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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 15:45

Crise de confiance dans les  vaccins : les experts pètent les plombs !

 

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Les experts qui rêvaient de continuer à promouvoir les vaccins tous azimuts sans la moindre objection sont en train de faire un véritable « caca nerveux » et c’est rien de le dire…. Alors que le public en général et les parents en particulier sont en train de s’éveiller et de prendre conscience de l’ampleur de ce qu’on leur a caché depuis bien trop longtemps sur l’insécurité des vaccins, les autorités et leurs « experts » juges et parties à la solde de Big Pharma sont en train de nous offrir le plus merveilleux spectacle d’une débâcle inéluctable… l’éclatement programmé et inévitable de la bulle vaccinale, comme toutes les bulles…

 

Après les traditionnelles (et lénifiantes) dénégations que les vaccins puissent engendrer l’autisme ou même le moindre effet secondaire grave (comme l’ONE qui avait osé le nier…), voici une nouvelle sortie mémorable de l’homme qui valait 10 000 seringues, celui qui représente l’idole de tous les vaccinologues d’Europe et d’ailleurs, oui, certains auront deviné, Paul Offit lui-même !

 

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Paul Offit, pédiatre infectiologue et vaccinologue, membre du Comité américain des Vaccinations, détenteur du brevet d’un des vaccins contre le rotavirus fabriqué par Merck et qui avait déjà osé affirmer sans rire qu’on peut vacciner un enfant avec 10 000 vaccins le même jour sans risquer de surcharger ses capacités de réponse immunitaire…

 

Paul Offit est un puissant leader d’opinion dans le domaine de la vaccinologie et ses déclarations sont donc souvent reprises à l’unisson par une bande de fans fervents et pleins de dévotion à son égard. Mais qu’a bien pu encore ajouter cet expert suffisant (mais nettement moins assuré toutefois lorsqu’il fut remis à sa place par le député américain qui présidait une audition sur le lien entre autisme et vaccins…) ?

 

Eh bien, Paul Offit a rédigé un article, fièrement publié en avril dernier sur le site européen de l’OMS pour la Semaine Européenne de la Vaccination, et qui osait titrer : « Les vaccins : la chose la plus sûre que nous puissions introduire dans nos organismes ! » 

 

Voici la teneur incroyablement mensongère de son texte qui discrédite non seulement son auteur mais aussi l’OMS qui a reproduit son texte sans le moindre esprit critique ainsi que tous les autres « experts » béats qui s’en réfèrent à ce même Paul Offit comme à parole d’Evangile. Nous verrons ci-dessous en quoi les propos de Paul Offit ne sont même pas dignes d’une personne qui aurait suivi un cours de biologie d’une heure par semaine pendant ses études secondaires. [Chaque mensonge ou simplisme est mis en rouge, par souci de clarté.]

 

Les vaccins sont incontestablement plus sûrs et mieux testés que quoi que ce soit d’autre que nous puissions mettre dans nos organismes. Plus sûrs que les médicaments. Plus sûrs que les antibiotiques. Plus sûrs que les vitamines. La plupart des gens s’accorderaient  à dire que les vaccins sont probablement plus sûrs que les médicaments et les antibiotiques qui ont les uns et les autres des effets secondaires connus de tous. C’est un petit peu plus dur à croire pour les vitamines. Et pourtant.

 

Les vitamines aident à convertir les aliments en énergie. Sans elles, les gens souffrent de maladies comme le béribéri, la pellagre, le scorbut et le rachitisme causées respectivement par des carences en vitamines B1, B3, C et D. Pour cette raison, les nutritionnistes ont déterminé la quantité quotidienne de chaque vitamine nécessaire pour le maintien d’une bonne santé- ce qui s’appelle l’apport journalier recommandé (AJR). La plupart du temps, les gens peuvent disposer de toutes les vitamines dont ils ont besoin au travers d’une alimentation équilibrée. Même les gens qui ne mangent pas de façon équilibrée souffrent rarement de carences vitaminiques. Ceci s’explique par le fait que beaucoup d’aliments sont enrichis en vitamines. Dit en d’autres termes, combien connaissez-vous de gens qui souffrent du scorbut ou de rachitisme ? Néanmoins, beaucoup de gens dans les pays développés croient à leur détriment qu’ils devraient consommer des vitamines dans des ratios de 1 à 5 fois plus que ce qui est recommandé en vertu des apports journaliers préconisés.

 

A court terme, les méga doses de vitamines peuvent avoir de dangereux effets secondaires. Par exemple, la vitamine A peut être toxique pour le cerveau, le foie, la peau, les muscles et les os. La vitamine D peut causer le durcissement des artères, un arrêt de la croissance, une perte de poids, de la constipation, des douleurs musculaires, une hypertension artérielle et une insuffisance rénale fatale. La vitamine C peut entraver la croissance osseuse et causer des pierres aux reins. Et la vitamine E peut causer des maux de tête, des perturbations intestinales, une vision brouillée, des saignements et une baisse du taux de sucre sanguin.

 

A long terme, les méga doses de vitamines augmentent le risque de cancer et de maladies cardiaques et écourtent la vie. Bien que tout ceci puisse sembler étonnant, les études ont montré les unes après les autres que cela était vrai.

 

Les chercheurs ont appelé cela « le  Paradoxe des Antioxydants ».

 

En 1994, l’Institut National du Cancer, en collaboration avec l’Institut Finlandais National de Santé Publique, ont étudié 29 000 hommes Finlandais, tous fumeurs de longue date âgés de plus de 50 ans. Certains de ces sujets reçurent de la vitamine E, du bêta-carotène (un précurseur de la vitamine A) ensemble et d’autres aucun des deux. Ceux qui prenaient ces vitamines furent plus nombreux à mourir d’un cancer du poumon ou de maladies cardiaques.

 

En 1996, des chercheurs du Centre Hutchinson de Recherche sur le Cancer de Seattle ont étudié 18 000 personnes qui, parce qu’elles avaient été exposées à l’amiante, étaient davantage à risque de cancer du poumon. De nouveau, les sujets furent répartis en deux groupes selon le critère qu’ils avaient reçu des suppléments de vitamine A, de bêta-carotène ensemble ou aucun de ces deux suppléments.

 

Les investigateurs ont dû interrompre l’étude de façon soudaine lorsqu’ils ont réalisé que ceux qui prenaient ces méga doses de vitamines avaient respectivement 28% et 17% plus de risque de mourir d’un cancer ou d’une maladie cardiaque que ceux qui n’en prenaient pas.

 

En 2004, des chercheurs de l’Université de Copenhague ont passé en revue 14 essais randomisés impliquant plus de 170 000 personnes qui prenaient des suppléments de vitamines A, C, E et de bêta-carotène pour prévenir le cancer de l’intestin. Ceux qui prenaient des méga doses de vitamines avaient un taux de mortalité générale accru.

 

En 2005, des chercheurs de l’Ecole de Médecine Johns Hopkins ont évalué 19 études couvrant plus de 136 000 sujets au total et ils ont retrouvé un risque accru de décès associé aux suppléments de vitamine E. La même année, une étude sur plus de 9000 personnes a trouvé que ceux qui prenaient un supplément de vitamine E étaient plus à risque de développer une insuffisance cardiaque que ceux qui n’en prenaient pas.

 

En 2008, une revue de toutes les études existantes portant au total sur 230 000 personnes, a trouvé que les méga doses de vitamines augmentaient le risque de cancer et de maladies cardiaques.

 

En 2011, des chercheurs de la Clinique de Cleveland ont publié une étude portant sur 36 000 hommes qui prenaient de la vitamine E et du sélénium comparativement à ceux qui n’en prenaient aucun des deux. Ceux qui prenaient de la vitamine E avaient un risque 17 fois plus élevé de faire un cancer de la prostate.

 

Maintenant, imaginez que de tels résultats aient été mis en lumière pour les vaccins. Ils auraient été retirés du marché à la seconde. Mais les vaccins sont tenus de respecter des exigences beaucoup plus strictes de sécurité que les vitamines. Là où les vaccins sont très règlementés, les vitamines ne le sont pas du tout. C’est pourquoi les fabricants de vitamines n’ont aucune obligation de prouver leurs affirmations ou d’admettre les torts qu’elles causent. En conséquence, la plupart des gens ne savent tout simplement pas à quel point les vitamines peuvent être problématiques. Ils regardent les vaccins avec suspicion tandis qu’ils ouvrent grand les bras aux méga doses de vitamines.

 

Un jour, nous vivrons dans un monde où les gens prendront leurs décisions sur base de preuves supportées par des études scientifiques. Jusque là, la plupart des gens continueront à croire que les vitamines sont plus sûres que les vaccins, bien que cette notion ne saurait être plus éloignée de la vérité. (Fin du texte de Paul Offit sur le section européenne du site de l’OMS)

 

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Alors, avez-vous décelé tous les mensonges et approximations de ce texte de Paul Offit ? Vérifiez ci-dessous, il s’agit vraiment d’une excellente occasion d’exercer et d’aiguiser son esprit critique !

 

Les vaccins sont en réalité moins sûrs que tous les autres médicaments, moins sûrs que les antibiotiques et moins sûrs que les vitamines. En réalité, ils sont évalués de façon beaucoup plus laxiste que tous les autres médicaments et même que les cosmétiques qui eux, ne sont pourtant jamais rendus obligatoires ! Paul Offit qui n’est pourtant pas un spécialiste des vitamines ou de la nutrithérapie passe pourtant tout son texte à ne parler que de ça, plutôt qu’à aborder en détail et en profondeur l’épineux sujet de l’insécurité des vaccins, c’est donc dire si ce sujet le met très mal à l’aise. Il espère que ses arguments simplistes seront crus, simplement sur base de sa notoriété médiatique, à la façon d’un argument d’autorité classique.

 

Dire que les vaccins sont plus sûrs que les autres médicaments, que les antibiotiques et que les vitamines est une contre-vérité flagrante. Pourquoi :

 

- D’abord parce que les vaccins, contrairement à tout autre produit médicamenteux, aux antibiotiques et aux cosmétiques, comportent une notion flagrante d’irréversibilité : une fois qu’ils sont injectés, c’est irrattrapable, il n’y a plus possibilité d’atténuer, de revenir en arrière, là où on peut encore arrêter la prise des autres médicaments standards, des vitamines ou encore de cosmétiques qui seraient mal supportés. Chez des sujets bien portants, cette notion d’irréversibilité est plutôt péjorative au premier abord et nécessiterait que la réglementation appliquée aux vaccins soit au contraire plus stricte que pour les autres médicaments, bien que cela soit hélas le contraire.

 

-  Ensuite, les effets des vitamines sont nettement mieux connus et ont été beaucoup mieux étudiés que ceux des vaccins pour lesquels il existe un TABOU d’autant plus grand que ceux-ci s’adressent aussi à des bien portants et que leurs défenseurs savent pertinemment que toute médiatisation d’effets secondaires graves de vaccins va contribuer à rebuter encore davantage cette cible qui constituent le gros du marché des vaccinations. Avec les fanatiques de vaccins comme Paul Offit, il existe une confusion volontaire entre « effets mal étudiés ou insuffisamment étudiés » et absence de risques. Or comme dit le dicton de bon sens : absence de preuves n’est jamais égal à preuve de l’absence. En outre, les preuves des risques des vaccins sont déjà très conséquentes à l’heure actuelle et suffisamment alarmantes mais les fanatiques comme Paul Offit refusent de façon purement idéologique de prendre en compte la moindre étude scientifique qui égratigne leurs croyances anti-scientifiques, quasi mystiques en fait…

 

- Les effets à long terme des vitamines ont été étudiés, puisque Paul Offit peut en parler. En revanche, cela ne semble pas le faire rougir le moins du monde que les effets secondaires des vaccins ne sont JAMAIS évalués sur le long terme avant leur mise sur le marché ! Par exemple, dans les évaluations pré-commercialisation des vaccins Engerix B (hépatite B), Twinrix (hépatite A et B) et Gardasil (HPV), les effets secondaires ont été évalués respectivement sur une période de 5, 4 et 14 jours après chacune des injections !

 

- Le risque de cancer lié aux vitamines a aussi été étudié comme en parle Offit, alors que cela n’est absolument pas le cas pour les vaccins et que jamais ce genre de tests n’a été effectué pour le moindre vaccin en plus de 200 ans de temps (on voit pourtant la hausse alarmante des cancers dans des populations qui sont pourtant de plus en plus vaccinées). Ce manquement règlementaire est d’autant plus grave que les vaccins contiennent pourtant plusieurs substances qui ont un pouvoir cancérogène certain ou qui peuvent entraîner des mutations de l’ADN comme le formaldéhyde, le thimérosal etc. Dans les notices de vaccins utilisés aux USA et qui sont d’ailleurs exactement les mêmes que ceux utilisés en Europe, on peut clairement lire que ces analyses du potentiel cancérogène n’ont PAS été effectuées (cfr point 13.1 de cette notice-ci de l’Infanrix ou du Rotateq tiens, le vaccin de Merck dont Offit est détenteur du brevet !) Paul Offit a tellement peur que la moindre étude puisse montrer que la vaccination augmente considérablement le risque de souffrir d’un cancer au cours de sa vie, qu’il passe tout son texte à disserter sur les effets des vitamines et qu’il se satisfait d’une fausse Science qui décrète comme inexistant ce qu’elle a tout simplement peur de trouver. Récemment encore pourtant, les Centres de Contrôle des Maladies des USA ont encore reconnu que 10 à 30 millions d’Américains au moins ont été contaminés au virus de singe cancérogène du SV40 via les vaccins polio dans les années 50' et 60' (mais le tabou est tel que le CDC a très courageusement fini par retirer sa page). En 1987 déjà, un rapport de l’OMS évoquait le RISQUE DE MALIGNITE associé aux vaccins produits par génie génétique comme le vaccin hépatite B, le vaccin HPV ou encore les vaccins anti-rotavirus dont Mr Offit détient justement un brevet….

 

- La pharmacocinétique des vitamines et des autres médicaments est connue, pas celle des vaccins car des autorités soi-disant soucieuses de « notre santé et de notre bien-être » ont décrété que cela n’était pas nécessaire de soumettre les vaccins à ce genre d’évaluation pourtant fort importante puisqu’elle consiste à suivre le devenir des différents composants d’un produit une fois administré (comment il se diffuse/disperse, comment il est métabolisé, où il peut rester ou se stocker, comment et en combien de temps il est éliminé, etc).

 

- Paul Offit apporte aussi la preuve que les études sur les vitamines font appel à de véritables groupes placebo, c'est-à-dire de véritables groupes neutres (aussi appelés groupes contrôles ou groupes–témoins) avec des gens qui ne reçoivent rien, aucune vitamine. En revanche, avec les vaccins, nous n’avons JAMAIS droit à pareille comparaison fiable. Les vaccinés sont inlassablement comparés à d’autres vaccinés ou à des gens ayant reçu des substances toxiques en elles-mêmes (par ex : aluminium) ce qui augmente alors par voie de conséquence de façon artificielle le nombre d’effets secondaires soi-disant « normalement attendus » dans la population générale tout en permettant aux fabricants de faire passer leurs vaccins comme plus sûrs qu’ils ne sont. Tous ces manquements règlementaires font évidemment de tous les vaccins et depuis le tout début de la vaccination, des produits franchement expérimentaux. Or par définition, un produit expérimental ne peut jamais être décrété sûr, et encore moins assimilé à « la chose la plus sûre que nous puissions mettre dans notre corps », à moins que la personne qui l’affirme soit un idéologue, ce qui semble bien être le cas ici, Mr Offit nous en offrant une flamboyante démonstration.

 

- Les vitamines, contrairement aux vaccins, ne sont pas des produits expérimentaux car leurs effets ont été très bien documentés. Il est certain que des méga doses peuvent comporter des risques qu’il ne faut pas négliger, sans essayer pour autant d’amalgamer malhonnêtement méga doses et doses physiologiques ni amalgamer toutes les vitamines ou minéraux ensemble. Les vitamines ont leur place dans le corps là où le corps n’a prévu AUCUNE place pour les produits chimiques toxiques qui abondent dans les vaccins, pas plus que pour les antigènes atténués ou génétiquement bricolés. En fait, c’est parce que le corps ne fournit en général aucune réponse à ces « faux microbes » du leurre vaccinal que les apprentis-sorciers qui les produisent se sont crus obligés de rajouter toutes sortes d’adjuvants et d’additifs pour poursuivre coûte que coûte leur idéologie du vaccin à tout prix avec l’obsession simpliste des anticorps miraculeux. Mais étrangement ici, alors que Paul Offit déclare que les méga doses de vitamines sont très dangereuses, il semble à ses yeux que les méga doses de vaccins et de produits chimiques qu’ils contiennent ne présentent pas le moindre danger, puisqu’il avait déclaré non problématique l’administration de 10 000 vaccins par jour à de jeunes bébés.

 

- Affirmer que la plupart des gens ne manqueront pas de vitamines s’ils mangent équilibré est une autre ânerie. Il est vrai qu’il fut un temps où cela devait être vrai, avant qu’on ne touche à la chimie (naturelle) du sol. En déstabilisant la nutrition des sols, comme l’a par exemple fait Liebig, père de l’agriculture chimique, qui préconisait de ne nourrir les terres qu’avec de l’azote, du potassium et du phosphore, on a appauvri tout ce qui sort de terre (raison vicieuse pour laquelle on essaie de masquer le problème des carences en vitamines en enrichissant ARTIFICIELLEMENT toutes sortes d’aliments industriels avec des vitamines de synthèse…). En fait, Liebig est à l’agriculture le médiocre que Louis Pasteur fut à l’infectiologie avec les erreurs et les conséquences funestes que l’on sait. Extrait très éclairant :

 

« L'empoisonnement du sol par les additifs artificiels a commencé au milieu du XIXe siècle. Justus von Liebig, le chimiste allemand « père de l'agriculture chimique », en est l'inconscient responsable. En observant une plante qu'il avait fait brûler, il avait conclu, à tort, que les éléments présents dans les cendres, azote (N), phosphore (P) et potasse ou carbonate de potasse (K), nourrissaient les plantes. C'est encore de nos jours cette triade NPK qui règne sur l'agriculture chimique. Liebig présenta sa découverte dans de nombreuses publications et les produits chimiques de synthèse connurent rapidement un développement commercial très lucratif. Séduits par la publicité, les agriculteurs du monde entier devinrent dépendants des mines allemandes, pour la fourniture des sels de potasse, appelés « chlorure de potasse ». Sans ces sels, affirmait la réclame, leurs terres deviendraient stériles. […] Avant Liebig, les sols vierges étaient très fertiles et pleins d'humus. On pensait avec raison que cette matière brune, pourrissante, était, à ses différents stades, la source principale d'alimentation des plantes. Liebig attaqua cette notion avec force : il n'y a pas l'ombre d'une preuve que l'humus, ou son dérivé l'acide humique, exerce la moindre influence sur la croissance des plantes, que ce soit en les nourrissant ou de toute autre manière. En 1875, William Steston, biographe de Liebig, écrivait : « Un homme raisonnable, écoutant les arguments et les faits présentés par Liebig, ne pouvait guère accepter la théorie de l'humus ». Dix ans plus tard, Liebig devait finalement admettre que le secret de la fertilisation du sol résidait précisément dans ses excrétions organiques, non chimiques. Mais il était déjà trop tard. A ce moment-là, les consortiums chimiques gagnaient déjà tellement d'argent qu'on ne put stopper leurs entreprises de destruction du sol et de tout ce qu'il porte. »

 

De nos jours, les carences sont fréquentes. Songeons par exemple au magnésium, impliqué pourtant dans plus de 300 réactions enzymatiques essentielles de l’organisme ou encore au zinc, dont 80% de la population est déficiente alors qu’il est impliqué dans le précieux mécanisme anti-cancer (p53) du corps, la plupart du temps déficient chez les cancéreux qu’on ne pense que très rarement à supplémenter. Le zinc est impliqué lui aussi dans des centaines de réactions essentielles du corps, du système immunitaire en passant par la régénérescence des articulations ou le bon fonctionnement de la glande thyroïde, véritable chef d’orchestre du métabolisme.

 

Songeons aussi à la fréquence des carences en fer chez les enfants alors qu’une carence en fer, même faible, affecte le développement du système nerveux et les capacités cognitives (les carences en fer engendrent chaque année des millions de perte de points de QI et donc de productivité au niveau économique…). Mais il est vrai que l’aluminium des vaccins concurrence le fer et engendre fréquemment des carences et des anémies bien que peu de parents connaissent ce lien et pensent à le faire. La carence en vitamines et en minéraux accroît la sensibilité aux infections et aux complications de maladies naturelles statistiquement bénignes. Par exemple, 40% des enfants occidentaux présentent une carence en vitamine A or une carence en vitamine A prédispose aux complications neurologiques graves en cas de rougeole. Mais cela évidemment ne doit pas être divulgué par des gens comme Offit qui pensent à promouvoir des produits artificiels AVANT de recommander avec bon sens de réduire les risques en apportant aux corps les molécules indispensables à son fonctionnement.

 

Une fois de plus donc, Paul Offit a déraillé, il a perdu les pédales. De rage ou de désespoir, il a sorti de nouvelles inepties. Il a espéré se profiler en porte-parole de la Science et des choix rationnels, alors qu’il n’a en réalité fait rien d’autre ci-dessus que partager sa croyance un peu comme on pourrait formuler une prière. Il espère que les gens finiront par croire le « berger » qu’il souhaite être, exactement comme l’OMS espère un monde idéal où chacun appréciera la vaccination.

 

Mais pendant que Paul Offit rêve en couleur, les chiffres des effets secondaires de vaccins continuent de s’alourdir, comme en témoignent les données du système VAERS américain bien que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins soient effectivement rapportés selon des revues médicales officielles ; des juges continuent de trancher en faveur du lien de causalité entre les vaccins et toutes sortes de troubles invalidants ; des documents confidentiels continuent de révéler DES CENTAINES de complications graves possibles des vaccins là où des experts menteurs n’en évoquent jamais qu’un ou deux et encore, tous bénins. Des programmes tout à fait officiels, comme il en existe au Québec, continuent de prévoir la possibilité pour des victimes de vaccins d’indemniser les dommages corporels, les incapacités de travail et même les frais de décès y compris les frais funéraires. La Cour Suprême des USA décrète que les vaccins sont des « produits inévitablement dangereux » et accorde complaisamment l’impunité juridique aux fabricants qu’affectionne tant Paul Offit. Mais oui, dans le rêve de ce type-là, sans doute que les vaccins sont bien « la chose la plus sûre que nous puissions mettre dans notre corps ! »…

 

Voir cet excellent article qui en dit évidemment long sur les connaissances de l'arrogant Offit en matière de nutrithérapie:

 

"6 (mauvaises) raisons de ne pas prendre de compléments aimentaires"

 

Extrait:

 

« L’idée que l’alimentation ne couvre pas les besoins en nutriments essentiels d’une partie importante de la population est insupportable à de nombreux médecins, et inconcevables par les responsables politiques et les hauts fonctionnaires. La réglementation française impose d’ailleurs aux fabricants de compléments alimentaires de dire que « seule une alimentation variée et équilibrée est susceptible de couvrir les besoins quotidiens. Bizarrement, aucune des enquêtes conduites depuis 20 ans n’a réussi à prouver que l’alimentation des Français les met à l’abri de déficits micronutritionnels. Les chercheurs considèrent qu’une personne dont l’alimentation ne couvre pas les deux tiers des apports conseillés en micronutriments court un risque élevé de déficit. Selon des enquêtes françaises récentes, c’est le cas de 38% des femmes et 18,7% des hommes pour la vitamine E, 27% des femmes et 17% des hommes pour la vitamine C, 23% des femmes et 18% des hommes pour le magnésium, 57 à 79% des femmes et 25 à 50% des hommes pour le zinc… Pour le minéral-clé qu’est le sélénium, la consommation moyenne en France ne correspond qu’à 60% des apports conseillés. Enfin, 75% des adultes vivant en ville manquent en hiver de vitamine D. »

 

(*) Image: site de René Bickel: www.bickel.fr

 

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commentaires

D
Il serait bien de mettre en italique les propos de Paul Offit, afin qu'on comprenne clairement la somme de ses mensonges: ici, tel que présenté, on pourrait confondre, et croire que les vitamines<br /> sont un poison.<br /> Je fais des dosages réguliers de VitD sur mes patients, et rares sont ceux qui atteignent le seuil de 30, et uniquement ceux que je supplémente en ZymaD.<br /> La carence est donc la règle, et le surdosage quasi impossible.
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V
Déjà sa tronche n'inspire pas confiance :)
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