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14 avril 2015 2 14 /04 /avril /2015 15:56

Sans les vaccins, notre petit Nickson célébrerait encore la vie aujourd’hui !

 

D’après Augustina Ursino, 8 avril 2015

Sans les vaccins, notre petit Nickson célébrerait encore la vie aujourd'hui!

La maman, Lindsey Pelton, a perdu son petit garçon moins de 12 heures après qu’il ait reçu ses vaccins de routine.

 

Elle veut partager la vérité sur la manière dont les familles sont laissées à elles-mêmes et se voient refuser toute aide, même pour les frais funéraires, après que la vie de leur enfant ait été détruite par les vaccins.

 

On pousse le public à se faire vacciner en prétendant que les vaccins sont sans danger, mais le fait est que l’on ne peut garantir qu’un vaccin soit efficace et sans danger. Les notices des vaccins stipulent que les vaccins peuvent causer de graves problèmes de santé, y compris des réactions allergiques graves et la mort[1]. Pourtant, la plupart des médecins nient ces effets indésirables pourtant connus et les parents sont parfois abandonnés par le pédiatre même qui a insisté pour que la vaccination soit réalisée.

 

Une famille où régnait l’amour

 

Lindsey et son mari Nicholas attendaient leur premier enfant quand une tragédie s’est produite. Nicholas s’était engagé dans l’armée. La famille dut trouver un logement temporaire chez le père de Lindsey jusqu’à ce que la formation de base de Nicholas soit terminée. La famille s’installerait ensuite à proximité de la future base de Nicholas. Dans la suite, la famille avait l’intention d’acheter une maison.

 

Un jour, la maison du papa de Lindsey fut incendiée et la famille perdit tout. La compagnie d’assurances les aida à trouver une autre maison où ils pourraient loger pendant l’année qui serait nécessaire à la reconstruction de la maison.

 

Deux semaines après l’incendie, peu de temps après qu’ils eurent emménagé dans la maison qui leur avait été prêtée, Nicholas tomba dans les escaliers de la cave et se blessa gravement. Il mourut dans son sommeil le 15 octobre 2011.

 

Toute la famille fut littéralement dévastée après pareille catastrophe. Lindsey en était alors à son premier trimestre de grossesse. Avant de mourir, Nicholas faisait les démarches pour adopter les deux enfants de Lindsey. Le stress dû à la perte de son mari entraîna la naissance prématurée de leur enfant. C’est après 32 semaines de gestation, soit le 22 avril 2012, que le merveilleux petit garçon Nickson Law Pelton fut mis au monde. Il pesait quatre livres et neuf ounces (environ 2Kg 200).

 

Bien qu’il soit né deux mois avant terme, le personnel de l’hôpital le traita comme un bébé né à terme. On lui injecta de la vitamine K, ainsi que le vaccin contre l’hépatite B.

Sans les vaccins, notre petit Nickson célébrerait encore la vie aujourd'hui!

Lindsey sentie contrainte de poursuivre les vaccinations de son bébé prématuré

 

Le 29 juin 2012, au cours de la visite de deux mois, la pédiatre de Nickson lui administra huit vaccins- le vaccin 5 en 1, combo Pentacel (DTCa, Polio et Hib) l’Engerix B pour l’hépatite B, le vaccin Prevnar 13 contre le pneumocoque et le vaccin oral RotaTeq contre le rotavirus. Nickson a été difficile après ces vaccins et a dû souffrir des réactions qui sont considérées « normales ».

Lindsey précise :

 

«  Ma fille a aussi été une prématurée. A l’époque nous vivions dans une grande ville et nous aimions bien notre pédiatre. Elle savait nous écouter et donnait le moins de vaccins possible, les espaçait et tenait compte de l’âge gestationnel de l’enfant. Il y avait une fameuse différence entre la pédiatre de ma fille et celle de Nickson.

 

Après ses vaccins de deux mois, les jambes de Nickson ont commencé à trembler. On nous a dit que ce n’était pas grave, qu’il ne fallait pas nous tracasser et que ses problèmes de jambes n’avaient rien à voir avec les vaccins. Selon le médecin, le fait que l’enfant était prématuré, ses nerfs devaient s’habituer à fonctionner ou quelque chose du genre. Depuis sa série de vaccins, Nickson n’a pas arrêté de faire tous les jours un peu de fièvre, et cette situation a perduré jusqu’à la visite suivante. »

 

Nickson a souri jusqu’à la deuxième série de vaccins

 

A l’âge de quatre mois (bien qu’il était prématuré de deux mois) nous nous sommes rendus chez le médecin. Bien qu’à l’arrivée, Nickson faisait un peu de fièvre, le médecin a décrété qu’il devait recevoir sept vaccins. Le médecin insista pour nous faire comprendre que sa naissance prématurée était une raison de plus de le faire vacciner selon le programme officiel.

 

Lindsey savait que tout cela n’était pas bon et elle protesta. Nickson était si petit, il pesait moins de dix livres ( 4,5 Kg). Elle repensait aux réactions que son fils avait eues lors de la série précédente de vaccins et elle était inquiète. Contre toute attente, Lindsey fut menacée d’un recours aux services de protection de la jeunesse si elle ne permettait pas que l’on fasse les vaccins. Le médecin ajoutait que du fait que l’enfant était prématuré, tous ces vaccins étaient d’autant plus nécessaires pour le protéger.

 

Sur un plan émotionnel, Lindsey n’eût pas la force de s’opposer au médecin parce qu’elle ne voulait pas non plus qu’on lui enlève son enfant. Après avoir perdu son mari Nicholas, elle ne pouvait absolument pas envisager de perdre Nickson.

 

Elle se sentait totalement impuissante en regardant avec horreur ce qui était fait à son petit garçon. Elle priait pour que tout se passe bien.

 

Donc, le 23 août 2012, au cours de la visite des quatre mois, Nickson reçut sept vaccins. Mon tout petit Nickson reçut le vaccin 5 en 1, le combo Pentacel (DTCa-Polio et Hib), le Prevnar 13 et le Rotateq contre le rotavirus. Moins de 12 heures plus tard, Nickson a arrêté de respirer et est décédé.

Sans les vaccins, notre petit Nickson célébrerait encore la vie aujourd'hui!

Lindsey hurlait de toutes ses forces, alors que son père appelait le 911. Lindsey criait : » mon petit garçon est mort à cause de ses vaccins. »

 

Lindsey se rappelle bien du moment où la police et l’ambulance sont arrivées. Elle nous a dit :

 

« Quand mon  petit a été trouvé mort, on se croyait comme sur une « scène de crime », et au début j’étais comme placée sous enquête. Je ne pouvais plus toucher Nickson, le prendre dans mes bras pour l’emmener à l’hôpital, ou quoi que ce soit. Toute ma famille se trouvait dans la même situation. C’était horrible d’être ainsi interrogés. Ils ont finalement pris Nickson et l’ont emporté.

 

Il ne m’a été possible de le revoir que plusieurs jours plus tard. Je n’ai cessé de demander à le revoir depuis qu’il me fut enlevé, peut-être pensaient-ils que je l’avais blessé. De toute manière, ils devaient faire leur devoir. En ce qui me concerne, j’étais décidée à passer tout le temps qu’il faudrait pour pouvoir lui dire « au revoir ».

 

Mon père m’a beaucoup aidée. Il a contacté le directeur des services funéraires qui nous avait bien aidés au cours des funérailles de mon mari. Mon père lui a expliqué que Nickson allait être incinéré, et il leur demanda de faire tout le nécessaire pour que je puisse être en mesure de pouvoir absolument lui faire mes « à Dieu ».

 

Comme plusieurs jours s’étaient écoulés depuis le décès de Nickson, on a donc dû embaumer mon petit garçon. La chose nous avait été recommandée pour que nous puissions le revoir, le tenir dans nos bras et lui dire notre « au revoir ». Il était pour moi insupportable de penser que si le médecin avait respecté mes appréhensions, mes inquiétudes et ne m’avait pas menacée  de recourir aux services de protection de l’enfance, Nickson serait toujours là »

 

La famille dit « A Dieu » à Nickson

 

L’église de Lindsey connaissait un groupe intitulé « Je vais me coucher pour aller dormir ».Il s’agit d’une société qui est représentée dans les 50 états américains. Des membres de cette société, photographes bénévoles peuvent se rendre dans les familles qui font appel à eux pour photographier les familles et leur petit ange. [2]

 

Lindsey explique :

 

« Après l’arrivée de la photographe, j’ai pu passer 6 heures avec Nickson. Elle a pris des centaines de photos. La photographe m’a dit qu’habituellement elle ne prenait jamais autant de photos, mais comme mon petit garçon était si beau et que ma famille était si sympathique, elle n’a cessé de prendre photos sur photos. Je ne sais pas ce que je serais devenue si je n’avais pas pu disposer de ce temps pour faire mes adieux à Nickson… »

Sans les vaccins, notre petit Nickson célébrerait encore la vie aujourd'hui!

Nickson a ensuite été incinéré et ses cendres furent placées à côté de celles de son papa.

 

Après les décès de Nickson, le médecin ne s’est même pas excusé

 

Quand on lui a demandé comment avait réagi le médecin de Nickson, Lindsay explique :

 

« Le médecin n’a jamais réagi. Les détectives ont été les seuls à pouvoir parler avec le médecin, mais ils n’ont pas voulu nous aider à obtenir le dossier médical. Finalement nous avons reçu un dossier incomplet, mais avons dû payer comme s’il s’agissait d’un dossier complet. Je n’ai pas eu la force de me rendre à son bureau, ni même de téléphoner. Je sais que des médecins font parvenir un petit mot à la famille ou donnent un coup de fil quand un de ses membres décède. Mais notre médecin n’a même pas du tout reconnu le décès de Nickson. A la suite de ce que j’ai pu apprendre, la doctoresse a été assez sèche avec les détectives et leur a sûrement dit qu’il n’existait pas de preuves médicales que les vaccins puissent provoquer pareille réaction. »

 

Lindsey a tenté l’auto médication pour pouvoir survivre

 

Après le décès de Nickson, Lindsey ne put disposer d’aucune aide alors qu’elle devait encore prendre soin de ses deux autres jeunes enfants. . Lindsey fut incroyablement stressée pendant les deux années qui ont suivi la perte de son mari et de son petit garçon. Ils sont décédés à dix mois d’intervalle.

 

Lindsey a voulu se soigner elle-même pour toute une série de troubles qu’elle vivait jour après jour : agoraphobie, état de stress post traumatique(ESPT), crises d’anxiété pour n’en citer que quelques-uns. Elle a dû être hospitalisée plusieurs fois, y compris après deux tentatives de suicide.

 

Elle était toujours furieuse contre le médecin responsable du décès de Nickson parce qu’elle n’avait même pas reconnu que sa vie avait été détruite par les vaccins ou que les vaccins avaient un rapport avec son décès. Lindsey est restée bouleversée du fait qu’on n’avait pas tenu compte de ses inquiétudes et qu’on l’ait menacée illégalement, provoquant chez elle un véritable cauchemar.

 

Des millions de parents ont commencé à prendre conscience que leur enfant ne signifie absolument rien pour certains de ces médecins, infirmières, fabricants de vaccins, bref tous ceux qui font que le système est ce qu’il est. Système dans lequel des parents peuvent être menacés de se voir enlever leur enfant s’ils ne le vaccinent pas, même quand cet enfant ne doit pas être vacciné.

 

Indépendamment de ce que pense le personnel médical de la vaccination, il est clair que ces gens ne devraient jamais contraindre ou forcer qui que ce soit à se faire vacciner, ni non plus vacciner un enfant sans le consentement éclairé et écrit des parents. […]

 

Ce ne sont pas les vaccins qui peuvent garder les gens en bonne santé. Si la chose était vraie, on ne pousserait pas les mamans à faire vacciner leurs enfants surtout quand ils sont prématurés. Je veux que mon histoire se répande parce que ce sont les vaccins qui ont volé la vie de mon fils et je ne veux pas que cela se reproduise pour d’autres familles. […]

 

Il est rare que les vaccins soient mentionnés dans les rapports d’autopsie. Dans le cas de Nickson, ils ne l’ont pas été bien que Nickson avait toujours un pansement aux endroits où les vaccins furent injectés. Le bon  sens exige que l’on puisse envisager que les vaccins puissent avoir leur part de responsabilité. Beaucoup de parents reconnaissent que ce n’est pas du tout le cas, et cela les rend furieux.

 

Personne ne sait comment sa propre vie peut changer  et quel mode de survie il trouvera dans pareilles circonstances extrêmes. Certains savent qu’ils ne peuvent plus continuer à vivre, d’autres se suicident, d’autres encore sont accusés à tort et emprisonnés pour la mort de leur propre enfant, alors que les responsables se débinent et continuent d’injecter des vaccins. Des couples se séparent, d’autres tombent dans les affres de la dépression ou ne savent plus travailler. […]

 

Lindsey a pris contact avec d’autres personnes qui ont vécu la même tragédie

 

La vie de Lindsey commença à changer quand elle fut mise en contact avec des personnes  qui avaient subi le même sort tragique. De grands groupes de parents qui partagent leur histoire personnelle ont en quelque sorte permis de donner voix à Lindsey et à Nickson. L’un de ces merveilleux groupes est : VACCINE INJURY STORIES and V.P.I. STORIES. [3]

 

Ces groupes sont destinés à soutenir des personnes dont la santé a été endommagée par les vaccins. Lindsey a été reconnaissante à ces personnes qui ont pu reconnaitre son drame et qui ont pu comprendre et soutenir ses propres pensées instinctives que ce sont les vaccins qui ont pris la vie de son fils. En reconnaissant ce qui s’est en fait passé, ces personnes ont aussi pu permettre de garder vivante la mémoire de Nickson.

 

Il faut que les parents partagent leur histoire ; il n’y a pas d’autre issue. Des parents comme Lindsey reçoivent un maximum de soutien quand ils réalisent qu’ils sont véritablement entendus et qu’ils ne sont plus seuls. A aucun prix, ces parents ne doivent se murer dans le silence par rapport à ce qui est arrivé à leur enfant. […]

 

Conclusion                                                                                                   

 

Les parents devraient pouvoir choisir ce qui entre dans le corps de leur enfant, tout spécialement quand il s’agit de prématurés ou d’enfants qui ont des problèmes de santé. Quand un produit, tel un vaccin est injecté dans le corps d’un enfant et que l’on sait qu’il peut comporter de graves risques, y compris la mort, il devrait y avoir un protocole standard en place pour venir en aide à ces familles. Personne ne peut prédire si une personne va mal réagir à un vaccin.

 

Lindsey, ainsi que d’autres parents qui ont traversé pareilles épreuves comme le perte d’un enfant vraisemblablement causée par les vaccins, alors qu’aucune autre cause pouvant expliquer le décès n’existait ; de telles personnes ne devraient pas en être réduites  à mendier de l’aide financière pour pouvoir obtenir justice par rapport au mal qui a été fait à leur enfant. Il est aussi problématique que des familles doivent attendre des mois, des années ou plus encore pour recevoir des dédommagements.

 

De nouveaux protocoles devraient être mis en place pour aider ces familles qui ont fait ce que les autorités leur ont demandé de faire « pour le plus grand bien ». Il n’est vraiment pas temps de restreindre les exemptions aux vaccins.

 

Il devrait pour le moins y avoir une exemption pour les familles qui ont déjà perdu un enfant ou qui ont un enfant dont la santé a été endommagée par les vaccins. Il n’est pas possible de rendre des vaccins obligatoires si on ne possède pas la totale garantie qu’ils ne pourront faire aucun mal. A l’heure actuelle, aucun vaccin ne correspond à ce critère.

 

Notre petit Ange Nickson

22 avril 2012 – 24 août 2012

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 13:16

Initiative Citoyenne vient d'écrire à la Ministre fédérale belge de la Santé, Mme Maggie De Block, au sujet des vaccins contre le rotavirus (diarrhée du nourrisson) qui sèment la polémique en France et qui n'y seront pas remboursés en raison des risques qu'ils font encourir aux enfants. 

 

Mme Maggie De Block, Ministre fédérale belge de la Santé publique à qui nous avons écrit

Chez nous où cette vaccination est recommandée depuis 2006 et remboursée depuis 2007 (soit un coût de plus de 100 MILLIONS d'euros depuis lors!), il est donc urgent que Mme De Block regarde avec courage et lucidité la situation, d'autant que:

 

- Le profil de "sécurité" de ces vaccins ne peut pas être franchement différent en Belgique par rapport à la France OR le Pr Daniel Floret, Président du Comité technique français des vaccinations et vaccinaliste acharné (qui a pourtant déjà minimisé d'autres risques graves de divers autres vaccins) vient pourtant lui-même de reconnaître, il y a une semaine sur TF1, qu' « aujourd’hui, bien entendu, avec ces effets adverses tout à fait inquiétants, nous sommes en train de réévaluer la balance entre le bénéfice et le risque et il y aura un nouvel avis du Haut Conseil (de Santé publique) dans les jours qui viennent

 

- Le taux de complications dues à la maladie naturelle n'est pas non plus sensiblement différent en Belgique et en France or il est très faible.

 

> Le bénéfices/risques de ces vaccins n'est donc pas positif en Belgique et négatif en France mais bien négatif dans les deux cas et le courage politique exige d'oser le voir et d'en tirer toutes les conséquences!

 

Lire notre communiqué de presse de ce 13 avril sur ce courrier à la Ministre

Lire notre courrier à Mme Maggie De Block au sujet de ces vaccins

Vaccins antirotavirus: Maggie De Block appelée à se positionner sur le volte-face français
Vaccins antirotavirus: Maggie De Block appelée à se positionner sur le volte-face français

Mise à jour du 5 août 2015: C'est de façon assez discrète et indirecte que la presse aura relayé l'issue que Maggie De Block aura réservé à notre courrier (car celle-ci avait, en effet, demandé au Conseil Supérieur de la Santé un avis sur la décision française quelques semaines seulement après notre courrier, chose qui n'avait été relayée que dans la presse médicale histoire de ne pas affoler ou rebuter le grand public-pigeon et con-sommateur!). Il faut dire que cette Ministre n'avait même pas daigné nous répondre. Alors que nous soulignions pourtant dans notre courrier le caractère hautement problématique de l'avis initial du Conseil Supérieur de la Santé belge en faveur de cette vaccination contre le rotavirus dont un grand nombre ont des liens avec les industriels concernés, Mme DeBlock n'a pas eu de meilleure idée que de redemander l'avis des mêmes experts du CSS malgré tous ces conflits d'intérêts et malgré l'évidence absolue que ces personnes n'allaient pas se tirer une balle dans le pied et renier la prétendue crédibilité qu'ils avaient voulu donner à leur premier avis favorable. Au bon pays de GSK, tout continue donc comme si de rien n'était, comme si les experts français avaient mal vu, mal lu, mal observé et mal jugé! Le moins qu'on puisse dire est que Maggie DeBlock n'aura donc pas pesé de tout son poids dans ce dossier et pourtant, Dieu sait qu'elle en aurait eu le pouvoir... si seulement elle l'avait vraiment voulu!

Vaccins antirotavirus: Maggie De Block appelée à se positionner sur le volte-face français
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12 avril 2015 7 12 /04 /avril /2015 09:33

Bientôt plus d'allocations sans vaccination en Australie 

 

Le Monde.fr avec AFP. 12.04.2015

 

Le premier ministre (conservateur) australien, Tony Abbott, a prévenu dimanche 12 avril que les parents qui refuseraient de faire vacciner leurs enfants seraient privés de certaines allocations familiales : « Pas de piqûre, pas d'argent », a-t-il déclaré.

 

Dans certains pays européens et aux Etats-Unis, des maladies qui avaient disparu comme la rougeole ont fait leur réapparition, notamment en raison des parents de plus en plus nombreux qui s'opposent à la vaccination, la jugeant dangereuse pour leurs enfants. Actuellement, ces-derniers peuvent faire valoir une clause « d'objection de conscience » tout en continuant de percevoir une série d'allocations qui pèsent jusqu'à 15 000 dollars australiens (10 800 euros) par an et par enfant.

 

Si le projet du gouvernement australien est adopté par le parlement, où il est soutenu par l'opposition travailliste, ces parents ne toucheront plus ces allocations à partir de 2016. Toutefois, ceux qui refuseront d'immuniser leurs enfants pour des raisons médicales ou religieuses continueront d'avoir le droit de percevoir certaines allocations même si les conditions d'accès seront restreintes.

 

Un choix « sans fondement médical »

 

« C'est une importante mesure de santé publique, a expliqué M. Abbott. Il est très important que nos familles et nos enfants soient le plus en sécurité possible ». Plus de 39 000 enfants australiens de moins de sept ans ne sont pas vaccinés, soit une augmentation de 24 000 cas au cours des dix dernières années. « Ce choix de ne pas immuniser ses enfants n'a aucun fondement médical et ne devrait pas être soutenu par les contribuables », a ajouté le premier ministre dans un communiqué.


Les parents en question craignent que la vaccination ROR (rougeole, oreillons et rubéole) ne provoque l'autisme, ce qui a été démenti par de nombreuses études. La controverse date de 1998, lorsqu'une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet avait semé la panique dans le monde anglo-saxon en faisant un lien entre vaccin ROR et autisme. Cet article avait été retiré par la suite en raison « d'irrégularités » mais les craintes ont persisté.

 

Source : Le Monde

 

Le fanatisme est hélas à ce prix. Quelles vont en êtres les conséquences? Elles seront inévitablement de deux types: la première des conséquences va être une hausse des faux certificats de vaccination car un pourcentage non négligeable des médecins SAVENT les risques graves posés par les vaccins et ils ne pourront pas tous et partout résister à la pression de la demande des parents qui ne pourront pas se permettre financièrement de renoncer aux montants des allocations sans vouloir pour autant mettre la santé de leurs enfants en jeu avec tous ces vaccins hasardeux. La deuxième conséquence inévitable, c'est que ces mesures, qui vont aussi amener à la vaccination des enfants dont les parents ne voulaient pas les faire vacciner mais qui n'auront pas trouvé de faux certificats, vont aussi contribuer à augmenter encore les effets secondaires graves des vaccins ( car plus on vaccine en nombre, plus il y en a, c'est mathématique...), ce qui augmentera la médiatisation et le relai de tels effets -quand bien même seule une petite partie en est dévoilée par rapport au nombre réel- et tout cela entraînera en retour une prise de conscience accrue parmi les parents et donc, cette mesure politique irresponsable finira tôt ou tard par être remisée au placard (après avoir fait inutilement quantité de petites victimes). Ces mesures montrent donc deux choses: 1. La stupidité (habituelle) des politiciens et 2. Le fait qu'ils ne marchent pas pour le peuple mais pour les lobbys (mais bien sûr, tout cela au nom du Bien public, car ils ont une communication bien huilée). 
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10 avril 2015 5 10 /04 /avril /2015 21:15

Le petit Bently décède 5 jours après avoir reçu 11 vaccins

 

D’après l’article de Anna Rodgers, 7 avril 2015

 

« Je m’appelle Alisa Neathery. Mon merveilleux petit garçon Betly Stratton est mort 5 jours seulement après avoir reçu 11 vaccins au cours d’une seule visite médicale. Sept jours plus tard, il allait avoir 6 mois.

 

Il a été vacciné pour la première fois le 5 avril 2012, et est décédé le 10 avril 2012. En pensant bien faire, nous avions décidé de reporter ses vaccinations jusqu’à ses 6 mois, parce que nous avions appris que les taux de mort subite du nourrisson étaient censés être moins élevés à cet âge.

 

Apparemment, nous nous sommes fameusement trompés.

Le décès de Bently a été classé dans les cas du « Syndrome de mort subite, inexpliquée et inattendue du nourrisson ». Ce n’est pas la même chose que le Syndrome de la mort subite du nourrisson. Le médecin légiste a déclaré qu’il était  « bizarre » qu’il ne parvenait pas à trouver la cause du décès de mon petit garçon.

 

Personnellement, je crois qu’il s’agit d’une manière de camoufler le fait que ce sont les vaccins qui l’ont tué. Rien n’a été signalé aux instances appropriées parce qu’ils n’ont pas estimé que les vaccins étaient la seule cause du décès. Mais il est un fait que mon petit garçon était en parfaite santé avant les vaccinations.

 

Je ne peux pas croire non plus qu’il s’agit d’une coïncidence que mon petit meure 5 jours après avoir été vacciné. Je sais que ce sont les vaccins qui l’ont tué. »

 

« La différence entre le décès de Bently et un décès dû à de l’alcool au volant, c’est que dans le cas des vaccins – celui qui par négligence commet un homicide, est souvent celui qui signe le certificat de décès. » Clark Baker, officier à la retraite.

 

 On dit aux parents que « les effets indésirables des vaccins sont rares »

 

Bentley avait presque 6 mois quand il est décédé après avoir reçu 11 vaccins. Les médecins ont dit que son décès n’avait rien à voir avec les vaccins. Auraient-ils pu prétendre la même chose si Bentley avait avalé 11 médicaments différents ?

 

L’histoire d’Alisa et de son petit garçon Bently est une terrible tragédie.

 

Bien qu’il semble évident que le nombre astronomique de vaccins qui lui furent administrés en une seule séance ait été la cause de sa mort subite, le médecin de Bently a refusé d’y voir une relation. Mais une maman sait et peut se servir de son bon sens pour se demander «  Qu’est-ce qui a été différent dans les derniers jours de la vie de mon enfant et qui n’arrive normalement pas dans la vie d’un enfant ? »

 

Si vous avez déjà interrogé votre médecin sur la fréquence des effets indésirables des vaccins, il y a des chances qu’il vous ait dit : «  oh, ces effets sont très rares, en fait, ils se produisent probablement dans un cas sur un million de vaccinations. »

 

Le problème avec ce type de réponse est qu’elle ne semble pas refléter l’exacte vérité.  Il y a trop de parents qui rapportent des dommages vaccinaux – VAERS et Medalerts – deux bases de données en ligne que le public peut consulter en sont remplies.

 

En outre, la plupart des médecins ne sont pas capables d’expliquer aux gens combien d’effets secondaires peuvent se produire. Il est aussi rare qu’un médecin ou une infirmière montre la notice du vaccin aux parents, malgré le fait que la liste des réactions possibles soit assez longue. On en parlera plus loin dans cet article.

 

Quand des dommages vaccinaux se produisent chez un enfant, les médecins admettent très rarement que le vaccin en est la cause. En fait, ils nient souvent catégoriquement, même si l’enfant fait ses toutes premières convulsions la nuit même qui suit le vaccin.

 

Si un patient ne présente pas de réaction dans les délais standard de 15 minutes qui suivent l’injection, (dans le cas de Bently, le médecin n’a même pas attendu du tout), il semble que les médecins renoncent à toute responsabilité, comme si tout ce qui peut arriver après ce délai n’est « certainement » pas à mettre en relation avec les vaccinations.

 

Je frémis en pensant à tous les produits chimiques, les virus vivants, les virus tués, l’ADN animal, les métaux lourds et autres produits chimiques qui furent injectés ce jour-là dans le petit corps de Bently. La quantité d’aluminium (une neurotoxine prouvée)  que Bently a reçu ce 5 avril 2012 a dû être astronomique.

 

Maintenant que la plupart du thiomersal (mercure) a été éliminé de la majorité des vaccins pour enfants, les vaccins n’en contiennent pas moins des niveaux inquiétants d’aluminium.

 

Christina England a rédigé un article sur les différents taux d’aluminium que l’on retrouve dans de nombreux vaccins destinés à des nourrissons. Son article s’intitule : Cette étude révèle que quand ils sont vaccinés, les enfants reçoivent des taux toxiques d’aluminium pouvant provoquer des dommages neurologiques, ainsi que l’autisme.

 

DTCa (diphtérie, tétanos, coqueluche) : 170-625 mcg, suivant le fabricant

Hépatite A : 250 mcg

Hépatite B : 250 mcg

Hib (contre la méningite ; marque PedvaxHIB) :225 mcg

HPV : 225 mcg

Pediarix ( DTCa- Hépatite B – polio en combinaison) 850 mcg

Pentacel ( DTCa – Hib- Polio en combinaison : 330 mcg

Pneumocoque : 125 mcg

 

Aidons Alisa à porter l’affaire devant les tribunaux

 

A partir de cette liste, il semble clair que Bently a dû recevoir une dose d’aluminium proche de 2000 mcg en un seul jour (peut-être même beaucoup plus en fonction des différents fabricants. Tout ceci sans même mentionner les autres ingrédients de ces vaccins. Alisa pense aussi que ce qui est arrivé à Bently est criminel. Elle a lancé une campagne pour l’aider à financer une plainte en justice par rapport à ce qui est arrivé à son petit garçon.

Le petit Bently décède 5 jours après avoir reçu 11 vaccins

Lorsque des bébés meurent « mystérieusement », il semble que les autopsies ne comprennent pas les tests ayant trait aux ingrédients que l’on retrouve dans les vaccins. N’est-ce pas un crime ? S’il arrivait qu’un enfant avale d’autres médicaments, le médecin légiste ne serait-il pas contraint d’effectuer des tests par rapport à ces médicaments ? Pourquoi n’est-ce pas une obligation légale d’effectuer des tests sur les ingrédients des vaccins ? Les vaccins font aussi l’objet d’ordonnance comme les autres médicaments !

 

Comment le corps d’un enfant métabolise-t-il ces ingrédients ? – Demandez à votre pédiatre de citer 3 ou 4 ingrédients qui se trouvent dans les vaccins. Si votre pédiatre déclare : « Mais les quantités sont si minimes », demandez lui alors : « quelle quantité de venin d’abeille faut-il pour produire l’anaphylaxie ? »

 

Une histoire horrible nous est parvenue de Californie concernant un bébé qui avait été récemment vacciné. Vactruth a expliqué :

 

Des parents de Californie sont désemparés après avoir perdu leur petit garçon après qu’il ait été vacciné. Il est mort dans son sommeil et a été transporté à l’hôpital déjà décédé. Le personnel hospitalier a déclaré qu’il s’agissait du Syndrome de la mort subite du nourrisson. Les parents ont demandé qu’une autopsie soit effectuée. Sur leur enfant.

 

Rentrés à la maison, les parents ont commencé à attendre. Ils ne recevaient en fait aucune nouvelle. Ils ont alors multiplié les appels téléphoniques pour obtenir des réponses. Les semaines ont passé. Finalement, ils ont reçu une confirmation verbale. On leur expliquait qu’il était préférable qu’ils ne revoient pas leur enfant avant qu’il soit incinéré, en raison de l’état où il se trouvait. Une fois incinéré, ils pourraient reprendre l’urne contenant les cendres de leur enfant au crématorium. Il ne leur a pas été possible de dire un dernier « A Dieu » à leur petit !

 

Plus d’un an et quatre mois ont passé et la famille n’a toujours pas reçu le rapport d’autopsie. – Il s’est avéré que l’on a administré à leur petit un vaccin qui ne convenait pas pour son âge, ainsi qu’une dose supplémentaire du vaccin contre l’hépatite B qu’il n’aurait dû recevoir que bien plus tard.

Le petit Bently décède 5 jours après avoir reçu 11 vaccins

Liste des vaccins reçus par Bently

Comme on peut le voir, Bently a reçu deux fois le vaccin DTCa (diphtérie-tétanos-coqueluche acellulaire)

 

A ce jour plus de 3 milliards de dollars ont été versés en dédommagement aux familles des victimes de complications post-vaccinales.

 

Un cas sur un million ou beaucoup plus ?

 

La norme habituelle d’un cas sur un million de vaccinés est complètement fausse, vu que le CDC lui-même a avoué que des réactions allergiques graves peuvent se produire pour « moins de 100.000 doses ». Ceci est bien loin d’un cas sur un million !

 

Personnellement, je connais des centaines de mamans dont les enfants ont eu la santé endommagée par les vaccins. Mais pour la plupart d’entre eux, la communauté médicale a refusé d’établir quelque lien avec les vaccinations.

Le petit Bently décède 5 jours après avoir reçu 11 vaccins

Abigail Amélia Ortiz (18 décembre 2013-16 mars 2014) est décédée après sa visite médicale de 2 moisElle avait reçu les vaccins suivants : DTCa, Hib, Polio (IPV), vaccin contre le pneumocoque, vaccin contre l’Hépatite B, et le vaccin contre le rotavirus.

 

Les vaccins subissent des « tests rigoureux de sécurité »

 

Au lieu d’utiliser un vrai placebo pour les tests de sécurité des vaccins, les fabricants comparent les personnes qui ont reçu leur nouveau vaccin avec des personnes qui ont reçu un autre vaccin (au lieu d’utiliser un placebo neutre contenant par exemple une solution saline). Dans le cas du vaccin HPV, le vaccin qui a été utilisé comme placebo contenait effectivement beaucoup d’aluminium. C’est comme cela que le vaccin HPV s’est montré beaucoup plus sûr que ce qu’ils appelaient leur « placebo. »

 

Il est aussi important de noter que ce sont les fabricants de vaccins qui réalisent leurs propres études de sécurité. Beaucoup de personnes préoccupées par la sécurité des vaccins trouvent la chose inquiétante. Il serait plus raisonnable que les vaccins soient testés par des organismes indépendants. Mais cela n’arrive jamais.

 

L’approbation par la FDA (Food and Drug Administration)

 

La FDA est payée par les compagnies pharmaceutiques pour procéder à des évaluations accélérées de médicaments comme les vaccins. Parfois, ils approuvent des vaccins (comme ce fut le cas pour le vaccin Ebola) qui n’ont pratiquement subi aucun test.

 

Selon le rapport accablant d’Ethan Huff intitulé La corruption institutionnelle des produits pharmaceutiques et le mythe de médicaments sûrs et efficaces, publié dans le Journal of Law, Medicine & Ethics :

 

« La FDA n’est rien de plus qu’un groupe de rémunération (au jeu) qui répond strictement aux intérêts de l’industrie pharmaceutique. Depuis que ce sont les compagnies pharmaceutiques qui financent principalement la FDA, cette Agence  a abaissé les barrières pour l’entrée de nouveaux médicaments, comme elle a accéléré les processus d’approbation, tout en soumettant les patients à des risques accrus. »

Le petit Bently décède 5 jours après avoir reçu 11 vaccins

                     Quarante décès en 7 ans liés aux vaccins des enfants

 

Il y a 130 façons officielles pour expliquer la mort d’un enfant, et une façon non officielle : la suite des effets indésirables d’un ou plusieurs vaccins.

 

Juste quelques-uns des effets secondaires possibles qui peuvent se produire à la suite des vaccinations :

 

Gonflement au site de l’injection

Rash

Fatigue

Maux de tête

Nausées

Frissons

Syndrome de la mort subite du nourrisson

Fièvre

Convulsions

Autisme

Syndrome de Guillain Barré

Œdème du cerveau

Etat de choc

Anaphylaxie

Arrêt cardiaque

Ataxie

Somnolence

Insomnie

Narcolepsie

Myalgie

Arthralgie

Urticaire

Oedèmes

Infection des voies respiratoires supérieures

Diarrhée

Paralysie

Stérilité

Encéphalite

Fausse couche

Gonflement du visage

Décès

Varicelle Zoster

 

Source : The Liberty Beacon

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9 avril 2015 4 09 /04 /avril /2015 09:19

Vaccin : la bataille d'une Toulousaine

 

7 avril 2015

Mahève se bat pour obtenir l'accès aux vaccins obligatoires./ DR

Mahève se bat pour obtenir l'accès aux vaccins obligatoires./ DR

Mahève est une mère de famille toulousaine qui a constaté que le seul vaccin obligatoire en France est introuvable depuis 2008. Elle essaie maintenant de faire bouger les lignes.

 

Il y a un an, le médecin de la crèche de Galaad, alors âgé de 2 ans, demande à la mère du nourrisson, Mahève Guibert, la vaccination de ce dernier. Celle-ci, pas franchement favorable à cette pratique, va finalement accepter l'injection du vaccin obligatoire connu sous le nom de «DTPolio» qui traite la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. En effet, une loi de 2004 vient rendre obligatoire cette vaccination sous peine d'être condamné à 6 mois de prison et à 3 750 € d'amende en cas de refus. Néanmoins, la surprise pour Mahève va être grande puisque, après avoir fait un tour des pharmacies, on lui annonce que le «DTPolio» n'est plus produit en France… depuis 2008. «J'avais deux solutions à l'époque : je décidais de faire comme des milliers de parents et injecter un vaccin plus important à mon fils comprenant aussi la coqueluche ou l'hépatite B qui sont contestées par de nombreuses études, ou alors je me retrouvais en infraction alors même que je tentais de me conformer à la loi, j'ai décidé de dénoncer cette disposition inapplicable en l'état, explique Mahève. On m'a même vendu comme solution un vaccin interdit pour les mois de six ans !».

 

De son côté, le laboratoire pharmaceutique, Sanofi, confirme l'arrêt de la production du «DTPolio». «Nous avions constaté que ce vaccin pouvait entraîner des réactions graves dont des allergies mettant en jeu le pronostic vital, c'est pourquoi l'Agence nationale de sécurité du médicament et nous-mêmes avons fait le choix de mettre un terme à cette fabrication», se justifie l'industriel. Même constat pour le docteur Véronique Naneix-Laroche, médecin spécialisé dans la vaccination à l'hôpital Purpan, qui alerte parallèlement sur la pénurie des vaccins actuellement en France. Même le Conseil constitutionnel, il y a deux semaines, s'est penché sur la question de la vaccination obligatoire, exception française en Europe. Pas de changement pour autant puisque la juridiction a estimé que la loi était conforme à la Constitution.

 

Aujourd'hui, Mahève est en contact avec le député de la Haute-Garonne Gérard Bapt pour trouver une solution législative. La Toulousaine propose trois possibilités : «soit Sanofi produit à nouveau le «DTPolio», soit une nouvelle loi vient s'adapter à la situation, soit la France met fin à la vaccination contraignante». Pour l'élu, ce n'est pas aussi simple. S'il dit comprendre les «craintes et les oppositions» de certains, il fustige la décision de Sanofi. «Le laboratoire a fait une interprétation très large pour stopper la production du «DTPolio», selon Gérard Bapt qui n'écarte pas la possibilité que Sanofi ait mis un terme à la fabrication pour des raisons de rentabilité. Pour cause, alors que le «DTPolio» était vendu à environ 6 €, l'«Infanrix Hexa», alternative pour de nombreuses familles, s'achète, lui, à presque 40 €.


Le chiffre : 2008

 

> Année de l'arrêt du vaccin. C'est en 2008 que le laboratoire pharmaceutique Sanofi décide d'arrêter la production du seul vaccin obligatoire en France.

 

«Le laboratoire a fait une interprétation très large pour stopper la production du «DTPolio». Gérard Bapt, député de la Haute-Garonne.

 

Hugo-Pierre Gausserand

 

Source : La Dépêche.fr

 

Bravo à cette maman qui a au moins le courage de ses opinions et un sens certain du civisme, … hélas, on ne peut pas en dire autant de tous les parents car ils sont des DIZAINES DE MILLIERS (et peut-être même des centaines de milliers plus vraisemblablement) à penser la même chose et à ne rien vouloir d’autre que les seules valences vaccinales obligatoires (diphtérie-tétanos-polio) pour leurs enfants.  

 

Il est urgent de réagir et de prendre conscience que si des milliers de parents se joignaient à Mahève, l’infâme traquenard ne serait plus possible. Car enfin, vous rendez-vous compte de l’absurdité de la situation ? L’Etat rend trois vaccins obligatoires (davantage pour le bénéfice des labos que pour la santé publique) et rend ce qu’il oblige INDISPONIBLE et malgré cela, les parents sont prêts à accepter des vaccins non obligatoires et d’autres qui n’ont pas d’autorisation de mise sur le marché ?

 

Ce qui est très triste dans tout ça, et cela n’est guère dur de l’imaginer, c’est que si l’Etat s’était mis à exiger l’achat d’une pièce spéciale spécifique à mettre sous le capot de la voiture pour passer par exemple au contrôle technique (à l’auto-sécurité) et que cette pièce exigée était indisponible avec des pièces de substitution sans homologation pour les véhicules standard, là,  on crierait au scandale, on dénoncerait la moquerie et le ridicule et cela en serait plein les médias…mais ici, c’est vrai qu’il ne s’agit « que » de la santé de millions d’enfants et pas d’objets de consommation.

 

Pauvre société bien malade…et bien malade aussi d’ailleurs quand elle croit les bobards de Sanofi sur les prétendues raisons de l’arrêt de fabrication du DTP car il suffit de regarder autour de nous pour voir que les vaccins les plus dangereux (nombreuses publications scientifiques à l’appui) restent allègrement sur le marché et continuent d’être produits en masse, que ce soit pour les pays du Tiers-Monde ou les pays occidentaux. Dans les cas rarissimes où une production est arrêtée, elle ne l’est pas définitivement et seuls certains lots sont recalés. Ici, le DTP classique était loin d’être le plus dangereux des vaccins mais tout est définitivement arrêté pour des effets graves qu’il s’était soudain mis à causer en masse après des décennies d’utilisation ? Les victimes graves de vaccins comme ceux contre l’hépatite B ou le Gardasil doivent bien rire (très jaune)…
 

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6 avril 2015 1 06 /04 /avril /2015 17:21

USA

19 enfants touchés par la coqueluche : tous vaccinés !

 

Kiersten Nunez, 27 mars 2015

19 enfants américains atteints de coqueluche: tous étaient vaccinés!

PARK CITY, Utah – Une épidémie de coqueluche est source de préoccupation dans le Comté de Summit où 19 enfants ont reçu le diagnostic de coqueluche. C’est la première fois depuis des années que des cas de coqueluche se produisent dans les  les écoles de Park City.

 

Les officiels de santé ont déclaré que tous les enfants qui ont été diagnostiqués avaient été vaccinés contre la maladie.

 

« Cela a été une semaine très, très chargée, beaucoup de personnes sont venues pour un diagnostic », a déclaré le Dr Alison Delgado de « Summit Pediatrics ».

 

Au cours de la dernière semaine, le Dr Delgado a testé des dizaines d’enfants pour la coqueluche. Selon le Ministère de la Santé du Comté, 19 cas ont été confirmés comme étant porteurs de cette maladie très contagieuse à Park City, et tous les enfants infectés étaient pourtant à jour quant à leurs vaccinations.

19 enfants américains atteints de coqueluche: tous étaient vaccinés!

« Beaucoup de gens veulent savoir pourquoi leur enfant a attrapé la maladie alors qu’ils étaient vaccinés et que la maladie est à mettre en rapport au vaccin administré. Carolyn Rose, infirmière en chef pour le Ministère du Comté a déclaré que la vaccination n’était pas efficace à 100%, mais seulement à 90 à 95% ».

 

Ce qui commence avec des symptômes de rhume dégénère rapidement en une toux sévère. Rose a déclaré que, comme les enfants avaient été vaccinés, la maladie ne les frapperait pas aussi durement et ils ne seraient pas aussi contagieux(que s’ils n’avaient pas été vaccinés)

 

«Leur cas serait bien pire et ils émettraient davantage ce son typique de la coqueluche ; la maladie serait aussi plus grave surtout chez les nourrissons qui ne supportent pas aussi bien la maladie. Les immunodéprimés seraient aussi plus gravement atteints », déclare Rose.

 

Les médecins disent qu’il s’agit ici d’un bon rappel pour que les parents restent à jour par rapport aux vaccinations.

 

Le Dr Delgado a précisé : « cette semaine fut très chargée et stressante pour tout le monde dans la communauté. J’espère que tout pourra bien vite s’apaiser. » 

 

Source: Fox13now.com

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5 avril 2015 7 05 /04 /avril /2015 18:49

Qui ne connaît pas dans son entourage un collègue, une personne âgée ou fragile, un proche qui prend des antidépresseurs? A moins que vous n'en preniez vous-mêmes, en ce moment ou en ayez pris par le passé? Alors ce documentaire exceptionnel, étoffé de l'avis accablant de plusieurs dizaines de psychiatres et experts du domaine, peut véritablement changer votre vie et votre regard.

 

Le point commun entre la mère infanticide Geneviève Lhermitte, le chauffeur de car de Sierre et le pilote d'avion de la German Wings Andreas Lubitz par exemple? Le fait qu'ils prenaient tous ces médicaments qui ont tout à fait pu modifier leur chimie cérébrale au point de provoquer un passage à l'acte ou un accident (comme ce qui a pu se passer à Sierre puisque ces médicaments peuvent produire des hallucinations visuelles qui peuvent tout à fait engendrer de tels accidents...). Voyez des preuves sur ces cas ici!

 

Nul doute à nos yeux que ce documentaire de salut public sauvera des vies et qu'il devrait être diffusé à tous les élèves, à tous les étudiants, à tous les journalistes, à tous les médecins et tous les avocats; en un mot, à tous vents, tant ses enjeux sont importants! En le visionnant, vous comprendrez peut-être pourquoi un de vos proches s'est suicidé mais vous découvrirez aussi l'énorme danger que ces médicaments représentent pour la société toute entière dès lors qu'ils favorisent les comportements violents et les homicides qui peuvent à tout moment faire de plusieurs innocents des victimes additionnelles de Big Pharma. Demandez-vous à combien de prisonniers qui sortiront un jour on donne ces poisons et quelles en seront les conséquences en termes de récidives une fois dehors...

Quel est le lien entre le domaine des antidépresseurs/des psychotropes et celui des vaccins?

 

Il faut tout d'abord savoir que les antidépresseurs sont souvent prescrits à des victimes de vaccins (soit que leur état est tellement délabré qu'elles ne peuvent être que désespérées et déprimées; soit que le corps médical estime que ces effets secondaires postvaccinaux n'ont lieu que "dans la tête des patients").

 

Ensuite, vous découvrirez au travers de ce documentaire les similitudes entre ce sinistre business des médicaments psychiatriques et celui des vaccins: le fait de chercher le plus de clients possibles en inventant toutes sortes de maladies trouve en effet son pendant en vaccinologie avec l'étendue illimitée des cibles de divers vaccins (femmes enceintes, malades chroniques, garçons pour les vaccins HPV, etc....). Les experts officiels sont aussi liés aux pharmas correspondantes et ces médicaments sont eux aussi remboursés en creusant le trou de la Sécu. Le mécanisme est exactement le même. Ces scandales se succèdent dans les diverses sphères de la médecine car le public n'arrive jamais à faire le lien entre les différentes facettes d'un système mafieux et dangereux. Ceci ne veut pas dire que le système médical n'est bon à rien ou ne sert à rien mais le système médical est hélas immensément malade. Statistitiquement, c'est devenu un système de maladie qui a beaucoup de chances de vous rendre malades ou encore plus malades que vous ne l'êtes déjà avec des produits chimiques qui ne résoudront rien et iront immanquablement à l'encontre de l'équilibre du corps. 

 

Face à ce qu'on peut appeler une véritable tragédie humaine et à l'inertie des médias, Internet reste le seul moyen de sauver des vies par une vraie information qui ne manquera bien sûr pas d'être étiquetée de "conspirationniste" par les officiels en manque d'arguments et préférant la confortable inertie du statu quo.

 

Voir aussi: L'anticonformisme et le franc-parler considérés comme maladies mentales

 

Le point commun entre la mère infanticide Geneviève Lhermitte, le chauffeur du car dans l'accident de Sierre et le pilote de la German Wings Andreas Lubitz? Les médicaments toxiques de Big Pharma!

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 18:03

 

Cette information est extrêmement intéressante quant aux stratégies utilisées par les firmes pharmaceutiques productrices de vaccins. Reprenons succintement les épisodes de cette saga anglaise que nous avions déjà commentés il y a plusieurs mois:

 

* Les firmes pharmaceutiques qui misent de plus en plus sur les vaccins (+ de 300 projets de nouveaux vaccins dans leur pipeline) avec l'arrivée à échéance de nombreux brevets de leurs molécules-phares, investissent des centaines de millions d'euros et de dollars dans toutes sortes de vaccins, y compris bien sûr dans des vaccins qui visent soit des maladies graves mais qui sont vraiment très rares soit des maladies anodines mais très répandues

 

* Parmi ces firmes, la firme suisse Novartis avait donc investi certaines sommes conséquentes dans le développement d'un vaccin contre le méningocoque B (donc une autre souche que celle incluse dans les vaccins antérieurs contre le méningocoque, principalement le méningocoque de type C chez les enfants). C'est alors que le vaccin Bexsero est arrivé sur le marché après avoir reçu l'aval de l'Agence européenne des Médicaments en novembre 2012.

 

* Quand un vaccin arrive sur le marché, il est impensable et inenvisageable pour les firmes de ne pas obtenir de retour sur investissement, c'est-à-dire de ne pas trouver de marché (et donc de personnes cibles à vacciner) or le public n'est en général pas très enthousiaste  pour aller payer des vaccins aux effets secondaires de plus en plus médiatisés. Comment dans ce cas créer malgré tout un marché? C'est simple, il FAUT mêler les autorités, il FAUT la complicité essentielle des autorités sanitaires dans la manoeuvre marketing: c'est alors que celles-ci usent de leur pouvoir d'influence en recommandant cette vaccination voire en l'ajoutant au calendrier vaccinal. Ce type de recommandation aura un effet sur les personnes les plus crédules mais ne sera pas forcément suffisant. C'est alors que les autorités envisagent dans un second temps un financement plus étendu du vaccin voire un achat total (présentant alors aux patients-pigeons le cadeau empoisonné comme "gratuit"). Dans certains pays, une mesure plus radicale encore est prise: l'obligation vaccinale qui assure des marchés certains et sécurisés, pas pour les patients bien sûr mais pour les fabricants.

 

* Dans notre monde globalisé, un des arguments indispensables des fabricants vis-à-vis des gouvernements des différentes pays est de pouvoir faire part de statistiques prétendument favorables issues de différents pays qui auraient déjà généralisé la vaccination à tout un groupe cible. Il est donc essentiel pour les fabricants de focaliser, au moins au début, avec un lobbying qui est bien plus que du harcèlement, sur certains pays européens ou occidentaux influents qui leur serviront en quelque sorte de "carte de visite" vis-à-vis des futurs clients. C'est ainsi que Novartis avait été frapper en 2013 à la porte du gouvernement britannique pour essayer d'y implanter une campagne nationale sur les enfants-cobayes de ce pays mais le comité britannique des vaccinations avait alors refusé à l'époque déclarant notamment: "Le JCVI a conclu, sur la base des données disponibles, qu'il est hautement improbable que l'immunisation de routine des nourrissons et jeunes enfants utilisant Bexsero soit efficace en termes de coûts". 

 

La firme pharmaceutique s'était alors dite déçue de cette décision qui n'était alors guère surprenante si on veut bien être rationnel et tenir compte du nombre infime d'enfants qui feront une méningite B naturelle....

 

* Au printemps 2014, la presse révélait que GSK avait racheté la section vaccins du groupe Novartis avec le vaccin Bexsero dans le portefeuille du groupe du coup... Andrew Witty, le PDG de GSK ne cachait alors pas son enthousiasme à l'époque: "L'acquisition de l'activité vaccins de Novartis va renforcer significativement l'ampleur de notre portefeuille de vaccins et de produits en développement, en particulier en ce qui concerne la méningite avec l'apport du Bexsero, un nouveau vaccin préventif contre la méningite B enthousiasmant". 

 

Les lobbyistes de GSK se sont donc mis à l'oeuvre pour tâcher de faire changer d'avis les autorités sanitaires britanniques. Et moins d'un an plus tard, les autorités sanitaires britanniques n'étaient pas gênées d'annoncer leur volte-face! Ainsi, malgré que ce type de méningite avait spontanément, sans vaccin, baissé de 50% au cours de la dernière décennie et que la maladie ne touche tout au plus que 25 nourrissons sur 100 000; malgré aussi que les données sur le rapport coût/bénéfices n'étaient alors pas disponibles de même que pour le portage de la bactérie, quelques mois plus tard, on voudrait nous faire croire que ce vaccin serait finalement quand même devenu une bonne idée... de qui se moque-t-on? Malheureusement d'enfants sans défense qui pourraient bien payer dans leur chair et de façon dramatiquement irréversible le prix de cette insoutenable cupidité. Car outre que ce vaccin n'a une efficacité que contre 60 à 80% des souches de méningocoque B, son "efficacité" ne dépasse pas 18 mois après une primovaccination et 3 ans après un rappel et de plus, elle n'entrave le portage de la bactérie (chez des porteurs pouvant donc être sains mais transmetteurs de la maladie) que dans ... 30% des cas!

 

Le vaccin Bexsero a donc été ajouté au calendrier vaccinal pour être administré avec les autres vaccins dès l'âge de 2 mois...

 

 

* Maintenant, qu'apprend-t-on encore en plus? Que GSK a conclu un partenariat avec le Royaume-Uni pour vacciner gratuitement tous les nourrissons... ben voyons, pourquoi se priver? Les gens n'y verront sans doute que du feu, certains prendront cela pour un "cadeau" ou une fausse preuve que c'est vraiment un vaccin essentiel car ils ne comprendront pas le sens de la manoeuvre: un peu comme quand on distribue des échantillons gratuits au début, pour simplement créer de toutes pièces une demande, un besoin et puis ensuite, il faudra que les contribuables passent à la caisse car il y aura eu entretemps de belles statistiques bien proprettes qui auront montré bien entendu que ce vaccin apporte vraiment une "plus-value"!!

 

Voici ci-dessous ce qu'il en est de l'épisode britannique actuel mais avant, ayez surtout bien à l'esprit 4 éléments-clefs en tête pour votre bonne compréhension de ce sujet:

 

1) La campagne de vaccination universelle contre l'hépatite B a brisé des dizaines de milliers de vies -et d'ailleurs pas qu'en France- avec les scléroses en plaques qui ne sont que la triste partie émergée de l'iceberg (voir ici et ici notamment).

 

2) On est dans un contexte où on en arrive à envisager de payer les gens pour leur faire accepter des vaccins...

 

3) On a des données claires sur les vaccins contre le méningocoque C qui montrent qu'en Belgique, comme en France, les risques graves de ces vaccins sont statistiquement des dizaines de fois supérieurs aux risques  de contracter la maladie naturelle.

 

4) Le vaccin MenBVac, vaccin expérimental contre le méningocoque B (NB: les vaccins sont de toute façon toujours tous expérimentaux, sachez-le!) a laissé un champ de ruines avec des adolescents et des enfants gravement touchés dans les pays qui l'ont implémentée (Norvège, Nouvelle-ZélandeFrance sûrement aussi même si la presse a été moins loquace mais les mêmes causes produisant les mêmes effets...)

 

Soyez lucides, et décryptez les infos que vous trouverez "brutes" dans la presse!!!

 

Méningite B : les anglais lancent la première campagne nationale de vaccination

 

Par Léa Drouelle Publié le 29 Mars 2015

 

Le Royaume-Uni a développé un partenariat avec GSK pour administrer gratuitement un vaccin contre la méningite B à tous les nourrissons du pays. Ce programme national est une première mondiale. 

 

Alors qu’un petit garçon lyonnais de 5 ans a été hospitalisé samedi après-midi à l'hôpital Femme-Mère-Enfant de Bron pour une suspicion de méningite bactérienne à méningocoque de type B (la forme la plus grave), le Royaume-Uni a annoncé dans le même temps le lancement d’un programme de vaccination gratuite contre cette méningite pour tous les bébés du pays.

 

Un programme lancé avec de longues négociations avec Novartis


« Nous sommes le premier pays au monde à lancer cette campagne », se réjouit le ministre de la Santé britannique Jimmy Hunt. Le gouvernement a développé un partenariat avec la firme anglaise GlaxoSmithKline (GSK), numéro 7 de l’industrie pharmaceutique mondiale, qui a racheté le vaccin Bextero crée par le géant suisse Novartis. 


L’association du gouvernement avec GSK survient 7 mois après de longues négociations vaines avec Novartis autour du prix du vaccin, avant son rachat par GSK. Un retard que les organismes britanniques de lutte contre la méningite déplorent, même s’ils saluent le lancement du programme. 


« Savoir que les bébés seront protégés contre la méningite de type B est fantastique. C’est un autre grand pas en avant dans notre lutte contre cette maladie », a déclaré Sue Davie, directeur général de l’association Meningitis Now. Le vaccin Bexsero serait, selon Novartis, « le premier vaccin à large spectre » contre la méningite B. Il couvre 70 à 90 % des souches de méningocoques B dans les pays d’Europe.

 

Un vaccin remboursé à 65 % en France


La méningite B est la plus fréquente des méningites en Europe et touche plus particulièrement les enfants et les adolescents. Elle est responsable de nombreuses séquelles neurologiques et entraîne le décès de près d'un patient sur dix. En France, on comptait 290 cas en 2011. Depuis décembre 2014, le vaccin Bexsero est remboursé par la Sécurité sociale à 65 %, pour les patients qui n’ont plus de rate ou souffrent d’un dysfonctionnement de cet organe, ainsi que pour ceux ayant subi une greffe de cellules souches. En revanche, le vaccin n'est pas pris en charge pour les autres personnes, y compris les enfants à partir de l'âge de 2 mois.

 

Source : Pourquoi Docteur

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 10:52

Voici une information publiée ce 1er avril dernier et qui n’est heureusement pas un poisson…

 

Vaccins : un généraliste sur quatre n'a pas confiance

 

Mais comme nous le verrons, ce type d’information est TELLEMENT TABOUE qu’elle est publiée avec des infos fausses et contradictoires destinées à atténuer l’effet dissuasif que cette info aura sur le public, de plus en plus pressé de se faire vacciner ! Car de fait, combien de fois n'a-t-on donc pas entendu que les médecins étaient à 98 ou 99% derrière la vaccination? S'ils sont désormais 75%, pour qui sait compter, c'est que le pourcentage de confiance baisse. Mais déjà en 2005, une enquête de l'INPES révélait que 58% des médecins ont des doutes sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité, des chiffres sans doute plus réels et plus fiables que ceux dont parle Le Point> Une opinion personnelle défavorable sur les vaccins et une loyauté envers le patient ne vont donc pas forcément de pair car les vaccins sont un gros business pour les médecins ! Faites ce que je dis, pas ce que je fais donc….

Confiance et pratique médicale ne vont pas forcément de pair... © Damian Dovarganes/AP / SIPA

Confiance et pratique médicale ne vont pas forcément de pair... © Damian Dovarganes/AP / SIPA

La dernière étude de la Drees indique cependant que le nombre de médecins favorables à la vaccination augmente, malgré certains problèmes graves.

 

Par Anne Jeanblanc

 

Un médecin généraliste sur quatre est "modérément" ou "peu confiant" à l'égard des vaccinations. C'est le chiffre marquant du rapport de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) publié mardi. Et paradoxalement, selon le même travail - qui repose sur un entretien téléphonique avec près de 1 600 médecins (entre avril et juillet 2014) -, la quasi-totalité des praticiens interrogés se déclarent favorables à la vaccination. Leur proportion est même en augmentation par rapport à 2010. De plus, neuf médecins sur dix considèrent que leur rôle est d'inciter les patients à s'immuniser. Confiance et pratique ne vont donc pas forcément de pair.

 

Le vent de défiance qui souffle depuis des années sur la vaccination et les actions des "anti-vaccins" contribuent à focaliser l'attention sur les médecins les "moins convaincus". Et cela alors que le Conseil constitutionnel a très récemment jugé la vaccination - obligatoire en France - des enfants contre la diphtérie, le tétanos et la polio conforme "à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé". Une chose est sûre, le climat ne va pas s'apaiser, a fortiori avec la nouvelle information du jour.

 

Deux décès de bébés après un vaccin contre la gastro

 

Selon un bilan remis à l'agence du médicament (ANSM), les vaccins Rotarix et RotaTeq, destinés à prévenir les infections dues à un virus responsable de diarrhées chez les bébés, ont entraîné en 2014 un nombre "préoccupant" d'effets indésirables graves (508 notifications d'effets indésirables, dont 201 graves à l'origine de 2 décès). Elle recommande donc de ne plus conseiller ces vaccins, même si plus d'un million de doses ont été distribuées en France depuis le début de leur commercialisation.

 

"Il faut être vigilant, extrêmement vigilant, [mais] ne pas inquiéter outre mesure les parents aujourd'hui", a déclaré Marisol Touraine mercredi matin sur Radio Classique/LCI. Qui ajoute que les médecins "ont un rôle essentiel à jouer pour rassurer et évaluer l'intérêt du vaccin dans le cas de leurs petits patients".

 

8 % des médecins "peu confiants" dans les vaccins

 

Justement, dans l'étude de la Drees, Fanny Collange, de l'observatoire régional de la santé Provence-Alpes-Côte d'Azur, et ses collègues distinguent trois profils de médecins selon leurs perceptions des risques des vaccins. Les trois quarts peuvent être qualifiés de confiants. Ils expriment peu de doutes sur l'utilité des vaccins et leurs potentiels risques. Ils sont relativement jeunes et ont plus souvent eu accès à une formation médicale continue au cours des 12 derniers mois. 16 % sont "modérément confiants". Ils pensent que les vaccins peuvent être responsables de pathologies graves et émettent des doutes sur leur utilité globaleEnfin, 8 % des médecins sont "peu confiants". Les auteurs notent qu'il s'agit de médecins plus âgés, plus souvent des femmes, qui ont un niveau d'activité relativement plus faible et pratiquent davantage les médecines douces.

 

Pour terminer, l'honnêteté doit nous pousser à citer un chiffre qui n'est pas à la gloire des médias : seuls 6 % des médecins leur font confiance. La grande majorité d'entre eux se fient "plutôt" ou "tout à fait" aux sources officielles (80 % pour le ministère de la Santé, 90 % pour les agences), même s'ils considèrent à 53 % que ces sources sont influencées par l'industrie pharmaceutique.

 

Source : Le Point

La dernière étude de la Drees indique cependant que le nombre de médecins favorables à la vaccination augmente, malgré certains problèmes graves.

 

Par Anne Jeanblanc

 

Un médecin généraliste sur quatre est "modérément" ou "peu confiant" à l'égard des vaccinations. C'est le chiffre marquant du rapport de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) publié mardi. Et paradoxalement, selon le même travail - qui repose sur un entretien téléphonique avec près de 1 600 médecins (entre avril et juillet 2014) -, la quasi-totalité des praticiens interrogés se déclarent favorables à la vaccination. Leur proportion est même en augmentation par rapport à 2010. De plus, neuf médecins sur dix considèrent que leur rôle est d'inciter les patients à s'immuniser. Confiance et pratique ne vont donc pas forcément de pair.

 

Le vent de défiance qui souffle depuis des années sur la vaccination et les actions des "anti-vaccins" contribuent à focaliser l'attention sur les médecins les "moins convaincus". Et cela alors que le Conseil constitutionnel a très récemment jugé la vaccination - obligatoire en France - des enfants contre la diphtérie, le tétanos et la polio conforme "à l'exigence constitutionnelle de protection de la santé". Une chose est sûre, le climat ne va pas s'apaiser, a fortiori avec la nouvelle information du jour.

 

Deux décès de bébés après un vaccin contre la gastro

 

Selon un bilan remis à l'agence du médicament (ANSM), les vaccins Rotarix et RotaTeq, destinés à prévenir les infections dues à un virus responsable de diarrhées chez les bébés, ont entraîné en 2014 un nombre "préoccupant" d'effets indésirables graves (508 notifications d'effets indésirables, dont 201 graves à l'origine de 2 décès). Elle recommande donc de ne plus conseiller ces vaccins, même si plus d'un million de doses ont été distribuées en France depuis le début de leur commercialisation.

 

"Il faut être vigilant, extrêmement vigilant, [mais] ne pas inquiéter outre mesure les parents aujourd'hui", a déclaré Marisol Touraine mercredi matin sur Radio Classique/LCI. Qui ajoute que les médecins "ont un rôle essentiel à jouer pour rassurer et évaluer l'intérêt du vaccin dans le cas de leurs petits patients".

 

8 % des médecins "peu confiants" dans les vaccins

 

Justement, dans l'étude de la Drees, Fanny Collange, de l'observatoire régional de la santé Provence-Alpes-Côte d'Azur, et ses collègues distinguent trois profils de médecins selon leurs perceptions des risques des vaccins. Les trois quarts peuvent être qualifiés de confiants. Ils expriment peu de doutes sur l'utilité des vaccins et leurs potentiels risques. Ils sont relativement jeunes et ont plus souvent eu accès à une formation médicale continue au cours des 12 derniers mois. 16 % sont "modérément confiants". Ils pensent que les vaccins peuvent être responsables de pathologies graves et émettent des doutes sur leur utilité globaleEnfin, 8 % des médecins sont "peu confiants". Les auteurs notent qu'il s'agit de médecins plus âgés, plus souvent des femmes, qui ont un niveau d'activité relativement plus faible et pratiquent davantage les médecines douces.

 

Pour terminer, l'honnêteté doit nous pousser à citer un chiffre qui n'est pas à la gloire des médias : seuls 6 % des médecins leur font confiance. La grande majorité d'entre eux se fient "plutôt" ou "tout à fait" aux sources officielles (80 % pour le ministère de la Santé, 90 % pour les agences), même s'ils considèrent à 53 % que ces sources sont influencées par l'industrie pharmaceutique.

 

Source : Le Point

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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 20:19
Deux bébés morts, le vaccin contre la gastro-entérite mis en cause

 

 

Un rapport transmis à la Direction générale de la Santé pointe le nombre "préoccupant" d'effets indésirables survenant après la vaccination contre la gastro-entérite. Mardi soir, l'ANSM a confirmé la mort de deux nouveau-nés après un vaccin de ce type.

 

L'Agence du médicament (ANSM) l'a confirmé mardi soir: deux bébés sont morts en 2012 et 2014 après une vaccination contre la gastro-entérite, comme le révélait plus tôt dans la soirée Le Canard Enchaîné. Les nouveau-nés sont morts à la suite d'une "invagination intestinale", soit le retournement de l'intestin sur lui-même, selon l'ANSM. Cette conclusion provient d'un rapport du Comité technique de pharmacovigilance, daté de février dernier et transmis à la Direction générale de la Santé.

 

Selon ce rapport, les vaccins Rotarix et RotaTeq pour prévenir les infections dues à un virus responsable de diarrhées chez les bébés entraînent un nombre "préoccupant" d'effets indésirables graves, dont les deux décès. Le Comité, qui a analysé les données de suivi national et international concernant ces vaccins oraux, "s'interroge sur le bien-fondé de recommander la généralisation de cette vaccination en France".

 

http://ansm.sante.fr/content/download/75433/958819/version/2/file/CR-CT-Pharmacovigilance-012015023+rotavirus.pdf  

 

2.1-Rotarix® (page 7/10 du rapport ci-dessus)

Un total de 422 cas, dont 161 graves (38%), a été rapporté pour Rotarix® sur le marché national depuis mai 2006. Les EI recueillis sont principalement digestifs (74,6%) avec 35 cas d’invaginations intestinales aigues (IIA) survenus dans le mois suivant la vaccination. Vingt et un de ces 35 cas sont survenus dans les 7 jours suivant la vaccination, dont trois particulièrement graves : 2 hospitalisations en réanimation (5,7%) et 1 décès (2,8%). 

 

2.2-Rotateq® (page 8/10 du rapport ci-dessus)

 

Un total de 86 cas, dont 40 graves (47%), a été rapporté pour Rotateq® sur le marché national depuis janvier 2007. Les EI recueillis sont principalement digestifs (74,4%) avec 12 cas d’invaginations intestinales aiguës (IIA) survenus moins d’un mois après la vaccination. Six de ces 12 cas sont survenus dans les 7 jours suivant la vaccination, dont 1 après la 3ème dose et ayant évolué vers le décès (8,3%). 

 

5. Conclusion et perspectives   (page 10/10 du rapport ci-dessus)

Compte-tenu des données issues du suivi national de pharmacovigilance et des données internationales analysées dans les rapports de synthèse périodiques de pharmacovigilance, les membres du Comité Technique de Pharmacovigilance ont adopté à l'unanimité́ les conclusions suivantes :

 

Ce suivi national de pharmacovigilance confirme la survenue d'effets indésirables graves au décours de la vaccination anti-rotavirus en France, dont le taux de notification est préoccupant si on le compare aux taux de notification observés   avec   d’autres   vaccins   pédiatriques. Il souligne en particulier la gravité des invaginations intestinales aigües attribuables à la vaccination. […]  

"508 notifications d'effets indésirables"

 

Alain Ducardonnet, consultant santé pour BFMTV, tempère néanmoins le climat d'inquiétude. "Il n'y a eu que deux décès en sept ans, donc cette interrogation est plus une mesure de prévention. Par ailleurs, la France n'est pas la seule à vacciner contre la gastro-entérite: 47 pays dans le monde font ce vaccin. La décision de vacciner ou non un enfant doit se faire au cas par cas, en discutant avec le pédiatre".

 

Les deux vaccins oraux prescrits à partir de l'âge de six semaines, Rotarix et RotaTeq, sont autorisés en Europe depuis février et juin 2006 respectivement, et commercialisés en France depuis mai 2006 et janvier 2007. "Depuis le début de la commercialisation en France de ces deux vaccins et jusqu'au 31 octobre 2014, plus de 1 million de doses ont été distribuées. 508 notifications d'effets indésirables médicalement confirmées, dont 201 graves", ont été recueillies et analysées, souligne l'agence.

 

Une prise en charge immédiate nécessaire

 

Parmi les observations graves, 47 cas d'invaginations intestinales aiguës, survenues dans le mois suivant la vaccination, ont été rapportés, dont les deux fatals. L'invagination intestinale aiguë est un effet indésirable qui, bien que considéré comme très rare (moins de 1 cas sur 10.000 vaccinés), nécessite, en raison de sa gravité, une prise en charge immédiate dès les premiers signes: douleurs abdominales, pleurs répétés et inhabituels de l'enfant, vomissement, présence de sang dans les selles, ballonnements abdominaux et-ou fièvre élevée, détaille l'agence sanitaire.

 

Un courrier a été envoyé mardi à 160.000 professionnels de santé afin qu'ils sensibilisent les familles sur ces signes survenant dans le mois suivant la vaccination, pour consulter sans délai, car la prise en charge précoce permet de soigner le bébé, selon l'ANSM.

 

"Conseillée, déconseillée, reconseillée, cette potion (ces vaccins contre la gastro, ndlr) va finalement être mise au rencart", écrit Le Canard Enchaîné, qui révèle dans son édition de mercredi la mort des deux bébés qui "empoisonne les autorités sanitaires". La décision de remboursement doit tomber dans les prochains jours, et ce sera non", avance un connaisseur du dossier auprès du journal satirique qui note que l'obtention du remboursement aurait été un "jackpot assuré" pour les laboratoires. 

 

Par A. G. avec AFP

 

Source : BFM TV

 

Marisol Touraine a décidément choisi son camp, celui des labos, quelle lâcheté... quand c'est pour défendre bec et ongles la dangereuse (et inutile) vaccination Gardasil, elle se montre nettement moins timide... les Français devront juger!

 

C'est aux médecins de décider «au cas par cas». Telle est la recommandation de la ministre de la Santé Marisol Touraine concernant le vaccin pour bébés contre des gastros, qui a causé la mort de deux nourrissons en 2012 et 2014

 

Deux vaccins, le Rotarix (laboratoires GlaxoSmithKline/GSK) et le RotaTeq (Sanofi Pasteur MSD), destinés à prévenir les infections dues à un virus responsable de diarrhées chez les bébés, entraînent un nombre «préoccupant» d'effets indésirables graves, selon l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

 

Au total, 508 incidents ont été signalés par les médecins à l'ANSM, dont 201 graves, depuis 2006. Parmi ceux-ci figurent notamment 47 cas de complications intestinales aiguës.

 

Même si ce nombre d'effets secondaires est préoccupant, l'ANSM le relativise toutefois en le mettant en parallèle avec le million de doses injectées en France depuis neuf ans. 

 

C'est ce que fait aussi la ministre de la Santé ce mercredi, au lendemain de ces révélations. Injecté à «plus d'un million d'enfants» depuis sa mise sur le marché, le vaccin «fait l'objet d'attention très spéciales, comme tous les vaccins, de la part des agences sanitaires», a-t-elle rappelé sur Radio Classique/LCI. Par ailleurs, «c'est un vaccin qui existe au niveau européen, il y a donc des échanges entre les agences sanitaires européennes». Enfin, Marisol Touraine souligne que «des enquêtes sont en cours» et que «des études approfondies vont être menées».


«Ce vaccin n'est pas considéré comme un vaccin inscrit au calendrier obligatoire ou même recommandé, et donc c'est aux médecins, à qui l'Agence du médicament a envoyé de nouvelles recommandations, de voir au cas par cas si le vaccin est utile», a également déclaré Marisol Touraine, qui veut rassurer les parents : «Il faut être vigilant, extrêmement vigilant, (mais) ne pas inquiéter outre mesure les parents aujourd'hui.». Selon elle, les parents «peuvent parler avec leur médecin et évidemment les médecins ont un rôle essentiel à jouer pour rassurer et évaluer l'intérêt du vaccin dans le cas de leurs petits patients».

 

Source : Le Parisien

 

Marisol Touraine montre une nouvelle fois qu’elle ne connaît rien au sujet car ces vaccins ne sont pas injectés mais ingérés, ce sont deux vaccins oraux ! Voici d'ailleurs ci-dessous un petit pictogramme qui permettra peut-être d'instruire Mme Touraine pour qui ce sujet des vaccins semble décidément bien difficile:

 

 

Touraine n’a pas grand-chose d’autre à dire que de « tirer le parapluie » en évoquant le fait que ces vaccins sont utilisés ailleurs en Europe, c’est exactement ce que faisait la ministre Onkelinx acculée par nos questions dérangeantes lors de la mascarade du H1N1 ! En outre, il faut savoir qu'un de ces vaccins anti-rotavirus (le Rotateq) est fabriqué par génie génétique (> risques de malignité comme reconnus par l’OMS dans un rapport sur l’acceptabilité des substrats cellulaires de 1987) et que ces vaccins sont contaminés de longue date par des circovirus porcins…autant de risques constamment et donc quotidiennement passés sous silence par les médecins malgré leurs obligations d’information inscrites dans la loi sur les droits du patient de 2002. Mais il faut dire que même le Pr Goldman, immunologiste à l’ULB, qui donnait une conférence le 29 janvier dernier à Wavre sur le thème « Faut-il craindre les vaccins ? » et à laquelle certains membres d’Initiative Citoyenne ont assisté, y a déclaré de façon tout à fait péremptoire que les actuels vaccins contre le rotavirus étaient, eux, exempts de tout risque d’invagination intestinale (contrairement à l’ancienne version retirée du marché aux USA, le Rotashield, à laquelle il se référait sans la citer), ce qui est bien entendu faux, le Rotarix et le Rotateq entraînant un risque au moins 6 à 7 fois supérieur d’invagination intestinale endéans le mois qui suit la vaccination…

 

En Belgique, où ces vaccins sont remboursés depuis des années, combien de petites victimes inutiles ont déjà été créées de toutes pièces par l’administration de ces vaccins inutiles (car la complication la plus grave des infections à rotavirus, la déshydratation, peut être aisément évitée par l’administration de solutés de réhydratation orale, bien meilleurs marché et surtout parfaitement sécuritaires comparativement aux vaccins transgéniques !!!). La France s’apprête à dire non au remboursement de ces vaccins ? Mais que va faire l’opinion publique belge ? Continuer d’accepter ce gaspillage des deniers publics au détriment de la santé des enfants ou réagir, exiger des comptes ? Nous invitons pour notre part vraiment tous les parents d’enfants victimes à réagir, que ce soit en Belgique, en France ou ailleurs, portez plainte et pas uniquement contre les labos mais aussi contre les autorités complices et pleinement responsables de ces situations de mise en danger de la vie des enfants ainsi que les médecins ayant contribué à se faire les instruments d’une idéologie délétère… c’est une des seules façons de faire avancer ces dossiers urgents !

 

Voir aussi

 

Infections à rotavirus: le Haut Conseil de Santé Publique suspend ses recommandations de vaccination des nourrissons

 

Vaccins antirotavirus: Initiative Citoyenne écrit à la Ministre Maggie De Block et l'invite à se positionner sur la situation française

 

Les pédiatres français (et les lobbyistes derrière) poussent à la vaccination anti-rotavirus généralisée des enfants

 

Vaccin contre le rotavirus: la France l'inclut au calendrier malgré des risques importants

 

Vaccins contre le rotavirus: diarrhée de la duperie

 

Sous couvert de philanthropie, le vaccin anti-rotavirus bientôt obligatoire en Afrique

 

Un nourrisson de deux mois décède six jours après le vaccin contre le rotavirus

 

Affaire Cahuzac: encore un Ministre proche de Big Pharma et de ses vaccins (lien direct avec ces vaccins anti-rotavirus!!)

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