Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
26 août 2013 1 26 /08 /août /2013 20:34

Efficacité des vaccins ??

 

Interview du Dr Sherri Tenpenny (Extraits)

 

Dr-Sherri-Tenpenny-Aout-13--1AA-.JPG

 

Tout le problème de l’efficacité des vaccins repose sur le fait que l’on nous a toujours dit que les vaccins étaient sans danger, mais l’autre face de la question n’a jamais été explorée.

 

Les vaccins pourraient-ils présenter des dangers ?

 

Les études sur la sécurité des vaccins sont courtes, leurs conclusions sont peu concluantes, elles ne s’étendent pas sur une période suffisamment longue.

 

Toutes les études sont réalisées sur des enfants qui ne sont pas malades, qui ne prennent aucun médicament et qui, par définition, sont en parfaite santé.

 

Mais quand le vaccin est approuvé pour la commercialisation, il est administré à TOUS les enfants, tous les adultes, même ceux qui ont été atteints de maladies chroniques et qui prennent toutes sortes de médicaments.

 

Quand j’ai commencé à faire mes recherches sur l’efficacité des vaccins (parce qu’on avait toujours dit que les vaccins étaient  sûrs et efficaces), il m’a fallu tout un temps pour me rendre compte de ce que voulait vraiment dire le terme « efficace ».

 

En tant que médecins, cliniciens et même parents, quand nous entendons ce mot « efficace », nous supposons, présumons que les vaccins sont sans danger et nous empêchent de tomber malades. Mais quand on se donne la peine de creuser un peu plus profondément, on finit par s’apercevoir de ce que la recherche scientifique veut vraiment dire quand elle utilise le mot « efficace ». Quand une substance est injectée dans le corps, elle est susceptible de permettre la création d’anticorps. Et si un vaccin parvient à générer des anticorps, alors la science dit que ce vaccin est efficace puisqu’il réalise en fait ce pourquoi il a été mis au point : créer des anticorps.

 

Mais en formulant ainsi cette hypothèse, on fait un énorme bond en avant en nous faisant croire que le fait d’avoir des anticorps va automatiquement nous protéger et nous empêcher de tomber malades. Il existe un important volume d’informations qui montrent que les anticorps ne produisent pas nécessairement ce que l’on attend d’eux et ce que leur présence signifie en fait. Leur présence indique-t-elle que la personne est devenue malade chronique, qu’elle a été exposée à telle ou telle maladie, que, en dépit d’un nombre X d’anticorps vous puissiez encore attraper la maladie ?

 

Quand la littérature scientifique emploie le mot « efficace », elle s’en réfère essentiellement au fait que la création d’anticorps s’est produite. Mais la chose ne se traduit pas nécessairement par le fait que les personnes sont protégées de la maladie.

 

Au cours des dernières années, on assisté à des épidémies d’oreillons et de coqueluche. Dans l’épidémie d’oreillons qui s’est produite en Iowa, on a remarqué que 67% des enfants qui avaient contracté les oreillons avaient été vaccinés au moins une fois. Plusieurs enfants avaient été vaccinés deux fois par le vaccin ROR (Rougeole,Oreillons,Rubéole). Ces enfants auraient donc dû être protégés contre les oreillons.

 

Au cours de l’épidémie de coqueluche en Californie, la vaste majorité des enfants avaient été vaccinés contre la coqueluche et avaient reçu toute la série des vaccins.

 

A l’armée, le fait que des militaires qui avaient été complètement vaccinés, n’a pas empêché l’apparition d’épidémies de rubéole et de rougeole.

 

Dans la littérature médicale, nous trouvons des gens qui ont été complètement vaccinés contre le tétanos, qui ont reçu quatre doses du vaccin ou même davantage ; ces gens possédaient des taux d’anticorps qui, dans la littérature médicale, sont considérés comme étant protecteurs contre le tétanos. Ces personnes ont malgré tout contracté la maladie.

 

Le fait d’avoir le taux d’anticorps requis ne veut donc pas nécessairement dire que vous serez protégé de la maladie.

 

Nous utilisons les mots « vaccination » et « immunisation » comme s’ils étaient synonymes. Or, ce n’est pas du tout le cas.  Par définition, la vaccination désigne l’acte d’injecter une substance vaccinale. L’immunisation désigne le fait d’être réellement immunisé. Un vaccin n’immunise pas nécessairement. Le fait d’être immunisé signifie que vous avez fait une infection naturelle.

 

Source: Personalhealthinformationguide

Partager cet article
Repost0
10 août 2013 6 10 /08 /août /2013 21:20

Il n'y a pas que la France, la Belgique est aussi concernée par les revers infligés à l'idéologie vaccinale. La Belgique déplore donc aussi une hausse manifeste des cas d'oreillons.

 

Mais tout est évidemment fait pour MAINTENIR l'image de marque des vaccins. Il faut "sauver l'honneur" et cela, A TOUT PRIX!

 

Ainsi, lorsque le journal Le Soir évoquait hier le retour en force des oreillons en Belgique, il ne donnait la parole qu'aux mêmes "experts" habituels (Van Laethem, Goubeau, Swennen).

 

Leurs "arguments" sont en gros les suivants:

 

- La valence contre les oreillons est la moins efficace parmi les autres valences du vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) mais il s'agit tout de même d'une efficacité de 95%.

 

- Les cas d'oreillons seraient dus à une variante "de Groeningen" qui serait apparue aux Pays-Bas dans des communautés qui refusent le vaccin (NB: c'est plutôt chez ceux qui refusent le vaccin que la Nature a le moins d'opportunité d'opposer une variante de la forme habituelle, ce genre de phénomène étant plutôt une réponse de la Nature à l'imposition du vaccin à tous, une sorte de compensation/contournement!)

 

- Ce n'est pas parce qu'il y a des cas d'oreillons que cela prouve l'inefficacité du vaccin (dixit Swennen), celle-ci se retranchant derrière le fait qu'aucun vaccin n'est efficace à 100%. Il convient tout de même de rappeler à cet égard que deux ex scientifiques de la firme Merck ont révélé les méthodes frauduleuses de la firme pour faire croire à une efficacité de 95% alors qu'elle est en réalité bien moindre.

 

- Grâce au vaccin, ceux qui font tout de même la maladie en dépit de ceui-ci, présenteraient des complications moins graves. On oublie bien sûr de dire à cet égard qu'une des complications graves est la stérilité et que celle-ci ne survient que chez les adolescents ou surtout les jeunes adultes, et que c'est DEPUIS L'INTRODUCTION DU VACCIN que ces groupes de gens sont devenus plus susceptibles de contracter la maladie à un âge plus tardif, au lieu de faire la maladie dans l'enfance où elle est la moins risquée, avec une immunité à vie à la clé.

 

 

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2013 7 28 /07 /juillet /2013 15:52

C'est ce qui ressort d'une récente publication de ce mois dans le British Medical Journal qui conclut, sur base des données relatives à l'épidémie de coqueluche de 2010 en Californie,  à  une efficacité de seulement 53 à 64% des rappels de vaccination contre la coqueluche chez les enfants à partir de 11 ans et les adultes.

 

Les chercheurs concluent à la nécessité de développer de nouveaux vaccins plus efficaces...

 

Mais en attendant bien sûr, les autorités continuent de recommander ces rappels sans jamais fournir d'informations suffisamment objectives sur les risques réellement encourus en se faisant vacciner avec ce genre de vaccins à base d'aluminium.

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2013 3 24 /07 /juillet /2013 16:25

Oreillons : le grand retour en France :

 

AUTEUR: Dr Myriam Lainé-Régnié

 

Publié le 24.07.2013

 

Le Haut conseil de la santé publique (HCSP) vient de déclarer une recrudescence des oreillons principalement dans les internats, grandes écoles, universités et casernes. Depuis début 2013, plus de 13 000 personnes auraient contracté cette affection, alors que moins de 4 000 cas avaient été signalés sur toute l’année 2012.

 

Plus inquiétant, les premiers résultats d’une étude menée dans cinq régions françaises rapportent que la maladie se serait déclarée dans la majorité des cas chez des personnes correctement vaccinées.

 

L'efficacité du vaccin ROR dans le temps pose question

 

Ainsi sur 124 personnes touchées, 73 % d’entre elles avaient reçu les deux injections recommandées du vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole).

 

Des épidémies du même ordre dans d’autres pays viennent conforter ce phénomène puisque 60 à 80 % des personnes ayant contracté les oreillons étaient normalement vaccinées

 

La question se pose actuellement d’un éventuel épuisement de l’efficacité du vaccin dans le temps. Toutefois, les experts n’envisagent pas pour l’instant de modifier le schéma vaccinal (première dose à 12 mois, deuxième dose entre 16 et 18 mois).

 

Ils recommandent toutefois en cas d’épidémie dans une collectivité, de proposer systématiquement une troisième dose si la seconde a été  administrée depuis plus de 10 ans.

 

Source : SanteMagazine.fr

 

Voir aussi les articles connexes:

 

Oreillons: 97% des cas avaient été vaccinés!

 

Epidémie d'oreillons à l'Université de Gand en dépit du vaccin

 

Epidémie d'oreillons chez les étudiants de Liège: la faute au vaccin?

 

Oreillons: les chefs de clinique savent l'inutilité du vaccin, mais le dogme est plus fort que tout

Partager cet article
Repost0
7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 16:00

Les partisans des vaccins ne cessent de présenter la vaccination comme bénéfique et salvatrice.

 

Toutefois, ils se gardent toujours bien d'évoquer le retour de bâton épidémiologique qui amoindrit évidemment considérablement la partie "bénéfices" du ratio  bénéfices/risques de ces produits. Puisque les risques des vaccins sont déjà considérablement sous-estimés, mais qu'en plus leurs bénéfices sont aussi largement galvaudés, il est alors grand temps de repenser totalement le pseudo bienfondé du réflexe vaccinal.

 

Le retour de bâton épidémiologique... de quoi parle-t-on au juste?

 

Cela signifie en fait que "la Nature se venge de l'utilisation du vaccin" en quelque sorte, soit en compensant une vaccination de masse par une augmentation de la fréquence des infections par d'autres microbes, soit en augmentant la fréquence d'autres souches d'une même maladie mais qui n'ont pas été incluses dans un vaccin donné.

 

C'est un peu le même phénomène qu'avec la résistance aux antibiotiques de plusieurs bactéries parce qu'on en a trop utilisés. Sauf qu'en matière de vaccins, on n'a jamais eu le bon sens d'émettre des recommandations de modération et de mesure mais au contraire, on recommande sans cesse de vacciner plus, de faire encore plus de rappels, de développer d'autres vaccins dans une suite sans fin qui n'est génératrice d'espoirs que pour les seuls actionnaires des firmes pharmaceutiques.

 

Avec plusieurs exemples concrets, il sera plus facile de mieux comprendre.

 

- La vaccination contre la polio a engendré une hausse très importante des virus Coxsackies, des virus intestinaux assez proches qui peuvent eux aussi donner lieu à des pralaysies.

 

- La vaccination contre la variole augmentait le risque de syphillis.

 

- La vaccination contre la variole et contre la polio (vaccin oral) sont en mesure d'augmenter la susceptibilité des individus à la tuberculose.

 

- La vaccination généralisée contre le rotavirus augmente le taux d'infections à norovirus. Et que vient-on de mettre au point? Un vaccin contre les infections à norovirus, bien sûr!

 

- La vaccination contre la coqueluche multplie par 40 le développement du bacille proche (mais non couvert par le vaccin) de Bordetella Parapertussis, au niveau de l'arbre pulmonaire.

 

- Malgré les taux élevés de vaccination contre les oreillons, des épidémies refont surface avec des souches différentes de celle incluse dans le vaccin (mais qu'à cela ne tienne, on continue de recommander la vaccination!)

 

- La vaccination contre le papillomavirus avec le Gardasil et le Cervarix commence déjà à se solder par une hausse des infections aux autres souches de HPV à haut risque non couvertes par le vaccin (cfr ici et ici), raison pour laquelle le fabricant essaye de sauver des parts de marché en travaillant déjà sur le développement d'un nouveau vaccin, soi disant plus complet...

 

- La vaccination contre les pneumocoques avec l'ancienne version du Prevenar (Prevenar 7) s'est elle aussi soldée par une hausse tout à fait prévisible des infections invasives à pneumocoques, dont les méningites. Les fabricants, avec la complicité scandaleuse des autorités, ont trouvé "la solution": une autre version du Prevenar (Prevenar 14) qui ne fera que déplacer et reporter ce problème dans le temps compte tenu des nombreuses autres dizaines de souches mais voilà, le Prevenar est commercialement le vaccin le plus lucratif de l'histoire des vaccins jusqu'ici. Il ne fallait donc pas laisser filer une de leurs "poules aux oeufs d'or". Pour la sécurité de ce vaccin toutefois, on n'a que ses yeux pour pleurer....

 

- La vaccination contre l'haemophilius influenza de type B (introduite en 1993 dans nos pays) a augmenté le risque de méningites à méningocoques:

 

Hib_Meningocoques-11640-copie-4.JPG

    source: Preventie Vaccinatieschade

 

 

- La vaccination contre le méningocoque C a accru encore, par compensation, la proportion des méningites à méningocoque du groupe B. Mais "ouf", à présent cette méningite-là a aussi son vaccin!!

 

On le voit, lorsqu'on vaccine, on n'aboutit pas à une vraie "solution" simple et efficace mais à une équation beaucoup plus délicate que l'on pourrait résumer ainsi:

 

Bénéfices des vaccins = réductions des complications et des décès liés à une maladie + complications dues à la hausse des autres infections ou des autres souches de la maladie dues aux effets pervers des vaccins.

 

Risques des vaccins = multiplication par 10 à 100 au moins de tous les effets secondaires graves rapportés + tout le champ des inconnues (sur les chiffres exacts des effets secondaires réels) dues aux carences dans l’évaluation des vaccins (risques de cancers, d’allergies, d’auto-immunité, etc etc. que les officiels se permettent de déclarer nuls au simple prétexte qu’ils ont trop peur de les étudier)

 

Le ratio bénéfices/risques que prétendent ainsi évaluer les "experts" officiels n'est jamais analysé objectivement en ces termes, ces gens-là se contentant de mettre en balance le résultat de leurs croyances étayées par des "études" qui sont en réalité conçues dès le départ pour confirmer ces croyances (avec tous les biais méthodologiques nécessaires pour ce faire)

  cercle-vicieux-2.JPG

 

Plusieurs maladies induites et favorisées par les vaccins sont actuellement l'objet de recherches pour développer... des vaccins, dans une fuite en avant, réellement désespérante car ces vaccins généreront eux aussi d'autres effets secondaires et ainsi de suite.

 

Allergies, diabète, Alzheimer et bien d'autres maladies que les vaccins peuvent favoriser par divers mécanismes, auront sans doute un jour leur vaccin... une manne pour les pharmas pour qui cette fuite en avant est évidemment nettement plus intéressante commercialement parlant que si on commençait à cesser d'utiliser en amont les vaccins qui génèrent initialement de nombreux cas de ces maladies chaque année dans le monde!

 

Partager cet article
Repost0
28 mai 2013 2 28 /05 /mai /2013 19:00

didier-raoult.jpg

Le Point.fr - Publié le 15/05/2013

 

En dépit des progrès de la recherche, il reste impossible de trouver un vaccin contre une maladie qui ne provoque pas d'immunité. Un défi à relever.

 

Par le Pr DIDIER RAOULT

 

Depuis vingt ans, la tuberculose, le paludisme et le sida sont considérés comme des priorités de santé publique mondiale. Les recherches dans ces domaines bénéficient d'un financement considérable, afin de développer les vaccins. Sans le moindre succès. Les deux études mondiales qui paraissaient prometteuses, l'une contre la tuberculose, l'autre contre le paludisme, ont été arrêtées du fait de leur inefficacité. Alors même que nous assistons à de nouvelles bouffées épidémiques en Europe.

 

Tuberculose, paludisme et sida sont toujours les trois plus grands tueurs à la surface de la Terre. Ils semblent présenter des particularités qui sont autant d'obstacles infranchissables.

 

Le paludisme est une maladie pour laquelle on peut être infecté plusieurs fois de suite. Dans un de nos centres au Sénégal, une personne a pu faire plus de 100 épisodes différents de paludisme. Cela montre qu'il n'y a que peu, voire pas, d'immunité après une infection réelle par le paludisme. De ce fait, il y a extrêmement peu de chances qu'un vaccin arrive à donner une immunité que l'infection naturelle ne peut générer.

 

Il en est de même pour la tuberculose. La forme pulmonaire est souvent une réinfection. Le BCG, qui existe toujours en France et dans les pays francophones, ne protège pas du tout contre la réinfection de la tuberculose, qui est à l'origine de la plupart des pneumonies tuberculeuses. Si ce vaccin qui date de 1921 était évalué aujourd'hui, avec nos critères actuels d'efficacité, il ne passerait pas la barre. Il n'a pas été remplacé par un vaccin plus moderne, car aucun candidat n'a pour l'instant prouvé son efficacité, et, de toute façon, les anciens vaccins ne sont pas réévalués !

 

Concernant le sida, le fait que, dans cette maladie chronique, on ne s'immunise jamais contre son propre virus est aussi un défi scientifique.

 

Au cours du XXe siècle, la médecine a rapidement mis au point des vaccins contre les infections aiguës que l'on ne présente qu'une seule fois dans la vie, telles que rougeole, oreillons, rubéole et poliomyélite. Idem pour les maladies dont la cause était la sécrétion de toxines comme le tétanos ou la diphtérie. Mais on peut douter de notre capacité scientifique à trouver, à court terme, un vaccin contre une maladie qui ne provoque pas d'immunité. Il existe là un problème de connaissance fondamentale. Le fonctionnement traditionnel des vaccins fondé sur l'immunité étant voué à l'échec.

 

Source: Le Point

 

Cet article est vraiment intéressant, parce qu’il met en évidence plusieurs absurdités :

 

- Le fait qu’un vaccin inefficace (le BCG) ait pu être rendu obligatoire en France pendant 57 ans (de 1950 à 2007) : combien de victimes inutiles pour une obligation sans fondement scientifique et combien aussi d’autres vaccins dont l’obligation ne repose nullement sur des bases scientifiques suffisantes ?????????

 

- Le fait que le tétanos n’est pas non plus une maladie immunisante, et donc on voit mal alors, à en lire le Pr Raoult, pourquoi là le vaccin serait efficace alors que l’infection naturelle ne prévoit aucune immunité possible ??

 

- Le peu de consistance scientifique du futur vaccin anti-malaria RTS S de GSK, largement financé par Bill Gates et auquel ARTE consacrera un documentaire entier jeudi soir prochain à 22H30 (« Le vaccin selon Bill Gates »)

 

 

Partager cet article
Repost0
21 avril 2013 7 21 /04 /avril /2013 18:15

Vaccination contre le zona :

Moins de 50% d’efficacité

 

 

Si ce vaccin ne comportait pas de graves effets indésirables, on pourrait dire qu’il  relève de la blague. Une nouvelle étude exprime sa frustration par rapport au faible taux de vaccinations administrées, mais semble vouloir ignorer une autre partie de ce qu’elle a découvert, à savoir que l’efficacité du vaccin représente moins de 50%, et que chez les personnes immunodéprimées, il ne serait efficace que dans un tiers des cas seulement.

 

Seringues--GAIA-HEALTH.jpg

 

Par Heidi Stevenson    

 

Le zona est de plus en plus courant. Jadis, seuls les adultes d’âge moyen ou même plus âgés faisaient un zona. De nos jours, le zona apparaît chez les enfants et même chez les bébés. Bien sûr, on pousse de plus en plus le public à se faire vacciner en dépit du fait que la recherche montre une efficacité déplorable. L’étude PLoS montre que, chez les personnes âgées de 60 à 80 ans, l’efficacité du vaccin n’est que de 48%, tandis que chez les personnes immunodéprimées, l’efficacité tombe à un petit 37% [1].

 

L’étude se focalise sur les taux d’acceptation du vaccin. Elle montre que très peu de personnes choisissent de se faire vacciner. Evidemment, la tendance ne porte pas sur les résultats les plus significatifs. L’étude conclut :

 

« La couverture vaccinale était faible avec des variations en fonction des groupes spécifiques. Dans la population générale, la vaccination des personnes âgées a amené une réduction dans l’incidence du zona, y compris chez les personnes immunodéprimées. Cette étude démontre surtout que la vaccination contre le zona est associée à une réduction de la PHN (Névralgie post-herpétique). »    

 

On pourrait se demander quel niveau d’inefficacité il faudrait atteindre pour que le vaccin soit reconnu inefficace ? Est-ce que le fait d’éviter 25% des cas serait suffisant ? Peut-être 15% ?    

 

Des ingrédients pas tellement innocents

 

Une protection minimale pourrait peut-être s’avérer acceptable, si cette vaccination ne comportait pas de risques. Mais la réalité est bien différente. Le vaccin appelé Zostavax par son fabricant Merck, contient, par dose, une charge utile de virus Varicella zoster atténués qui est 14 fois plus puissante que ce que l’on retrouve dans le vaccin contre la varicelle. [2] Ci-dessous, le reste des ingrédients :

 

 

  • 31,15 mg de saccharose : connu pour affecter le foie quand il est injecté [3, 4, 5].
  • 15,88mg. de gélatine porcine hydrolysée : similaire à la gélatine des tissus conjonctifs humains, susceptible d’entraîner par injection des troubles auto-immuns. La narcolepsie est une maladie auto-immune provoquée par l’injection de squalène avec le vaccin contre la grippe porcine. C’est la similitude avec les tissus humains normaux que font que le risque existe quand ces produits sont injectés. L’injection de gélatine fait l’objet de la même inquiétude.
  • 3,99mg. de chlorure de sodium (sel)
  • 0,62 mg. de MSG (monosodium glutamate) : connu pour sa neurotoxicité.
  • 0,57 mg de phosphate disodique : antiagglomérant.
  • 0,10 mg. de potassium monobasique : produit administré pour prévenir la formation de pierres aux reins. Il peut aussi agir comme antibiotique pour les infections de la vessie. [6] Il s’agit d’un médicament délivré sur ordonnance.
  • 0,10mg. de chlorure de potassium.
  • Des traces de cellules MRC-5 qui comprennent de l’ADN, des protéines, des traces de l’antibiotique néomycine et du sérum de veau.

 

Peut-on dès lors s’étonner que le vaccin contre le zona puisse provoquer des réactions indésirables ? Bien entendu, les rapports concernant ces effets indésirables sont rares ; l’accent est davantage mis sur des problèmes mineurs comme les douleurs au site d’injection. La réalité est cependant bien plus grave.     

 

Effets indésirables

 

La liste plus ou moins officielle des effets secondaires peut être consultée sur Medscape [7]. On y découvre que 48% des personnes vaccinées peuvent s’attendre à avoir : de l’érythème au site d’injection, douleurs, gonflements, prurit, chaleur », moins de 10% des personnes vaccinées auront : de la diarrhée, de la fièvre, des symptômes pseudo-grippaux, des infections des voies respiratoires supérieures, des maux de tête, de la rhinite, des maladies de la peau ou de la faiblesse. Il convient de souligner que les symptômes pseudo-grippaux, les infections des voies respiratoires supérieures, les maux de tête, les rhinites peuvent représenter des diagnostics différents pour un seul et même problème.

 

Ca, c’est l’histoire officielle. Cependant, il ne faut pas creuser beaucoup pour trouver que la réalité est bien différente. Les gens font état de complications bien pires que les problèmes mineurs évoqués. – en effet, plusieurs de ces problèmes mineurs peuvent souvent être indicateurs de problèmes beaucoup plus sérieux Les maux de tête peuvent être le signe de problèmes cérébraux, les symptômes pseudo-grippaux, les infections des voies respiratoires supérieures, les rhinites peuvent être le signe d’un dysfonctionnement du système immunitaire. Les affections de la peau peuvent être les signes de toute une gamme de problèmes depuis les éruptions modérées jusqu’au syndrome de Stevens-Johnson qui peut s’avérer mortel et au cours duquel la peau se détache du corps.    

 

Mais, par rapport aux troubles que des personnes elles-mêmes rapportent, on peut consulter le site RxList [8] qui fournit des commentaires de personnes qui ont reçu le vaccin. Le tableau n’est pas très joli. Ci-dessous une petite illustration :    

 

*  « C’est le 10/02/08 que j’ai reçu le vaccin Zostavax. Le 14/02/08 j’avais une grande éruption dans le dos et ça brûlait. Je me suis immédiatement rendu chez mon médecin qui a diagnostiqué « un zona » manifestement provoqué par le vaccin ! Merck ne dit pas aux médecins, ni aux patients que la chose est possible, pourtant j’en suis la preuve vivante. Un jour après avoir reçu le vaccin, mes genoux ont gonflé et m’ont fait très mal. J’ai été opéré aux deux genoux il y a environ 5 ans. J’ai, à ce sujet consulté des médecins et ils n’ont pas pu me donner de réponse… Ils pensent qu’il s’agit d’une réaction allergique au vaccin, mais ils avouent ne pas pouvoir faire grand-chose. »

 

*  « Je ne me suis pas senti bien du tout pendant deux semaines après avoir été vacciné. J’avais des symptômes de grippe ; une grande tache rouge et chaude de la taille d’une main sur mon bras me faisait atrocement mal. Depuis le vaccin, j’ai eu TROIS poussées de zona, alors que je n’avais jamais rien eu de semblable auparavant. J’ai l’impression d’avoir été pris pour un cobaye. Deux jours plus tard, j’ai eu d’importantes douleurs articulaires au genou droit et d’autres douleurs au genou gauche moins importantes. Ces problèmes ont nécessité la prise de 600mg. d’ibuprofène, de la glace et une attelle au genou pour diminuer la douleur. Je continue à avoir mal aux intestins. Quatre jours après la vaccination j’étais toujours fort fatigué. L’une de mes amies qui s’était  fait vacciner a eu les symptômes de la grippe et fut complètement épuisée pendant dix jours. »

 

*  « 20 minutes environ après avoir été vacciné, j’ai eu comme un goût de métal dans la bouche. Le jour suivant j’avais mal au site d’injection qui était devenu tout rouge. J’ai aussi éprouvé des vertiges. Le 13/09 la rougeur et la douleur s’étaient accentuées et des cloques sont apparues. J’ai été vacciné le vendredi aux environs de midi. Le jour suivant j’ai souffert de nausées et le soir j’avais des douleurs dans la partie supérieure gauche de l’abdomen. Je vomissais si péniblement qu’il y avait même de la bile verte dans le vomi. J’ai finalement dû me rendre aux urgences. J’ai été admis à l’hôpital avec d’intenses douleurs qui signaient une pancréatite aiguë. Il m’a fallu trois jours pour un peu récupérer. Mon médecin de famille m’a montré un article médical qui expliquait (à la page 26) que le zona était souvent associé à une pancréatite. Je crois personnellement que le vaccin Zostavax, qui est un vaccin vivant atténué, à été l’agent de déclenchement. »

 

*  « J’ai reçu l’injection du Zostavax le jeudi 20/01. Je me suis senti bien jusqu’au vendredi 21. C’est alors que j’ai remarqué une tache rouge douloureuse sur le site de l’injection. Le jour suivant la tache avait énormément grandi et avait formé un œdème de la taille d’une balle de tennis. J’avais d’énormes démangeaisons et une douleur intense. J’ai passé tout le samedi et le dimanche à mettre de la glace sur l’endroit douloureux ; j’ai aussi pris de l’Advil, du Benydryl et des somnifères chaque nuit pour pouvoir trouver un peu de repos. Mon épaule et tout le bras sont engourdis et faibles. J’ai aussi appliqué une pommade à base de stéroïdes. J’avais pensé me rendre aux urgences, mais y ai finalement renoncé vu que je n’avais plus de problèmes respiratoires. Le lundi, je me suis rendu à la pharmacie. De sa vie, le pharmacien n’avait vu pareille réaction. Il me conseilla de consulter un médecin si la situation continuait de s’aggraver. Le mardi, la rougeur et le gonflement ont commencé à quelque peu s’estomper. J’ai gardé beaucoup de faiblesse dans mon bras et me demande si je pourrai un jour récupérer. Je voudrais que personne ne puisse vivre ce que j’ai vécu. Si le zona apparaît, il faut le faire soigner. »

 

*  « Je me suis fait vacciner contre le zona en Juin 2008. Quelques semaines plus tard, j’ai fait de graves réactions sur tout le corps, de la tête aux pieds. J’ai dû faire des biopsies, ainsi que plusieurs analyses de sang qui ont fait ressortir que je souffrais d’allergie. Je me suis rendu chez 4 dermatologues, un spécialiste des maladies infectieuses, un cancérologue, un radiologue-cancérologue et un chirurgien dans l’espoir de trouver quelque aide. Les 8 médecins n’avaient jamais vu ce type de réaction. Mon visage et ma poitrine étaient couverts de pustules et le reste de mon corps était devenu rouge pourpre, y compris mes pieds et mes bras. J’éprouvais des brûlures sur le visage et sur ma langue, puis ces brûlures se sont généralisées sur tout le corps. C’était comme si on m’enfonçait des aiguilles dans la peau. En plus de cela, je souffrais de douleurs terribles à l’estomac, de ballonnements et de diarrhée. Ma réaction au vaccin avait été jusqu’à toucher mon estomac. Voilà maintenant 2 ans et demi que tout a commencé. »

 

*  « J’ai été vacciné le 3/8/10. Le site d’injection a été très vite douloureux. Des boutons de fièvre se sont développés dans ma bouche au cours des premières 24 heures. Aujourd’hui 27/08, j’éprouve des douleurs intenses et des gonflements dans toutes les articulations. »    

 

*  « Quelques jours après avoir été vacciné contre le zona, je suis devenu malade. Je souffrais principalement de nausées etc. On finit par me diagnostiquer une pancréatite d’étiologie inconnue, bien que je n’aie jamais eu le moindre problème du côté pancréas. Je pense que c’est le vaccin Zostavax qui a été l’agent causal de ma pancréatite. »    

 

* « J’ai reçu le vaccin il y a plusieurs années quand il a été mis sur le marché et n’ai pas eu d’effets secondaires. Aujourd’hui 10/01/11 j’ai attrapé le zona. Je suis dans une terrible colère ! »    

     

Plusieurs des descriptions que nous venons de donner sont en fait beaucoup plus graves que l’impression que peut donner un diagnostic clinique. Un œdème de la taille d’une balle de tennis représente quand même un peu plus qu’un gonflement au point d’inoculation- se rend-t-on bien compte aussi de ce que représente le fait de sentir des brûlures sur tout le corps, de souffrir de douleurs intenses d’estomac, de diarrhées, de ballonnements, de gonflement et douleurs aux articulations, autant de symptômes de zona provoqués par le vaccin.

 

La pancréatite est une maladie qui peut être mortelle ! Il ne s’agit plus ici d’effets secondaires mineurs. Il s’agit d’effets indésirables à part entière qui doivent donner à réfléchir surtout quand il s’agit d’un vaccin dont l’efficacité ne dépasse pas 50% et qui représente à peine 30% d’efficacité chez les immunodéprimés chez lesquels le vaccin est pourtant le plus recommandé.    

 

Alimenter une épidémie de zona ?    

 

Aucune considération n’a été accordée au fait que le zona peut généralement être évité chez les adultes qui ont fait une varicelle et qui sont mis en contact avec des enfants qui font la maladie. [9] la raison en est inconnue, mais le fait que des gens sont protégés du zona pour avoir été mis en contact avec la varicelle est parfaitement documenté.    

 

On sait aussi que le vaccin contre la varicelle ne protège pas non plus du zona. [10]

 

Par conséquent, il ne fait aucun doute que les virus vivants du vaccin puissent être hébergés dans le système nerveux, comme ils le sont avec la varicelle naturelle. Pire encore, comme semble le montrer une autre étude, le vaccin contre la varicelle serait susceptible d’alimenter une épidémie de zona :    

 

« La vaccination de masse contre la varicelle est susceptible de provoquer une épidémie majeure d’herpès-zoster [zona] qui pourrait affecter plus de 50% des personnes qui étaient âgées de 10 à 44 ans au moment de l’introduction de la vaccination. » [11] 

 

Par ailleurs, n’est-ce pas ce à quoi nous assistons maintenant ? Nous connaissons une épidémie de zona – grâce au vaccin contre la varicelle.    

 

Qu’est-ce que toute cette manipulation du système immunitaire des gens a bien pu accomplir ? Cette manipulation n’a pas éliminé la varicelle - des flambées se produisent encore, y compris parmi ceux qui sont « complètement vaccinés ».    

 

Cette manipulation a aussi augmenté l’incidence du zona et a créé la « nécessité » d’un nouveau vaccin. Mieux encore, le nouveau vaccin contre le zona vous coûtera dans les 200 dollars.    

 

Ce n’est pas une mauvaise affaire si vous êtes une société pharmaceutique dont l’intérêt est surtout le profit – ou un médecin qui administre ces vaccins. Et pour le reste d’entre nous ? Cela ressemble davantage à une autre manière de vider nos poches et de provoquer de nouveaux dommages à notre santé.    

     

Sources:                   

     

1. Herpes Zoster Vaccine Effectiveness against Incident Herpes Zoster and Post-herpetic Neuralgia in an Older U.S. Population: A Cohort Study; PLoS ; Langan SM, Smeeth L, Margolis DJ, Thomas SL; doi:10.1371/journal.pmed.1001420

2. Shingles Vaccine Ingredients

3. Sucrose: C12H22O11

4. Acute renal failure and intravenous immune globulin: sucrose nephropathy in disguise?

5. Influence of the Injection of a Sucrose Solution on the Properties of Rat-Liver Lysosomes

6. Drugs & Medications – Potassium Phosphate, Monobasic Oral

7.Zoster Vaccine Live

8. Zostavax User Reviews

9. The Protective Effect of Immunologic Boosting against Zoster: An Analysis in Leukemic Children Who Were Vaccinated against Chickenpox

10. Immunologic evidence of reinfection with varicella-zoster virus

11. Exposure to varicella boosts immunity to herpes-zoster: implications for mass vaccination against chickenpox.

 

Source: Gaia Health 

 

Partager cet article
Repost0
9 avril 2013 2 09 /04 /avril /2013 20:45

  

Commentaire posté sur le site de RTL:
  

Plusieurs épidémies ont déjà touché des gens majoritairement vaccinés avec les 2 doses de vaccins officiellement recommandées... On sous-entend toujours que des épidémies surviennent à cause d'un manque de vaccination plutôt que d'oser remettre en question l'efficacité des vaccins. Il fut un temps où des milliers de cas survenaient naturellement chez les enfants belges chaque année, sans que cela fasse jamais les gros titres des journaux. La Nature étant bien faite, la maladie survenait majoritairement dans l'enfance où le taux de complications possibles est statistiquement nettement moindre. Les petites filles qui font naturellement les oreillons ont par exemple une protection relative contre le cancer de l'ovaire qui est un cancer méchant en général. Pourquoi ne jamais parler de ces effets positifs dont on prive injustement les femmes avec une vaccination aveugle et qui plonge les gens dans la dépendance? Pour qu'il y ait un vrai risque de stérilité, il faut une orchite bilatérale ce qui est très rare. Selon le Dr Cohen-Solal, le risque d'infertilité est nul chez les ENFANTS qui contractent naturellement les oreillons, bonne raison de faire la maladie naturellement et d'avoir ainsi une immunité à vie!

 

Partager cet article
Repost0
12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 15:40

fille-qui-tousse_imagelarge.jpg

L'immunité du vaccin contre la coqueluche s'estompe avec le temps :

 

La revue Pediatrics publie les résultats d’une étude démontrant que l’immunité des enfants qui ont reçu le vaccin contre la coqueluche diminue chaque année suivant l’administration de la dernière des cinq doses.

 

Des chercheurs américains ont analysé les cas d’incidence de la coqueluche chez un peu plus de 200 000 enfants qui avaient reçu toutes les doses prescrites. Parmi ceux-ci, 547 ont tout de même développé la maladie.

 

Les chercheurs ont constaté que malgré le fait que le vaccin est administré à la grande majorité des enfants, les cas de coqueluche continuent d’augmenter d’année en année. La proportion des enfants touchés âgés de 7 à 10 ans a presque doublé entre 2007 et 2009, passant de 13 % de l’ensemble des cas à 23 %.

 

Parmi une sous-population d’enfants faisant partie de l’étude, le risque absolu de contracter la coqueluche passait de 15,6 cas par 100 000 enfants durant l’année suivant l’administration de la dernière dose, à 138,4 cas par 100 000 enfants durant la sixième année, selon Med Page Today.

 

Source: yahoo.com

 

Référence de l’étude dans Pediatrics:

 

Tartof SY, et al "Waning immunity to pertussis following 5 doses of DTaP" Pediatrics 2013; 131: 1-6.

 

En fait, à en lire ce que le Journal International de Médecine (JIM) publiait récemment, on peut voir que la vaccination n'est pas sans effet sur les souches bactériennes, amenant celles-ci à ne plus exprimer dans certains cas, des toxines contenues dans le mélange vaccinal acellulaire, comme la pertactine. Tout ceci démontre donc que la Nature compense les pseudos barrages contre la maladie et met en place des phénomènes adaptatifs qui pourraient à terme s'avérer pire que l' "ennemi originel". Ajoutons à cela que les effets secondaires de ces vaccins ne sont pas nuls pour autant (hélas!). Nos ennuis d'aujourd'hui sont le fruit de nos "brillantes solutions" d'hier...

 

Nul doute que nos brillants experts décréteront la "seule" solution: soit un nouveau vaccin, soit un rappel de plus, soit d'autres cibles (encore d'autres cibles!) à vacciner. Pour eux, il faut absolument continuer de vacciner entre-temps avec les vaccins disponibles car ils offrent un certain degré de protection. Toutefois, il faut bien avoir à l'esprit que tous les vaccinés n'auraient pas forcément contracté une coqueluche s'ils ne l'avaient pas été.

 

Voir aussi:

 

Intérêt de la vitamine C dans les cas de coqueluche

 

 

Partager cet article
Repost0
26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 21:10

17 Exemples d’Echecs Vaccinaux Reconnus

 

Jeffry John Aufderheide, 23 février 2013

 

Enfants-vaccines-rougeole.jpgCe que cette petite fille dit: "Les enfants vaccinés

    attrapent la rougeole... le vaccin efficace à 99%???

 

Regardons s’il vous plaît les choses en face.

 

En tant que parents, nous sommes inondés de messages contradictoires au sujet des vaccins.

 

D’une part, les médecins et les médias traditionnels nous disent que les vaccins sont sûrs et efficaces. D’autre part, vous avez des parents comme moi qui disent que les vaccins ont endommagé la santé de leurs enfants ou, comme c’est aussi le cas, que les vaccins ne « fonctionnent pas » comme annoncé.

 

Ce que les gens ne savent pas bien c’est la fréquence à laquelle les vaccins échouent. Combien de personnes se demandent pourquoi les échecs vaccinaux ne font pas la Une des journaux ?

 

Une bonne partie de la réponse, c’est que de grosses sommes d’argent sont en jeu.

 

Avant de vous parler des 17 échecs vaccinaux, je voudrais vous inviter à regarder le graphique ci-dessous. Aux Etats-Unis, les enfants reçoivent 36 vaccins avant l’âge de 6 ans.

 

Graphique-enfants-avant-6-ans.PNG

 

Les Etats-Unis ont le calendrier de vaccinations le plus agressif au monde.

 

Quand les vaccins échouent, la solution proposée est souvent la même : on propose encore plus de vaccins, même si l’enfant a déjà reçu plusieurs doses censées le « protéger » !

 

Comme promis, voici donc des exemples  de parents confiants qui croyaient pouvoir protéger leurs enfants. On leur avait cependant injecté des vaccins toxiques et inefficaces.

 

Echec vaccinal # 1 – Epidémie d’oreillons dans les communautés juives orthodoxes aux Etats-Unis (2010)

 

Une épidémie importante d’oreillons s’est produite dans des communautés juives Orthodoxes parfaitement vaccinées en 2009 et 2010.

 

Parmi les adolescents vaccinés,

  • 89% avaient déjà reçu deux doses du vaccin contre les oreillons ;
  • 8% avaient reçu une dose.

97% de ceux qui furent infectés avaient reçu le vaccin. [1]

 

Echec Vaccinal  #  2  - Epidémie d’oreillons dans l’Iowa (2006)

 

En mars 2006, 219 cas d’oreillons furent signalés dans l’Iowa (2006) – soit la plus importante épidémie d’oreillons aux Etats-Unis depuis 1988.

L’âge moyen des 219 cas signalés était de 21 ans. Les 133 patients qui ont fait l’objet d’une étude avaient été vaccinés.

 

  • 87 (65%) avaient reçu 2 doses ;
  • 19 (14%) avaient reçu une dose ;
  • 8 (6%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 19 (14%) : statut vaccinal non précisé.

79% de ceux qui furent infectés avaient reçu au moins un vaccin.[2]

 

Echec Vaccinal  # 3 -  Epidémie d’oreillons dans un camp d’été à New York (2005)

 

Le 26 juillet 2005, le New York State Department of Health a identifié 31 cas d’oreillons vraisemblablement introduits par un conseiller du camp qui provenait du Royaume Uni. Dans l’ensemble du camp, la couverture vaccinale était de 96%. 31 participants furent infectés.

 

  • 16 (52%) participants avaient reçu 2 doses ;
  • 4 (13%) avaient reçu une dose ;
  • 9 (29%) n’avaient reçu aucune dose ;
  • 2 (6%) statut vaccinal non connu.

 20    personnes sur les 31 participants infectés (65%) avaient été vaccinées.

 

La couverture vaccinale pour l’ensemble du camp : 96% [3]

 

Echec vaccinal # 4 -  Epidémie d’oreillons dans une population fortement vaccinée (1989)

 

D’octobre 1988 à avril 1989, une épidémie d’oreillons se déclara dans le comté de Douglas au Kansas. On releva 269 cas d’oreillons. Parmi eux, 208 (77,3%) faisaient partie des écoles primaire et secondaire. 203 élèves (97,6%) avaient été vaccinés contre les oreillons. [4]

 

Echec vaccinal  # 5  -  Deux médecins complètement vaccinés contre la rougeole attrapent la rougeole (2009)

 

Au cours d’une épidémie de rougeole en 2009, deux médecins furent infectés par le virus de la rougeole alors qu’ils avaient tous deux été complètement vaccinés : ils avaient reçu deux doses du vaccin ROR (Rougeole Oreillons Rubéole). On a soupçonné que ces deux médecins furent infectés alors qu’ils soignaient des patients atteints de la rougeole. [5]

 

Echec vaccinal #  6  -  Importante épidémie de rougeole au Québec en dépit d’une couverture vaccinale de 99% (1989)

 

L’épidémie de rougeole de 1989 dans la province du Québec a infecté 1363 personnes. On a tenté d’expliquer cette épidémie en évoquant une « couverture vaccinale incomplète ».

Une enquête ultérieure détermina qu’au moins 84,5% des personnes avaient été vaccinées. Pour l’ensemble de la population, la couverture vaccinale était de 99%. [6]

 

Echec vaccinal #  7 -   Epidémie de rougeole en dépit des mesures de contrôle appropriées. (1985)

 

En 1985, sur les 118 cas de rougeole qui se déclarèrent dans une réserve du Montana (Blackfeet), 82% des personnes avaient été vaccinées ; Vingt-trois de ces cas sont survenus dans les écoles de Browning où 98,7% des élèves avaient été vaccinés. [7]

 

Echec vaccinal # 8 -  Epidémie de rougeole dans une école secondaire complètement vaccinée (1985)

 

En 1985, une épidémie de rougeole s’est déclarée dans une école secondaire de Corpus Christi au Texas. Plus de 99% des élèves avaient été vaccinés avec le virus vivant. Les enquêteurs ont conclu : « que des épidémies de rougeole peuvent se produire dans des écoles secondaires, même si plus de 99% des élèves ont été vaccinés et que plus de 95% sont immunisés. »

 

La couverture vaccinale pour cette école était de 99%  [8]

 

Echec Vaccinal  # 9 -  Rougeole dans une population scolaire vaccinée au Nouveau Mexique (1984)

 

L’histoire ne cesse de se répéter.

 

En 1984, 76 cas de rougeole ont été signalés à Hobbs, Nouveau-Mexique. 47 cas (62%) se sont produits chez des étudiants. L’école en question a signalé que 98% des élèves avaient été vaccinés contre la rougeole avant que l’épidémie ne se déclare.

Pour cette école, la couverture vaccinale était de 98%. [9]

 

Echec Vaccinal # 10 -  Epidémie de rougeole parmi les élèves vaccinés d’une école secondaire de l’Illinois ; (1984)

 

En 1984, 21 cas de rougeole se sont déclarés dans le comté de Sangamon (Illinois).

 

  • 16 (76%) avaient été vaccinés ;
  • 4 (19%) d’âge préscolaire n’étaient pas vaccinés.
  • 1 (5%) était un étudiant vacciné (college student)

Les 411 élèves de l’école secondaire locale avaient été vaccinés le jour de leur premier anniversaire ou peu de temps après. Les enquêteurs ont signalé : « Cette épidémie démontre que la transmission de la rougeole peut se produire dans une population scolaire avec un taux de vaccination atteignant les 100%. » [10]

 

Echec vaccinal # 11 – Analyse d’une épidémie de rougeole. – Rôle possible des échecs vaccinaux (1975)

 

En 1975, une épidémie de rougeole s’est produite dans les écoles de Greensville, Ontario. Parmi les 47 cas de rougeole,

 

  • 26 (55,3%) avaient été vaccinés ;
  • 18 (18,3%) n’avaient pas été vaccinés ;
  • 3 (6,4%) statut vaccinal inconnu.

Les enquêteurs ont conclu qu’un seul vaccin ne suffisait pas pour protéger les enfants. Ils ont recommandé des injections supplémentaires.

 

Cas de rougeole chez les enfants vaccinés : 53,3% [11]

 

Echec vaccinal # 12 – Durée inattendue de l’immunité après une vaccination contre la coqueluche (vaccin acellulaire) chez des pré-adolescents au cours d’une épidémie en Amérique du Nord. ( 2012)

 

En 2012, les médecins du « Kaiser Permanente Medical Center » identifièrent 171 cas de coqueluche – 132 cas furent dépistés chez des enfants. Ils constatèrent une augmentation des cas chez des enfants âgés de 8 à 12 ans.

A propos de l’efficacité de la vaccination, ils prétendirent ce qui suit :

 

  • Enfants de 2 à 7 ans : 41% d’efficacité ( ?!?)
  • Enfants de 8 à 12 ans : 24% d’efficacité ( ?!?)
  • Adolescents de 13 à 18 ans : 79% d’efficacité. 

Ces médecins ont émis l’hypothèse que ces enfants avaient besoin de davantage de vaccins pour être « efficacement protégés ».

 

Efficacité du vaccin pour les enfants de 8 à 12 ans : 24% [12]

 

Echec vaccinal # 13 – Aspects cliniques de la coqueluche chez des enfants complètement vaccinés en Lituanie (2001)

 

En 2001, la couverture vaccinale du pays était estimée à 94,6%. De mai à décembre de cette même année, la confirmation sérologique de la coqueluche fut établie chez  53 enfants. Parmi ces 53 enfants,

 

  • 32 (60,4%) avaient été complètement vaccinés,
  • 21 (39,6%) avaient été partiellement vaccinés ou pas vaccinés du tout.

Les enquêteurs ont d’une manière commode regroupé les enfants partiellement vaccinés et les enfants non vaccinés. 28 enfants parmi les 32 (87,5%) qui avaient été complètement vaccinés avaient aussi reçu des antibiotiques.

 

Les enfants vaccinés (qui avaient reçu au moins trois doses du vaccin DTC) représentaient 43,2% de tous les cas de coqueluche diagnostiqués en 2001.

 

La couverture vaccinale pour la Lituanie : 94,6%. [13]

 

Echec vaccinal # 14 – Infection coquelucheuse chez des enfants complètement vaccinés dans les garderies (2000)

 

De nombreux professionnels de santé sont catégoriques. Ils prétendent que les vaccins protègent des infections.

Les résultats d’une enquête de terrain en Israël ne confirment nullement cette croyance.

 

En 2000, un enfant qui est décédé a été suspecté d’avoir fait une coqueluche. Le bébé a reçu sa première dose de DTC à deux mois – tous les membres de sa famille étaient complètement vaccinés ; ils avaient tous reçu 4 doses du vaccin DTC.

 

On étudia de plus près le cas de deux jumeaux qui avaient été soignés dans le même Centre que l’enfant. Tous les enfants qui fréquentaient ce Centre avaient été vaccinés  dans l’enfance avec quatre doses du DTC  et avaient reçu une dose de rappel à 12 mois .

 

Cinq enfants complètement vaccinés ont été infectés par le Bordetella Pertussis (Coqueluche).

 

En conclusion les enquêteurs ont voulu souligner ce qui suit :

 

Les adolescents et les adultes vaccinés peuvent servir de réservoirs d’infection silencieuse et peuvent potentiellement contaminer des nourrissons non protégés. Le vaccin à germes entiers contre la coqueluche protège seulement contre la maladie clinique, et non pas contre l’infection. Par conséquent, même les jeunes enfants récemment vaccinés peuvent servir de réservoirs et de transmetteurs potentiels d’infection. »

 

Les enquêteurs ont insisté : « Nos résultats indiquent que les enfants de 5 à 6 ans et peut-être aussi les plus jeunes de 2 à 3 ans « jouent le rôle »  de réservoirs silencieux dans la transmission de la coqueluche dans la communauté. »

 

Couverture vaccinale dans ce centre (garderie) : 100% [14]

 

Echec vaccinal # 15 – Epidémie de coqueluche au Vermont (1996)

 

En 1996, on releva 280 cas de coqueluche au Vermont.

 

  • 12 (4%) avaient moins d’un an ;
  • 32 (11%) étaient âgés de 1 à 4 ans ;
  • 42 (15%) étaient âgés de 5 à 9 ans
  • 129 (46%) étaient âgés de 10 à 19 ans
  • 65 (23%) avaient 20 ans ou plus.

Sur un total de 215 enfants (dont le statut vaccinal était connu) combien avaient été vaccinés ?

 

  • 5 enfants de 7 à 47 mois étaient partiellement vaccinés ;
  • 14 enfants de 7 à 47 mois avaient reçu 3 doses du vaccin ;
  • 49 jeunes de 7 à 18 ans étaient partiellement vaccinés ;
  • 106 jeunes de 7 à 18 ans étaient complètement vaccinés.

Fait troublant : 174 enfants ont été vaccinés et plus de la moitié (61%) des enfants de l’école ont été considérés comme étant « complètement vaccinés » !

 

Il est important de garder à l’esprit que dans le Vermont en 1996, 97% des enfants de 19 à 35 mois avaient reçu trois ou davantage de doses du vaccin DTC ou DT.

 

Echec complet chez les enfants vaccinés : au moins 80,9% [15]

 

Echec vaccinal # 16 – Epidémie de varicelle dans une garderie  en dépit de la vaccination (2012)

 

Il arrive qu’au lieu de reconnaître qu’un vaccin a été un échec complet, on utilise des termes comme « percée de varicelle » pour parler des enfants qui sont tombés malades alors qu’ils avaient bel et bien été vaccinés.

 

En décembre 2012, une épidémie s’est produite dans une garderie privée près de Concord dans le New Hampshire. Au total, on enregistra 25 cas de varicelle chez les enfants.

 

  • 17 (68%) avaient été vaccinés ;
  • 8 (32%) n’étaient pas vaccinés – deux de ces enfants furent vaccinés fin décembre et classés dans le groupe des « non vaccinés ».

Les enquêteurs ont déploré le fait que l’efficacité du vaccin n’était que de 44%. Ils précisèrent :

 

« Les raisons du manque d’efficacité du vaccin ne sont pas évidentes… Les conclusions de cette enquête font craindre que la stratégie de vaccination en cours pourrait ne pas protéger les enfants de manière adéquate. »

 

La couverture vaccinale était de 73,1% [16]

 

Echec vaccinal # 17 -  Epidémie de varicelle chez des enfants de l’école primaire ayant reçu deux doses du vaccin contre la varicelle (2006)

 

Auriez-vous déjà remarqué  que quand un vaccin n’est pas efficace, la réponse est presque toujours : il faut plus de vaccins ?...

 

En juin 2006, on recommanda une seconde dose du vaccin contre la varicelle pour pouvoir entrer à l’école. Peu de temps après la reprise des cours, le Département de la Santé de l’Arkansas signala une épidémie de varicelle chez les élèves.

 

L’information sur la vaccination fut disponible pour 871 (99%) des 880 élèves.- 97% des élèves avaient été vaccinés pour la varicelle ! Au cours de cette épidémie, 84 cas furent signalés.

 

La couverture vaccinale était de 97%. [17]

 

Conclusion

 

Comme on peut le voir à partir des exemples qui précèdent, la vaccination est souvent inefficace. Il existe de nombreux autres exemples que nous ne pouvons aborder dans cet article.

 

Si vous souhaitez approfondir la question, voici une petite astuce. Sur Google.com, faites une recherche au moyen des mots clés suivants : « préalablement vaccinés pour X »  ou « épidémie à l’école X »…

 

En tant que parents vous faites confiance au médecin et vous attendez de lui qu’il vous fournisse des informations précises et exactes. Mais quand les médecins vous disent que les vaccins fonctionnent, qu’ils sont efficaces, de qui tiennent-ils leur information ?

 

Plus important encore, pourquoi les échecs vaccinaux ne sont-ils pas rapportés dans les médias traditionnels ? La réponse la plus plausible est que les organisations qui doivent le plus se protéger de la vérité sur ces questions sont membres de Big Pharma – Je ne pense pas que l’on ait déjà inventé un vaccin pour assurer cette protection.

 

Références

  1. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa1202865
  2. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm55d330a1.htm
  3. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5507a2.htm
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1861205
  5. http://jid.oxfordjournals.org/content/204/suppl_1/S559.full.pdf+html
  6. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1884314
  7. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed?term=3618578
  8. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJM198703263161303
  9. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00000476.htm
  10. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00000359.htm
  11. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1956577/
  12. http://cid.oxfordjournals.org/content/early/2012/03/13/cid.cis287
  13. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15918913
  14. http://wwwnc.cdc.gov/eid/article/6/5/00-0512_article.htm
  15. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00049244.htm
  16. http://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa021662
  17. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19593254 

Source: Vactruth

 

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA