite fille.

 

Quand je suis rentrée dans la chambre, j’ai allumé et je me suis de suite rendue compte que quelque chose n’allait pas. J’ai mis ma main sur sa poitrine, je l’ai appelée par son nom, je l’ai prise dans mes bras. Il n’y avait plus de réaction. Je me sentais perdue, je ne savais plus quoi faire. Finalement je l’ai allongée sur le sol tout en étant terrifiée de ne pas connaitre les gestes précis de réanimation !

 

J’ai fait tout ce que j’ai pu pour la réanimer, et après ce qui m’a semblé être une éternité,elle a enfin réagi et a recommencé à respirer.

 

Je l’ai reprise dans mes bras ; j’ai pris le téléphone pour appeler les services d’urgence, mais ma batterie était à plat. C’est alors que je suis sortie dans la rue et ai commencé à crier. Un voisin est venu et a appelé les services d’urgence. On nous a alors conduites à l’hôpital. Je me rappelle que le pédiatre a commencé à faire des tests qui ont duré des heures. Il a finalement pu déterminer que la réaction de ma petite fille était due au vaccin DTCa, et il m’a dit : «  si vous n’étiez pas rentrée dans sa chambre pour vérifier son état, on aurait maintenant un cas de mort subite du nourrisson !

 

J’ai des parents et amis qui ont perdu leur bébé à la suite des vaccins.

 

Je me sens parfois si coupable vis-à-vis d’eux parce que moi, j’ai pu sauver mon bébé. Je me sens alors torturée, remplie d’un chagrin avec lequel il faut que je continue à vivre.

 

Je prie tous les jours pour que les parents puissent faire davantage de recherches et qu’ils comprennent qu’il n’existe aucun vaccin sans danger, qu’il n’existe AUCUN vaccin sûr. Les parents doivent savoir qu’il suffit d’un seul ingrédient pour enlever la vie à leur enfant !

 

Rapporté par Larry Cook, 6 mai 2016.

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8 juin 2016 3 08 /06 /juin /2016 07:34

7 juin 2016

Le 26 mai 2016, Cochrane, un réseau mondial de chercheurs, professionnels, patients et soignants (37 000 contributeurs bénévoles dans plus de 130 pays), réputé pour son information fiable et de haute qualité, a déposé une plainte auprès de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Il dénonce de façon virulente les pratiques de l’EMA ayant abouti à nier tout lien entre la vaccination contre le papillomavirus (Gardasil, Cervarix) et des maladies de type « syndrome de fatigue chronique ». Retour sur un réquisitoire impitoyable, une première en Europe.

Gardasil et adjuvant aluminique: l'Agence Européenne accusée de cacher la réalité

Gardasil et adjuvant aluminique: l'Agence Européenne accusée de cacher la réalité

Mise en cause de l’Agence européenne du médicament

 

Cochrane dénonce des comportements non-professionnels et non-scientifiques de l’EMA, un choix délibéré de déconsidérer et mépriser les scientifiques à l’origine des alertes, une volonté manifeste de cacher la réalité, une mainmise de l’industrie pharmaceutique sur les décisions de l’EMA. Un exemple : l’EMA a demandé aux entreprises de rechercher des effets secondaires du vaccin dans leurs propres bases de données et n’a pas vérifié l’exactitude du travail réalisé.

 

Cochrane pointe aussi la faute scientifique concernant la plupart des essais de vaccins, dans la mesure où le «placebo» utilisé contient un adjuvant aluminique, qui est soupçonné d’être neurotoxique. Il est donc difficile de trouver une différence entre les potentiels méfaits du vaccin et ceux du « placebo ».

 

Cochrane ayant eu accès au « pré-rapport confidentiel » de l’EMA, il décrit dans le détail les choix ayant prévalu à la rédaction du rapport final. Des choix qui vont à l’encontre de l’intérêt public.

 

Le vaccin contre le papillomavirus provoquerait des maladies graves

Par cette démarche, Cochrane vient soutenir le Dr Louise Brinth, de l’hôpital Frederiksberg à Copenhague. Celle-ci a écrit des articles publiés dans des revues à comité de lecture faisant état de possibles dommages neurologiques graves comme le « syndrome de fatigue chronique » (qui incluent le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) et le syndrome douloureux régional complexe (SDRC)) induits par les vaccins contre le papillomavirus.

 

En juillet 2015, les Autorités danoises de la santé et du médicament ont demandé à l’EMA d’analyser les recherches du Dr Brinth.

 

Le 5 novembre 2015, l’EMA a publié son rapport. Sa conclusion : « L’étude menée conclut à l’absence de preuve d’un lien de causalité entre les vaccins (Cervarix, Gardasil) et le développement de SDRC ou STOP. Par conséquent, il n’y a aucune raison de changer la façon dont les vaccins sont utilisés ou de modifier les documents d’information. »

 

En France aussi, peu de considération pour les alertes scientifiques

 

Cette plainte de Cochrane résonne particulièrement dans notre pays pour deux raisons :

 

– Elle fait écho à ce que l’association E3M dénonce depuis des années en France,

 

– La myofasciite à macrophages est, selon les termes utilisés par les spécialistes de cette maladie, un syndrome de fatigue chronique dont on connaît l’origine : l’aluminium vaccinal.

 

Des chercheurs de l’INSERM (les Pr Gherardi et Authier) travaillent sur le sujet depuis 20 ans. Ils ont alerté toutes les autorités de santé et ont connu les mêmes vicissitudes que le Dr. Louise Brinth : rejet et mépris du Haut Conseil de Santé Publique (voir notre rapport) ou de l’Académie de Médecine (voir notre courrier et notre rapport).

 

L’association E3M a quant à elle élaboré un dossier sur le Gardasil, « un vaccin à suspendre d’urgence », démontré la présence massive de conflits d’intérêts et apporté la preuve de la falsification de données ayant abouti à la disparition du DTPolio sans aluminium…


Tout ceci sans que le gouvernement français ne réagisse.

 

Comme le rappelle si bien Cochrane, selon l’article 6 du traité de l’Union Européenne et la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne :

 

« La transparence permet aux citoyens de participer plus étroitement au processus de prise de décision et garantit que l’administration bénéficie dans un système démocratique d’une plus grande légitimité et est plus efficace et plus responsable devant le citoyen. La transparence contribue à renforcer les principes de la démocratie et le respect des droits fondamentaux. »

 

Il serait temps que le Ministère français de la santé s’imprègne de ces valeurs et les mette en pratique.

 

Pour aller plus loin :

 

– Voir ci-dessous quelques morceaux choisis par l’association E3M.
– Lire le texte intégral de la Plainte de Cochrane auprès de l’Agence Européenne du Médicament (en anglais)


Pour aller plus loin : morceaux choisis par l’association E3M
Pour bien comprendre la situation

 

Le Dr. Louise Brinth, de l’hôpital Frederiksberg à Copenhague, a décrit dans des publications « peer reviewed » (évaluées par des pairs) de possibles dommages neurologiques graves liés au vaccin contre le papillomavirus (HPV). Les symptômes principaux sont ceux que l’on peut retrouver dans le syndrome de fatigue chronique, qui inclut le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) et le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) [ndlr : comme le rappellent les autorités sanitaires danoises, les patients avec cette même symptomatologie reçoivent des diagnostics similaires mais avec un nom différent selon les Etats membres de l’Union Européenne. Par exemple STOP au Danemark correspond au Syndrome de fatigue chronique/ encéphalomyélite myalgique dans de nombreux autres pays. Nous (E3M) rajoutons que la myofasciite à macrophages peut aussi être considérée comme une appellation synonyme]. Il s’agit d’une réaction auto-immune déclenchée soit par le composant actif du vaccin, soit par son adjuvant. Ces syndromes sont difficiles à diagnostiquer, leurs causes étant mal comprises et le nombre de cas sous-évalué, ce qui complique les études sur le lien de causalité.

 

Le Danemark a saisi la Commission Européenne et celle-ci a demandé l’avis de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). En juillet 2015, les Autorités danoises de la santé et du médicament ont demandé à l’EMA d’analyser les recherches du Dr Brinth. Dans sa soumission à l’EMA, l’autorité sanitaire danoise intégrait un examen des données du Dr Brinth faites par le Uppsala Monitoring Centre (UMC, un centre collaborateur de l’OMS).

 

L’EMA a publié son rapport le 5 novembre 2015. Sa conclusion : « L’étude menée conclut à l’absence de preuve d’un lien de causalité entre les vaccins (Cervarix, Gardasil) et le développement de SDRC ou SPOT. Par conséquent, il n’y a aucune raison de changer la façon dont les vaccins sont utilisés ou de modifier les documents d’information. »

 

Le Dr. Louise Brinth a analysé ce rapport et émis de nombreuses remarques dans un document adressé à l’EMA le 17 décembre 2015.

 

Le rapport de l’EMA ainsi que la réponse du Dr Brinth et de ses publications ont été étudiés de manière approfondie par le Réseau Cochrane danois, qui a eu aussi entre les mains le rapport interne (confidentiel – 256 pages) de l’EMA.

 

Cochrane est un réseau mondial indépendant de chercheurs, de professionnels, de patients, de soignants et de personnes intéressées par les questions de santé (37 000 contributeurs bénévoles dans plus de 130 pays). Sa mission : faciliter les choix publics de santé en mettant à disposition de tous une information médicale de haute qualité selon les principes de la  « médecine fondée sur des preuves ». Le travail de Cochrane fait référence en matière d’information fiable de haute qualité.

 

Les critiques de Cochrane envers l’Agence européenne du médicament

 

Les conclusions de Cochrane sont extrêmement sévères vis-à-vis de l’EMA, d’autant que le contenu du rapport interne (et confidentiel) de l’EMA de 256 pages est très différent de celui du rapport officiel de 40 pages. Petit florilège des critiques de Cochrane :

 

  • Les allégations de l’EMA vis-à-vis du Dr Brinth sont proches d’une accusation d’inconduite scientifique : l’EMA a ainsi écrit que les cas reportes par Brinth ont été sélectionnés pour mettre en évidence les effets secondaires du Gardasil, ce qui est faux. Ceci est totalement inapproprié de la part d’une autorité européenne répondant à des chercheurs honnêtes.
  • Les commentaires de l’EMA sont non professionnels, trompeurs, inappropriés et péjoratifs, et l’approche de l’EMA est non scientifique. Par exemple, l’EMA ne justifie pas ses dires par des preuves scientifiques, omet de donner des informations ou reste volontairement vague sur certains sujets.
    L’EMA, plutôt que de louer la diligence danoise, cherche à jeter le doute sur cette recherche validée par les pairs. Ceci est une attitude inappropriée en terme de sécurité de la part d’une agence du médicament.
  • L’EMA dénature le rapport de l’Uppsala Monitoring Centre en ce qui concerne d’éventuels préjudices graves du vaccin.
  • Le rapport confidentiel de l’EMA montre que plusieurs experts ont estimé que le vaccin pourrait ne pas être sûr et ont appelé à de nouvelles recherches, mais ceci n’apparaît pas dans le rapport officiel. Le niveau extrême de secret imposé par l’EMA sur les membres du groupe de travail et d’autres experts est inapproprié et va à l’encontre de l’intérêt public.
  • Il est inacceptable que l’EMA n’ait pas clairement indiqué dans son rapport officiel qu’elle avait permis aux compagnies pharmaceutiques d’être leurs propres juges dans l’évaluation de la sécurité de leur vaccin, d’autant plus que d’énormes quantités d’argent sont en jeu (les dépenses mondiales à ce jour sur les vaccins HPV sont estimées à environ 25 milliards d’€). L’EMA a demandé aux entreprises de rechercher des effets secondaires du vaccin dans leurs propres bases de données et n’a pas vérifié l’exactitude du travail réalisé. Ce n’est pas une procédure acceptable. Il existe d’innombrables exemples où les compagnies pharmaceutiques cachent de graves – voire mortels – effets indésirables aux autorités.
  • Il est tout à fait inacceptable que personne – pas même la personne dont la recherche est si fortement et injustement critiquée dans le rapport officiel de l’EMA – puisse juger pour quels motifs et par qui 50 cas sur 83 de syndromes de tachycardie orthostatique posturale (STOP) ont été rejetés par l’EMA. En outre, le rapport confidentiel de l’EMA révèle que les cas ont été rejetés sans avoir connaissance des dossiers médicaux complets. De toute évidence, la «recherche» menée par les entreprises n’a pas été à la hauteur des normes acceptées pour ces recherches, ce que l’EMA n’a pas surveillé. Ceci est très grave, car l’EMA a utilisé les évaluations des entreprises pour passer outre la recherche effectuée par le Dr Brinth, qui est pourtant d’un niveau beaucoup plus élevé.
  • Dans quasiment tous les essais de vaccins, le «placebo» contient un adjuvant aluminique, qui est soupçonné d’être neurotoxique. Il est donc difficile de trouver une différence entre les méfaits du vaccin et le «placebo», mais l’EMA n’a pas réussi à résoudre ce problème fondamental dans son rapport officiel. Nous pensons que cela constitue une faute scientifique.
  • Il est tout à fait inacceptable d’effectuer une revue de la littérature sans donner aux lecteurs les détails de ses méthodes, notamment les stratégies de recherche utilisées. Cela ressort clairement de tous les manuels au sujet des examens systématiques de la littérature, par exemple le Manuel Cochrane. Cochrane constate également que l’EMA a ridiculisé et rejeté la recherche effectuée par le service du Dr Brinth d’une manière qui est injuste, trompeuse, en partie erronée et péjorative. Si les agences du médicament se comportent ainsi lorsque les médecins signalent leurs observations au sujet de possibles préjudices graves de produits autorisés, les médecins seront peu susceptibles d’alerter le public sur leurs observations à l’avenir. Ce serait une tragédie pour la santé publique.
  • Beaucoup d’informations ont été retirées de la version finale de manière illégitime. Il existait de réelles incertitudes indiquant que d’autres recherches étaient nécessaires, et il y avait aussi beaucoup de désaccord au sein du groupe de travail de l’EMA, ce qui n’apparait pas dans le rapport officiel.

 

Cochrane cite ensuite 2 experts :

 

Les vaccins sont-ils sûrs ?


Selon les entreprises, ils sont sûrs. Dans un premier temps, le vaccin a été comparé à un groupe placebo vacciné avec du sérum physiologique, et le nombre de réactions indésirables était beaucoup plus élevé et les réactions beaucoup plus graves que dans le groupe témoin. Après avoir comparé 320 patients dans le groupe placebo salin, un changement rapide a été fait vers un placebo contenant de l’aluminium, afin d’être en mesure de n’évaluer que les effets de la substance active. Quoiqu’il en soit, ceci a faussé la comparaison (…). Les différences entre le groupe Gardasil et le groupe placebo salin étaient cependant déjà évidentes.”

 

Et Cochrane commente :

 

« Ces deux experts remettent sérieusement en question l’hypothèse qui prévaut, apparemment aussi à l’EMA, que le vaccin est si important pour la santé publique qu’il est justifié de ne pas communiquer au public 1) qu’il existe des incertitudes liées à la sécurité des vaccins, 2) que les compagnies pharmaceutiques ne peuvent pas être dignes de confiance; et 3) qu’il est erroné de regrouper ensemble les résultats obtenus avec un véritable placebo à ceux obtenus avec un placebo potentiellement neurotoxique. (…) Ceci est totalement inacceptable et contraire aux bonnes pratiques scientifiques à un degré tel que nous considérons qu’il s’agit d’une totale malhonnêteté scientifique de la part de l’EMA. »

 

Et les conflits d’intérêts ?

 

Cochrane s’intéresse ensuite aux situations de conflits d’intérêts. Cette question est essentielle, car comme l’indique la loi danoise : « Toute personne qui travaille dans l’administration publique n’est pas qualifiée à traiter des affaires dans lesquelles elle a un intérêt personnel ou financier… La personne qui n’est pas qualifiée à traiter une affaire ne prend pas de décisions, ne peut participer à la prise de décision ou à l’examen de l’affaire. »

 

Ces situations de conflits d’intérêts sont fortes et généralement masquées :

 

  • Julie Williams, rapporteur, dont le rôle semble avoir été central. Dans sa «déclaration publique d’intérêts» sur la page d’accueil de l’EMA du 21 Novembre 2015, aucun conflit d’intérêts n’est déclaré. Dans la réalité, de nombreux liens existent (Merck, Pfizer, Novartis, Eli Lily, …).
  • Guido Raisi, le directeur de l’EMA, déclare le 20 juillet 2015 qu’il n’a aucun conflit d’intérêts. Pourtant, un « Guido Rasi » dont nous estimons qu’il s’agit de la même personne, est titulaire d’un certain nombre de brevets où le requérant est une société pharmaceutique.

 

Cochrane insiste sur le fait qu’il est inapproprié d’utiliser des experts ayant des liens financiers avec les fabricants, car il est toujours possible de trouver des experts sans ces conflits.

 

Les questions posées par Cochrane à l’Agence européenne du médicament

 

Selon l’article 6 du traité de l’Union Européenne et la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne :

 

« La transparence permet aux citoyens de participer plus étroitement au processus de prise de décision et garantit que l’administration bénéficie dans un système démocratique d’une plus grande légitimité et est plus efficace et plus responsable devant le citoyen. La transparence contribue à renforcer les principes de la démocratie et le respect des droits fondamentaux »

 

Le 26 novembre 2015, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a publié un rapport d’évaluation de 40 pages en date du 11 Novembre sur la sécurité des vaccins contre le papillomavirus humain (HPV), qui est censé diminuer les décès par cancer du col de l’utérus.

 

Nous sommes préoccupés par le traitement de cette question par l’EMA tel qu’il relève de son rapport officiel et nous demandons à l’EMA d’apprécier :

 

  1. Si l’EMA a été transparente et responsable devant les citoyens et a respecté leurs droits à connaître les incertitudes liées à la sécurité des vaccins contre le HPV.
  2. Si l’EMA a répondu aux normes professionnelles et scientifiques qui sont attendues de l’agence pour garantir que l’administration dispose d’une légitimité lors de l’évaluation des preuves scientifiques et des données relatives à la sécurité de la vaccination du HPV.
  3. Si l’EMA a traité de façon équitable (…) un lanceur d’alerte danois, le Dr Louise Brinth, quand elle a soulevé des préoccupations au sujet de possibles dommages graves induits par les vaccins contre le HPV.
  4. Si l’EMA a traité de façon équitable (…) les observations et les préoccupations soulevées par les autorités médicales et de santé danoises et par le Centre de surveillance d’Uppsala au sujet de possibles dommages graves induits par les vaccins contre le VPH.
  5. Si les procédures de l’EMA pour évaluer la sécurité des interventions médicales garantit que l’administration dispose d’une légitimité. L’EMA a demandé aux fabricants de vaccins d’évaluer les préjudices potentiels de leurs propres produits dans lesquels ils ont d’énormes intérêts financiers.
  6. Si le secret extrême imposé par l’EMA à ses membres des groupes de travail et aux experts scientifiques, avec des accords de confidentialité pendant toute leur vie, est nécessaire; est légitime; est dans l’intérêt public; et garantit que l’administration dispose d’une légitimité.
  7. Si les informations expurgées par l’EMA des documents délivrés aux citoyens en référence aux demandes faites en vertu des lois sur l’accès à l’information étaient nécessaires; étaient légitimes; sont dans l’intérêt public; et garantissent que l’administration dispose d’une légitimité.
  8. Si l’EMA a agi d’une manière qui garantit que l’administration dispose d’une légitimité par rapport à la déclaration des conflits d’intérêts. Nous avons remarqué que le nom d’un Guido Rasi est associé à des brevets d’inventions et nous demandons s’il s’agit de la même personne que le directeur de l’EMA. Si oui, nous estimons que Rasi a omis de déclarer ses conflits d’intérêts. Nous pensons également que le rapporteur pour le rapport de l’EMA, Julie Williams, a omis de déclarer ses conflits d’intérêts.
  9. Si l’EMA se comporte d’une manière qui garantit que l’administration dispose d’une légitimité lorsque l’Agence utilise des experts ayant des liens financiers avec les industriels, dans la mesure où il est toujours possible de trouver des experts sans ces conflits.
  10. Dans un souci de transparence, nous exhortons l’EMA pour qu’elle s’assure que les noms de tous les experts consultés soient divulgués en même temps que leur déclaration de conflit d’intérêts. Nous exhortons également l’EMA pour qu’elle s’assure que les déclarations de conflits d’intérêt du rapporteur, des co-rapporteurs (Jean-Michel Dogne (BE) et Qun-Ying Vue (SE)), de leurs personnes de contact à l’EMA et de toute autre personne ayant fourni des déclarations à l’EMA soient rendues publiques. Enfin, nous exhortons l’EMA de s’assurer que les déclarations d’intérêts des fonctionnaires de l’EMA soient honnêtes.

 

Signataire: Peter C Gøtzsche, DrMedSci, MSc – Director of the Nordic Cochrane Centre, Rigshospitalet Professor, University of Copenhagen

 

Co-signatairesKarsten Juhl Jørgensen, Deputy Director of the Nordic Cochrane Centre, Rigshospitalet

Tom Jefferson, Honorary Research Fellow, Centre for Evidence Based Medicine, Oxford OX2 6GG, United Kingdom

Margrete Auken, MEP (The Greens/European Free Alliance)

Louise Brinth, PhD, MD, Danish Syncope Unit, Frederiksbe

 

Source: E3M

 

Voir aussi:

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

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3 juin 2016 5 03 /06 /juin /2016 14:05

Une religieuse du Kenya emprisonnée pour avoir voulu protéger les étudiants de vaccins suspects

Emprisonnement d'une religieuse africaine qui dénonçait la possible présence d'agents stérilisants dans les vaccins

Par Bradley Eli, 24 mai 2016

 

Les évêques locaux ont expliqué que deux précédents vaccins avaient été contaminés par des agents stérilisants

 

NAKURU Kenya – Une religieuse catholique a été arrêtée au Kenya pour avoir abrité des étudiants catholiques pour les protéger de vaccinations qui auraient pu causer leur stérilisation.

 

La sœur Cecilia Kamau, directrice de l’Académie St Antoine à Nakuru (Kenya)  a été arrêtée lundi pour avoir refusé que 700 étudiants reçoivent le vaccin rougeole-rubéole.

 

Les responsables de la Santé publique ont arrêté la sœur à la suite de plaintes de parents parce que leurs enfants qui étudiaient dans 5 écoles ne pouvaient pas recevoir les vaccins. La religieuse a été interpellée par le tribunal. Elle est accusée d’avoir mis la vie des enfants en danger alors qu’elle en avait la garde et la responsabilité.

 

Les soupçons de sœur Cecilia concernant les dangers potentiels de certaines vaccinations ne sont pas sans précédent. En mars de l’année dernière, « ChurchMilitant.com » avait déjà rapporté que les évêques du Kenya avaient voulu mettre le public en garde parce qu’ils estimaient que certains vaccins pouvaient provoquer la stérilisation comme ce fut le cas à Mexico, au Nicaragua et aux Philippines.

Emprisonnement d'une religieuse africaine qui dénonçait la possible présence d'agents stérilisants dans les vaccins

Un comité mixte d’experts médicaux laïques et catholiques avait retrouvé l’antigène stérilisant Beta HCG dans 33% des vaccins contre le tétanos utilisés dans cette campagne de vaccination.

 

En juillet de l’année dernière, « ChurchMilitant.com » a rapporté que les évêques du Kenya ont exhorté les gens à boycotter la prochaine campagne de vaccination contre le paludisme. Ils ne faisaient aucune confiance aux agences occidentales qui sponsorisaient la campagne de vaccination, à savoir l’UNICEF et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

 

Suite à la campagne de vaccination contre le tétanos, dont un tiers des échantillons contenaient des agents de stérilisation, la Conférence des évêques catholiques du Kenya (KCCB) avait convenu avec le Ministère de la Santé du Kenya que tous les futurs vaccins seraient testés avant, pendant et après leur inoculation. Mais, à partir de la campagne contre le paludisme, le Ministère de la Santé est revenu sur cette promesse et a procédé au nouveau programme de vaccination sans permettre des tests indépendants.

 

Cette action a incité l’évêque de Nairobi, Cdl. John Njue à déclarer: « Nous ne voulons combattre personne. Nous ne cherchons qu’à éviter que notre peuple ait à souffrir de causes extérieures. De même, le président du KCCB, l’évêque Philip Anyolo a déclaré : « Nous ne sommes pas en conflit avec le Ministère de la Santé, mais nous avons un devoir apostolique et moral de nous assurer que les habitants du Kenya puissent recevoir des vaccins sûrs. »

 

« ChurchMilitant.com » a rapporté en septembre qu’une étude indépendante qui avait été demandée par les évêques du Kenya avait révélé qu’un autre programme de vaccination, impliquant, cette fois, le vaccin contre la polio, contenait  de l’estradiol une composante majeure  de certains contraceptifs hormonaux. Les évêques ont ensuite été ouvertement menacés d’un procès pour les faire taire.

 

Lundi dernier, le Ministère de la Santé du Kenya a lancé une nouvelle campagne de vaccination contre la rougeole et la rubéole avec l’intention de cibler 19 millions d’enfants âgés de 9 à 14 ans. Au cours du week-end, les responsables de la santé ont fait savoir sur tweeter : «  Samedi, nous avions vacciné 16.456.219 enfants contre la rougeole et la rubéole, ce qui portait à 86% le taux de couverture nationale.

 

Source : Churchmilitant.com

 

Voir aussi

 

Kenya: des médecins dénoncent la vaccination antitétanique des seules femmes en âge de procréer

 

Eugénisme & vaccination: qu'en penser?

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31 mai 2016 2 31 /05 /mai /2016 10:27

Polly Tommey, productrice du film documentaire VAXXED témoigne :

 

Les dommages vaccinaux détruisent des vies. Ecoutez donc les parents et non les pédiatres

Les dommages vaccinaux détruisent des vies. Ecoutez donc les parents et non les pédiatres!

Mon fils a été victime d’un vaccin.

 

Avant de le faire vacciner, j’étais totalement pro-vaccins ; j’étais une mère extrêmement favorable aux vaccins. Ma fille aînée avait été vaccinée  et était en parfaite santé. Je n’avais donc aucune raison de m’interroger, ni d’interroger mon pédiatre. Le matin où j’ai fait vacciner Billy on m’avait averti qu’il pouvait y avoir des problèmes avec les vaccins, mais je ne voulais croire personne d’autre que mon pédiatre.

 

Billy a reçu son vaccin ROR le matin. Le soir, il a dû être transporté d’urgence à l’hôpital parce qu’il faisait de terribles convulsions.

 

A l’hôpital, on nous a dit que c’était une chose normale et que cela pouvait arriver. On nous a dit de ne pas nous tracasser, que tout allait s’arranger. Mais rien ne s’est arrangé du tout ! Mon fils a maintenant 20 ans et sa santé reste gravement endommagée par ce vaccin.

 

C’est là la raison pour laquelle, je me suis passionnément impliquée dans la production du film documentaire VAXXED. En fait, je ne puis supporter le fait que la santé d’un autre bébé soit aussi endommagée.

 

Beaucoup de gens n’ont pas l’air de comprendre que la santé d’un enfant qui a été endommagée par les vaccins bouleverse et détruit des vies entières. C’est la chose la plus terrible qu’une maman ait à vivre. Toute la famille en est affectée : les frères, les sœurs, les parents, les grands-parents, les oncles, les tantes, toute la famille en est traumatisée. 

Les dommages vaccinaux détruisent des vies. Ecoutez donc les parents et non les pédiatres!

Pareil drame a un impact sur le mariage, les finances. C’est une vie entière qui est détruite quand la santé d’un enfant est endommagée par les vaccins. C’est une forme terrible d’abus.

 

On m’a dit que Billy était un cadeau du Ciel. Il n’y a pas de doute pour moi à ce sujet. Mais ce que je puis dire c’est que l’autisme et les complications vaccinales n’ont rien à voir avec un cadeau de la Vie. Ce sont des horreurs qui ont été provoquées par les hommes et qui par-dessus le marché auraient pu être évitées.

 

Si vous êtes parents, si vous voulez avoir des enfants ou si vous êtes simplement enceinte, je vous en supplie, ne faites pas les mêmes erreurs que celles que j’ai faites. Je voudrais vous prier de faire vos propres recherches. – J’avais fait une confiance totale à mon pédiatre quand il m’a affirmé que les vaccins étaient sans danger. J’étais à ce point confiante que je n’ai même pas pensé poser la moindre question par rapport à ce que le pédiatre m’avait dit.

 

Je vous en prie, n’hésitez pas à poser des questions. N’hésitez pas à suggérer à votre pédiatre d’aller voir le film VAXXED, car les médecins qui auront vu ce film documentaire hésiteront à deux fois avant d’administrer le vaccin ROR.- Faites, vous aussi, l’impossible pour voir le film ; lisez la notice du vaccin.

 

Le film nous apprend que le CDC (Centres Américains de Contrôle et de Prévention des maladies) a commis une fraude. C’est le Dr Thompson du CDC qui l’a révélée.

 

En 1999, quand on a diagnostiqué l’autisme chez Billy, nous n’avons pu obtenir aucune réponse, personne n’a pu nous expliquer quoi que ce soit.

 

Un jour, je suis tombée sur un magazine dans lequel des parents échangeaient leurs vues et racontaient le drame qui leur était arrivé. Ce que j’ai pu constater dans la suite, c’est que l’article de ce magazine s’est répandu comme une trainée de poudre en Amérique, en Angleterre, en Europe, partout.

 

Tout ceci m’a fait comprendre qu’il y avait quantités de familles comme la nôtre dans le monde qui avaient aussi vécu le même drame. Je me suis rendue compte que nous avions tous vécu le même drame et que la toute première chose à faire était d’écouter les parents. Il s'agit probablement de milliers, de millions de familles, nous ne savons pas…

 

Je vous en prie, écoutez les parents. Les parents doivent écouter les parents parce qu’ils savent ce qui pourrait peut-être arriver à vos enfants et qui pourrait peut-être être évité.

Voir aussi:  Présentation/introduction française de VAXXED et la vidéo suivante sous-titrée en français, ce qui est une chance!

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