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29 mai 2015 5 29 /05 /mai /2015 08:10

Cette radio (Malherbe Grenoble) s'honore en osant donner la parole librement à un panel varié d'invités. Grand merci également à Prevention-Santé sans qui cette émission n'aurait pas été possible. Quand on a des données claires et des éléments de fond solides, on n'a pas à craindre le débat. Mais c'est aussi là où la vaccinologie révèle toute la fausseté de son caractère scientifique, à la manière d'une coquille vide...

 

Et pendant ce temps-là, les autres médias du système continuent leur politique de partialité et la politique du "quantitatif" (bobards officiels inconsistants mais répétés en boucle et seulement une minorité d'infos contradictoires quand ils se sentent vraiment trop obligés de le faire pour sauver un reste de crédibilité). Quantité ou qualité? Croire ou savoir? A vous de choisir...

 

http://www.prevention-sante.eu/medecine/la-vaccination-pour-ou-contre  

 

Pour laisser un commentaire, une réaction suite à cette émission, se rendre au lien suivant: http://www.prevention-sante.eu/category/temoignages

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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 13:16

Dr Richard Horton (Lancet): "La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux."

 

22 mai 2015. Laurent Freeman, lu sur StopMensonges.com

La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux – Dr. Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet

Le Dr. Horton est rédacteur en chef du journal médical le plus connu mondialement. Depuis quelques années, de plus en plus de professionnels ont partagé une vérité qui, pour plusieurs, est difficile à avaler. Une de ces autorités est le Dr. Richard Horton, rédacteur en chef actuel du « Lancet », considéré comme l’un des journaux médicaux des plus respectés et dont les articles sont révisés par des pairs.

 

Le Dr. Horton a publié récemment dans le Lancet une affirmation déclarant qu’une grande partie des résultats des recherches publiées sont, au mieux, sujets à caution, si non complètement faux.

 

« Le cas contre la science est simple et direct : il y a beaucoup de choses, dans la littérature scientifique, peut-être la moitié, qui est tout simplement erronée. Affligée par des études ne comportant qu’un petit échantillonnage, des effets minimes, des analyses de laboratoire non valables et de flagrants conflits d’intérêts, avec, en plus, la poursuite obsessive de tendances « à la mode », la science a pris le chemin de l’obscurité ».

 

C’est très inquiétant, puisque toutes les études (commanditées par l’industrie) utilisent des médicaments ou des vaccins qui prétendent aider les gens, enseigner au personnel médical et aux étudiants en médecine etc.

 

Il est très commun de ne pas prendre en considération une grande somme de travail accompli par des experts et des chercheurs, dans différentes institutions, partout dans le monde, qui n’est pas examiné par les pairs et qui n’est pas publié dans un journal « crédible », mais comme nous pouvons le voir, la critique des pairs ne signifie plus grand-chose. Les journaux médicaux « crédibles » continuent à perdre du terrain, aux yeux des experts et même des employés de ces journaux, comme le Dr. Horton.

 

Le Dr. Horton, d’une certaine façon, s’est critiqué lui-même, en affirmant que les éditeurs des journaux aident et encouragent les pires des comportements, que la quantité de mauvaises recherches est alarmante, que les données sont « sculptées» pour cadrer avec la théorie préférée. Il continue en disant que d’importantes confirmations sont souvent rejetées et que peu de choses sont faites pour corriger les mauvaises pratiques. Ce qui est pire, c’est qu’il y a beaucoup de choses qui se passent pouvant être considérées comme frôlant la faute professionnelle.

 

Le Dr. Maria Angell, médecin et, pendant longtemps, éditrice en chef du New England Medical Journal (NEMJ), qui est aussi considéré comme un autre des plus prestigieux journaux médicaux, revu par les pairs, dans le monde entier, a fait savoir, de façon très claire, son opinion sur le sujet :


«Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité. Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».

 

Cependant, il y a beaucoup plus d’éléments, qui ne sont pas que des preuves anecdotiques, pour supporter ces déclarations, incluant les documents obtenus par Lucija Tomljenovic, PhD, du Neural Dynamics Research Group, dans le service d’Ophtalmologie et des Sciences Visuelles de l’Université de la Colombie Britannique, qui révèlent que les fabricants de vaccins, les compagnies pharmaceutiques et les autorités de la santé connaissent les multiples dangers associés aux vaccins, mais ont choisi de ne pas les divulguer au public. C’est une fraude scientifique et leur complicité suggère que cette pratique continue, à ce jour. 

 

Ce n’est qu’un des nombreux exemples et cela fait allusion à un point auquel se réfère le Dr. Horton et qui est l’omission de données.

 

C’est vraiment un temps extraordinaire pour être vivant. Dans toute son histoire, l’humanité a expérimenté de multiples changements de paradigmes, de réalisations qui ont rencontré une résistance farouche au moment de leur révélation. Un de ces exemples est le moment où nous avons réalisé que la Terre n’est pas plate. Aujourd’hui, nous voyons ce genre de changements de pensée révélateurs dans de multiples sphères, les unes après les autres. Cela peut sembler étourdissant pour ceux qui y prêtent attention, spécialement parce que beaucoup de ces idées vont à contre-courant des systèmes de croyance actuels. Il y aura toujours de la résistance envers de la nouvelle information qui ne cadre pas avec notre structure actuelle, même si cette information est raisonnable (ou factuelle).

 

Sources : PluxactuStop Mensonges & Collective-evolution

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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 13:08

Dégoûlinante de complaisance, la grand presse habituelle y va de ses titres grotesques et infantilisants qui ne peuvent marcher que sur les plus crédules d'entre nous ainsi bien sûr aussi que sur les malades qui croiront y voir un salut futur: " Vous souffrez d'asthme ou d'allergie? Un vaccin pourrait bientôt vous sauver." titrait par exemple RTL.

 

Un tel article appelle bien entendu un décryptage que les journalistes de la presse officielle n'ont plus ni le courage, la volonté, la liberté rédactionnelle et/ou l'intelligence de faire. Demandez-vous donc encore pourquoi le lectorat/l'audimat de cette presse-là ne cesse de dégringoler quand il monte de façon fulgurante du côté des sites indépendants qui réinforment valablement....

 

Voyons tout d'abord ci-dessous le contenu de l'article (copié-collé) et voyons après en quoi il était urgent de ne pas laisser le lecteur rêver dangereusement à ces fausses-promesses risquées de "progrès scientifique", sans lui fournir des éléments cruciaux et complémentaires pour une saine réfléxion de fond, globale et responsable.

 

Vous souffrez d'asthme ou d'allergie?  Un vaccin pourrait bientôt vous sauver

 

Des chercheurs nantais ont annoncé avoir testé avec succès un vaccin "anéantissant totalement" l’allergie aux acariens sur des souris. "Les résultats sont assez spectaculaires sur les souris", explique Marc Sapène, président de l’association française Asthme et Allergie.


"D’une part parce qu’on voit s’effacer l’asthme. Si on essaie de déclencher à nouveau de l’asthme avec une substance, il ne réapparaît pas. D’autre part, l’asthme est une maladie inflammatoire chronique. Et non seulement cet asthme n’apparaît plus, mais l’inflammation visible dans le sang a également disparue dans cette expérience", précise le médecin.


La mise au point du vaccin pourrait prendre encore quelques années, mais Marc Sapène se montre confiant. "Comme c’est très spectaculaire, je pense qu’on arrivera assez vite à des tests sur d’autres animaux et sur l’homme", explique-t-il. "C’est une piste assez formidable, qui laisse beaucoup d’espoir. Maintenant il faudra voir s’il n’y a pas d’effets secondaires", ajoute-t-il.

 

Source : RTL

 

1) Regardez tout d'abord les mots "magiques", censés frapper, impressionner: "anéantissement total", "résultats spectaculaires", "l'asthme qui s'efface"... Ces mots ne sont pas ceux d'un journalisme ou d'une science responsable mais des mots quasi enfantins, témoins de rêves et d'une immaturité intellectuelle qui vont souvent de pair avec une impulsivité et un enthousiasme excessifs.

 

2) Les illusions d'une médecine magique sont toujours à l'oeuvre avec le vieux réflexe de la médecine traditionnelle/allopathique (aux résultats les plus décevants qui soient dans les maladies chroniques) de simplement "supprimer les symptômes". On essaie de le faire artificiellement apparaître et on ne voit plus l'asthme et donc on en déduit qu'il a disparu: on est ici dans le vieux rêve réaliste que tout ce qui existe doit forcément se voir par un symptôme et si rien ne se voit a priori, c'est que rien ne tourne mal de façon latente et larvée. Quel simplisme! Et d'ailleurs, ça ne colle pas avec le fait que le début véritable des maladies (et leurs très subtils signes annonciateurs parfois très difficilement diagnostiquables cliniquement) ne coïncide le plus souvent pas avec le moment fort tardif du diagnostic officiel. 

 

Supprimer les symptômes est le plus souvent dangereux et contre-productif: donner des anti-pyrétiques systématiquement a montré ses effets néfastes car la fièvre est un mécanisme actif dont le système immunitaire a besoin. Pas étonnant dès lors qu'en supprimant massivement dans les années 50-60 la fièvre chez des patients en incubation de polio (et présentant les symptômes d'une angine), on ait créé de toutes pièces des paralysies et donc des séquelles évitables car le virus polio cesse sa multiplication dans le corps à partir de 39°C. Cette médecine suppressive force la Nature a s'adapter pour continuer à exprimer un problème qui est systémique et n'a pas disparu: si vous cassez le voyant de la voiture, vous ne le verrez plus mais vous pourrez encore tomber en panne de moteur ou de batterie; il en va de même pour le système immunitaire qui a besoin d'une réaction inflammatoire dans certains cas et par conséquent, la suppression de cette réaction inflammatoire chez ces patients-là qui étaient déjà immunitairement déréglés pourrait bien se transformer en une autre tentative beaucoup plus calamiteuse du corps pour contourner cette entrave à l'expression d'un dérèglement persistant... 

 

3) La cause principale de l'asthme et des allergies réside non pas dans un terrain génétique mais d'abord et avant tout dans l'environnement, même si des prédispositions génétiques peuvent accroître les risques. Or l'environnement est une notion large: penser que "la cause" d'une allergie aux acariens, ce sont juste...les acariens est aussi intelligent que de s'arrêter à l'observation du doigt qui montre la lune plutôt que de regarder la lune elle-même! Car une personne qui devient allergique n'a pas été de tout temps allergique à cette cause secondaire, qui ne peut donc en elle-même être une explication satisfaisante de ce véritable basculement immunologique.

 

4) La vaccination constitue une cause majeure d'allergies et cela est dûment prouvé: la vaccination des jeunes enfants dès le plus jeune âge constitue une des principales causes si pas LA principale cause de l'asthme et des allergies infantiles (comme l'ont montré plusieurs études ainsi que les données comparatives entre enfants vaccinés et enfants n'ayant jamais reçu le moindre vaccin; voir notamment dans le petit livre "La bonne santé des enfants non vaccinés" du Dr Françoise Berthoud aux Editions Jouvence). L'aluminium des vaccins constitue une substance qui est en elle-même capable d'induire toutes sortes d'allergies croisées avec toutes les substances auxquelles l'enfant et le sujet adulte peuvent être confrontés dans la même fenêtre de temps comme l'ont expliqué deux allergologues viennoises dans le documentaire d'Arte "Planète alu". C'est ainsi que les vaccins peuvent être la vraie cause d'allergies aux laitages (que le sujet et l'enfant continuent de consommer avant, pendant et après la période des vaccinations), aux acariens, à toutes sortes d'autres substances etc. La vaccination n'a pas un effet neutre sur les bronches puisqu'elle favorise par exemple les apnées des nourrissons

 

Par conséquent, prétendre qu'on va régler avec des vaccins un des problèmes que les vaccins ont largement contribué à causer et à accroître (en termes de nombre de personnes touchées) est d'une aberration indicible. Il est certes compréhensible que les individus dont la vie a été rendue infernale par les bons effets de la médecine et ceci, sans que ces victimes ne le sachent ou ne pensent à faire le lien, soient évidemment tentés de se maintenir dans une sorte de passivité consistant à penser que la solution leur sera aussi apportée par cette médecine et qu'il suffira alors de se la faire administrer. 

 

5) La médecine allopathique a montré en de maintes occasions que son aveuglement idéologique et sa partialité pouvaient provoquer les pires aggravations qui soient de divers problèmes. En médecine plus que jamais, il faut se souvenir de l'adage: Le mieux est l'ennemi du bien. Or, rendez-vous bien compte que les "grands spécialistes" ont déjà recommandé depuis des décennies des vaccinations tous azimuts (et ceci de plus en plus) alors que leur connaissance du système immunitaire sur lequel ils interfèrent est de leurs propres aveux tout à fait balbutiante ou insuffisante. On voit bien en termes de santé publique que si on voit en effet parfois moins de certaines maladies infectieuses, les populations de plus en plus vaccinées (et de plus en plus polluées en général) sont de plus en plus malades avec une véritable explosion des maladies auto-immunes, inflammatoires et neurodégénératives sans parler des cancers. Affirmer qu'il n'y a aucun lien avec les vaccins relève du scientisme et de la crainte d'oser voir en face les données existantes. La grosse question à l'heure actuelle est donc: allons-nous nous entêter dans le même paradigme mortifère qui constitue, au moins en partie, la cause majeure de cette spirale sanitaire descendante et désespérante; allons-nous continuer à faire toujours plus des mêmes vieilles recettes qui ont lamentablement échoué à apporter plus de bien-être et plus de santé? Si c'est le cas, il n'y a, selon nous, pas de grosses illusions à se faire sur l'évolution de l'état global de la santé publique mondiale.

 

 

Voir aussi:

 

Vaccins> allergies> vaccins anti-allergies... bienvenue en absurdie!

 

Des vaccins efficaces... contre d'autres effets secondaires de vaccins?

 

Les vaccins sont les cause principale des allergies alimentaires

 

Allergies & vaccinations: y a-t-il un lien?

 

Grossesse & vaccin anti-allergies: ces médias qui nous abrutissent (parfois au péril de notre vie)

 

Comment les vaccins endommagent le système immunitaire

 

Dr Saluzzo (de Sanofi Pasteur): "On ne sait pas comment marchent les vaccins"!

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Vaccinations des patients à risque? Encore plus risquée!

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 13:25

« Nous les avons crus quand ils ont dit que le Gardasil était sans danger »

 

WDDTY, Juin 2015, relayé par SaneVax

"Nous les avons crus quand ils ont dit que le Gardasil était sans danger"

Depuis deux ans, Lotte Amit a connu une vie très difficile depuis qu’elle a fait le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Il est tragique de constater que son histoire fait partie d’un nombre sans cesse croissant de cas qui montrent que quelque chose ne tourne pas rond du tout avec ce vaccin.

 

Comme Charlotte (Lotte) Amit souffrait d’hyperthyroïdie, ses parents Sue et Ian avaient pensé qu’il était préférable de ne pas la faire vacciner. Mais leurs doutes se sont évanouis en partie quand ils ont reçu une lettre standard des services médicaux locaux qui demandaient que Lotte se fasse vacciner contre le cancer du col de l’utérus (HPV).

 

« Nous avons évidemment été très surpris de recevoir pareille lettre étant donné que Lotte n’avait que 15 ans et n’était pas du tout sexuellement active. J’ai voulu m’informer davantage, et on m’a dit que ce serait une garantie pour l’avenir. Nous avions totale confiance que cette vaccination était pour le plus grand bien de Lotte, qu’elle était sans danger, et que le médecin savait ce que contenait ce vaccin. », déclare Sue de St. Austell dans les Cornouailles.

 

C’est à l’automne 2012 que Lotte a reçu ses deux premières doses du vaccin. Après le second vaccin, Lotte a commencé à retourner ses mains dans tous les sens. Elle se plaignait de picotements dans les mains et dans les poignets. Cela lui rappelait les comportements qu’elle observait chez des enfants dont elle s’occupait.

 

Ce comportement bizarre n’a duré que quelques jours. Puis, en mars de l’année suivante (2013), ce fut le tour de la troisième injection. C’est deux jours plus tard que le cauchemar a commencé, explique Lotte. Trois ou quatre fois par jour, il lui arrivait de se rouler par terre en pleurant de mal  dans ses mains et ses pieds. Ses parents lui donnèrent des calmants, mais ceux-ci ont semblé n’avoir aucun effet.

 

Lotte qui avait toujours été une fille pleine d’énergie, a commencé à devenir léthargique. Elle ne savait pratiquement plus quitter son lit de toute la matinée. Ses règles s’arrêtèrent subitement. Elle commença à présenter des comportements obsessifs, compulsifs. Il suffisait d’un rien pour qu’elle ressente à nouveau des douleurs atroces dans ses mains et ses pieds. Les choses étaient parfois si terribles qu’elle sortait de la maison à toutes les heures du jour et de la nuit. Il lui est même arrivé une fois de sortir nue. C’est la police qui l’a finalement retrouvée alors qu’elle se cachait dans les bois.

 

Sue et Ian déclarent qu’il est « douloureusement évident » que c’est bien le vaccin contre le HPV qui est à blâmer.- Les parents ont fini par reconduire Lotte chez le médecin traitant qui lui avait administré les vaccins. « Il nous a tout juste dit de passer à autre chose », dit Sue. Comme ce médecin était convaincu que les problèmes de Lotte relevaient d’une forme d’hystérie, il l’a envoyée chez un psychiatre qui lui a prescrit des anxiolytiques, comme aussi du Risperdal (Risperidone).

 

Un soir, alors que Sue était couchée contre la poitrine de Lotte, elle remarqua que ses battements de cœur étaient irréguliers. A l’aide d’un moniteur de fréquence cardiaque, elle finit par réaliser qu’elle sautait 4 battements sur 10. Aux urgences, les médecins lui ont dit qu’elle avait un souffle systolique qui ne mettait pas sa vie en danger.

 

Les parents ont finalement emmené Lotte dans une clinique homéopathique. Le toxicologue leur a dit que le système nerveux de Lotte, de même que ses ovaires, ses reins et son foie étaient endommagés. Après un traitement de quelques mois, Sue a remarqué que l’état de santé de Lotte s’était grandement amélioré. Ce médecin a également conseillé à Lotte de boire de l’eau de source, en expliquant que le silicium de l’eau se liait à l’aluminium qui était un des ingrédients du vaccin. Après avoir bu plusieurs litres d’eau par jour pendant quelques jours, Lotte a vu réapparaître ses règles qu’elle n’avait plus eues depuis bien longtemps. Sue explique que « depuis qu’elle fut vaccinée, elle n’avait eu ses règles que trois fois en deux ans.

 

Sue a dû retirer Lotte de l’école juste trois mois avant ses examens, et a dû lui faire donner des cours à la maison. Elle a terminé son année avec un pauvre 5 et la mention « D » en science. En septembre dernier, elle a débuté à l’université, mais a dû quitter à cause des phobies qui lui prenaient quand elle entendait ses condisciples renifler. Lotte étudie maintenant l’histoire ancienne et l’archéologie classique à la maison.

 

Aujourd’hui, Lotte a 17 ans. Elle s’évertue à faire face à ses phobies. Sue estime que sa fille fait certains progrès, bien que personne ne sache si elle guérira complètement ou si elle sera, un jour, capable de fonder une famille. « Alors que nous avons été dans une grande colère en réalisant que la vie de Lotte avait été pratiquement ruinée par le vaccin Gardasil, nous nous voulons malgré tout reconnaissants qu’elle ne soit pas clouée dans un fauteuil roulant ou décédée. Car nous savons que ces malheurs ont touché beaucoup trop de jeunes-filles qui ont reçu le vaccin contre le HPV et auxquelles on avait dit que le vaccin était tout à fait sans danger. » 

 

Source : What Doctors Don’t Tell You www.wddty.com , relayé par SaneVax

Rapports d’effets secondaires des vaccins contre le HPV

 

Mise à jour des chiffres au mois d’AVRIL 2015

 

VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA

"Nous les avons crus quand ils ont dit que le Gardasil était sans danger"

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 21:21

L’État aux anti-vaccins : pas de vaccination, pas d’allocations

 

Marissa Newman 20 mai 2015 

Un enfant se fait vacciner au centre médical pour enfants à Neve Yaakov, Jérusalem, le 10 septembre 2013. (Crédit : Yonatan Sindel / Flash90)

Un enfant se fait vacciner au centre médical pour enfants à Neve Yaakov, Jérusalem, le 10 septembre 2013. (Crédit : Yonatan Sindel / Flash90)

Parmi les parents opposés à la vaccination : les haredim, les Bédouins et… la classe supérieure.

 

Lorsque Yahadout HaTorah a signé son accord de coalition avec le Likud le 29 avril, les membres du parti ont triomphalement salué la revue à la baisse d’une série de mesures législatives mises en œuvre par l’ennemi juré Yair Lapid.

 

Selon les termes de l’accord de coalition, qui a nommé Yaakov Litzman vice-ministre de la Santé, « la loi sur l’Assurance nationale sera modifiée et les allocations familiales ne seront pas octroyées dans les cas où un parent refuse de faire vacciner son enfant ».

 

Cette condition – qui ne précise pas quels vaccins sont concernés – ravive un débat vieux de six ans : est-il légal d’établir un lien entre les prestations sociales et les vaccinations ?

 

On observe une ascension tranquille du nombre de parents qui choisissent de ne pas effectuer une partie ou tous les vaccins, principalement au sein de certains segments des communautés ultra-orthodoxe et bédouine du Sud, ayant un accès limité aux soins médicaux. Un dernier groupe en cause : la classe moyenne/supérieure pour des motifs idéologiques.

 

Le Haredim et Bédouins, parmi les plus virulents, sont aussi les plus pauvres et les familles le plus nombreuses, de sorte qu’ils sont finalement les plus dépendants des allocations mensuelles. Refuser les vaccinations les place par conséquent dans une situation difficile.

 

Si la mesure juridique ne serait pas inédite à l’échelle mondiale [l’Australie l’appliquera à compter de 2016], certains groupes israéliens de défense des droits de l’homme fulminent, accusant le gouvernement de procéder à une discrimination à l’encontre des populations les plus faibles, et de pénaliser les enfants pour les décisions des parents. Ils affirment ainsi que la législation ne modifiera tout simplement pas les opinions des personnes opposées aux vaccinations.

 

Ressusciter une vieille bataille

 

Le débat remonte à 2009, quand un amendement coupant un pourcentage des allocations familiales aux non- vaccinés a été approuvé – également, comme par hasard, dans le cadre d’un accord de coalition.

 

La mesure, qui devait entrer en vigueur en décembre 2010, a été retardée suite aux arguments des groupes de défense des droits de l’homme selon lesquels les Bédouins du Néguev ont un accès limité aux soins de santé.

 

La Haute Cour a toutefois confirmé la décision du gouvernement, rejetant les pétitions des groupes et assurant que la condition restait « modérée » et reflétait « non une manière de piétiner les droits, mais plutôt un engagement du gouvernement à protéger les enfants, un engagement dont l’importance ne saurait être trop soulignée ».

 

Alors que la Haute Cour a semblé résoudre le différend en 2013, la ministre de la Santé d’alors, Yael German, l’a ensuite torpillé unilatéralement, alléguant que la mesure était « injuste ».

 

Suite à l’accord de coalition avec Yahadout HaTorah contenant une formulation encore plus ferme, les pétitionnaires ont de nouveau fulminé cette semaine.

 

« Ceci est un acte grave, encore pire que la précédente tentative de 2010 de porter atteinte aux allocations. Avant, une réduction des allocations était en cause… maintenant on parle d’annuler la totalité de l’allocation », a déploré Yitzchak Kadman, directeur du Conseil national pour l’enfant, dans un e-mail.

 

Qualifiant l’initiative de « draconienne, sans précédent et dangereuse », Kadman note que les prestations pour les enfants sont destinées aux enfants, quand bien même elles sont versées aux parents.

 

Tout en affirmant l’importance de la vaccination, Kadman affirme qu’en l’absence d’obligation légale de faire vacciner ses enfants, une sanction juridique n’a pas lieu d’être.

 

« L’Etat d’Israël n’a jamais émis d’obligation de vaccination, mais n’a pas hésité à toucher le portefeuille des familles ayant des enfants ne respectant pas une obligation qui n’a en fait jamais été imposée. »

 

Sawsun Zohar, un avocat représentant Adalah, centre juridique pour les droits de la minorité arabe en Israël, déclare dans un communiqué : « Si l’amendement est mis en œuvre, il s’agirait d’une autre mesure punitive contre les enfants des villages bédouins non reconnus à qui le gouvernement refuse l’accès aux soins de santé préventifs et confisque leurs allocations s’ils ne sont pas vaccinés. »

 

De même, Mor Sagmon de l’Association pour l’information sur les vaccins, a qualifié cette décision de dangereux précédent qui permettra des réductions des allocations familiales en fonction des caprices du ministère des Finances ou d’autres décisionnaires à l’avenir. « Peut-être que demain ils les réduiront pour ceux qui ne brandissent pas de drapeau à Yom Haatsmaout, ou pour les fumeurs ? », a ironisé Sagmon.

 

La montée du mouvement anti-vaccination

 

Si Israël affiche toujours un taux de vaccination dépassant les 90 % au cours des dernières années, une légère hausse du nombre de parents réticents a été enregistrée.

 

Dans son rapport 2014, le contrôleur de l’Etat, Yossef Shapira, a averti d’un « grand danger » d’épidémie parmi les populations où les taux de vaccination se situaient en dessous de la moyenne nationale (90 % – 97 %).

 

« S’il s’agit d’un taux relativement élevé, ce fait montre que des dizaines de milliers d’enfants en Israël n’ont pas reçu une partie ou l’ensemble des vaccins. Il y a des populations, comme les habitants des quartiers ultra-orthodoxes à Jérusalem et les Bédouins dans le Néguev, où les taux de vaccination sont inférieurs à la moyenne nationale, et il y a un grand danger d’apparition de la maladie (dont certaines pourraient être contagieuses). »

 

Le rapport suit une épidémie de rougeole en 2007, propagée par un touriste britannique qui assistait à un mariage ultra-orthodoxe à Beit Shemesh, puis à travers les nombreux invités non-vaccinés. À la fin de l’année, plus de 1 400 cas ont été enregistrés à l’échelle nationale.

 

Dans les milieux ultra-orthodoxes, la plupart des vaccins sont généralement encouragés par le leadership rabbinique ashkénaze, à quelques exceptions près [par exemple, la vaccination contre la grippe porcine aurait été considérée comme « ne valant pas le risque » par le rabbin Aharon Leib Shteinman tandis que le vaccin contre la polio lors de l’épidémie 2013 était recommandé, selon le site Kikar HaShabbat.

 

Un rapport du ministère de la Santé de 2012 a révélé que dans la ville majoritairement ultra-orthodoxe de Bnei Brak, le taux de vaccinés atteignait seulement 18 %, selon Kikar HaShabbat.

 

Un rapport de 2011 réalisé par l’Université de Haïfa concluait que l’opposition à la vaccination est « une tendance qui gagne rapidement du terrain dans les dernières années ».

 

En sus des groupes ultra-orthodoxes et des Bédouins, note l’étude, elle est également populaire au sein de la classe supérieure pour des raisons « idéologiques » glanées souvent sur des sites Web ou dans des émissions télévisées. Une étude de 2013 constatait une augmentation similaire chez la population instruite.

 

Concernant les groupes disparates et les diverses raisons de contourner les vaccins, Sagmon maintient que « la plupart » des parents prennent une «décision éclairée» sur les risques et « ne changeront pas d’avis en raison de réductions d’allocations ».

 

Kadman, plus prudemment, distingue entre les haredim et les Bédouins non vaccinés et le « nombre relativement faible » d’opposants par principe.

 

« La réduction des allocations familiales nuirait inutilement aux familles pauvres et aux populations faibles qui sont parfois exclues des services de santé. En revanche, en ce qui concerne les groupes anti-vaccination pour des raisons idéologiques (un nombre relativement petit), l’amende n’aura aucun avantage car ils ne n’abandonneront pas leurs croyances en raison d’une coupe dans les allocations familiales, qui est ridicule [pour eux]. »

 

Si les différentes études et le contrôleur ont largement convenu que la tendance était à la hausse, ils précisent que les chiffres précis sur le nombre de vaccinés ne sont pas accessibles, en partie en raison de l’incapacité professionnelle du ministère de la Santé de recueillir efficacement les données.

 

Le ministère de la Santé compile toujours une base de données nationale de vaccination, et la législation ambitieuse pourrait ne pas être applicable jusqu’à ce que le système d’identification des non-vaccinés soit achevé.

 

D’ici là, la population des anti-vaccins va probablement continuer de grandir, tranquillement, peu importe la législation.

 

Source : Timesofisrael

 

Voir aussi:

 

La mesure qui fait honte à l'Australie: conditionner les allocations familiales aux vaccins des enfants

 

Pas de vaccins? Pas de pleines de jeux...l'ostracisme à l'australienne!

 

Impressionnante manifestation pour la liberté vaccinale en Californie

 

Vaccination: la bataille fait rage en Californie...

 

Dr Lee Hieb: l'hystérie vaccinale pourrait déclencher un cauchemar totalitaire

Parmi les parents opposés à la vaccination : les haredim, les Bédouins et… la classe supérieure
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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 09:29

Une immunologiste diplômée de Harvard démolit les arguments des législateurs californiens qui veulent mettre fin aux exemptions de vaccinations.

Une immunologiste diplômée de Harvard descend en flammes le projet de loi californien liberticide sur les vaccinations

State of the Nation, 23 avril, 2015.

 

Note de l’éditeur

 

La lettre qui suit démolit complètement les arguments des législateurs californiens qui veulent supprimer les exemptions à la vaccination. Que l’on puisse envisager pareille loi est aussi cynique que draconien, mais la chose était prévisible. Après tout, les textes ont été mystérieusement rédigés et soumis au vote peu de temps après l’ « épidémie » de Disneyland fabriquée de toutes pièces.

 

Chaque législateur californien favorable au vote du projet de loi SB277 se devrait de prendre connaissance de la science incontestable à laquelle s’en réfère Tetyana Obukhanych, PhD.

 

Le Dr Obukhanych déconstruit habilement les faux arguments avancés par Big Pharma et par le gouvernement des Etats-Unis, alors qu’ils tentent de mettre en œuvre un Super programme de Vaccination à l’échelle nationale.

 

Quelque chose ne tourne vraiment pas rond quand le Sénat californien refuse de prendre en compte les preuves scientifiques évidentes qui montrent de manière catégorique l’existence de dangereux effets secondaires sur la santé des enfants. Pareille attitude criminelle met en danger la vie et le bien-être des enfants. Ce comportement des officiels doit être reconnu pour ce qu’il est – CRIMINEL – et poursuivi dans toute la mesure où la loi le permet.

 

Lettre ouverte aux législateurs qui envisagent de modifier la loi sur les vaccinations

 

Par Tetyana Obukhanich, Titulaire d'un doctorat (Ph.D.) en immunologie.

 

Cher Législateur,

 

Je m’appelle Tetyana Obukhanich, je détiens un doctorat en immunologie. Je vous écris cette lettre dans l’espoir de pouvoir corriger quelques fausses idées au sujet des vaccins, comme pour vous aider à formuler une compréhension juste et équilibrée basée sur les toutes dernières connaissances scientifiques.

 

Les enfants non vaccinés représentent-ils une menace plus importante pour le public que les enfants vaccinés ?

 

On affirme souvent que les parents qui ne font pas vacciner leurs enfants pour des raisons de conscience mettent en danger le reste de la population. C’est la raison pour laquelle le législateur veut mettre fin aux exemptions vaccinales. Ces questions sont actuellement examinées au niveau fédéral et national. Il importe beaucoup que vous soyez conscients que la nature de la protection offerte par de nombreux vaccins modernes - et cela inclut la plupart des vaccins recommandés par le CDC pour les enfants – ne sont pas compatibles avec pareille affirmation. J’ai repris plus bas les vaccins recommandés qui ne peuvent pas prévenir la transmission de la maladie, soit parce qu’ils n’ont pas été conçus pour empêcher la transmission de l’infection (car ils sont plutôt destinés à prévenir les symptômes de la maladie), ou parce qu’ils protègent contre des maladies non transmissibles. Les gens qui n’ont pas reçu les vaccins mentionnés ci-dessous ne représentent pas de risque plus important pour le public que ceux qui ont reçu ces vaccins. Ceci implique bien entendu une discrimination à l’encontre des enfants non-vaccinés.

 

L’IPV ou vaccin antipoliomyélitique inactivé ne peut pas empêcher la transmission du virus de la polio ( #1). Il y a au moins deux décennies que le virus sauvage de la polio n’existe plus aux Etats-Unis. Même si des virus sauvages de la polio étaient importés par des voyageurs, le fait de vacciner la population avec l’IPV (Vaccin polio injectable inactivé) ne peut en aucune manière mettre en cause la sécurité des espaces publics. Veuillez, s’il vous plaît, prendre en compte que l’éradication du poliovirus sauvage a été attribuée à l’utilisation d’un autre vaccin, le vaccin polio oral (OPV). Bien que ce vaccin soit capable de prévenir la transmission du virus sauvage de la polio, son utilisation a, depuis longtemps été supprimée aux Etats-Unis et remplacée par le vaccin atténué injectable (IPV) en raison de problèmes de sécurité.

 

Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse. Cette maladie est due à des spores de C.Tetani qui contaminent des plaies profondesVacciner contre le tétanos (avec le vaccin combiné DTCa ne peut en aucune manière mettre en cause la sécurité des espaces publics. Ce vaccin est seulement destiné à assurer une protection individuelle.

 

Bien que destiné à prévenir les effets pathogènes de la toxine diphtérique, le vaccin contre la diphtérie (aussi contenu dans le vaccin DTCa) n’a pas été conçu pour empêcher la colonisation et la transmission du C.Diphteriae. Vacciner contre la diphtérie ne peut en aucun cas modifier la sécurité des espaces publics. Il est, lui aussi, destiné à assurer une protection personnelle.

 

Le vaccin acellulaire contre la coqueluche (aP) (le dernier élément du vaccin combiné DTCa), actuellement en usage aux Etats-Unis, a remplacé le vaccin anticoquelucheux cellulaire à la fin des années 1990 parce que ce dernier avait été suivi d’une recrudescence sans précédent de la coqueluche. Une expérience avec des primates infectés par la coqueluche a révélé que le vaccin acellulaire n’était pas capable d’empêcher la colonisation et la transmission  de B. Pertussis (Voir annexe pour l’étude scientifique, article # 2.) La FDA a émis un avertissement au sujet  de cette découverte cruciale.

 

En outre, la réunion (2013) des conseillers scientifiques du CDC a révélé des données alarmantes supplémentaires qui montrent que des variantes de pertussis (Souches PRN négatives) qui circulent aujourd’hui aux Etats-Unis ont acquis l’avantage sélectif de pouvoir infecter ceux qui ont reçu leurs rappels de DTCa (Voir annexe pour le CDC ; document #3), ce qui signifie que les gens qui ont reçu leurs rappels ont plus de chances d’être infectés et donc de devenir contagieux que les personnes qui ne sont pas vaccinées.

 

Parmi les nombreux types de H. Influenzae, le vaccin Hib ne couvre que le type b. En dépit de l’intention qui était de réduire les aspects symptomatiques et asymptomatiques du Hib, l’introduction du vaccin Hib a, par inadvertance, déplacé la souche dominante vers d’autres types de H. Influenzae (types a jusqu’à f.) Ces types ont été à l’origine d’une grave maladie invasive et ont présenté une incidence croissante chez les adultes au cours de la période de vaccination des enfants contre le Hib. (Voir annexe pour l’étude scientifique, point #4.)

 

La population en général est plus vulnérable à la maladie invasive qu’elle n’était avant le début de la campagne de vaccination contre le Hib. La discrimination vis-à-vis des enfants qui ne sont pas vaccinés contre le Hib n’a guère de sens sur le plan scientifique.

 

L’hépatite B est un virus transmissible par le sang. Il ne se propage pas dans un cadre communautaire, surtout chez les enfants qui sont peu susceptibles d’adopter des comportements à haut risque, tels que le partage de seringues ou le sexe. La vaccination des enfants contre l’hépatite B ne peut pas modifier de manière significative la sécurité des espaces publics. En outre, l’école n’est pas interdite aux enfants qui sont porteurs de l’hépatite B chronique. Interdire l’accès à l’école aux non-vaccinés constituerait une discrimination déraisonnable et illogique.

 

En résumé, une personne qui n’a pas été vaccinée avec le VPI, DTCa, Hépatite B et Hib pour des raisons de conscience, ne pose pas plus de dangers pour le public qu’une personne qui est vaccinée. Aucune discrimination n’est justifiée.

 

Les effets secondaires des vaccins se produisent-ils souvent ?

 

On affirme souvent que les vaccinations ne produisent que très rarement de graves effets indésirables. Malheureusement pareille déclaration n’est pas confirmée par la science. Une étude récente réalisée en Ontario, Canada a établi qu’au cours de leur visite de 12 mois chez le médecin, la vaccination entraînait une visite aux urgences pour 1 enfant sur 168 et pour 1 enfant sur 730 après leur rendez-vous vaccinal de 18 mois (Voir annexe pour une étude scientifique. L’article # 5)

 

Quand le risque d’un effet indésirable est à ce point élevé qu’il nécessite un recours aux urgences après les vaccinations, ces dernières doivent être soumises au choix des parents qui, on le comprendra facilement, ne veulent pas assumer ce risque immédiat pour protéger leurs enfants de ces maladies qui sont généralement considérées comme légères et auxquelles ils ne seront peut-être jamais exposés.

 

La discrimination contre les familles qui s’opposent aux vaccins pour des raisons de conscience peut-elle empêcher de futures épidémies de maladies virales transmissibles comme, par exemple, la rougeole ?

 

Pendant longtemps, les chercheurs ont été conscients du « paradoxe de la rougeole » Je cite un article de Poland & Jacobson (1994) : «  Echec par rapport à l’objectif de l’élimination de la rougeole : paradoxe apparent des infections rougeoleuses chez des personnes immunisées. »

 

Arch. Intern. Med, 154 :1815-1820 :

 

« Le paradoxe veut que quand, dans une population, l’immunisation contre la rougeole atteint des niveaux élevés, la rougeole devienne une maladie de personnes immunisées. » [2]

 

D’autres recherches ont déterminé que derrière « le paradoxe de la rougeole », il existe une fraction de la population qu’on appelle des NON REPONDEURS ou des MAUVAIS REPONDEURS. Les mauvais répondeurs sont ceux qui ne répondent pas comme il le faudrait à la première dose du vaccin contre la rougeole. Ces personnes  présentent une réponse faible à une re-vaccination qui  ne peut pas corriger la faible réactivité. Ces personnes se retrouvent donc dans la catégorie des « susceptibles » (sensibles) endéans les 2 à 5 ans, malgré le fait qu’elles aient été complètement vaccinées. [3]

 

La re-vaccination ne peut pas corriger la faible réactivité. Il semble que le problème relève d’une particularité immuno-génétique [4] Parmi les enfants, la proportion des  faibles répondeurs est estimée à 4,7% aux USA. [5]

 

Des études réalisées sur les flambées de rougeole au Québec, au Canada et en Chine attestent que les flambées de rougeole se produisent encore, même lorsque les taux de vaccination sont au plus haut (entre 95 et 97% ou même 99 ; voir l’annexe pour les études scientifiques, les articles # 6 et 7). Ceci se produit même parmi les bons répondeurs parce que les anticorps induits par le vaccin décroissent au fil du temps. L’immunité vaccinale ne correspond pas à une immunité de longue durée acquise par une exposition naturelle.

 

Il a été démontré que les personnes vaccinées qui font des percées de rougeole sont contagieuses. En fait, deux grandes épidémies de rougeole en 2011 (au Québec, au Canada et à New York, NY) furent réimportées par des personnes déjà vaccinées. [6, 7]

 

Avec l’ensemble de ces données, il est évident que la suppression  des exemptions vaccinales, actuellement réclamées par un faible pourcentage des familles ne pourra, de toute manière ni résoudre le problème de la résurgence de la maladie, ni empêcher la réimportation ou les flambées de maladies qui avaient auparavant été éliminées.

 

La discrimination à l’encontre des objecteurs de conscience serait-elle la seule solution pratique ?

 

La majorité des cas récents de rougeole au cours des flambées qui se sont produites aux Etats-Unis ( y compris l’épidémie de Disneyland) concerne des adultes et de jeunes bébés. Tandis qu’au cours de la période pré-vaccination, la rougeole apparaissait principalement entre 1 et 15 ans. L’exposition naturelle à la rougeole a conféré une immunité à vie, alors que l’immunité produite par le vaccin diminue au fil du temps laissant les adultes non protégés par les vaccins qu’ils avaient reçu dans l’enfance. La rougeole est plus dangereuse pour les nourrissons et pour les adultes que pour les enfants en âge scolaire. Malgré les fortes chances d’exposition au cours de la période pré-vaccination, la rougeole n’apparaissait pratiquement jamais chez les bébés de moins d’un an, et ce, à la suite du mécanisme robuste de transfert de l’immunité maternelle. Aujourd’hui, la vulnérabilité des très jeunes bébés à la rougeole est le résultat direct des campagnes de vaccination de masse du passé, au cours desquelles, les mères elles-mêmes vaccinées dans l’enfance, ne pouvaient plus faire la rougeole à un âge scolaire plus sécuritaire et ainsi bénéficier d’une immunité à vie. Il s’ensuit qu’elles ne pouvaient plus transmettre cette immunité à leurs bébés pour les protéger de la rougeole, au moins au cours de leur première année de vie.- Il existe heureusement une sauvegarde thérapeutique qui imite l’immunité naturelle maintenant disparue. Les nourrissons, ainsi que d’autres personnes vulnérables ou immunodéprimées peuvent maintenant recevoir des immunoglobulines, une mesure susceptible de sauver des vies en fournissant des anticorps contre le virus pour soit prévenir, soit atténuer la maladie lors d’une exposition (Voir annexe, article # 8)

 

En résumé :1) en raison des propriétés des vaccins modernes, les individus non vaccinés ne posent pas plus de risques de transmission de la polio, de la diphtérie, de la coqueluche, et de nombreuses souches de H. Influenzae que les vaccinés. Les non vaccinés ne posent vi-rtuellement aucun danger de transmission de l’hépatite B à l’école et le tétanos n’est pas du tout transmissible. 2) Il existe un risque significativement élevé de recours aux centres d’urgences après des vaccinations infantiles qui démontrent que les vaccinations ne sont pas sans risques. 3) Les épidémies de rougeole ne peuvent pas être totalement évitées même si les taux de vaccination étaient presque parfaits. 4) Une méthode efficace de prévention de la rougeole et d’autres maladies virales chez les nourrissons et les personnes immunodéprimées sont les immunoglobulines qui sont toujours disponibles pour tous ceux qui pourraient être exposés à ces maladies.

 

Dans l’ensemble, ces quatre éléments font apparaitre clairement que la discrimination vis-à-vis des enfants qui fréquentent l’école et qui ne sont pas vaccinés pour des raisons de conscience est complètement injustifiée. Le statut  vaccinal des objecteurs de conscience ne pose pas de risque indu pour le public.

 

Cordialement,

 

Tetyana Obukhanych, PhD

 

Source : Alethonews

 

Pour les différentes annexes et notes (trop nombreux) consulter le lien source.

Voici une conférence au Canada du Dr Tetyana Obukhanych en 2013

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 16:29

Des médecins révèlent que les vaccins peuvent retourner notre système immunitaire contre nous

 

Par Celeste McGovern, 22 mai 2015 (Extraits)

Scientifiquement prouvé: les vaccins causent l'auto-immunité (et ne font donc pas que la révéler!)

Il est de plus en plus difficile d’ignorer la recherche : les vaccins peuvent déclencher l’auto-immunité et engendrer toute une série de maladies. Quels sont les individus les plus sensibles et les plus à risque avec les métaux dangereux et toxiques qui sont utilisés comme ingrédients des vaccins ?

 

Personne ne se risquerait à accuser Yehuda Shoenfeld d’être un charlatan. Ce clinicien israélien qui a passé plus de trois décennies à étudier le système immunitaire humain, est au sommet de sa profession. . C’est lui qui a écrit : « The Mosaic of autoimmunity »,  « Autoantibodies », Diagnostic Criteria in Autoimmune Diseases », « Infection and Autoimmunity », « Cancer and Autoimmunity ». La liste de ses ouvrages est longue et comporte quelques 25 titres que l’on peut considérer comme les pierres angulaires de la pratique clinique. Rien d’étonnant à ce que Shoenfeld ait été appelé : le « Parrain de l’Auto-immunité » - ou l’étude même du système immunitaire qui se retourne contre lui-même dans un large éventail de maladies dont le diabète de type 1, jusqu’à la colite ulcéreuse et la sclérose en plaques.

 

Mais, dernièrement, quelque chose d’étrange est en train de se passer dans le monde de l’immunologie. Nous pouvons en voir une petite preuve dans le fait que le parrain de l’Auto-immunité vise les vaccins – plus spécifiquement certains de leurs ingrédients, comme l’aluminium toxique – comme un facteur important de l’épidémie croissante des maladies auto-immunes. La preuve la plus évidente est cet énorme corpus de recherches de ces 15 dernières années, et plus spécialement des 5 dernières. Prenons, par exemple, un récent article publié dans la revue  Pharmacological Research dans laquelle Shoenfeld et collègues émettent des directives sans précédent au sujet de quatre catégories de personnes qui sont le plus à risque d’auto-immunité induite par les vaccins.

 

Les patients qui ont souffert d’allergies.

 

Les personnes qui ont connu des effets secondaires à la suite de précédents vaccins.

 

Les personnes souffrant de problèmes auto-immuns.

 

Les fumeurs.

 

Selon les toutes dernières recherches, les allergies pourraient ne représenter que la pointe émergée de l’iceberg pour toute une série de phénomènes induits par l’aluminium.

 

« D’une part », les vaccins préviennent les infections qui peuvent déclencher l’auto-immunité, disent les auteurs de l’article… « D’autre part, de nombreux rapports qui décrivent l’auto-immunité post-vaccinale suggèrent fortement que les vaccins peuvent en effet déclencher l’auto-immunité. Les maladies auto-immunes qui peuvent survenir après des vaccinations comprennent l’arthrite, le lupus (lupus érythémateux disséminé, SLE), le diabète, la thrombocytopénie, la vascularite, la dermatomyosite, le Syndrome de Guillain-Barré, ainsi que les troubles de démyélinisation. Il a été rapporté que presque tous les types de vaccins peuvent être associés à un début d’ASIA (Syndrome auto-immun/ inflammatoire induit par les adjuvants» (Autoimmune/inflammatory Syndrome Induced by Adjuvants)

 

ASIA – ou Syndrome auto-immun/ inflammatoire induit par les adjuvants (connu aussi sous le nom de Syndrome de Shoenfeld), - ce terme est apparu pour la première fois dans le Journal of Autoimmunology il y a quatre ans. C’est un terme générique pour toute une série de symptômes similaires, - y compris le syndrome de fatigue chronique, -  qui résultent de l’exposition à un adjuvant, un agent de l’environnement, y compris les ingrédients des vaccins qui stimulent le système immunitaire. Depuis, un énorme corpus de recherches qui utilisent « ASIA » comme paradigme, a commencé à percer le mystère susceptible d’éclairer  la manière dont les toxines environnementales, et tout particulièrement  l’aluminium utilisé dans les vaccins, peuvent déclencher une réaction en chaîne du système immunitaire chez des personnes sensibles et conduire à l’apparition d’une maladie auto-immune. […]

 

Il est utile de rappeler que les maladies auto-immunes constituent la troisième cause de morbidité et de mortalité sur un plan mondial, et maintenant ces maladies auto-immunes sont parmi les 10 premières maladies tueuses chez les jeunes femmes américaines.- L’Association Américaine des Maladies auto-immunes estime que 50 millions d’Américains soufrent de l’une des 88 maladies auto-immunes. Ces maladies se développent à une vitesse étonnante.

 

Source : The Liberty Beacon (Initialement publié le 24 février 2015 sur Greenmed.info)

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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 22:10

USA : nouvelle proposition de loi

TOUS LES VACCINS SERONT EXIGES –

PLUS QUESTION D’EXEMPTIONS PARENTALES

Nouvelle proposition de loi américaine pour exiger TOUS les vaccins et supprimer les exemptions

Autism Action Network, 16 mai 2015 (Health Impact News)

 

La congressiste de Floride, Frederica S. Wilson (D-24) a introduit le projet de loi H.R. 2232 qui exigera que tous les états imposent à tous les étudiants inscrits dans les écoles publiques de recevoir tous les vaccins recommandés par le Comité consultatif sur la politique vaccinale, un organisme fédéral composé, entre autres, de représentants de l’industrie du vaccin. Seront exigés : le vaccin contre le HPV, l’hépatite A, l’hépatite B, le vaccin contre le rotavirus de Paul Offit, les vaccins annuels contre la grippe, et des dizaines d’autres. Les états qui ne se conformeront pas aux nouvelles mesures, ne recevront plus les subventions pour « les services de santé préventive » selon la loi sur les services de santé publique.

 

S’il vous plaît, passez à l’action. Envoyez ce message à votre députée pour exprimer votre opposition à ce projet de loi. Appelez le bureau de la députée Wilson à Washington, DC pour lui faire poliment savoir pourquoi cette nouvelle proposition de loi est une mauvaise idée : Députée Frederica S.Wilson, 202-225-4506.

 

Si ce projet de loi devait passer, ce serait la première fois que l’état fédéral exige une vaccination pour pouvoir fréquenter l’école. Les politiques actuelles vaccinales sont fixées par les états, mais avec le contrôle de plus en plus serré sur les écoles, où plus un seul enfant ne pourra passer au travers des mailles du filet, la loi Wilson pourrait être un indicateur de ce qui pourrait arriver. Ce projet de loi permettrait à l’industrie du vaccin de réaliser deux de ses principaux objectifs : enlever complètement aux parents toute intervention dans les décisions à prendre en ce qui concerne les vaccins des enfants et exiger que soit respecté le programme complet de l’ACIP qui n’est aujourd’hui d’application dans aucun état.

 

Aucune exemption ne serait donc autorisée, que ce soit pour des raisons religieuses ou laïques. Les exemptions médicales seraient parcimonieusement accordées à la condition que le médecin soumette une lettre « démontrant (avec l’approbation de l’individu en charge du programme de santé de l’école de l’étudiant) que l’avis du médecin est conforme à la norme établie pour les soins médicaux. » Il ressort donc que l’autorité finale incombe à la personne responsable du programme de santé de l’école. Cette personne pourrait même ne pas être médecin. Cette mesure pourrait donc permettre de passer outre le jugement d’un médecin pour être remplacé par celui de quiconque est en désaccord avec le principe d’exemption, quelles que soient ses qualifications. Ces gens ne seraient même pas obligés d’examiner l’enfant ou son dossier médical avant de passer outre l’avis du médecin.

 

En tant que démocrate, il est peu probable que le projet de loi Wilson puisse passer. Actuellement, il n’y a en fait aucun co-sponsor, mais il ne faut pas se méprendre, une législation similaire appuyée par de nombreux députés ou sénateurs pourrait fort bien sortir un jour. C’est la raison pour laquelle il nous faut agir pour protéger nos droits et ceux de nos enfants.

 

Ce projet de loi représenterait un réel débordement jamais vu du gouvernement fédéral dans un domaine du droit et de la politique depuis longtemps reconnu comme étant l’apanage des états.

 

Ce projet de loi permettrait à toute personne, sans aucune formation médicale, de ne pas tenir compte de la décision d’un médecin. Ce projet ignore le principe du choix éclairé qui est le fondement même de toute procédure médicale éthique et élimine toute appréciation possible des parents sur ce qui va être injecté dans le corps de l’enfant.

 

Ce projet de loi viole le code  d’éthique de l’Académie américaine de pédiatrie qui exige que les vaccins qui sont administrés aux mineurs le soient avec le consentement éclairé des parents.

 

Ce projet de loi  est en contradiction avec la politique existante dans les états : 48 d’entre eux permettent des exemptions pour raisons religieuses, et 19 où vit plus de la moitié de la population américaine, autorisent des exemptions pour raisons philosophiques ou de conscience. Ces états permettent aux parents d’avoir le dernier mot sur ce qui est injecté dans le corps de leurs enfants.

 

Le projet de loi H.R. 2232 défie de facto les normes habituelles des démocraties développées en matière de vaccination, et qui permettent aux parents d’avoir, en cette matière, le dernier mot. Pareilles situations où des vaccins seraient ainsi exigés ne se retrouvent pas au Canada, au Japon, en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Irlande, en Israël, aux Pays-Bas, en Belgique, en Suède, en Norvège, au Danemark, en Finlande, etc.

 

Source : Health Impact News

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 19:04

Ce reportage a le mérite d'exister mais il reste bien plus de questions à ce stade que de réponses. Parmi ces questions éminemment éthiques et juridiques:

 

- Quid de toutes les autres victimes qui ont introduit un dossier auprès de l'ONIAM et qui vont souffrir TOUTE LEUR VIE d'une narcolepsie sans la moindre aide financière?

 

- Quid aussi de toutes les autres victimes dont la santé a aussi été amochée à vie avec ce vaccin mais qui souffrent d'un autre effet grave que la narcolepsie, n'ayant pas été médiatisé mais pouvant pour autant tout à fait exister, même si aucune étude spécifique n'y a été consacrée?!

 

- Quid de toutes les autres victimes de ce vaccin qui s'ignorent? Combien y en a-t-il exactement? Quel coût auront tous leurs soins pour la collectivité/Sécurité sociale et ce, même si elles n'arrivent ou ne pensent pas à faire le lien avec le vaccin (ce qui n'enlève rien à la charge financière induite par ce désastre post-vaccinal)?

 

- Quid de toutes les autres victimes, enfants, adultes et personnes âgées de tous les autres vaccins en plus de 200 ans de vaccinations? Bien sûr, ces chiffres réels une fois découverts feraient tomber purement et simplement (et définitivement!) la vaccination....

 

- Quid de la responsabilité écrasante de ces experts qui affirment péremptoirement un jour que le vaccin est sûr et qu'une campagne de masse (voire des obligations vaccinales) doit être exécutée puis qui, le lendemain, n'assument déjà plus rien quand les risques sont mis en lumière?

 

- Quid de Mme Bachelot, de Mme Onkelinx, de ces Ministres et instances internationales comme l'OMS qui ont pesé de tout leur poids pour encourager cette vaccination au plus grand nombre de personnes possible en violation de leurs devoirs éthiques élémentaires d'information et de prudence? 

 

Voilà des questions, non exhaustives mais ô combien aiguës (et qui le seront d'ailleurs de plus en plus à l'avenir) tant le public se rendra inévitablement compte que la véritable épidémie, c'est la vaccination; que le véritable risque le plus grand pour les enfants d'aujourd'hui n'est statistiquement parlant pas du tout celui d'une quelconque infection mais des risques graves et nettement moins cernables/maîtrisables des vaccins. Le public va se rendre compte, hélas de façon douloureuse, qu'il va devoir absolument se protéger des vaccins et des pseudo-experts qui entendent les lui fourguer de gré ou de force. Ce sera tout un travail de prise de conscience et de discernement sur la véritable nature de la menace qu'il avait toujours été conditionné à voir dans tel ou tel germe. 

 

Voir aussi

 

Narcolepsies & vaccin H1N1: des indemnisations record

 

H1N1: le calvaire des victimes du vaccin et les tragédies familiales dont on ne parle jamais

 

H1N1: une victime du vaccin attaque l'hôpital Brugmann de Bruxelles

 

La maman d'un jeune tué par le vaccin H1N1 en 2009 témoigne

 

Liens de plus en plus évidents entre le vaccin H1N1 de GSK et la narcolepsie

 

Vaccin H1N1: risques de narcolepsie chez les adultes aussi

 

Si les vaccins n'entraînent pas de dommages au cerveau, pourquoi GSK paie 63 millions de dollars aux victimes des vaccins?

 

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 18:28

Infection par le virus Vaccinia (variole) chez un laborantin récemment vacciné

 

D’après : MMWR, 1er mai 2015 – 64(16) ; 435-438.

Vacciné contre la variole, un laborantin se pique et l'attrape quand même

En novembre 2013, un laborantin travaillant dans un laboratoire universitaire s’est par inadvertance piqué le doigt avec une aiguille utilisée pour inoculer le virus sauvage « vaccinia » chez une souris. Malgré le fait qu’il ait été vacciné contre la variole un an plus tôt, il a développé une éruption sur son bras, ainsi qu’une lésion nécrotique sur son pouce. Cette dernière a guéri après un traitement. Il s’agit ici du premier rapport d’un laborantin qui, aux Etats-Unis, avait été vacciné contre le virus vaccinia selon les règles de l’Advisory Committee on Immunization Practices et qui a présenté une infection après une inoculation accidentelle. Des recommandations ont été faites et appliquées en vue d’augmenter la sécurité des travailleurs.

 

Quelles sont les implications de cet accident pour la santé publique ?

 

La seule vaccination est insuffisante comme mesure préventive contre des infections dues au virus de l’orthopox contractées dans des laboratoires. Cette mesure doit être complétée par des protocoles efficaces de sécurité, comme l’information et la formation du personnel de laboratoire, des pratiques sécurisées de laboratoire, ainsi que par le rapport de tout incident possible.

 

Source : Centres de Contrôle des Maladies (CDC)

 

Rapport final d'éradication de l'OMS (1980)« Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas »...« Il fallait absolument changer de stratégie »...

 

Voir aussi: 

 

Variole: le mythe de la vaccination éradicatrice

 

Variole: aveux explosifs a posteriori sur le vaccin

 

Variole & polio: aveux explosifs sur des vaccins reçus par des centaines de millions de gens

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