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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 12:01

Etude : de plus en plus de pédiatres acceptent de reporter les vaccins  

 

05/03/2015

 

 

Selon une étude américaine dont les conclusions étaient publiées le 2 mars dans la revue Pediatrics, les pédiatres seraient de plus en plus nombreux à accepter de retarder la vaccination des enfants à la demande des parents, dans le but de conserver leur clientèle

 

Explications.

 

93% des pédiatres disent avoir rencontré dans leur clientèle des parents leur demandant de reporter les vaccins de bébé à plus tard. C'est en tout cas ce qu'affirme une étude américaine menée sur 534 pédiatres et dont les conclusions étaient publiées le 2 mars par la revue Pediatrics. Selon les chercheurs, un tiers des pédiatres a admis accéder à la demande des parents, en dépit des risques pour l'enfant et ce pour garder leur clientèle. Relayé par Parenting le 4 mars, cette information peut remettre en cause certaines pratiques médicales.

 

Construire une relation à long terme avec les familles

 

Sur le panel de pédiatres interrogés dans le cadre de cette enquête, un tiers a affirmé accepter de retarder la vaccination de leurs jeunes patients à la demande des parents. Beaucoup d'entre eux ont expliqué être tiraillés entre le besoin de construire une relation à long terme avec les familles et le risque de causer de la douleur inutile à l'enfant en dispersant les vaccins sur plusieurs séances et en le mettant potentiellement face à un risque pour sa santé, explique le Dr. Allison Kempe, auteure de l'étude. 

 

La majorité des pédiatres comprennent pourtant les risques

 

Pourtant, 87% de pédiatres ont admis comprendre l'importance du planning de vaccination et s'accordent à dire que retarder les vaccins ou les échelonner sans raison peut conduire l'enfant à contracter des maladies. Mais, davantage inquiets de construire une relation de confiance avec les parents en répondant à leurs demandes, et de conserver ainsi leur clientèle, les pédiatres seraient tout de même de plus de plus nombreux à ne pas respecter les recommandations des organismes de santé.

 

Source : Magicmaman [NB : Attention au fait que la traduction du site Magicmaman est erronée car ce ne sont pas 93% des parents qui demandent de retarder les vaccins mais bien 93% des pédiatres de l’enquête parue dans Pediatrics qui disent avoir été confrontés à certains parents porteurs d’une telle demande. Une nuance importante qui méritait donc une correction sur notre site également.]

 

Soyons clairs : après les chiffres édifiants des parlementaires américains qui sont moins de 30% à avoir dit que leurs enfants étaient vaccinés (faites ce que je dis, pas ce que je fais…) ; après aussi les chiffres de l’enquête officielle de l’INPES en 2005 qui montraient que 58% des médecins se posent des questions sur l’utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité ( n’osant répondre ainsi que parce que l’enquête leur garantissait le confort de l’anonymat…), voici cette fois de nouveaux chiffres qui confirment que le baratin officiel sur les vaccins ne convainc rationnellement et scientifiquement parlant plus grand monde. La situation est donc bel et bien désespérée pour les officiels puisque selon cette récente étude, plus de 10% des parents qui font vacciner ne veulent déjà plus suivre le calendrier de vaccinations insensé qui leur est conseillé pour leurs enfants (avec tous les risques que l’on sait). 

 

Il est certain que l’inflation vaccinale et ses sinistres effets amènera tôt ou tard ce groupe de parents à pousser leurs recherches encore plus loin et à découvrir que différer dans le temps les vaccins ne résout pas tous les problèmes et laisse entière la question de l’insécurité intrinsèque des vaccins qui sont tous expérimentaux et dont le développement a toujours été bâclé, sans véritable science pour sous-tendre tout cela.

 

Une fois cette vérité sue et comprise, il n’y aura plus d’obstacles à des choix de santé cohérents et plus fructueux (tant pour l'individu que pour la collectivité). Souvenez-vous que les rares enquêtes et études indépendantes qui ont osé évaluer de façon réellement scientifique la vaccination en comparant sur plusieurs années la santé d’enfants vaccinés à celle d’enfants non vaccinés (0 vaccins) ont TOUTES montré que la santé des enfants non vaccinés était globalement bien meilleure avec beaucoup moins de maladies auto-immunes, allergiques, d’autisme, d’infections, de consommation d’antibiotiques, de troubles du sommeil etc etc. Voir par exemple iciiciiciici et ici

 

 

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 21:46

« C’est sûr que si j’avais lu ça avant la vaccination, on n’aurait pas fait le vaccin. Ça c’est clair et net ! » !

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Lauralie est un enfant qui est né à terme avec une microcéphalie. C’est un enfant qui avait un périmètre crânien inférieur à la moyenne. Jusqu’à 4 mois, on a trouvé qu’elle avait un développement que l’on trouvait relativement normal.

 

Suite à la vaccination, Lauralie a eu beaucoup de problèmes mais a perdu énormément d’acquis, intellectuels aussi.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

A l’âge de huit ans, Lauralie est toujours incapable de marcher, incapable de parler.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Elle est obligée de dépendre de quelqu’un pour faire le moindre geste, faire la moindre petite chose.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Quand Lauralie a réagi 45 minutes après le vaccin, tout de suite j’ai su que c’était relié au vaccin. Il n’y avait aucun doute dans ma tête.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Ça, c’est la monographie du vaccin. Ce sont les compagnies pharmaceutiques qui produisent  ce document-là et dans lequel on retrouve la description des produits. On parle aussi des précautions à prendre pour des enfants qui ont des problèmes neurologiques, soit confirmés soit sous- jacents. Ces enfants-là risquent potentiellement de développer des problèmes neurologiques beaucoup plus importants.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Il semble que les nourrissons et les enfants atteints d’affections neurologues sous- jacentes présumées ou confirmées – ce qui était le cas pour Lauralie – présentent un risque accru de manifestation de ces affections dans les 2 ou 3 jours après l’administration du vaccin avec agent anticoquelucheux à cellules entières. Donc, la décision d’administrer Pentacel à des enfants présentant des troubles neurologiques sous- jacents confirmés ou présumés doit être prise au cas par cas, en pesant les risques et les avantages.

 

Pourquoi ces informations-là ne se retrouvent-elles pas dans le protocole d’immunisation. C’est sûr que si j’avais lu ça avant la vaccination, on n’aurait pas fait le vaccin. Ça c’est clair et net!

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Source: Extrait du documentaire "Silence on vaccine" (entre 52'37'' et 54'34'' +/-)

 

Nous vous invitons également à lire le commentaire de Pascale Beaumont, maman de Lauralie, décédée à l'âge de 8 ans seulement donc (et dont les symptômes avaient commencé seulement 45 minutes après la vaccination...):

 

Pascale Beaumont 


9 février 2009 21 h 09

 

Silence, les autorités médicales ont parlé...

Je ne peux passer à côté des commentaires et du sempiternel discours de nos responsables de la santé publique qui, interventions après interventions, tiennent toujours le même propos concernant entre autres, la sécurité de la vaccination.


Les vaccins sont-ils aussi sécuritaires que nos dirigeants en santé publique le prétendent ? Est-ce vrai de prétendre qu’un individu sur un million développera une encéphalite à la suite de l'administration du vaccin RRO" tel que le mentionne Dr Ward ?


Pour que cet argumentaire soit valable, il faudrait que le pourcentage d'effets secondaires reporté soit statistiquement assez élevé pour permettre d'évaluer objectivement la sécurité des vaccins. Actuellement et selon Dr Marc Lebel de l'hôpital St-Justine, 98 % des effets secondaires ne sont pas reportés. Et ce, pour plusieurs raisons selon moi. D'abord, plusieurs personnes du milieu médical ne savent pas que les effets secondaires doivent être reportés via le Rapport d'incident associé temporellement à l'administration de vaccins. Certains ne se donnent pas la peine ou n'ont pas le temps de le remplir, sans oublier que pour d'autres, leur opinion personnelle pro vaccin prime sur leur responsabilité professionnelle à déclarer les cas d'effets secondaires. De plus, certains patients ne feront aucun lien entre leur état de santé et la vaccination, faute d'éducation et d'information.


De plus, contrairement à ce que mentionnait Dr De Wals dans le cadre d'une entrevue accordée à la journaliste Chantal Srivastava à l'émission Les années lumières du 01 février 2009, le programme de surveillance des effets secondaires des vaccins tel que le programme IMPACT ne fonctionne que théoriquement. Comment expliquer que notre fille ait passé une semaine à l'hôpital de Montréal pour enfants sans qu'aucune infirmière de ce programme vienne nous rencontrer ?


J'ai dû moi-même, non seulement trouver un médecin pour déclarer le cas de notre fille à la protection de la santé publique mais aussi, faire les démarches auprès de la compagnie pharmaceutique pour signaler le cas. Cette dernière devait faire suivre la déclaration à Santé Canada, ce qui n'a pas été fait puisque l'histoire de notre fille n'a jamais été retrouvée dans les statistiques de la Direction de la santé publique canadienne. Nous pouvons donc conclure que contrairement à ce que mentionnait Dr De Wals, les systèmes mis en place pour détecter les incidents et les accidents post-vaccinatoires, les enquêtes et les études qui doivent en découler ne fonctionnent tout simplement pas. Alors comment peut-on sonner l'alarme afin d'éviter ce drame à d'autres familles lorsque nos dires sont ridiculisés, méprisés et que personne du milieu médical n'ose prononcer le mot "choc post-vaccinatoire" sans craindre la foudre de l'hérésie ? 


Quoique très valable et rassurante pour les autorités médicales et gouvernementales, la pharmacovigilance ou les études post-commercialisation sont non seulement théoriques mais inefficaces puisqu'il sera toujours impossible d'avoir un portrait clair et précis des effets secondaires si seulement 2% des cas, à travers le monde, sont rapportés. 


Pour s'assurer que les vaccins soient sécuritaires, il faut aussi valider leur innocuité au niveau de leur toxicité pour l'humain. Malheureusement, il n'y a aucun médecin, spécialiste ou toxicologue qui peut certifier qu'il n'y a pas d'interaction entre les différents produits que l'on retrouve dans les vaccins et de plus, on ne connaît pas l'interaction directe ou croisée de ces produits avec les produits chimiques que l'on retrouve malheureusement de plus en plus dans le corps de nos enfants.


Et qu'en est-il du programme d'indemnisation mentionné par Dr Ward dans l'article de Pauline Gravel ? L'accès à ce programme exige au départ que le patient soit représenté par un médecin, critère éliminant d'emblée bien des requêtes puisque le patient doit trouver non seulement un médecin qui croit en son histoire, qui prendra connaissance de tout le dossier médical du patient mais qui aura aussi le courage d'aller se battre contre l'establishment médical. Le programme québécois d'indemnisation de victimes d'immunisation est fort louable mais pour qu'il soit juste et accessible, il faudra que le gouvernement revoie ses procédures et s'assure de la transparence et de l'honnêteté intellectuelle de tous les membres y siégeant, ce qui ne fut pas le cas dans notre dossier.


Compétence scientifique douteuse...grâce au support de protagonistes du milieu médical, Pauline Gravel réussit à démolir le travail et la réputation de 3 médecins se retrouvant dans le documentaire de Lina B Moreco, soient les Dr Wakefield et les Geier. Une simple recherche aurait permis à Mme Gravel de constater que certains questionnements existent aussi au sujet du Dr Fombonne qu'elle utilise à grande pelletée comme référence scientifique et médicale dans son article.


http://www.ledevoir.com/2007/05/04/commentaires/07

Et puis Dr Wakefield est-il le seul farfelu à avoir trouvé des virus de la rougeole, voire des bouts d'ARN du virus, dans les biopsies intestinales et le sang de huit enfants autistes tel que l'affirme Dr Fombonne ?


Allez donc fouiller un peu ici et là ... 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12849883
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12145534

Et puis selon l'article de Mme Gravel, le thimérosal, présent dans quelques vaccins qui se transforme dans le corps en éthylmercure n'est plus toxique? Allez donc fouiller un peu ici et là ...


http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15184908
http://toxsci.oxfordjournals.org/cgi/content/abstr
http://toxsci.oxfordjournals.org/cgi/content/abstr

Difficile de trouver ce qu'on ne cherche pas....


Si la Direction de la santé publique a à cœur la santé de sa population, de ses vieillards et de ses enfants, je crois sincèrement qu'elle devra ouvrir la porte à la discussion avec les médecins et les victimes d'effets secondaires, revoir le programme d'indemnisation qui manifestement ne répond pas à sa mission et se permettre de se questionner et de se repositionner par rapport à son programme d'immunisation universel. 


Et non, la cinéaste Lina B Moreco ne vient pas de saper la confiance en la vaccination, au contraire. Elle vient de toucher à un sujet des plus tabous que tentent ridiculement de faire taire les dirigeants de la santé publique en propageant d'absurdes discours, basés sur la peur, la culpabilité et le mépris de l'intelligence de la population. Ils seront les seuls à blâmer si la population, épuisée par tant d'incohérences et de mépris, perd toute confiance en eux, en leur intégrité et en leur transparence. 


Pascale Beaumont, mère de Lauralie Beaumont victime d'un choc post-vaccinatoire et décédée à l'âge 8 ans.

 

 

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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 19:21

Google nous classera selon les critères de la pensée unique

 

Google fait confiance au savoir: les sites internet pourraient être classés en fonction des faits et non plus des liens

 

Arnaud Lefebvre, 2 mars 2015

 

 

Internet est pollué : les sites anti-vaccination figurent en premier lieu des résultats de Google et les nouvelles peu fiables se répandent comme une trainée de poudre, explique NewScientist. Mais Google a trouvé une manière d’arranger cela : les sites internet pourraient être référencés en fonction de la véracité de leur contenu.

 

Actuellement, Google utilise les liens entrants d’une page internet comme un indicateur de la qualité de celle-ci. Ce système est la base du fonctionnement du moteur de recherche tel que nous le connaissons aujourd’hui. Cependant, l’inconvénient est que des sites internet où pullule la  désinformation peuvent monter dans le classement de Google si un nombre suffisant de personnes redirigent les utilisateurs vers eux.

 

Mais une équipe de Google est en train d’adapter ce modèle afin de mesurer la popularité d’une page internet en fonction de sa crédibilité et non de sa réputation sur la Toile. Au lieu de recenser le nombre de liens entrants, le nouveau système, qui n’est pas encore totalement prêt, comptabilise la quantité de données informatives erronées. « Une source qui a peu de faits erronés est considérée comme digne de confiance », a expliqué l’équipe qui précise que le score de chaque page est un score de confiance fondé sur le savoir.

 

Le logiciel fonctionne sur base des informations du Knowledge Vault, une immense base de données que Google a créée à partir de l’Internet. Avec cet outil, les faits acceptés unanimement sur Internet sont considérés comme une approximation raisonnable de la vérité et les pages web qui contiennent des informations contradictoires sont classés en bas des résultats.

 

Il existe déjà bon nombre d’applications qui aident les utilisateurs d’Internet à vérifier les faits sur Internet. LazyTruth est une extension de navigateur qui permet de démasquer les faux mails et les hoax (canulars) qui circulent sur Internet. Emergent, un projet du Tow Center for Digital Journalism de L’université de Columbia, collecte les rumeurs issues de certains sites puis vérifie leur véracité ou les réfutent et les renvoie à d’autres sources.

 

Matt Stempeck, le développeur de Lazytruth estime que trouver une réponse exacte sur Google pourrait aider à venir à bout de la désinformation du public.

 

(Ndlr : Bien voyons…  Qui va décider de l' »exactitude » de la réponse ?   En gros, l’alternatif va se retrouver au fond du panier. Vaccination, chemtrail, découvertes scientifiques non labellisées et pourquoi pas, informations politiques bref, tout ce qui sera pas jugé comme information fiable disparaitra en fin de classement. Google va ressembler à une sorte de  wikipédia du lien, politiquement correct et bien propre sur lui. Vive la démocratie. Prenez l’habitude de naviguer avec duckduck !)

 

https://duckduckgo.com/

 

Sources : Express.be & presse-citron.net

 

Commentaire d'Initiative Citoyenne: les sites qui lèvent le voile sur la mafia des vaccins gênent terriblement les officiels car ceux-ci sont tout simplement incapables de répondre aux objections et leur ignorance étant beaucoup trop embarrassante, ils en restent toujours à des affirmations gratuites et autres arguments d’autorité dans le style « les vaccins sont sûrs », « les vaccins sont l’intervention de la médecine qui a sauvé le plus de vies » etc etc. Des sites comme le nôtre gênent prodigieusement l’establishment car compte tenu des preuves accablantes que nous mettons à disposition du public, il y a évidemment fort peu de chances pour que des personnes qui ont un peu de bon sens et qui viennent lire sur notre site soient ensuite aisément manipulables par le baratin officiel en faveur des vaccins…Alors voilà, la « solution » qu’ont trouvée les officiels ? Un « petit coup de pouce » de plus pour que les gens pourtant désireux de savoir et dans une posture de recherche ne tombent plus sur les sites trop sérieux car trop dérangeants, c’est aussi simple que ça ! Les officiels sont coutumiers de ce type de rétorsion, souvenez-vous le NON à plus de 55% des Français au référendum sur le Traité de Lisbonne… Sarkozy n’en a tenu aucun compte et a fait passer ça par un parlement aux bottes qui a ainsi trahi le souhait du peuple. Maintenant, une autre des ficelles en vogue, c’est de tenter de faire croire que l’anticonformisme et le franc-parler seraient pathologiques sans parler du business des médicaments psychotropes donnés à tout va. Voilà le sinistre monde qui se prépare pour les générations futures, celui d’un monde où il s’agira de les abrutir de plus en plus, de penser à leur place, pour les amener à toujours plus consommer idiot.
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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 09:55

Un nourrisson décède après avoir reçu 8 vaccins

La famille a reçu ses cendres de l’hôpital après la crémation

 

Par Augustina Ursino, 26 février 2015 – Vactruth

 

Les parents sont désemparés après avoir perdu leur bébé après qu’il ait été vacciné. Il est mort dans son sommeil et a été conduit à l’hôpital alors qu’il était déjà mort. Le personnel hospitalier a établi que son décès était dû au Syndrome de Mort Subite du Nourrisson (MSN). On a expliqué aux parents qu’une autopsie était nécessaire.

 

Après être rentrés chez eux, les parents ont attendu des nouvelles de l’hôpital, mais n’ont jamais rien reçu. Ils ont téléphoné de nombreuses fois pour pouvoir obtenir des réponses. Les semaines ont passé. Finalement ils ont reçu une information verbale qui leur précisait qu’en raison de l’état où se trouvait le bébé, il serait préférable qu’ils ne voient pas leur petit avant que ce dernier soit incinéré. Une fois l’incinération terminée, ils pourraient venir chercher les cendres de l’enfant au crématorium. Les parents n’ont malheureusement pas eu l’occasion de dire au revoir à leur petit garçon.

 

Plus d’un an et quatre mois ont passé et la famille n’a toujours pas reçu le rapport d’autopsie. Il s’avère qu’on aurait administré à l’enfant un vaccin qui n’était pas approuvé pour son âge, ainsi qu’une dose supplémentaire du vaccin contre l’hépatite B qu’il aurait dû recevoir plus tard.

 

Cette histoire poignante nous rappelle que les vaccins peuvent entraîner la mort. Les parents doivent absolument conserver leur droit de choisir les interventions médicales qu’ils jugent sans danger pour leur enfant. Après tout, ce sont eux qui doivent vivre avec les conséquences de leur choix.

 

Crystal Downing veut partager avec nous ce qui est arrivé à son petit garçon Matthew, avec l’espoir de pouvoir rappeler aux parents de s’informer sur les vaccins avant de présenter leur enfant au médecin pour le faire vacciner comme il est recommandé.

 

Un petit garçon disparu à jamais

 

« Notre cher petit Matthew Gage Downing-¨Powers est né en parfaite santé le 26 avril 2013. A l’hôpital, on lui a administré le vaccin anti-hépatite B directement après la naissance. C’est ce qui se pratique ici aux Etats-Unis et ce que le CDC recommande dans le programme actuel des vaccinations. On a estimé que ses réactions aux vaccins avaient été normales, et comme j’ai d’autres enfants qui ont reçu tous leurs vaccins, j’étais consciente de ce à quoi il fallait m’attendre.

 

J’ai emmené Matthew pour sa visite médicale de deux mois le 2 juillet 2013. Au cours de cette visite médicale, on lui a administré 8 vaccins – DTCa (3 en 1), Polio, Hib, Hep.B, vaccin antipneumoccoccique et le vaccin oral contre le Rotavirus. J’ai tardé à la conduire à sa visite médicale de 4 mois. Je l’y ai conduit dès que j’en ai eu le temps.

 

C’est le lundi 7 octobre 2013, alors que Matthew n’avait que 5 mois et demi que je l’ai conduit pour sa visite médicale qu’il aurait dû passer à 4 mois. Le médecin a précisé que l’on pourrait rattraper le retard avec les vaccins. J’ai pensé que c’était O.K.et j’ai donné mon accord. Matthew a donc reçu 8 vaccins : DTCa, Polio,Hib, vaccin contre le pneumocoque, l’Hépatite B et l’Hépatite A. Ce furent les derniers vaccins qu’il ait reçus.

 

Après les vaccins, il n’a pas fait de fièvre ou alors très peu. Nous ne lui avons pas administré de Tylénol. Il était juste grincheux et il pleurait. Nous sommes venus vérifier toutes les heures. Sa température était normale, mais ce n’était plus le petit garçon tout heureux et riant que nous avions connu. Il est un fait qu’après leurs vaccinations, tous mes enfants ont été grincheux.

 

Je n’ai pas appelé le médecin le mardi parce que je me disais qu’il s’agissait d’un comportement typique et normal après avoir reçu des vaccins. Matthew était mon quatrième fils. Nous avions fait vacciner les 3 autres et savions en quelque sorte à quoi nous attendre.

 

J’ai pensé que nous pourrions attendre le lendemain pour voir s’il se montrait toujours grincheux, mais nous n’avons pas pu atteindre le lendemain : Matthiew était déjà « parti » ! On l’a retrouvé sans vie. On l’avait mis au lit le mardi soir et mon mari l’a retrouvé mercredi matin.

 

Avec mon mari Zack, nous avons essayé les techniques de réanimation, mon père et ma belle-mère se sont aussi joints à nos efforts pour le réanimer. Du mucus rose-brun sortait de son nez et de sa bouche. Je ne pouvais pas croire qu’il était déjà mort. Personne ne voulait renoncer aux efforts que nous faisions pour le réanimer.

 

Mon mari a appelé le 911, mais ils n’arrivaient pas. J’ai donc conduit moi-même mon bébé à l’hôpital qui n’était pas loin de chez nous. A l’hôpital « Colorado River Medical Center » à Needles, on a également pratiqué la réanimation, mais il était trop tard. On nous a dit que Matthew était décédé de la Mort Subite du Nourrisson. Ils ont dit que le petit était déjà mort depuis des heures. Ils ont précisé qu’il avait dû mourir entre 11 heures quand on l’a mis au lit et 7 heures le lendemain matin quand on l’a retrouvé.

 

J’ai été bouleversée de chagrin depuis que nous avons perdu notre bébé. Ce fut le jour le plus terrible de ma vie. Bien que je voyais l’état de mon petit, je continuais à croire qu’il allait nous revenir.

 

Le personnel de l’hôpital me fit comprendre qu’une enquête devait avoir lieu et que la loi californienne exigeait qu’une autopsie soit pratiquée chaque fois qu’un enfant décède.

 

Matthew fut transféré de l’hôpital vers le Centre du médecin légiste à San Bernardino, CA. Nous avons finalement choisi que Matthew soit incinéré au centre funéraire de San Bernardino.

 

Après avoir quitté Matthew à l’hôpital, on nous a dit de rentrer chez nous et d’attendre des nouvelles une fois que l’autopsie aurait été effectuée. Nous avions prévu de le revoir à la maison funéraire. On me précisa que je serais informée quand l’autopsie serait terminée et que je pourrais revoir Matthew avant qu’il ne soit incinéré.

 

Je n’ai malheureusement pas noté les noms des membres du personnel auxquels mon fils avait été confié. Je n’y ai pas pensé, mais j’aurais dû. Personne n’a pris contact avec moi pour m’informer de ce qui se passait. J’ai appelé de nombreuses fois et ai continué à recevoir des réponses évasives. Absolument personne ne voulait me donner de réponses.

 

Des semaines se sont écoulées avant que je ne reçoive le premier appel. On m’informa alors que Matthew n’était pas dans un état qui me permettrait de garder un bon souvenir de lui. Je me sentais impuissante  et finalement convaincue qu’il me fallait signer le document autorisant l’incinération. Avant cela, la maison funéraire m’avait confirmé que les restes étaient bien ceux de Matthew. Ils m’ont demandé le type d’urne que je voulais choisir. J’ai aussi décidé d’envoyer une photo pour être certaine. Les cendres de Matthew ne nous sont parvenues à la maison à Needles que le 20 novembre 2013. Un mois et demi après son décès.

Un nourrisson décède après avoir reçu 8 vaccins

Je ne pense pas qu’ils l’aient incinéré avant de m’en parler, mais quelque chose en moi me dit qu’ils l’ont fait pour camoufler les causes de son décès. Je ne saurai jamais, mais mon instinct me dit que l’on m’a caché des choses. Je pense que le centre funéraire a fait du bon travail. Ils ont été très patients avec moi. Ils ont pu comprendre pourquoi j’avais si souvent téléphoné pour qu’on me dise ce qu’il était advenu du corps de mon petit. Je ne savais même pas où se trouvait le corps de mon fils. Je ne savais pas ce qui se passait au Centre du médecin légiste. Je n’étais informée de rien et pour être honnête, j’ai commencé à péter les plombs. Je voulais savoir ce qui se passait avec mon bébé.

 

Le médecin légiste a été informé des vaccins que Matthew venait de recevoir. J’avais même demandé au médecin légiste s’il était possible que les vaccins aient tué mon enfant. Le médecin légiste m’a menti en pleine figure, ainsi qu’au téléphone, me disant que non, ce n’étaient pas les vaccins qui avaient tué Matthew.

 

On ne m’a contacté qu’une seule fois pour me dire le nombre de personnes qui avaient essayé de le réanimer. Ce fut la dernière fois que j’entendis parler d’eux.

 

J’ai ensuite recontacté le médecin légiste après que nous ayons reçu le certificat de décès qui précisait que l’enquête était encore en cours. J’ai aussi demandé si le rapport d’autopsie était achevé ; Ils m’ont répondu que non. J’ai à nouveau rappelé. C’est alors qu’ils m’ont dit qu’ils ne pouvaient pas me donner d’autres informations et que je devais contacter directement le médecin légiste à Needles. C’est ce que je n’ai pas manqué de faire, mais sans pouvoir obtenir de réponse, rien !

 

Le médecin légiste a déclaré que ce n’était pas sa faute et que pareilles choses arrivaient parfois. Je n’ai pas pu croire ce qu’il me disait.

 

Il m’a fallu beaucoup de temps pour accepter de raconter et partager mon histoire, parce que c’était trop douloureux. J’ai décidé finalement de parler  parce que je ne voulais pas que Matthew soit mort en vain, et parce que les fabricants de vaccins ne font pas le mieux qu’ils peuvent pour rendre les vaccins plus sûrs avant de les fourguer à des parents sans méfiance et à des bébés innocents qu’ils considèrent comme des êtres rentables.

 

Pourquoi les enfants doivent-ils recevoir tant de vaccins à la fois ? A-t-il été démontré qu’il était sans danger d’administrer tous les vaccins qu’on administre aux enfants  presqu’à chaque visite médicale ? Selon tout ce que j’ai appris, la réponse est clairement NON.

 

Plus tard, j’ai appris que deux des vaccins qui lui furent administrés au cours de la dernière visite médicale n’auraient pas dû lui être administrés. On ne doit pas administrer le vaccin contre l’hépatite A avant au moins un an et Matthew l’a reçu à 5 mois ½. J’ai aussi appris que la troisième dose du vaccin contre l’hépatite B lui avait été administrée beaucoup trop tôt. Matthew n’aurait dû recevoir ce vaccin qu’au cours de la visite médicale suivante, soit à 6 mois.

 

C’est après les funérailles que j’ai appris qu’on lui avait administré beaucoup trop tôt le vaccin contre l’hépatite A. Quand j’ai appris cela, j’ai failli mourir. J’ai commencé à me blâmer et je continue à le faire parce que je n’ai jamais pris le temps de me renseigner au sujet du vaccin qui devait être administré, à quel mois, en combien de doses etc.

 

Je me suis sentie si mal  parce que je n’avais fait aucune recherche avant le décès de Matthew. J’étais folle, et tout cela est en quelque sorte de ma faute. Je me suis sentie coupable parce que j’avais été en retard par rapport au programme officiel des vaccinations. Je pensais que j’aurais dû suivre le programme établi par le CDC. Qui sait, on n’aurait peut-être pas administré les vaccins qu’il ne fallait pas... Mais maintenant, il n’est plus là. […]

 

Il y a plus d’un an et quatre mois que Matthew est mort, le 9 octobre 2013, et je n’ai toujours pas reçu le rapport d’autopsie dont j’avais demandé copie.

 

Il y a peu, je me suis rendue chez le médecin et j’ai appris que l’infirmière qui avait administré le vaccin à Matthew ne travaillait plus là. On m’a dit qu’elle avait été licenciée parce qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait en administrant ces vaccins.

 

S’il s’avérait que le décès de Matthew était dû à leur ignorance, je ne manquerais pas de les poursuivre tous. Mon petit n’aurait pas dû mourir parce que vous étiez trop paresseux pour enseigner à l’infirmière comment administrer correctement des vaccins. Ces gens-là ne se sont même pas excusés. Je suis plus que furieuse par rapport à cela. Je ne peux plus attendre pour obtenir des réponses.

 

On m’a dit que mon bébé est le seul enfant qui soit décédé depuis que cette infirmière a commencé à travailler. Qui peut dire si c’est vrai ? Il se pourrait qu’il y ait eu plus de décès que ce qu’ils veulent bien admettre.

 

Ce que je veux dire aux autres parents c’est ceci : ils disent que les vaccins sont sans danger, mais en réalité ce n’est pas vrai.

 

Posez des questions pour savoir quels vaccins ils veulent administrer à votre enfant. Renseignez-vous sur tous les risques qui sont associés aux vaccins qu’ils veulent administrer à vos enfants. Et rappelez-vous surtout bien d’une chose : c’est votre choix. C’est votre enfant. Et quoi que vous fassiez, ne permettez pas qu’ils mélangent plusieurs vaccins dans une seule seringue ou qu’ils administrent plusieurs vaccins à la fois. Si vous pensez que cela ne peut faire aucun mal, veuillez s’il vous plaît repenser au petit garçon que j’ai perdu. Matthew a reçu les vaccins DTCa, le vaccin polio, le Hib, l’hépatite B et l’hépatite A en 3 injections, une injection dans son bras droit et deux dans sa jambe gauche.

 

Maintenant je suis enceinte de mon 5ème enfant. Je me dois de rester forte. Je dois tout faire pour être le moins stressée possible pour toute la famille et pour l’enfant à naître. J’ai 3 garçons, un mari et bientôt un nouveau chéri. Tous comptent sur moi pour maintenir la famille unie.

 

En toute honnêteté cependant, je me sens tellement débordée et perdue parce que Matthew me manque tellement, et aussi parce que la plupart des gens sont si peu conscients du nombre de nourrissons qui perdent la vie à cause des vaccins. Je suis plus que furieuse de ce qui est arrivé à mon bébé. J’ai peur aussi que cela ne puisse arriver à mes autres enfants. J’ai terriblement peur de me voir forcée de faire vacciner le bébé que je porte.

 

Un projet de loi vient d’être déposé par nos politiciens de l’état de Californie, et qui viserait à enlever aux parents le droit d’exempter leurs enfants de vaccins en raison de leurs croyances personnelles. Si cette loi devait passer, elle enlèverait purement et simplement mes droits parentaux de pouvoir choisir de vacciner ou non mes enfants dans le futur. Ils devraient au minimum créer une loi pour les parents qui ont déjà perdu un enfant ! Cette seule raison devrait pouvoir suffire.

 

Cela ne suffit-il pas que Matthew nous ait été enlevé ? Ces personnes devraient respecter son cas, mais au lieu de cela, ils nient son existence en passant des propositions de loi qui sont autant de gifles aux parents qui ont perdu un enfant, ou dont l’enfant est resté handicapé à la suite des vaccins.

 

S’ils faisaient des vaccins plus sûrs, il se pourrait que plus de personnes les réclameraient.

 

On a injecté 8 vaccins à mon fils. Si de votre côté vous ne savez pas ce que ces vaccins contiennent, il faut absolument que vous vous renseigniez !

 

Quand j’ai commencé à me renseigner, j’ai été choquée et en colère contre moi pour ne pas m’être renseignée auparavant.

 

C’est Matthew qui m’a forcé à ouvrir les yeux, pour que je puisse me rendre compte de ce que les vaccins pouvaient faire à un bébé ou à n’importe qui. Je ne suis pas la seule à croire que les vaccins ne sont pas ce que l’on prétend qu’ils sont. J’espère vraiment que tout ceci pourra ouvrir les yeux de parents qui veulent vacciner leurs enfants.

 

Mon fils aîné vit des moments difficiles. Mon deuxième fils me dit qu’il a vraiment peur des vaccins et mon troisième fils de 3 ans sait tout juste que son petit frère n’est plus là… Quant à mon mari, il garde tout pour lui et c’est difficile de savoir ce qu’il ressent.

 

A ce jour, je n’ai toujours pas reçu le rapport d’autopsie. L’enquête serait toujours en cours. J’ai rédigé un rapport  pour le Système VAERS – système de vaccinovigilance américain – J’ai appris que cet organisme officiel ne suivait pas toujours les rapports que leur fournissent les parents, ce qui évidemment empêche que telle ou telle réaction soit enregistrée. Avant que je ne reçoive le rapport d’autopsie, il m’est difficile d’introduire une plainte en dédommagement auprès du « National Vaccine Injury Compensation Program –NVICP. Je pense qu’ils nous font traîner en longueur parce que le délai pour pouvoir déposer plainte après la perte d’un enfant due aux vaccins est de deux ans. Dans notre cas, il va bientôt y avoir un an et demi. Nous ne voulons pas abandonner. Nous savons que notre fils devrait toujours être là.

 

Son carnet de vaccinations ne ment pas ! On ne devrait pas camoufler les réactions que les enfants présentent à la suite des vaccins. On ne devrait pas non plus faire perdre du temps ou dissuader les parents en postposant les recours.

 

Depuis que je me suis davantage penchée sur la question,  je me suis rendue compte combien il est courant que des bébés décèdent après s’être fait vacciner. Je veux vraiment que tout le monde sache que cela peut arriver. J’espère aussi que les mamans oseront poser les bonnes questions avant qu’elles ne permettent que l’on vaccine leurs enfants. Combien de mamans ont ainsi contribué au malheur de leur enfant en ne réagissant pas  ou même en contribuant par leur attitude à enfoncer leurs propres enfants.

 

Pour le décès de Matthew, nous avons dû payer un prix très élevé au nom d’une prévention de maladies  que mon enfant aurait pu faire sans graves problèmes.

 

Je n’ai pas cru les personnes qui m’avaient dit que pareille chose pouvait arriver, alors qu’en fait Matthew y a laissé sa vie. Maintenant, il faut que je vive avec cela pour le restant de mes jours, tout en sachant que j’aurais dû poser des questions et effectuer mes propres recherches avant d’accepter aveuglément que ces gens  injectent ces vaccins à tous mes enfants. Jusqu’à présent, je n’avais aucune raison de me méfier des médecins. Depuis que ce drame s’est produit avec Matthew, mes yeux se sont totalement ouverts.


Aujourd’hui, je n’ai plus peur de remettre en question tout ce qui pourrait toucher à la vie de mes enfants. En définitive, c’est bien aux parents qu’appartient la décision de vacciner ou non. Les parents doivent se renseigner sur les deux facettes de la questio. Ils doivent savoir le pour et le contre avant de pouvoir prendre une décision en connaissance de cause.

 

Mon père m’a dit que je n’avais jamais été malade avant d’aller à l’école et de devoir recevoir tous ces vaccins obligatoires. Quand il a eu pris conscience de la chose, mon père n’a plus jamais voulu nous faire vacciner. En outre, mon père m’avait averti plusieurs fois avant que tout ce drame se produise, mais je n’ai pas prêté attention à ses paroles. Si au moins j’avais pu l’écouter!

 

J’ai laissé les médecins et les infirmières faire ce qu’ils jugeaient nécessaire. Je n’ai posé aucune question. Je pensais qu’ils m’auraient avertie s’il y avait des risques graves. Personne ne m’a dit quoi que ce soit. Je leur ai fait confiance en ce qui concerne la vie de mon enfant. J’aurais cependant aimé savoir si le décès pouvait, dans certains cas, être associé aux vaccinations. Pourquoi les médecins et les infirmières ne m’ont-ils pas dit tout cela ? J’aurais vraiment voulu faire des recherches et poser des questions au lieu de faire simplement confiance au système et aux médecins. Et maintenant parce que je n’ai rien fait de tout cela, mon petit n’est plus là. Il y a aussi tellement de parents qui sont comme moi. Certains n’osent pas s’affirmer parce qu’ils ont peur du qu’en dira-t-on. D’autres peuvent être très cruels et ne pas comprendre ce à travers quoi des parents comme moi ont dû passer.

 

Je veux que notre histoire soit diffusée le plus largement possible. Mon mari et moi remercions tous ceux qui pourront nous aider dans cette tâche. Malgré tout, nous devons être reconnaissants pour tous les moments heureux que nous avons passés avec notre petit ange. Nous espérons que notre histoire pourra faire comprendre à de nombreuses mamans que pareilles choses peuvent bel et bien arriver. Je veux aussi que l’on sache que nous ne voulons absolument pas dire aux parents de ne pas faire vacciner leurs enfants. Le seul message que je veux faire passer, c’est qu’il est impératif de faire ses propres recherches avant de vacciner. Vous devez choisir en connaissance de cause. Ce sera alors votre choix et non celui d’une autre personne parce que c’est vous qui aurez à assumer les conséquences de votre choix.

 

Je voudrais vous prier de ne pas manquer de respect vis à vis de parents qui, comme nous ont perdu leur enfant après des vaccins. Il ne s’agit pas non plus de manquer de respect aux parents  dont les enfants ont eu la santé endommagée par les vaccins. Il faut absolument que l’on respecte et préserve nos droits de choisir les interventions médicales. Il est absolument indécent que des politiciens achetés puissent penser qu’ils peuvent, eux, choisir ce qui doit être injecté dans le corps de votre enfant. Ces gens ne semblent pas du tout se soucier de la santé de votre enfant. Alors qu’Il est clair que beaucoup sont en train de mourir ou on la santé endommagée par les vaccins, ces gens se contentent de fermer les yeux. Cela devrait vous faire réfléchir.

 

Mon petit garçon me manque tellement ! Une grande partie de moi s’est envolée avec lui. Je ne puis pas permettre que cela se reproduise à nouveau. Je ne peux pas non plus faire courir pareils risques à mes autres enfants.

 

Matthew est mort et sa vie ne semble pas importer à ceux qui veulent  me dépouiller de mes droits d’exemption de vaccinations. Pourquoi tout ce qui est arrivé n’a-t-il pas d’importance ? Pourquoi les médias se focalisent-ils sur une maladie bénigne, et pourquoi parle-t-on de la rougeole dans toutes les nouvelles, alors que l’on ne dit pas un mot des bébés qui meurent après avoir reçu le vaccin ROR ou d’autres vaccins ? Pourquoi n’accorder aucune importance à ces enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins ?

 

Matthew nous t’aimons tellement et tu nous manque aussi cruellement. On pense à toi tous les jours. Tu seras toujours dans nos cœurs et nous ne cesserons jamais de t’aimer.

 

Ta maman,

Cristal Downing-Powers »

 

Conclusion

 

Aussi longtemps que les fabricants de vaccins éviteront de faire des études de causalité, tant que ces données n’existeront pas, les responsables de la Santé et la littérature revue par les pairs pourront affirmer qu’il n’existe pas de preuves que les vaccins peuvent provoquer la Mort Subite du Nourrisson -MSN –SIDS- et autres problèmes liés aux vaccins.

 

Comment un médecin légiste pourrait-il être sûr que tel ou tel vaccin a provoqué des dommages à la santé d’une personne, alors que plusieurs vaccins sont administrés en même temps. L’hyperstimulation du système immunitaire par la vaccination peut conduire à une issue fatale. Comme il a été démontré qu’il est difficile de préciser quel vaccin a contribué au décès d’un enfant après vaccination, l’administration de vaccins combinés ou de nombreux vaccins à la fois devrait être une véritable source de préoccupation.

 

Source: Vactruth

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 22:43

Enfin des médias qui osent faire des débats sans langue de bois...

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 15:04

Gardasil : l'impatience des familles face au silence judiciaire

 

En France, depuis fin 2013, 49 jeunes filles, qui estiment être victime de graves effets indésirables apparus à la suite de leur vaccination par le Gardasil, ont déposé plainte au pénal. Quinze mois plus tard, l’enquête préliminaire est toujours en cours et aucun juge d’instruction n’est nommé. Et les familles attendent.

 

En novembre 2013, la première plainte à l’encontre du vaccin Gardasil relançait le débat sur la vaccination contre le cancer du col de l’utérus. Dans les mois qui ont suivi, d’autres plaintes sont venues s’ajouter au dossier, avant que l’affaire ne soit transmise en décembre 2013 au pôle de Santé publique du Tribunal de Grande Instance de Paris. Mais aujourd’hui, plus d’un an après les premières plaintes, aucun Juge d’instruction n’a été saisi du dossier. L’enquête préliminaire, conduite par le Parquet, paraît s’éterniser. Une attente difficile pour les familles qui portent plainte. "Je n’ai aucune nouvelle et je ne sais pas si l’enquête avance, nous confie Laurène, l’une des jeunes filles défendue par Me Camille Kouchner. C’est long, très long ! J’attends qu’un Juge d’instruction soit nommé. Mais j’ai l’impression de ne pas être considérée. Est-ce que la plainte va aboutir ? Je ne sais pas, je ne suis au courant de rien, c’est ça le plus compliqué, c’est cette attente…" Aujourd’hui, âgée de 25 ans, la jeune femme souffre d’une maladie de Verneuil, une affection de la peau très handicapante, en raison des abcès qui apparaissent au niveau des plis du corps (aine, aisselles, pubis…). Une maladie qu’elle a déclarée en 2008, seulement trois semaines après l’injection du vaccin. Elle était alors une adolescente lambda sans souci de santé. Elle vit désormais au rythme des soins médicaux pour soigner ses boutons et abcès. "Plus question de me mettre en maillot et d’aller à la plage !". Alors aujourd’hui, elle voudrait comprendre. "Aucune étude à grande échelle n’est menée sur les effets indésirables à long terme du Gardasil et en particulier sur la maladie de Verneuil. Il y a aussi beaucoup d’incertitudes sur la composition du vaccin…  A force, je me pose même des questions sur l’indépendance de la Justice…"

 

Un avis partagé par la maman d’une autre jeune fille, Julie, dont l’histoire ressemble étrangement à celle de Laurène : vaccinée en 2008, l’adolescente commence à souffrir d’un abcès sous l’aisselle, seulement 15 jours après sa vaccination par le Gardasil. Deux mois après, le diagnostic tombe : maladie de Verneuil. Aujourd’hui, elle ne cache pas son exaspération. "On est lassées. On sait que le dossier n’est pas à la poubelle. Mais on attend une réponse de la justice et ça ne vient pas. On aimerait que nos filles soient traitées comme des êtres humains et qu’on s’intéresse à elles. C’est long et d’autant plus que le temps judiciaire n’est pas le même que le nôtre. On a l’impression que nos gamines sont oubliées, négligées… Elle évoque aussi les difficultés rencontrées face à des professionnels de santé, souvent peu compréhensifs. Vous savez, je ne suis pas du tout contre la vaccination, mais j’en ai assez d’être prise pour une hystérique… On a juste besoin d’une reconnaissance, de ne plus être montrées du doigt…"

 

Face à cette impatience, le Parquet de Paris est peu disert : "l’enquête est toujours en cours, plutôt en voie d’achèvement. Cela prend du temps parce qu’il faut analyser toutes les données médicales. C’est un travail minutieux..." Reste que pour une affaire de santé publique de cette nature, la peur que l’affaire soit étouffée, est compréhensible. Quinze mois sans réponse, c’est long.

 

Gardasil, un vaccin controversé. Depuis sa mise sur le marché en 2006, le Gardasil, essuie de violentes critiques. Il existe en effet un certain nombre de zones d’ombres autour de ce vaccin qui protège contre les papillomavirus, des virus sexuellement transmissibles (HPV 16 et 18) et potentiellement cancérigènes. En premier lieu, les preuves de son efficacité ne seraient pas suffisamment probantes au regard du manque de recul. C'est en tout cas, l'un des arguments pointés par un collectif de médecins signataires d'une pétition en mars 2013 pour réclamer une "mission parlementaire sur l'opportunité de la vaccination" contre ce cancer. Au total, plus de 700 médecins, connus pour leur indépendance vis-à-vis de l'industrie pharmaceutique, remettent ainsi en cause la vaccination contre le cancer de l'utérus, qui cause chaque année en France environ 1000  décès. Autre point de discussion, le Gardasil est un vaccin onéreux (123 euros l’injection) et remboursé à 65 %, donc source d'une dépense lourde pour l'Assurance maladie. En octobre 2012, la Cour des comptes évoquait dans un rapport un vaccin "inapproprié", avant de conclure que "la priorité devrait être donnée à l'organisation du dépistage par frottis". Ce test de dépistage permet de détecter les lésions précancéreuses et cancéreuses du col afin de les traiter le plus tôt possible afin d’éviter qu’elles n’évoluent en cancer. Grâce au frottis, la mortalité liée au cancer du col de l’utérus  a été réduite de moitié en l’espace de 20 ans. Un dépistage systématique et organisé pourrait même permettre d'atteindre "en quelques années une couverture de dépistage de 80 % des femmes et ainsi de réduire de plus de 20 % le nombre de décès", explique l’Institut national du cancer (Inca). Pourtant, malgré l’efficacité du frottis, les recommandations de la cour des comptes et les alertes répétées de scientifiques, les autorités de santé n’envisagent aucunement d’abandonner la stratégie vaccinale. Bien au contraire, dans un contexte où les jeunes filles françaises semblent bouder la vaccination (moins de 30 % sont vaccinées), l’objectif est de "doubler la couverture vaccinale d’ici cinq ans", dixit François Hollande à l’occasion du lancement du 3e plan cancer. De son côté, l’OMS préconise dorénavant de vacciner les jeunes filles, entre 9 ans et 13 ans, avant qu’elles ne soient "sexuellement actives". Une position qui rejoint celle du Haut Conseil de la santé publique, qui avait estimé en septembre dernier que le vaccin devait être proposé aux petites filles, en milieu scolaire.

 

Du côté de Merck, le laboratoire qui commercialise le Gardasil, on surfe sur ces divers soutiens. Une nouvelle version du vaccin, le Gardasil 9, vient d’être autorisée par l’Agence américaine du médicament (FDA). Selon une étude menée par le laboratoire Merck et publiée dans le New England of Medecine, le vaccin protégerait contre 9 souches de HPV et élargirait ainsi la protection contre le cancer de l’utérus de 70 % à 97 %, éliminant ainsi quasi totalement ce cancer chez les femmes vaccinées. Avec toujours un encouragement à faire vacciner les petites filles dès l’âge de 9 ans… mais aussi les jeunes garçons.

 

Source : Le Journal des femmes

 

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4 mars 2015 3 04 /03 /mars /2015 14:30

CERVARIX : ma vie redeviendra-t-elle jamais normale ?

 

Par Saskia, Devon, UK, 26 février 2015

 

Le vaccin Cervarix a complètement changé ma vie : je ne serais aujourd’hui jamais plus capable de gérer mes journées comme quand j’avais treize ans. Je ne parviens même plus à me rappeler comment je me sentais quand je jouissais encore d’une énergie normale. Avant de recevoir le vaccin HPV à 14 ans, j’étais très active et en parfaite santé. Comme  j’habitais à une certaine distance de l’école, mes journées étaient longues. Je quittais la maison à 7h30 du matin, rentrais à 5 heures et demi. Je me sentais toujours pleine d’énergie. Après l’école, j’adorais faire des promenades, nager, faire du cheval etc. La longueur des journées ne m’importait nullement. Je n’ai jamais senti d’épuisement qu’après avoir reçu le Cervarix.

 

J’ai directement perçu la différence d’énergie. Ca s’est produit immédiatement. Le jour où j’ai reçu ma première injection de Cervarix, soit le 28 septembre 2009, je suis rentrée à la maison en me sentant malade et tellement fatiguée que j’ai dû aller immédiatement au lit. Le lendemain à l’école, les choses ont été difficiles: je me sentais nauséeuse et j’avais tellement peu d’énergie qu’une fois de plus j’ai craqué et ai dû aller directement au lit. Cette situation s’est maintenue tous les jours de la semaine. Ma mère a pris contact avec les services de santé pour leur expliquer mon cas. Ils ont répondu que ça ne pouvait pas être un effet secondaire du vaccin et qu’en outre, il n’existait aucun moyen d’enregistrer ces effets secondaires.

 

Finalement, ma mère a pu contacter un centre qui a enregistré les nausées et la fatigue qui m’éprouvaient tant. Ces personnes ont aussi dit à ma mère qu’il ne s’agissait pas d’un effet connu du Cervarix, et ont précisé qu’il n’y avait aucune relation.

 

Les mêmes symptômes sont apparus après les deux autres injections du Cervarix (le 13 novembre 2009 et le 24 avril 2010) . Chaque fois la situation s’est empirée. Après la seconde vaccination, j’ai connu le même mal-être et le même épuisement, mais cette fois, cet état a duré 15 jours.

 

Après le troisième vaccin, j’ai réalisé que ma vie n’était vraiment plus « normale ». La fatigue m’accablait de plus en plus. A l’école, je me battais avec les faibles taux d’énergie qui me restaient. Je m’endormais pendant le repas de midi et parfois sur le chemin du retour à la maison. Je devais souvent filer au lit dès que je rentrais à la maison.

 

L’épuisement permanent me limitait énormément. J’ai dû arrêter la natation que je pratiquais à un niveau compétitif et que j’adorais. J’ai aussi dû refuser un championnat mondial au Kenya pour lequel j’avais commencé à récolter des fonds. J’ai vite réalisé que je n’aurais pas l’énergie de me déplacer chaque jour. Ma fatigue est parfois à ce point débilitante que je dois passer le plus clair de mon temps au lit. J’ai pris l’habitude de renoncer à beaucoup de choses à cause de mon état.

 

Peu de temps après la troisième injection, j’ai commencé à avoir mal à la poitrine. La première fois que la chose s’est produite, j’étais à l’école. J’ai subitement senti comme une pression, une sorte d’écrasement et de la douleur sur le côté gauche. Je me sentais faible et étourdi. J’étais tellement mal que je pouvais à peine parler.

 

On m’a dirigée vers un centre de santé où on a fait un électro-cardiogramme. Ils ont trouvé que j’avais un rythme cardiaque très rapide, légèrement anormal et accompagné de douleurs. J’ai ensuite été transférée par ambulance à l’hôpital de Torbay. Après que les douleurs se soient calmées, j’ai subi d’autres électrocardiogrammes qui se sont avérés normaux, puis ai pu être libérée.

 

Mais tout ceci n’était en fait que le début d’un parcours effrayant et difficile pour obtenir un diagnostic. Depuis ce moment-là, j’ai connu des douleurs thoraciques graves et débilitantes. Il a fallu des années et des doses énormes de patience pour finalement obtenir un diagnostic.

 

Le fait de me sentir malade et d’éprouver constamment des nausées ne m’a jamais quittée depuis le vaccin. Je passe la plupart du temps à me sentir mal à l’aise, à tel point qu’il m’est parfois impossible de manger. Malgré que j’aie essayé de nombreux médicaments anti-nauséeux, je ne suis pas encore parvenue à en trouver un qui fonctionne. J’ai aussi commencé à avoir des vertiges et des évanouissements en particulier au repos et même aussi à l’effort. Tout cela était vraiment désagréable et même effrayant. Il y a peu, mes évanouissements se sont aggravés. Ils se produisent maintenant presque tous les jours. C’est effrayant et dangereux, car, à plusieurs reprises, j’ai souffert de commotions cérébrales.

 

En plus de ces symptômes horribles et débilitants, en plus de la fatigue, des nausées, des douleurs thoraciques, des vertiges, des évanouissements et des problèmes gastro-intestinaux, j’ai dû poursuivre le combat pour obtenir un diagnostic et un soutien médical adéquat.

 

Depuis mes treize ans, je n’ai fait que passer de cabinets de médecins en cabinets de médecins et d’hôpital en hôpital. On m’a fait d’innombrables prises de sang, des électrocardiogrammes et des scans. Mes parents et moi avons dépensé une énergie folle et un temps incalculable pour pouvoir trouver de l’aide.

 

Bien que mes symptômes soient graves, ils ont initialement attribués à de l’anxiété, à des intolérances alimentaires, et plus tard comme on n’avait rien trouvé d’anormal au niveau cardiaque, le support médical est devenu quasi inexistant. On m’a même dit que tout était dans ma tête. Une fois que j’ai été consulter un médecin pour trouver quelque soulagement par rapport à ces vomissement fréquents, ce dernier m’a remis un ouvrage sur les « maladies psychosomatiques ». Je ne puis décrire la souffrance que j’ai alors éprouvée.

 

C’est seulement 4 ans après que mes symptômes aient commencé à se manifester que j’ai été mise sous moniteur cardiaque pendant une semaine. Cet appareil a relevé des pics graves dans mon rythme cardiaque. Il montrait que parfois mon rythme cardiaque s’accélérait de 70 battements par minute à 180 battements par minute. Ces « pointes » coïncidaient avec les douleurs thoraciques et avec les évanouissements. On me donna le diagnostic probable de syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP). Ce syndrome a ultérieurement été confirmé au cours d’un nouveau test par un spécialiste de l’hôpital Derrifird.

 

J’ai maintenant 19 ans, et en dépit de tous les médicaments que je dois prendre pour mes différents symptômes, je me sens gravement limitée par ma mauvaise santé. Comme je manque vraiment d’énergie, je suis obligée de manquer des cours, des supervisions, des événements sociaux parce que je suis trop fatiguée, trop faible ou trop mal en point.

 

Mon état m’a finalement forcée à prendre une décision terriblement difficile, celle d’abandonner ma deuxième année à l’Université de Cambridge parce qu’il m’était devenu impossible d’étudier. Jadis, je prenais tout mon plaisir dans des exercices, de longues promenades dans les landes, alors qu’aujourd’hui il m’arrive de m’évanouir après quelques marches d’escalier. Je dois régulièrement avoir recours à des taxis et le reste de mon temps, je suis contrainte de le passer au lit.

 

D’une adolescente normale, je suis devenue une handicapée. Et il semble que tout cela ait été déclenché par le vaccin.

 

Depuis que j’ai reçu les injections du Cervarix et que j’ai développé le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, j’ai oublié le nombre de fois où il m’a fallu me rendre à l’hôpital parce que j’éprouvais de graves douleurs thoraciques, parce que je m’évanouissais, parce que je me sentais malade.

 

En fait, j’ai oublié ce que peut représenter le fait de vivre une seule journée en bonne santé du fait que je ne suis jamais libre de symptômes.

 

Source: SaneVax

 

USA (VAERS)

Rapports d’effets secondaires  des vaccins contre le HPV

Mise à jour des chiffres au mois de Janvier 2015

 

VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance d’enregistrement des effets secondaires de vaccins aux Etats-Unis. 

 

Description

Total

Infirmes

1.284

Décès

220

N’ont pas récupéré

7.624

Frottis du col anormaux

595

Dysplasies du col de l’utérus

262

Cancers du col de l’utérus

100

Pronostic vital engagé

680

Visites aux urgences

12.304

Hospitalisations

3.945

Séjours hospitaliers prolongés

264

Effets secondaires graves

5.360

Effets secondaires

38.217

 

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 09:24

Moins de 30% des membres du Congrès américain admettent qu’ils font vacciner  LEURS PROPRES ENFANTS !!!

C’est ENORME !!!

 

Par Marcella, Vaxtruth, 07.02.2015

 

NBC « News » a divulgué hier les résultats de son propre sondage auprès des membres du Congrès des Etats-Unis.

 

NBC « News » a posé la question suivante aux leaders de notre pays : « Vos enfants sont-ils vaccinés ? »

 

Ci-dessous, les résultats du sondage :

Moins de 30% des membres du Congrès américain admettent avoir fait vacciner leurs enfants!

Sur 434 membres de la Chambre des Représentants, 121 ont répondu par l’affirmative, indiquant : « Oui, mes enfants sont vaccinés ».

 

Ce qui représente moins de 30%, soit 27,65% pour être exact.

 

Maintenant comment le NBC a-t-il rapporté ces résultats ?

 

Ils ont déclaré « C’est UNANIME »

 

Au Capitol Hill, le désaccord est la règle et non l’exception.

 

Mais quand il s’agit de la question des vaccins, il semble y avoir un niveau d’accord unanime. Un sondage de NBC « News » des 434 membres votants de la Chambre des Représentants montre que pas un seul membre n’a déclaré que ses enfants n’avaient PAS été vaccinés.

 

Mais, attendez ! Qu’en est-il ?

 

Comment le NBC peut-il dire que les résultats de son enquête indiquent: accord «unanime», alors que ses propres chiffres révèlent que moins de 30% des représentants ont déclaré que leurs enfants étaient vaccinés ?

 

Mais qu’est-ce que les résultats de l’enquête indiquent VRAIMENT ?

 

Un de mes amis assez futé a expliqué la chose :

 

1. Sont-ils vraiment d’accord ? Ils disent que tout le monde doit se faire vacciner, mais pas eux, vu que 280 d’entre eux ne semblent pas quoi savoir répondre au sujet des vaccinations.

 

2. Ceux qui ont dit ne pas vouloir répondre, pourrait être traduit par : le statut vaccinal de LEURS enfants « n’est pas votre affaire ».

 

3. Pas de réponse veut AUSSI dire que ces personnes refusent de parler du statut vaccinal de LEURS enfants.

 

4. NBC semble vouloir faire entendre qu’AUCUN membre du Congrès n’a un enfant non vacciné alors que 280 d’entre eux ont répondu…CE NE SONT PAS VOS AFFAIRES.

 

5. Pourquoi alors le public ou les parents devraient-ils, eux, répondre à cette question.

 

Voyez-vous ce que NBC a fait ici ? C’est UNANIME !!! disent-ils parce que 121 députés ont dit oui et que 280 n’ont pas voulu répondre… C’est UNANIME !!!

 

Okay, public Américain… Sommes-nous vraiment aussi stupides ?

 

NBC « News » semble bien le penser.

 

Faites leur savoir ce que vous pensez REELLEMENT.

 

Lien pour le « rapport » NBC

Moins de 30% des membres du Congrès américain admettent avoir fait vacciner leurs enfants!
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 17:55

Vaccin ROR (Rougeole – Oreillons - Rubéole) :

EFFETS SECONDAIRES

Effets secondaires du vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole)

Au journal du soir sur NBC, j’ai prêté l’oreille aux dernières nouvelles alarmistes. On ne parlait pratiquement que de l’épidémie de rougeole à Disneyland, jusqu’à ce que j’entende : … le vaccin n’a virtuellement aucun effet secondaire. »

 

J’ai rassemblé tous mes esprits.

 

Pratiquement pas d’effets secondaires ?

 

Eh bien, la toute première chose que je vous recommande est de lire la notice du vaccin fournie par le fabricant

 

Veuillez lire la  partie intitulée PRECAUTIONS qui commence à la page 5, ainsi que LES EFFETS SECONDAIRES à la page 6 et continue jusqu’à la page 8.

 

Quand vous aurez parcouru la notice, veuillez également jeter un coup d’œil sur le programme d’indemnisation des dommages vaccinaux.

 

Ensuite, vous pourrez lire l’article traitant du cas d’Hannah Poling qui est devenue autiste après avoir reçu une série de vaccins dont le ROR.

 

Vous devez aussi savoir qu’en dépit de ce que peuvent dire les grands médias – qui sont financés par les publicités de l’industrie pharmaceutique – il y a eu plusieurs cas d’enfants dont l’autisme a été reconnu par le gouvernement des Etats-Unis et dont les familles ont été dédommagées pour une somme, qui pour tous les cas, s’élève à environ 3 milliards de dollars- et cela avec votre argent de contribuable.

 

Dans la suite, veuillez aussi jeter un coup d’œil à cet article qui contient des douzaines de liens au sujet d’une littérature médicale revue par les pairs et qui illustre les dommages causés par le vaccin ROR – et devinez quoi ? Il n’y a pas juste que « l’autisme »….

 

« Virtuellement aucun effet secondaire » ?? Mais…dans quelle galaxie ?

 

Source : Vaxtruth

 

LA VÉRITÉ

 

"La vérité doit être sans cesse répétée parce que l'idée fausse est aussi constamment répandue, et pas par quelques-uns, mais au contraire par la multitude. Dans la presse et les encyclopédies, dans les écoles et les universités, partout l'idée fausse exerce son emprise, contente et à l’aise de savoir qu'elle a la majorité de son côté."  - Johann Wolfgang von Goethe

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1 mars 2015 7 01 /03 /mars /2015 15:56

Dr Tony Bark M.D.

 

« S’il vous plaît, ne supprimez pas les exemptions vaccinales. Des enfants meurent à la suite de vaccins! »

 

Lettre envoyée au Sénateur d’Oregon M. Ferrioli

Dr Toni Bark, MD: "Des enfants meurent suite aux vaccins...il faut garder la possibilité d'exemptions"

23 février 2015

 

J’ai reçu une formation de stagiaire en pédiatrie à l’Université de Bellevue à New York, puis en médecine de revalidation. On m’a très vite offert la direction de la salle des urgences pédiatriques de l’hôpital Michael Reese à Chicago.

 

Alors qu’autrefois, j’étais chaque fois furieuse quand des parents se présentaient à l’hôpital et que leurs enfants n’étaient pas en ordre de vaccinations, aujourd’hui, mon attitude a changé et radicalement changé.

 

J’ai commencé à voir ce qui se cachait derrière toute cette politique. On voyait régulièrement des enfants qui étaient passés par la clinique où on les vaccinait, accourir aux urgences avec des convulsions, des crises d’asthme, des arrêts respiratoires. J’ai alors commencé à réaliser que tous les enfants ne répondent pas nécessairement bien à la vaccination, et même que certains en meurent.

 

Ce n’est que quand j’ai eu terminé mon programme de maîtrise en gestion des catastrophes que j’avais commencé en 2010 et terminé en 2012, que j’ai commencé à percevoir la nature frauduleuse dont les vaccins sont commercialisés, comme la corruption des comités consultatifs.

 

Je n’étais même pas au courant qu’il existait un tribunal fédéral spécial pour le problème des vaccins. Je n’avais pas la moindre idée qu’il existait des victimes des vaccins et encore moins que certains pouvaient en mourir tout en ne pouvant avoir aucun recours contre le fabricant ou le médecin.

 

Les fabricants de vaccins jouissent d’une immunité totale par rapport aux poursuites judiciaires de toute nature, y compris les vices de fabrication (comme signalé par Scalia en février 2011). Les vaccins sont légalement répertoriés comme « inévitablement dangereux ».

 

L’existence du tribunal des vaccins relève presque d’un secret, bien qu’il ait fait verser 3 milliards de dollars de dédommagement depuis sa création en 1986. Le système qui concerne les rapports d’événements indésirables liés aux vaccins n’est lui non plus pas très bien connu du public, et le gouvernement admet qu’il n’est probablement informé que de 10 pour cent des événements indésirables qui se produisent.

 

Nous rendons obligatoires plus de vaccins que dans n’importe quel autre pays, et nous avons également le pire taux de mortalité infantile de presque tous les pays du monde, y compris certains pays du tiers monde.

 

J’ai 55 ans. Je n’ai donc reçu que quelques vaccins. Aujourd’hui, à l’âge d’un an, les nourrissons reçoivent 14 vaccins différents, et, à l’âge de 18 ans, le nombre de vaccins atteint le chiffre de 58 ! Dans certains états, avec l’obligation du vaccin contre la grippe, ce chiffre est encore plus élevé.

 

Un mot sur l’obligation du vaccin contre la grippe. Le New Jersey et le Connecticut ont été les premiers à rendre, chaque année, le vaccin contre la grippe obligatoire pour tous les enfants d’âge préscolaire et d’âge scolaire. Cela n’a cependant réduit en rien les cas de grippe dans ces états. En fait, les deux états se trouvent, chaque année, en tête de liste pour les cas de grippe.

 

Alors que la plupart des gens s’en tirent très bien avec la vaccination, ce n’est pas le cas pour un petit pourcentage de la population. Les notices des vaccins signalent l’encéphalite et les paralysies du Guillain Barré comme effets possibles des vaccins.

 

La plupart des parents et des médecins  ne sont certainement pas d’emblée « anti-vaccins », mais leur position change quand il arrive que l’un de leurs enfants soit profondément et définitivement handicapé par les vaccins. C’est alors qu’ils décident qu’il n’y aura jamais plus de vaccin pour cet enfant comme pour les autres.

 

Il est facile de comprendre qu’ils aient raison de prendre pareille décision.

 

La génétique, l’épigénétique et la fréquence peuvent avoir une grande influence sur l’apparition d’effets secondaires. Il n’existe pas de médicament qui soit bon pour tout le monde, à la même dose. Et continuer à prétendre la chose relève de la folie.

 

Au cours de nombreux procès contre plusieurs firmes pharmaceutiques, il a été montré que des données d’études concernant certains médicaments ont été cachées, manipulées ou même fabriquées. Pourquoi la chose serait-elle difficile à croire quand il s’agit de vaccins ?

 

J’ai découvert qu’il existait de graves problèmes à propos des essais cliniques sur les vaccins; la sécurité était l’un d’entre eux. Pour comparer les effets indésirables, toutes les études concernant la sécurité des vaccins utilisent de faux placébos. Le vaccin contre le HPV par exemple (qui n’est plus recommandé dans certains pays à la suite des réactions graves et des décès qui se sont produits) a utilisé le nouvel adjuvant aluminique comme placebo. L’étude de sécurité sur le Prevnar a utilisé un vaccin expérimental contre la méningite C.

 

Toutes les méta-analyses indépendantes réalisées par Cochrane sur les études portant sur les vaccins se terminent par les mêmes conclusions : des études de sécurité sont nécessaires afin de pouvoir évaluer le rapport bénéfices/risques. Il y a actuellement plus de 200 nouveaux vaccins dans le pipeline, et comme ceux qui ont précédé, ils seront approuvés et recommandés pour finir par devenir obligatoires. Assez, c’est assez !

 

Après l’Allemagne nazie, les lois de Nuremberg ont interdit les procédures médicales forcées. Le Code d’Helsinki est très clair : tous les patients ont le droit à un consentement informé préalablement à toute intervention médicale.

 

Il n’existe pas de consentement éclairé pour les vaccinations. Il ne s’agit quand même pas de revenir en arrière !

 

Je suis toute disposée à vous faire parvenir des études, à vous parler et même à prendre l’avion pour donner une conférence.

 

Source : Health Impact News

 

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