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4 décembre 2012 2 04 /12 /décembre /2012 14:24

Voici ce qu'on pouvait lire dans la Lettre du Médecin N°1090 du 29 novembre dernier:

 

20% des adultes américains ont ressenti des troubles mentaux durant l’année écoulée

 

Selon un rapport de la Substance Abuse and Mental Health Administration (SAMHSA), un Américain adulte sur cinq, soit 45,6 millions de personnes, ont eu des troubles mentaux durant l’année dernière. Le taux de tels troubles est par ailleurs deux fois plus élevé chez les 18 à 25 ans que chez les 50+ (29,8% vs 14,3%).  On apprend aussi que 8,5 millions d’Américains ont caressé des idées de suicide et 1,1 million ont fait une tentative de suicide au cours de l’année concernée.
M.E.

 

 

Qui peut apporter la preuve que ces effets psychiatriques inquiétants n'ont strictement rien à voir avec les vaccinations incessantes avec lesquelles on ne cesse d'assommer le système immunitaire des Américains (non sans influence d'ailleurs sur le système nerveux)?



D'autant que les jeunes de 18 à 25 ans ont proportionnellement reçu beaucoup plus de vaccins à base d'aluminium (= neurotoxique) que les personnes de + de 50 ans, suite à l'extension surréaliste du calendrier vaccinal des jeunes, y compris avec la vaccination anti-HPV, et prétendument, au nom du "Progrès"- la vaccination antigrippale, inutile et non sans risques, ne contient toutefois, elle, pas d'aluminium.

 

Pour pouvoir balayer toute corrélation, encore faudrait-il avoir testé correctement les vaccins, et les avoir évalués contre de vrais groupes placebos pour ne pas biaiser d'emblée la comparaison!

 

Il nous semble peu probable, compte tenu des données existantes, que les vaccins n'aient joué strictement aucun rôle dans pareil nivellement par le bas de la santé psychique des gens. C'est affligeant!

 

Lire ou relire aussi l'article "Les vaccins, problème social", du Dr Marc Deru.

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 23:37

03/12/12 17:30 Delphi Genetics annonce la mise au point d’un premier vaccin ADN efficace développé avec la technologie Staby®

 

Delphi Genetics annonce la mise au point d'un premier vaccin ADN efficace développé avec la technologie Staby®

 

A l'occasion de l'inauguration de son nouveau bâtiment, la société belge Delphi Genetics, spécialisée en Biotech, a annoncé que le premier vaccin ADN sans antibiotique et utilisant la technologie Staby®, a été testé de manière efficace in vivo. Delphi Genetics participe au projet DNAVAC subsidié par la Région Wallonne (projet BioWin), en collaboration avec des acteurs du monde académique et des biotechnologies. Le but de ce projet est de développer et produire des vaccins ADN sans antibiotique qui cibleront plusieurs maladies vétérinaires. Comme modèle, le consortium a développé un vaccin ADN contre le virus Aujeszky, l'agent pathogène de la pseudo-rage.

 

«Ce virus a été sélectionné parce qu'il entraîne systématiquement une maladie grave et mortelle chez les espèces sensibles, ce qui en fait un excellent modèle pour tester l'efficacité d'un candidat vaccin. Les résultats des tests accomplis par le Dr. Anca Reschner sont très clairs : tous les animaux vaccinés grâce aux vecteurs Staby® furent résistants au virus mortel Aujeszky. » explique le Professeur Alain Vanderplasschen de l'Université de Liège (Immunologie-Vaccinologie).

 

Cédric Szpirer PhD, co-fondateur et Administrateur Délégué de Delphi Genetics, ajoute : « Il s'agit du premier vaccin ADN réellement produit en utilisant la technologie Staby®. Plusieurs vecteurs ADN ont été créés précédemment pour générer une production d'anticorps, mais c'est la première fois que des tests sont réalisés in vivo afin d'évaluer son efficacité contre une maladie. Toutes les étapes de la production du vaccin ont été exécutées efficacement en évitant totalement l'utilisation des gènes de résistance aux antibiotiques, en accord avec les recommandations des autorités compétentes (FDA, USDA, EMA). Ces résultats valident l'utilisation de la technologie Staby® en dehors du domaine de la production de protéine. »

 

En effet, il y a quelques semaines (le 8 octobre 2012), Delphi Genetics a annoncé un large accord de licence avec une filiale de Merck & Co., Inc., connue sous le nom de MSD en dehors des Etats-Unis et du Canada, pour l'usage de la technologie StabyExpress® pour la production de protéines dans les secteurs de la santé humaine et animale. Cette technologie avait déjà fait l'objet d'accords de licence avec Sanofi-Pasteur (2009) et GSK (2010) dans le cadre de la production de protéines utilisées pour les vaccins humains.

 

Comme annoncé le 30 janvier 2012, le projet DNAVAC implique un consortium qui se compose comme suit : la société Eurogentec SA, une autre société belge de biotechnologie (faisant partie du groupe Kaneka) qui est en charge de la production et purification de l'ADN à grande échelle ; l'Université Catholique de Louvain responsable des études pharmaceutiques et de toxicité dans le projet et l'Université de Liège en charge des aspects vétérinaires et de vaccinologie.

 

Source: bourse.lci.fr

 

Le vaccin anti-hépatite B fut le premier (dans sa deuxième version) à avoir été mis au point par génie génétique dans les années 80 : loin d’être sûr, ce vaccin fut responsable, selon le rapport Dartigues, d’une des plus grandes séries d’effets secondaires de toute l’histoire de la pharmacovigilance française ! Sans parler du lien clair avec la sclérose en plaques, les autres maladies démyélinisantes et d’autres maladies auto-immunes, comme le diabète de type 1 ou encore le lupus.

 

Qu’à cela ne tienne, les dangereux apprentis sorciers qui se paient sur l’argent public (des contribuables) continuent leur fuite en avant qui continuera de nous mener droit dans le mur en termes de santé publique avec des vaccins encore plus hasardeux et des jeux sans aucun filet avec de l’ADN étranger. Quelle honte que des instances dites « publiques » ou encore des universités osent soutenir ces frelatages périlleux du vivant au nom du prétendu « Progrès » ! Nul doute que les générations futures les maudiront un jour….

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 11:53

... des chercheurs militaires y travaillent (avec nos deniers!)

 

Le pollen pourrait contribuer à fabriquer des vaccins plus efficaces affirme le DARPA

  

 

Mark Rockwell, 28.11.2012 

  

Pollen.jpg

 

 

Selon une Agence militaire Américaine de recherches, les minuscules grains de pollen qui provoquent de grandes souffrances aux personnes allergiques, pourraient présenter une solution pour la fabrication de vaccins efficaces pour différents problèmes de santé.

 

Selon l’Agence DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), l’un de ses chercheurs étudie de nouvelles méthodes de fabrication et de présentation de vaccins destinés à l’administration par voie orale. Son outil de prédilection est le pollen, a déclaré le porte-parole de DARPA le 27 novembre.

 

L’Agence en question a expliqué qu’ Harvinder Gill, professeur adjoint à l’Université Texas Tech cherche à comprendre, à concevoir et à tester une vaccination par voie orale réalisée à partir de pollen pour pouvoir protéger contre de nombreuses maladies infectieuses. En cas de succès, sa recherche pourrait permettre la mise au point de vaccins plus efficaces, plus faciles à administrer et à transporter pour les troupes déployées.

 

Pour la DARPA, le pollen présenterait de nombreux avantages pour la réalisation et l’administration de vaccins. L’extérieur d’un grain de pollen est une coque faite de polymère durable et non allergène. Le contenu de l’enveloppe peut être débarrassé des protéines végétales allergéniques et des graisses qu’il contient pour en faire un produit neutre. Ce qui resterait de l’enveloppe pourrait contenir des vaccins qu’il serait possible d’administrer par voie orale.

 

La résistance naturelle de la coque du pollen permettrait au vaccin de passer, sans être détruit, par les voies digestives.

 

Un vaccin administré par voie orale est efficace, indolore ; il peut à la fois induire des réponses immunitaires muqueuses et systémiques, renforçant ainsi la protection, a déclaré le porte-parole de la DARPA.

 

L’administration de pilules traditionnelles peut être perturbée par les processus naturels du corps humain. Lorsque les patients avalent des vaccins ou autres médications, les acides de l’estomac et les processus digestifs peuvent dégrader les produits, mais du fait que les coques de pollen sont durables, elles peuvent se maintenir intactes à l’intérieur du corps et préserver le vaccin jusqu’au moment où il pourra être absorbé par le corps.

 

La DARPA possède déjà plusieurs programmes biologiques destinés à protéger la santé des soldats américains par rapport à des menaces connues et inconnues, a déclaré Jay Schnitzer, directeur du Bureau des Sciences de la Défense qui supervise actuellement le programme YFA. « Nous soutenons activement la recherche de base comme celle menée par les bénéficiaires YFA, car elle aide à ouvrir de nouvelles perspectives d’exploration et favorise de précieuses relations durables entre le DoD et la communauté des chercheurs. »

 

On trouvera plus d’informations sur la recherche du Dr Gill au lien suivant : www.gill-lab.che.ttu.edu. Son laboratoire étudie actuellement les grains de pollen, les micro-aiguilles, les nano-particules d’or et les polymères micro-nano-particules pour la vaccination mucosale et l’administration de médicaments contre le cancer …  

 

Source: gsnmagazine

  

Ils chercheront TOUS les trucs et TOUTES les astuces possibles pour vacciner absolument un maximum de gens (peu importe leur volonté) : vaccins oraux, vaccins universels à ne soi- disant faire qu’une fois dans la vie, vaccins par micro-aiguilles, par nanopatches, vaccins via des « aliments vaccinants » transgéniques, etc etc.

 

 Tout est à l’étude sauf une chose, la plus importante :

 

Par quel moyen démocratique pourrons-nous leur faire comprendre que ces folies doivent cesser et bien sûr, tout le cortège de pressions et obligations inadmissibles qui vont avec ? Prendre conscience de cette réalité, c’est déjà commencer à pouvoir y faire face et à y réagir efficacement car une fois encore, tous les risques de ces méthodes d’apprentis-sorciers, ce sera à VOTRE corps et à celui de VOTRE (vos) enfant(s) de les assumer…

 

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 11:01

30 novembre 2012

 

Aluminium dans les vaccins

 

Lien de cause à effet établi

 

Le conseil d’État vient de reconnaître un lien de cause à effet entre l’aluminium utilisé comme adjuvant dans un vaccin contre l’hépatite B et la survenue d’une myofasciite à macrophages chez un agent de la ville de Paris. Actuellement, il n’y sur le marché aucun vaccin (anti-hépatite B) sans aluminium.

 

La justice est lente ? Sans doute. Mais en l’occurrence, les juges ont été plus rapides, et, peut-être, moins timorés que les autorités sanitaires et politiques. Le 21 novembre dernier, le conseil d’État a décidé que la myofasciite à macrophages dont souffre depuis 1996 un fonctionnaire de la ville de Paris avait très probablement été déclenchée par le vaccin contre l’hépatite B administré préalablement à son embauche. Par conséquent, cet agent, atteint par la maladie au point qu’il ne peut plus travailler, doit être considéré comme victime d’un accident lié à ses fonctions, et peut bénéficier de son salaire dans son intégralité jusqu’à ce qu’il soit capable de reprendre son poste.

 

En cause, précisément : l’aluminium utilisé comme adjuvant dans le vaccin qui lui a été injecté à deux reprises. Le conseil d’État a considéré que l’état des connaissances scientifiques sur les sels d’aluminium, ainsi que les circonstances de l’apparition des symptômes, suffisaient pour que le lien de causalité soit « regardé comme établi ». Chez certaines personnes vraisemblablement prédisposées, l’aluminium contenu dans les vaccins n’est pas éliminé en totalité et provoque cette maladie terriblement invalidante qu’est la myofasciite à macrophages.

 

C’est pourquoi les autorités sanitaires seraient bien inspirées d’agir rapidement, afin que soient remis sur le marché des vaccins ne comportant pas de sels d’aluminium. Depuis 2008, date du retrait du DTPolio sans adjuvant, il n’existe plus aucune formule sans aluminium ! Lors de la campagne présidentielle, Marisol Touraine, aujourd’hui ministre de la Santé, s’était engagée en faveur du choix pour les familles de faire vacciner leurs enfants avec des produits sans sels d’aluminium. Elle a, en juillet dernier, saisi l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). On attend toujours la réponse. Plusieurs membres de l’association E3M (Entraide aux malades de myofasciite à macrophages), qui se bat pour que des vaccins sans aluminium soient remis à disposition, ont entamé une grève de la faim le 26 novembre.

 

Anne-Sophie Stamane

 

Source : UFC Que Choisir

 

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 22:00

divorce-faute-separation.jpg

Voilà une situation tout à fait concrète qui arrive beaucoup plus souvent qu'on ne le pense: des parents qui n'étaient pas d'accord en matière de vaccination se séparent et cela devient encore plus problématique, certains étant alors prêts à faire vacciner l'enfant dans le dos de l'autre conjoint ou alors, à recourir à l'argument de la non vaccination comme indice de mauvais traitements dans le cadre d'un divorce!

 

Récemment encore, une maman nous a contactés en nous lançant un appel à l'aide car, ici en Belgique, sa fillette d'un peu plus de 2 ans venait d'être vaccinée dans son dos et donc sans son accord, suite à une visite chez un médecin inconnu d'elle et choisi par son ex-conjoint à plusieurs dizaines de kilomètres de chez elle.

 

Le papa avait en fait toujours été au courant des réticences (justifiées) de la maman et les avait acceptées mais au moment de la séparation, comme il était sans doute professionnellement nécessaire pour le papa de faire garder l'enfant certains jours, et compte tenu de la tyrannie vaccinale inacceptable de l'ONE, il a donc été faire administrer deux injections différentes à la fillette qui n'avait jusqu'alors reçu qu'un minimum de vaccins, en fonction du compromis qui avait été initialement arrêté par les parents.

 

La maman, dont on peu imaginer l'angoisse et la détresse, n'a en fait découvert le pot aux roses que parce que la fillette lui a indiqué "bobo docteur" en lui montrant notamment son bras. Lorsque la maman lui a alors demandé si elle avait reçu une piqûre, la petite fille a fait comprendre que oui. La maman a alors demandé combien de piqûres elle avait reçu. La petite fille a alors montré son bras et sa fesse... elle avait donc reçu deux injections dont la maman n'avait aucune possibilité de connaître la nature exacte!

 

S'adressant alors très rapidement au papa de la fillette, qui a d'abord nié, (il avait en fait arrangé le scénario avec la petite fille en lui demandant que les vaccinations et la visite chez le médecin restent un secret entre eux deux), la maman a fini par apprendre de son ex-conjoint que la fillette avait reçu des vaccins mais celui-ci a toutefois refusé de dire à la maman ce qui lui avait injecté très exactement.

 

Le médecin tiers étant inconnu de la maman et celui-ci n'ayant pas pu disposer du carnet de vaccinations attestant de ce que la petite avait déjà reçu, il y avait donc le risque d'administrer des doses inutiles à l'enfant.

 

Le souhait, bien compréhensible de cette maman était donc de savoir s'il lui était possible de connaître les noms exacts des vaccins injectés dans son dos à sa fille et d'éviter que d'autres vaccinations ne soient faites dans ces même conditions d'opacité. Elle voulait aussi savoir si elle avait le droit de refuser que sa fille ne soit vaccinée ou si, à défaut, elle avait le droit d'instaurer alors une vaccination plus étalée et plus progressive.

 

Compte tenu du caractère non exceptionnel de ce genre de situations, il nous a donc paru utile de rédiger un article sur les grandes lignes à connaître pour réagir utilement et efficacement dans ce type de contexte  et ainsi bien connaître, en tant que parent, ses devoirs et ses droits en la matière et les meilleurs moyens de les exercer, dans l'intérêt de l'enfant.

 

- Lorsqu'un désaccord survient par rapport aux vaccins au sein d'un couple divorcé ou séparé, le conjoint favorable à la vaccination n'ignore le plus souvent pas les réticences de son ex. En revanche, une majorité d'ex-conjoints ignorent les contours de ce qu'on appelle l'exercice de l'autorité parentale conjointe. En matière médicale en effet, les deux parents ont voix au chapitre et ainsi, sauf situation urgente où il faudrait par exemple prendre une décision instantanée pour la survie de l'enfant, l'exercice de l'autorité parentale doit se faire conjointement, ce qui suppose de recueillir l'aval du père et de la mère, à fortiori chez un mineur qui n'est pas apte à consentir.

 

- Les dispositions légales relatives à l'exercice de l'autorité parentale conjointe impliquent plusieurs choses, dont le fait qu'il est illégal pour un parent de procéder comme le papa l'a fait dans le cas ci-dessus, soit dans le dos de la mère et en refusant de lui dire ce qui a été exactement injecté à l'enfant à sa demande. La maman peut donc se retourner en justice ou dans le cadre de procédures en cours contre son ex-conjoint pour violation des dispositions sur l'exercice de l'autorité parentale conjointe. Et donc, exiger que lui soit révélé ce qui a été injecté à sa fille. Et que pareille situation ne se reproduise plus.

 

- La situation est hélas différente en ce qui concerne le médecin vaccinateur: en droit, le médecin est présumé de bonne foi s'il procède à la vaccination d'un enfant accompagné par un seul de ses deux parents. Il peut donc, au regard du droit, estimer que c'est là l'accord des deux parents qui est sous-jacent à la présentation de l'enfant à sa consultation pour y être vacciné. La situation est en revanche différente si ce médecin avait connaissance des réticences vaccinales d'un des deux parents et, à fortiori si un des deux conjoints lui avait fait savoir par écrit ses réticences ou son désaccord en matière de vaccination. Dans ce cas, ce médecin encourt des sanctions car sa bonne foi ne pourrait alors plus être invoquée. C'est la raison pour laquelle, tout médecin consciencieux et conscient du caractère de plus en plus controversé des vaccinations, devrait penser à s'enquérir de la situation de famille des enfants et en cas de séparation de fait ou de divorce des parents, demander si l'autre parent a marqué son accord ou pas pour la ou les vaccinations concernées. Si tel n'est pas le cas, il devrait, par prudence, s'abstenir de vacciner et rappeler au parent présent en consultation les dispositions sur l'exercice de l'autorité parentale conjointe. En cas de mensonge d'un des parents sur l'accord de l'autre conjoint, le médecin pourrait éventuellement se retourner pour dol contre le parent qui lui aurait menti.

  

- Le problème dans ce genre de situations, est qu'il est hélas possible que l'ex conjoint favorable aux vaccinations aille trouver un médecin inconnu de son ex-partenaire dont celui-ci pourrait ne jamais connaître le nom et l'identité et à qui il ne peut en conséquence pas signifier son opposition. Cette porte ouverte-là expose donc l'enfant à de multiples vaccinations contre la volonté d'un des deux parents.

 

- Il est important pour le conjoint qui ne souhaite pas que son enfant se fasse vacciner de réaliser plusieurs démarches pour s'assurer que son choix puisse être pris en compte:

 

a) Dès la séparation, il est bon de signifier à son ex-conjoint, par recommandé avec accusé de réception, le fait que vous n'autorisez pas l'administration du moindre vaccin à votre enfant sans votre avis et celui du médecin de votre choix. De même, il est bon de rappeler évidemment aussi dans ce genre de courrier que pour ce qui est de la santé de l'enfant, l'autorité parentale s'exerce conjointement au regard du droit et que l'avis des deux parents doit donc être automatique, surtout à partir du moment où les divergences de vue sont connues. A défaut, la bonne foi sera impossible à invoquer devant les cours et tribunaux.

 

b) Comme plusieurs ex-conjoints ont la fâcheuse (et malhonnête) manie d'invoquer le refus de vaccination de l'autre partenaire dans le but d'obtenir de meilleures gardes ou de se faire passer auprès du juge pour "de meilleurs parents", il est bon, dans le cadre de ce courrier recommandé au partenaire (qui peut éventuellement être versé au dossier dans le cadre d'une procédure judiciaire ou d'une autre action juridique en cours), d'expliciter les bonnes raisons, avec leur fondement scientifique, aux réticences qui sont les vôtres en matière de vaccination. Cela permettra de facto de remettre un petit peu les pendules à l'heure sur le fait que vous vous souciez au contraire très fortement de l'intégrité et de la bonne santé de votre (vos) enfant(s). On peut par exemple rappeler le fait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont comptabilisés pour le calcul du bénéfice/risque de ces produits, ou encore le montant faramineux déjà payé par diverses autorités pour indemniser les victimes de vaccins, on gagne aussi à rappeler que selon plusieurs études et enquêtes indépendantes, la santé des enfants non vaccinés est globalement bien meilleure que celle des enfants vaccinés; que les médecins ne sont pas tous d'accord entre eux sur l'utilité et la sécurité des vaccins faits aux enfants, que jamais aucune étude contre placebo ou à long terme n'est officiellement requise avant l'octroi de l'autorisation de mise sur le marché de ces produits ou encore, qu'il n'existe en Belgique aucun système d'indemnisation des victimes de vaccins, contrairement à d'autres pays qui utilisent pourtant des vaccins de même composition.

 

c) Vu l'irréversibilité des séquelles possibles des vaccins et du caractère franchement expérimental de tous les vaccins actuellement sur le marché, il est aussi pertinent de signifier dans ce genre de courrier que vous tiendrez pour responsable des dommages physiques, psychiques et moraux de votre enfant ainsi que des suites financières qui en découleront, le médecin vaccinateur qui aura vacciné sans votre accord et éventuellement, dans le non respect de la loi du 22 août 2002 relative aux droits des patients (droit à une information suffisamment claire et objective, droit au consentement libre et éclairé du patient, ou à défaut, de son ou ses tuteurs légaux) ainsi que votre ex-conjoint qui aura permis une telle vaccination dans ces conditions illicites.

 

d) Il est en outre aussi utile (mais un peu plus faisable si l'enfant est un peu plus âgé) d'expliquer à l'enfant pourquoi vous n'êtes pas d'accord de le faire vacciner, de façon à ce qu'il ait bien compris que vous n'y êtes pas favorable et lui expliquer qu'il est bon qu'il le fasse savoir au médecin qui s'apprêterait à le vacciner, en lui remettant éventuellement un mot écrit et signé de votre main dont il pourrait "être équipé" ou avoir avec lui, en toutes circonstances, y compris à l'école si vous craignez une vaccination intempestive par ce biais.

 

e) Il est donc utile d'écrire aussi par recommandé au milieu scolaire (direction+ centre médico-scolaire (PMS) + instituteur ou titulaire), ainsi qu'une note au journal de classe de l'enfant comme quoi, en tant que parent de (prénom de l'enfant), vous n'autorisez pas la vaccination de votre enfant sans votre accord et celui du médecin traitant de votre choix et ce, dans le plus strict respect de l'exercice de l'autorité parentale conjointe en matière médicale.

 

f) Enfin, n'hésitez pas, dans ce genre de contextes difficiles, à demander l'avis d'associations citoyennes indépendantes dont le but est justement de permettre à la fois l'information mais aussi la liberté vaccinale. Dans une majorité des cas, il y a en effet moyen si on s'y prend bien, de trouver les meilleurs compromis dans l'intérêt de l'enfant, étant entendu que les preuves scientifiques sont hélas là pour montrer que "le tout vaccin" tel que préconisé par les autorités officielles ne contribue certainement pas au bien-être ou à la bonne santé des enfants!

 

Voir aussi cette très intéressante contribution de Me Philippe Vanlangendonck (avocat au barreau de Bruxelles) sur les droits des jeunes en matière de vaccination, en Belgique.

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1 décembre 2012 6 01 /12 /décembre /2012 21:03

Augmentation de 4.250 % des cas de mortalité fœtale signalés au VAERS (*) 

après le vaccin contre la grippe administré aux femmes enceintes.

 

Christina England, 23 novembre 2012

 

femme-enceintes-vaccination.JPG

 

Une augmentation des cas de mortalité fœtale a été signalée au VAERS après que des femmes enceintes ont reçu des vaccins contre la grippe.

 

La documentation reçue de la Coalition Nationale des Femmes Organisées (NCOW) stipule qu’entre 2009 et 2010, les rapports d’effets secondaires communiqués au VAERS  sur les vaccins multi-souches contre la grippe et additionnés de mercure ont augmenté de 4.250% chez les femmes enceintes.

 

Eileen Dannemann, directrice du NCOW, a expliqué clairement que, bien que ces chiffres étaient connus des Centres de Contrôle des Maladies (CDC), le vaccin inactivé multi-souche contre la grippe additionné de mercure (Thimerosal) a, une fois de plus, été recommandé comme étant un vaccin sûr pour les femmes enceintes (pour cette saison.)

 

Outrée par le mépris total du CDC pour la vie humaine, Madame Dannemann a accusé le CDC de « fraude intentionnelle », précisant que ces personnes sont responsables de la mort de milliers de bébés à naître. Elle a déclaré que le CDC a délibérément trompé les obstétriciens et les gynécologues ; elle a accusé le CDC de connivence avec l’American Journal of Obstetrics and Gynecology (AJOG) pour tromper le public en faisant croire que le vaccin contre la grippe était sans danger pour les femmes enceintes alors que ces gens savaient parfaitement bien que ce vaccin était en train de causer un pic massif de mortalité fœtale.

 

Dans une lettre qu’elle écrivait au Dr Joseph Mercola, Madame Dannemann précisait:

 

« Non seulement le CDC ne divulgue pas la flambée vertigineuse des rapports de mortalité fœtale en temps réel pour la saison 2009 de pandémie (et qui aurait pu permettre de réduire le nombre des pertes fœtales), mais nous disposons aussi d’un texte du Dr Marie McCormick, présidente du Groupe de Travail sur l’Evaluation des Risques Vaccinaux (VSRAWG) datant du 3 septembre 2010 qui nie toute forme d’effet secondaire chez les femmes enceintes au cours de la période pandémique de 2009. »[1]

 

Camoufler les preuves

 

Du fait que le vaccin pandémique H1N1 n’avait jamais été testé sur les femmes enceintes, et dans le but de réduire les peurs relatives à des risques inconnus, le Dr Marie McCormick  du CDC a été désignée pour garder trace de tous les effets indésirables au cours de la saison pandémique de 2009, y compris ceux qui devaient survenir chez des femmes enceintes. Le Dr McCormick était responsable de l’envoi mensuel de rapports reprenant  des événements suspects indésirables au Secrétaire de la Santé et des Services Sociaux (HHS).

 

Selon Madame Dannemann, le NCOW a pu obtenir accès à ces rapports mensuels. Après avoir adressé une demande d’accès à l’information du CDC, il lui fut précisé qu’elle devrait attendre 36 mois pour pouvoir accéder à la partie de ces rapports qui pouvait être publiée.

 

Suite de la lettre au Dr Mercola :

 

« Le Comité Consultatif sur les vaccins administrés aux enfants (ACCV), ainsi que le CDC ont, à Washington, été confrontés aux données du VAERS le 3 septembre 2010, puis à nouveau au cours d’une conférence le 10 septembre, et enfin à Atlanta le 28 octobre 2010. Tant le 3 septembre que le 10 septembre, le Dr Marie Mc Cormick a clairement nié qu’il existait le moindre effet indésirable du vaccin anti grippe pour les femmes enceintes pour la période de 2009. »

 

La version médicale de la dissimulation

 

En vue de clarifier et de renforcer sa position, le NCOW a demandé au Dr René Tocco de présenter les résultats des recherches effectuées au siège du CDC à Atlanta (Géorgie).

 

Le Dr Shimabkauru du CDC a fait un exposé sur les principaux effets indésirables du vaccin contre le H1N1, citant par exemple des cas de Guillain-Barré qui semblaient avoir augmenté de 3%, mais qu’il voulait considérer comme un signal non significatif.

 

Aucune mention ne fut faite des événements indésirables liés aux femmes enceintes.

 

Les tentatives du Dr Shimabkauru de jeter de la poudre aux yeux ont, malheureusement pour lui, été déjouées quand un membre de l’auditoire qui le contestait a demandé si le vaccin avait provoqué des effets indésirables chez les femmes enceintes. Se sentant acculé, il s’est résigné à fouiller dans ses documents pour finir par timidement présenter une diapositive qui corroborait les données du NCOW et qui confirmait que le CDC était bel et bien au courant du pic de mortalité fœtale au cours de l’automne 2010. [2]

 

Alors, pourquoi le Dr Shimabkauru disposait-il d’une diapositive qui présentait des preuves compromettantes ? Pourquoi avait-il décidé de ne pas inclure cette diapositive dans son exposé ? S’il avait préparé un diaporama reprenant ces données cruciales, il aurait été logique d’inclure la diapositive dans sa présentation.

 

Après tout, une augmentation de 4.250% de la mortalité fœtale est beaucoup plus importante qu’une augmentation de 3% des Guillain-Barré !

 

Madame Dannemann estime que l’existence de cette diapositive, avec le fait que cette dernière avait été supprimée lors de la présentation, confirme que le CDC était au courant du pic de mortalité fœtale au cours de l’automne 2010 et a tenté par tous les moyens de ne pas rendre cette information publique.

 

Reprenant la suite des événements, Madame Dannemann croit que les dissimulations continuelles du CDC mettent la vie des femmes enceintes comme de leurs enfants à naître en danger. Elle a maintenu :

 

« La poursuite du programme des vaccinations sans que l’on se donne la peine d’informer le public et les professionnels de santé des données du VAERS concernant les fausses couches ou les enfants morts nés, semble bien relever d’une décision délibérée.

 

Le CDC bien que parfaitement au courant des premières données qui lui étaient communiquées sur les événements indésirables de ce vaccin a clairement décidé de permettre aux obstétriciens de continuer, sans que ces derniers s’en rendent compte, de faire mourir et de causer des dommages aux enfants à naître… »

 

Collaboration et corruption

 

En dépit des preuves confirmant que le CDC était au courant de l’augmentation de 4.250% de mortalité fœtale dans les rapports de 2009/20010 et en vue de pouvoir poursuivre le programme de vaccinations pour les femmes enceintes, le CDC a publié une étude dans l’AJOG et rédigée par le Dr Pedro Moro à l’automne 2010.

 

L’étude précise qu’il n’y avait eu que 23 fausses couches provoquées par le vaccin contre la grippe en 19 ans (de 1990 à 2009), donc une moyenne de 1,2 fausse couche par an. C’est cette étude qui a servi de base à la campagne de publicité du CDC organisée sur un plan mondial, et qui précisait que la vaccination contre la grippe était sans danger pour les femmes enceintes, tout en excluant délibérément et stratégiquement les données de 2009, alors qu’ils disposaient bel et bien de ces informations.

 

Madame Dannemann poursuit :

 

« Tant le CDC que l’AJOG étaient bien conscients du fait que les médecins et le grand public étaient dans l’attente  des résultats du vaccin  H1N1 de 2009 non testé sur les femmes enceintes. Au début de la saison pandémique, le public avait reçu de solides assurances que le CDC était parfaitement préparé pour recueillir  toutes les réactions négatives au vaccin, étant donné qu’il avait créé un groupe de travail présidé par le Dr Marie McCornick (VSRAWG) pour évaluer les risques vaccinaux. »

 

Madame Dannemann a précisé qu’en incluant les données de la saison grippale 2008/2009, mais en excluant les données de 2009 de la saison grippale 2009/2010, dans l’étude publiée par l’AJOG, le Dr Moro a pu donner l’impression que la saison pandémique 2009/2010 était comprise dans les données, ce qui n’est pas du tout le cas. Madame Dannemann croit que ce fut un acte délibéré de sa part parce qu’au cours de la préparation de l’étude, il était conscient des données qui faisaient état du pic de morts fœtales de 2009/2010. Il aurait donc volontairement exclu de l’étude les données de 2009 dans le but de dissimuler ces faits.

 

A l’automne 2010, juste à temps pour la nouvelle saison grippale, les médias du monde entier ont publié l’étude de l’AJOG revue par les pairs (Dr Moro) présentée comme preuve irréfutable que le vaccin contre la grippe était sans danger pour les femmes enceintes. Les documents du NCOW ont, à la même époque, contribué à prouver et à faire connaître très largement l’avis selon lequel toutes les femmes enceintes devaient recevoir le vaccin combiné contre la grippe. A la même époque, le CDC  a entrepris de faire signer une lettre commune à dix organismes sans but lucratif pour inciter les obstétriciens et les gynécologues à faire vacciner leurs patientes enceintes.

 

L’une de ces organisations signataires de la lettre était « The March of Dimes » [3] qui a exhorté les personnels de santé à recommander le vaccin contre la grippe aux les femmes enceintes comme à celles qui allaient le devenir. La recommandation suivante a été adressée à tous les personnels de santé :

 

Les conseils d’un professionnel de santé jouent un rôle important dans la décision que doit prendre une femme en cours de grossesse, et peu après la naissance, de se faire vacciner contre la grippe saisonnière. L’Académie Américaine des Médecins de Famille (AAFP), l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP), l’American College of Nurse-Midwives (ACNM), Le Collège Américain des Obstétriciens et Gynécologues (The College), l’Association Médicale Américaine (AMA) , l’Association Américaine des Infirmières (ANA), l’Association Américaine des Pharmaciens (APHA), L’Association pour la Santé des Femmes, Obstétrique et Néonatalogie (AWHONN), l’Association « March of Dimes », les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC)  ont besoin de votre aide pour exhorter vos patientes enceintes, et celles venant d’accoucher, à se faire vacciner contre la grippe saisonnière.

 

Le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) recommande cette année la vaccination contre la grippe saisonnière aux femmes enceintes et post-partum, même si elles ont déjà reçu le vaccin contre la grippe saisonnière ou le vaccin H1N1 en 2009. Un manque de connaissances par rapport aux avantages de la vaccination et les inquiétudes concernant la sécurité des vaccins sont les obstacles habituels à la vaccination antigrippale des femmes enceintes et de celles venant d’accoucher. Des représentants des dix organisations ont signé la lettre.

 

Ce que le CDC a omis de dire aux femmes enceintes

 

Le 27 septembre de cette année 2012, le journal « The Human and Environmental Toxicology Journal » (HET) a publié l’étude du Dr Gary Goldman qui confirme les données du NCOW, soit une augmentation de 4.250 %  des fausses couches et de morts fœtales signalées au VAERS pour la saison grippale 2009/2010. [4] L’étude souligne un fait étonnant que personne n’avait vu jusqu’à la publication de l’étude de Goldman dans le HET : le CDC a recommandé un double dosage du vaccin pour les femmes enceintes, un premier contre la grippe saisonnière avec mercure et un deuxième vaccin H1N1 au mercure, non testé.

 

Dans son résumé Goldman a écrit :

 

« Le but de cette étude a été de comparer le nombre de rapports de fausses-couches et de cas de mortalité fœtale liés au vaccin inactivé contre la grippe et qui avaient été rapportés au VAERS au cours de trois saisons grippales consécutives débutant en 2008/2009, ainsi que d’évaluer les rapports relatifs à la mortalité fœtale associés à la double vaccination pour la saison 2009/2010. »

 

Les faits exposés par Goldman sont extrêmement inquiétants ; Il met en évidence le fait que la sécurité et l’efficacité du vaccin A-H1N1 n’ont jamais été établies chez les femmes enceintes et que la combinaison de deux vaccins différents contre la grippe n’a jamais été testée pour les femmes enceintes.

 

Encore plus inquiétant est le fait que les notices de différents fabricants portaient cet avertissement :

 

« On ne sait pas si ces vaccins sont susceptibles de provoquer des dommages fœtaux s’ils sont administrés aux femmes enceintes ou s’ils peuvent affecter la capacité de reproduction. »

 

Le Dr Goldman a également souligné que le fœtus est indirectement exposé au mercure quand des vaccins qui contiennent du thimérosal sont administrés aux femmes enceintes. Il a également présenté une étude de A.R. Gasset,M. Itoi, Y. Ischii et R.M. Ramer qui ont examiné ce qui s‘est produit après que des lapins aient été vaccinés au moyen de vaccins contenant du mercure radioactif. Goldman a déclaré que d’une à six heures après l’injection, le niveau de mercure radioactif dans le sang avait diminué de plus de 75%. Cependant, à partir de deux à six heures après l’injection, les niveaux de radioactivité avaient significativement augmenté dans le cerveau, le foie et les reins.

 

Le Dr Goldman a conclu que, parce que les taux de fausses couches signalés au VAERS pour le vaccin unique contre la grippe étaient relativement faibles, les autorités de santé ont développé un faux sentiment de sécurité et cru que les vaccins contre la grippe administrés aux femmes enceintes étaient sans danger. Le Dr Goldman a expliqué que même si un seul vaccin avait été testé et considéré comme relativement sûr, cela ne signifie pas que la vaccination des femmes enceintes avec deux ou plusieurs vaccins contenant du thimérosal soit sans danger pour ces femmes ou leurs enfants à naître. Dans l’ensemble, le Dr Goldman croit fermement que le VAERS sous-estime grossièrement les taux réels de fausses-couches et autres effets indésirables dans la population américaine. Il suffit de se rappeler que l’on estime que moins de dix pourcents des effets secondaires sont rapportés au VAERS et que 1% des effets graves y compris des décès sont rapportés comme le signale l’étude de l’ancien commissaire de la FDA, le Dr David A. Kessler. [5]

 

Comme on le voit dans l’étude de Goldman, avec l’utilisation d’un seul vaccin contre la grippe, les rapports relatifs aux morts fœtales ont significativement diminué comparativement aux taux élevés de morts fœtales pour les deux doses de vaccin préconisées lors de la saison 2009/2010. Cependant des taux plus élevés de morts fœtales continuent d’être signalés au VAERS.

 

Par ailleurs, l’étude de Goldman recommande que les bébés qui ont survécu à la dose meurtrière de deux doses in utero fassent l’objet d’un bon suivi :

 

« En outre, en raison de l’ordre de grandeur des taux de morts fœtales, passant de 6,8 par million de femmes vaccinées avec une simple dose en 2008/2009 à 77,8 pour les deux doses de la période 2009/2010, des études long terme sont nécessaires pour évaluer les effets secondaires négatifs chez les enfants survivants. Des recherches supplémentaires se justifient concernant les facteurs de risques potentiels de synergie liés à l’administration de vaccins contenant du thimérosal. L’association exposition-effet devrait être vérifiée au cours d’études toxicologiques avec davantage de cas-témoins. »

 

Mis à part les morts fœtales, l’initiative du CDC visant à augmenter la prise de vaccins chez les femmes enceintes continue de faire augmenter les niveaux d’anomalies neurologiques, de troubles du comportement, ainsi que les maladies chroniques chez les enfants survivants. Suite à l’omission du CDC de rapporter les décès de fœtus, celui-ci continue de jouir d’un succès qui lui permet d’augmenter le nombre de vaccins destinés aux femmes enceintes. Le comité consultatif pour les pratiques d’immunisation (ACIP) recommande maintenant aux femmes enceintes, non seulement  le vaccin contre la grippe (avec mercure), mais aussi le vaccin contre la coqueluche (DTaC)

 

Conclusion

 

Les travaux du NCOW et du Dr Goldman ont prouvé que des vies d’enfants sont détruites avant même qu’ils ne puissent prendre leur premier souffle. Les fœtus en développement qui ont eu la chance de survivre à l’assaut des vaccinations actuellement recommandées aux femmes enceintes sont en fait l’objet d’une forme de roulette russe à partir du jour où ils sont nés. Tout cela parce que leurs parents attentionnés auront suivi les conseils de professionnels de santé délibérément mal informés.

 

Eileen Dannemann et son équipe ont prouvé par leur remarquable travail que l’on a menti au public comme aux professionnels de santé. Toutes ces personnes ont été trompées par les organisations en place, comme par le gouvernement qui met au point les programmes de vaccinations.

 

Et plus tôt le public commencera à s’informer pour se rendre compte que tous ces vaccins comportent de sérieux risques, plus tôt ces folles expériences pourront prendre fin.

 

(*) VAERS – Vaccine Adverse Event Reporting System (Système officiel américain d’enregistrement des effets secondaires des vaccins)

 

Communication de Madame Eileen Dannemann à propos du calcul de pourcentage et des NOTICES de différents vaccins contre la grippe (26/11/2012) :

 

"Quand on lit l’étude de Goldman et que l’on regarde les tableaux, on peut s’apercevoir que, pour la saison 2008/2009, 4 rapports de mort fœtale ont été publiés par le VAERS, tandis que pour 2009/2010, il y en a eu 179, soit une augmentation de 4.475%." (la diapositive du médecin du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) indiquant quant à elle 170 au lieu des 179, c'est ce chiffre inférieur, connu et admis des officiels, qui a donc été retenu pour la rédaction de cet article ( 170/4= 42, 5 fois plus soit 4250%) )"

 

NOTICES de différents vaccins contre la grippe:

 

Fluzone 

 

Grossesse catégorie C : des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées. – On ne sait pas si le Fluzone peut provoquer des dommages fœtaux quand le vaccin est administré à une femme enceinte. On ne sait pas non plus si le vaccin peut affecter la reproduction. (8.1)

 

Fluzone n’a pas été évalué quant à ses potentiels cancérogènes et mutagènes ou pour une éventuelle détérioration de la fertilité. (13.1)

 

Fluvirin

 

Grossesse catégorie C : des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées. – On ne sait pas si le Fluvirin peut provoquer des dommages fœtaux quand le vaccin est administré à une femme enceinte. On ne sait pas non plus si le vaccin peut affecter la reproduction. (8.1)

 

 Afluria

 

Grossesse catégorie C : des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées. – On ne sait pas si l’Afluria peut provoquer des dommages fœtaux quand le vaccin est administré à une femme enceinte. On ne sait pas non plus si le vaccin peut affecter la reproduction. L’Afluria ne doit être administré à des femmes enceintes que s’il est clairement établi que le vaccin leur est nécessaire (8.1)

 

La sécurité et l’efficacité de l’Afluria n’ont pas été établies pour les femmes enceintes ou allaitantes de même que pour la population pédiatrique en dessous de 6 mois (8.1, 8.3, 8.4)

 

L’Afluria n’a pas été évalué quant à ses potentiels cancérogènes et mutagènes ou pour une éventuelle détérioration de la fertilité. (13.1)

 

Références

 

1.Official transcript CDC’s Dr. Marie McCormick denies miscarriages, Sept. 3, 2010 ACCV. See page 37.

2.Influenza Vaccine Safety Monitoring (slide 20).
CDC’s Dr. Tom Shimabukuro confirms NCOW data , Oct. 28, 2010 ACIP

3. Letter from March of Dimes, inlcuded in this article.

4. Dr Gary Goldman Comparison of VAERS fetal-loss reports during three consecutive influenza seasons: Was there a synergistic fetal toxicity associated with the two-vaccine 2009/2010 season? http://het.sagepub.com/content/early/2012/09/12/0960327112455067.abstract?rss=1 (abstract only)

5. Kessler, D.A. The Working Group. Natanblut, S. Kennedy, D. Lazar, E. Rheinstein, P. et al. Introducing MedWatch: A New Approach to Reporting Medication and Device Adverse Effects and Product Problems. JAMA 1993 June 2. 269 (21): 2765-2768

                          

Source: Vactruth 

 

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 23:00

grippe-vaccin-gif.gif

Le British Medical Journal nous apprenait pas plus tard qu'hier que selon une méta-analyse indépendante récente, les prétendus bénéfices de la vaccination antigrippale ont été grandement exagérés.

 

(texte de: Jeanne Lenzer, BMJ)

 

Ce rapport, publié le mois dernier par le Centre de Recherche en Maladies infectieuses de l'Université du Minnesota, était basé sur un examen exhaustif des données de la littérature entre 1967 et 2012. "Les preuves d'un haut degré de protection (du vaccin) sont insaisissables." ont conclu les chercheurs.

 

Bien que ceux-ci aient retrouvé une modeste protection chez les adultes sains vaccinés, qui sont justement ceux qui ne sont pas vraiment à risque de complications de la grippe, les auteurs ont trouvé que "les preuves d'une protection des adultes de 65 ans et plus [qui représentent 90% des décès liés à la grippe] sont manquantes."

 

Les auteurs ont aussi analysé les recommandations du Comité américain des vaccinations (ACIP) qui fournit des avis d'experts au Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies et qui sont "souvent considérés comme la voie standard à suivre partout dans le monde".  Le rapport cite 30 situations dans lesquelles les avis d'experts du comité américain des vaccinations n'étaient pas conformes aux standards d'une Science rigoureuse et ne s'appuyaient pas sur des travaux pertinents.

 

Sources: SaneVax & British Medical Journal

 

Réf. exacte:  BMJ 2012; 345 doi: http://dx.doi.org/10.1136/bmj.e7856 

(Published 19 November 2012)

 

BMJ 2012;345:e7856


Après le gros pavé dans la marre de la Collaboration Cochrane qui disait en substance la même chose, là aussi après avoir analysé de façon indépendante un grand nombre d’études (principe de la méta-analyse, c'est-à-dire une « revue transversale » de la littérature), voici un autre rapport convergent. Et qui en dit notamment long sur la fiabilité des avis des experts officiels et autres « comités expertaux de référence » !!

 

Le plus choquant dans tout ça, c’est que malgré ces évidences, des MILLIARDS de dollars et d’euros ont été engloutis en pure perte pour la vaccination du monde entier contre une fausse pandémie et que toute la préparation d’autres vaccins d’apprentis-sorciers est à nouveau en route pour les autres grippes, dont la grippe aviaire ! Pendant ce temps là, des gens meurent de faim, par manque d’argent, d’attention et de compassion… 

  

Et des médias liés aux pharmas, comme le Journal du Médecin, continuent de s’indigner que des collectifs citoyens comme Initiative Citoyenne osent évoquer la controverse qui entoure la vaccination antigrippale, en nous taxant d’illuminés face aux grands et très respectables professeurs d’infectiologie. Tout va vraiment très bien Madame la marquise !

 

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30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 21:05

chien bizarre

Le site SanteLog faisait état le 28 novembre dernier d'une étude de chercheurs américains publiée dans Plos One. Ces scientifiques, de l'Université de Géorgie, espèrent ainsi que l'utilisation d'un virus canin pourra être utilisé comme cheval de Troie pour vacciner les humains contre différentes maladies comme le H5N1, le paludisme, le VIH ou encore la tuberculose.

 

Voici ce qu'on peut y lire (puis quelques commentaires/réflexions dans l'encadré final):

 

VACCINS: Un virus du chien pour vacciner l’Homme

 

H5N1, VIH, TB ou encore palu, ces maladies échappent encore et toujours aux efforts de la recherche vaccinale. Or, un virus canin, le parainfluenza 5 ou PIV5, responsable d’infections des voies respiratoires supérieures chez les chiens mais sans danger pour l'Homme, pourrait détenir la clé de possibles vaccins contre ces maladies. Dans cette étude publiée dans l’édition du 20 novembre de la revue PLoS ONE, les chercheurs de l’Université de Géorgie montrent comment ce virus, tel un cheval de Troie, pourrait être utilisé pour vacciner l'homme contre ces maladies.

 

 «Nous pouvons utiliser ce virus comme vecteur de toutes sortes de pathogènes contre lesquels il est difficile de vacciner », explique le Dr Biao Be, l’auteur principal de l'étude et professeur d’infectiologie en médecine vétérinaire à l’UGA. «Nous avons mis au point un vaccin contre la grippe H5N1 avec cette technique et  nous travaillons également au développement de vaccins contre le VIH, la tuberculose et le paludisme ».

 

PIV5 ne provoque pas de maladie chez l'homme car notre système immunitaire est capable de le reconnaître et de le détruire. En plaçant des antigènes provenant d'autres virus ou parasites à l'intérieur de PIV5, il devient le véhicule de livraison qui expose le système immunitaire humain à des agents pathogènes plus virulents et lui permet de créer les anticorps nécessaires pour protéger le corps contre une nouvelle infection.

 

Preuve du concept sur des souris : Cette approche est décrite comme assurant une exposition totale au vaccin et plus sûre car le virus porteur PIV5 ne contiendra que les parties du virus humain nécessaires pour créer l’immunité. « Avec PIV5, il est plus facile de vacciner sans avoir à utiliser des pathogènes vivants », précise ainsi le Dr He, chercheur à la Georgia Research Alliance. Certes, utiliser des virus porteurs pour développer des vaccins n'est pas nouveau, mais les essais précédents se sont révélés infructueux. Dans ce cas, les humains ne possèdent pas déjà une forte immunité face au virus canin utilisé pour la livraison, et donc le virus ne sera pas détruit trop rapidement par le système immunitaire : « L’immunité préexistante contre les virus est la principale raison d’échec de ces essais de vaccins ».

 

Dans leurs expériences, les chercheurs constatent que l'inoculation d'une dose unique utilisant PIV5 protège des souris contre la souche de grippe saisonnière ou contre la souche hautement pathogène H5N1 de la grippe aviaire.

 

« Nous avons le meilleur candidat vaccin contre H5N1 » : Aboutissement de plus de quinze années de recherche et d'expérimentation avec le virus PIV5, ces nouvelles données apportent une excellente base de stratégies vaccinales contre les maladies humaines graves. « Nous avons le meilleur candidat vaccin contre H5N1», concluent les chercheurs, « mais nous venons aussi d’ouvrir un tout nouveau champ pour le développement d’un grand nombre de vaccins ».

 

Source : PLoS ONE published 20 Nov 2012

 

10.1371/journal.pone.0050144 Evaluating a Parainfluenza Virus 5-Based Vaccine in a Host with Pre-Existing Immunity against Parainfluenza Virus 5 

 

Plusieurs choses à souligner ici:

 

- L’affirmation selon laquelle ce virus est sans danger pour l’homme… c’est aussi ce qu’ont affirmé des « scientifiques » au sujet du SV40, un virus de singe, qui s’est révélé cancérigène pour l’homme et qui a malheureusement été inoculé à des dizaines de millions de gens dans le monde via les vaccins anti-poliomyélitiques dans les années 50 et 60 et possiblement encore aujourd’hui.

 

- L’aspect « business » transparaît très fort, de même que l’obsession une fois encore plus que suspecte avec la focalisation sur des vaccins anti-H5N1 qui seront efficaces « à dose unique »

 

- Exposer le système immunitaire à des agents pathogènes plus virulents est-il vraiment une bonne chose quand on sait que la théorie des anticorps a justement du plomb dans l’aile et que la présence d’anticorps n’est pas pour autant une garantie de protection ? En outre, s'il est plutôt malaisé de mettre trop en contact le système immunitaire avec des pathogènes dangereux, n'est-ce pas aussi là un indice que la Nature fait plutôt bien les choses en protégeant quelque part la majorité des gens de ces pathogènes?

 

- Est-il vraiment malin d’aller mélanger des virus d’autres espèces à nos organismes alors que dans la Nature, cela ne se ferait pas aussi spontanément, en tout cas pas via une voie vaccinale et que ces barrières d’espèces ne sont sûrement pas là par hasard ! Une fois encore, nous sommes donc là dans de dangereux « jeux » d’apprentis-sorciers !

 

- Il est question que ce virus canin vecteur ne soit pas détruit trop rapidement « pour que le vaccin fonctionne » mais une latence et une persistance virale peut être associée à un risque accru de cancers. Une fois encore, il n’y aura aucune garantie et leurs affirmations générales ne seront pas valides pour toute une série de gens qui, eux, pourraient voir ce virus se maintenir trop longtemps chez eux, avec dieu sait quelles maladies à la clé. Si ces pseudo scientifiques cessaient de se laisser aveugler par des miroirs aux alouettes, il serait possible alors d’envisager toutes les conséquences néfastes et les inconnues qui n’en valent absolument pas la chandelle. Dans ce cas, nul doute qu’une population de gens sains ferait tout simplement en sorte que des recherches aussi hasardeuses ne puissent jamais être financées car cela le sera au détriment de la santé publique.

 

- Ce procédé est censé ouvrir un boulevard à beaucoup de nouveaux vaccins mais… dans le même temps les réticences aux vaccins vont croissantes. Va-t-on aller vers « la solution des tyrans et des cupides »: (l'obligation)?

 

- On remarquera aussi –c’est assez révélateur- que ces gens prétendent que leur prototype de vaccin anti grippe aviaire (H5N1) est « le meilleur », exactement comme a fait Medicago avec son vaccin prétendument « à base de plantes », une appellation qui ne doit duper personne et qui fait appel à de pseudo particules virales, en d’autres mots des bricolages génétiques qui impliquent de gros risques. Quand on joue à faire soi-disant mieux que la Nature, ce genre d’arrogance se paie inévitablement cash en termes de santé collective, avec l’éclosion à rebours de toute une série de risques évidents mais non initialement envisagés par les dangereux apprentis-sorciers qui sont aux commandes et qui vampirisent hélas les deniers publics, au détriment d’autres projets plus acceptables et légitimes.

 

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29 novembre 2012 4 29 /11 /novembre /2012 22:00

Incroyable mais vrai: la Ligue belge de la Sclérose en plaques, censée soutenir et défendre les intérêts des malades et éviter autant que faire ce peut que d'autres gens ne le deviennent, consacre une page de son site internet à distiller hélas de fausses informations, particulièrement lourdes de conséquences, au sujet de la vaccination hépatite B, relayant apparemment en cela, sans la moindre analyse critique, les "bons conseils" d'experts en conflits d'intérêts et d'agences internationales peu crédibles et d'ailleurs elles-mêmes liées aux fabricants de vaccins (comme l'OMS).

 

Vu la gravité des implications de pareil déni, cela vaut vraiment la peine de reprendre in extenso l'avis de leur Conseil Médical avant de montrer le contraste saisissant qui existe avec les données actuelles et acquises de la (vraie) Science. Nous mettons donc en rouge les passages les plus scandaleux,  les plus scientifiquement erronés et à la fois aussi, les plus irresponsables:

 

Relation entre le vaccin contre l'hépatite-B et la SEP

 

Position du Conseil Médical de la Ligue Belge de la SEP

Confirmation - Novembre 2004


Le Conseil Médical de la Ligue Nationale de la Sclérose en Plaques tient à rappeler très clairement l'absence de toute relation causale démontrée entre le vaccin contre l'hépatite B et le début ou l'aggravation d'une sclérose en plaques. (sic !)

 

Une telle relation hypothétique n'a été soulevée qu'en France, à cause de la politique de vaccination massive suivie par les Autorités Sanitaires de ce pays. C'est ainsi que depuis 1994, environ 27 millions de Français ont été vaccinés contre l'hépatite B, soit près de la moitié de la population de ce pays. Cette proportion augmente à près de 66% dans la tranche d'âge comprise entre 11 et 40 ans.

 

Les autres pays européens ont suivi une autre politique vaccinale, consistant à vacciner les jeunes enfants, les pré-adolescents (10-12 ans) et la population adulte à risque, c'est-à-dire en contact avec des dérivés sanguins (personnel médical et para-médical).

 

Aucune augmentation de la fréquence de la maladie n'a été observée en France suite à cette campagne de vaccination massive. Aucune étude n'a pu montrer que les patients commençant une sclérose en plaques avaient été plus fréquemment vaccinés contre l'hépatite B que des patients de la même tranche d'âge consultant pour un autre problème neurologique. Il en ressort qu'une association temporelle entre la vaccination anti-hépatite B et le début d'une sclérose en plaques dans les semaines qui suivent est fortuite.

 

Le virus de l'hépatite B est 100 fois plus contagieux que celui du SIDA. Il est transmis essentiellement par contact avec le sang de « porteurs » sains ou malades, et les relations sexuelles. Le mode de transmission reste cependant inconnu dans 30% des cas. Environ un quart des porteurs sains deviendront malades et mourront de cirrhose ou de cancer du foie dans les 30 ans qui suivent la contamination. Chaque année, un million de personnes meurent de cette infection par le virus de l'hépatite B.

 

Nous recommandons donc que la même politique vaccinale soit appliquée aux patients atteints de sclérose en plaques et à leurs enfants et proches, que celle appliquée à l'ensemble de la population belge, à savoir :

 

vaccination des enfants en bas-âge et des pré-adolescents.

pour les enfants déjà adultes de patients atteints de sclérose en plaques, et pour les patients eux-mêmes, vaccination uniquement pour les personnes à risque (personnel médical et para-médical).

 

 

Il n'y aurait aucun lien entre le vaccin hépatite B et la sclérose en plaques? Cela n'aurait donc jamais été qu'une hypothèse et encore, rien qu'en France?

 

EST-CE SEULEMENT VRAI?

 

Différentes études épidémiologiques ont été menées en France mais aussi dans d’autres pays sur le lien entre sclérose en plaques (et autres maladies démyélinisantes) et vaccination anti-hépatite B.

 

Trois de celles-ci montrent de façon convergente qu’il existe un lien de causalité très probable. A noter aussi, ce n’est pas négligeable, qu’il s’agit d’études indépendantes des firmes pharmaceutiques.

 

- La première étude est celle dite de Fourrier-Costagliola (1), en 1998. Cette double étude (il s’agit en fait d’une seule étude mais réalisée en plusieurs parties par des personnes différentes) a été faite à la demande de l’Agence française du Médicament (ancienne Afssaps, nouvellement ANSM). Cette étude consistait à comparer le nombre de cas de scléroses en plaques attendu au nombre de cas réellement survenus entre le 1er janvier 1994 et le 31 décembre 1996, soit la période où l’on a vacciné le plus contre l’hépatite B. Cette étude a porté sur des adultes entre 20 et 44 ans, une tranche d’âge qui correspond donc au pic de fréquence de la maladie et par ailleurs, seuls étaient pris en compte les cas qui se sont déclarés endéans les 60 jours après une vaccination anti-hépatite B. Comme il était impossible de dire le nombre exact de cas sans marge d’erreur, les auteurs ont dû fournir une estimation du nombre de cas attendus pour cette même période. Ils ont fixé ce chiffre à 102,73. Or, sur base des données de pharmacovigilance, le nombre de cas recensés était de 111, soit un chiffre supérieur mais pas franchement très significatif. Toutefois, comme tous les médecins ne font pas systématiquement un signalement des cas à la pharmacovigilance, les auteurs ont dû évaluer et tenir compte de la sous-estimation des cas réellement survenus et ont ainsi évalué le nombre de cas réellement survenus dans une fourchette comprise entre 222 et 287, avec un minimum de 184, ce qui, si on compare ça aux 102,73 cas normalement attendus, donne lieu à une différence considérée statistiquement comme très significative. En d’autres mots, cela signifie donc que l’écart statistique est tel, qu’il ne peut tout simplement pas s’expliquer par de simples variations dues au hasard. En 2000, l’Agence française du Médicament reconnaissait d’ailleurs que « la combinaison de ces deux études suggère un nombre réel de cas significativement supérieur au nombre de cas attendus. » Toutefois, comme le sujet est commercialement très sensible, l’Afssaps faisait volte-face deux ans plus tard en déclarant alors qu’aucune étude menée jusqu’alors n’était significative !

 

- La seconde étude sort en 2004, c’est celle de l’épidémiologiste américain Hernan (2). Il s’agit d’une étude cas/ témoins qui a porté sur des données médicales de la population britannique. Cette étude a consisté à comparer 163 malades atteints de sclérose en plaques avec 1604 sujets témoins. L’auteur a alors colligé les antécédents vaccinaux dans ces deux groupes et parvient à un risque 3,1 fois supérieur de déclarer une sclérose en plaques endéans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B. Cette étude eût l’effet d’une bombe. Compte tenu de cela, il ne faisait plus bon du tout de reconnaître que des études antérieures avaient elles aussi mis en lumière un risque accru significatif de sclérose en plaques post-vaccinales. C’est ainsi qu’en 2004, année où cette étude est parue, l’Afssaps a décrété cette étude d’Hernan n’était pas significative car elle comportait des biais (le bon vieux déni systématique). Mais elle ne s’est hélas pas contentée de cela, elle a aussi repris dans un tableau toutes les autres études menées jusqu’à ce jour et qu’elle considérait comme « non significatives » en les chiffrant, non plus à 10 mais à 11 ! L’Agence venait de dédoubler les deux études significatives et complémentaires de Fourrier et Costagliola en deux études différentes et toutes les deux devenues, comme par enchantement non significatives(3)… et voilà le travail de « transparence » et surtout d’astuce pour sauver le vaccin à tout prix et prétendre ainsi qu'aucune étude n'a montré le moindre risque significatif !!

 

- La troisième étude est celle de Tardieu/Mickaeloff (4), qui date de 2008. Elle a porté sur un groupe de 349 enfants et adolescents (« cohorte KIDSEP ») souffrant d’une atteinte démyélinisante apparue entre 1994 et 2003, tels que recensés par des services de neuropédiatrie. Ce groupe a été comparé à une population-témoin de 2941 sujets. La comparaison ne met pas en lumière de sur-représentation d’enfants ou d’ados vaccinés endéans les 3 ans qui ont précédé les épisodes de démyélinisations. En revanche, l’analyse d’un sous-groupe ayant reçu tous les vaccins recommandés en plus de la vaccination hépatite B (avec Engerix B, de GSK) démontre que le risque est alors multiplié par 2,77 de voir apparaître une sclérose en plaques au-delà de 3 ans après la vaccination.

 

Etant donné cette nouvelle conclusion dérangeante et compte tenu du caractère là aussi significatif des résultats, il a donc aussi fallu trouver une parade. C’est ainsi que le Pr Tardieu a tout bonnement été interdit de conférence de presse, comme indiqué dans le journal Libération du 14 octobre 2008. (5)

 

D’autres études sont sans cesse mise en avant par les officiels, l’OMS ou autres pour innocenter à tout prix le vaccin (Asherio, Destephano, etc). Il s’agit toutefois d’études ayant bénéficié de subsides de l’industrie pharmaceutique, et celle-ci n’allait donc pas accepter de se tirer une balle dans le pied !

 

La question du lien entre vaccin hépatite B et sclérose en plaques est par ailleurs loin d’être strictement franco-française. C’est là une réponse bidon que les officiels ont sorti à tour de bras pour rassurer à bon compte les plus crédules, tout simplement parce qu’ils étaient à court d’arguments !

 

La meilleure preuve de cela, est que l’étude d’Hernan a porté sur une base de données relatives à la population britannique, pays où on a cependant nettement moins vacciné qu’en France, proportionnellement. En outre, la publication des chercheurs américains Geier & Geier (6), et qui a porté sur l’analyse des données du VAERS (système américain de notification des effets secondaires vaccinaux), a montré que le risque de survenue d’une sclérose en plaques parmi les personnes ayant reçu le vaccin HB est 5,2 fois supérieur à celui d’une population-témoin n’ayant pas reçu ce vaccin.

 

D’autres publications internationales (7) ont par ailleurs fait état ponctuellement de maladies démyélinisantes depuis 1991, soit bien avant les premières alertes émises en France par des neurologues parisiens peu avant que ne commence la vaccination massive et généralisée dans ce pays.

 

A ces informations extrêmement accablantes s'ajoutent aussi d'autres données irréfutables sur le fait qu'il y a bien eu une hausse indéniable des cas de scléroses en plaques après la grande campagne vaccinale française: il s'agit en fait des données épidémiologiques françaises année par année pour ce qui concerne la sclérose en plaques et les autres maladies démyélinisantes. Un médecin français, qui préfère que son nom ne soit pas cité, a littéralement dû les arracher "aux forceps" à l'Agence française du médicament selon ce qui est publié dans le récent livre de Virginie Belle sur la vaccination ("Faut-il faire vacciner son enfant?")... on comprend pourquoi!

  

Chiffres par année des cas de sclérose en plaques (SEP) et d'atteintes démyélinisantes du système nerveux central (ADSNC)- Les années 1994-1998 correspondent à la grande campagne de vaccination contre l'hépatite B lancée en France. [Données Afssaps/ANSM de 2012].

sep chiffres 1-copie-1 

sep chiffres 2

 

On le voit, les données montrent donc clairement une hausse très significative pour les années 94, 95, 96, 97 et 98, qui correspondent "comme par hasard" à cette grande campagne vaccinale, sans autres causes possibles à même d'expliquer ce genre de lien "fortuit" pour reprendre l'expression indigne de la Ligue.

 

Une étude américaine (Langer-Gould), publiée en 2014, spécifie quant à elle que "tout type de vaccination est associé à un risque accru de -déclenchement d'une maladie démyélinisante du système nerveux central dans les 30 premiers jours qui suivent une vaccination en ce qui concerne les sujets de moins de 50 ans (OR, 2.32; 95% CI, 1.18-4.57).

 

Qu'il s'agisse des adultes comme des enfants, le risque est donc significatif de leur provoquer une sclérose en plaques de toutes pièces en les vaccinant. Par conséquent, aller recommander de vacciner les enfants de gens atteints de sclérose en plaques (qui sont donc en toute logique génétiquement encore plus sensibles potentiellement!) comme les autres constitue une folie impardonnable et osons le dire, une mise en danger directe de la vie d'autrui, au regard des statistiques de guérison spontanée de l'hépatite B d'une part et des autres possibilités alternatives de prévention de cette maladie d'autre part. De même, encore recommander de vacciner les gens déjà atteints, même en cas d'obligation ou de contexte professionnel, constitue là aussi un acte particulièrement hasardeux que peu de médecins oseront à ce niveau accomplir. Cette Ligue se discrédite totalement à nos yeux en diffusant de tels propos. Et cela pose bien sûr, avec une extrême acuité, la question de son indépendance, vis-à-vis des autorités publiques d'une part (celles-ci étant mouillées jusqu'au cou compte tenu de leurs recommandations passées en la matière) et des industries pharmaceutiques d'autre part.

 

Tout lecteur qui a donc lu cet article ne pourra que se poser deux questions inévitables:

 

a) Le Conseil Médical de cette Ligue est-il compétent et a-t-il appris à lire?

b) A-t-on acheté le silence de cette Ligue à coup de généreuses subventions publiques et/ou de dons ou sponsoring des industries pharmaceutiques?

 

Dans tous les cas, quand on verra les petites boîtes à sous en faveur de la Ligue dans les pharmacies ou ailleurs avec la mention inquiétante que cette maladie dégénérative grave concerne pas moins d'une personne sur 1000 dans notre pays, on ne pourra que repenser à ce qui a précédé et déplorer sans complaisance le manque total de cohérence et de logique d'une telle structure.

 


Références :

 

(1) A. Fourrier, B. Bégaud, Service de pharmacologie de Bordeaux “Hepatitis B vaccine and first episodes of central nervous system demyelinating disorders : A comparison between reported and expected number of cases ” British J. of clinical Pharmacology 2001 ; 51 : 489

 

D. Costagliola, INSERM SC4 et Afssaps. Etude capture-recapture.

http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/b460abed4a9a61d8dad78d4364033354.pdf

 

(2) HERNAN MA., JICK SS., OLEK MJ., JICK H. “Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis” Neurology 2004 ; 63 : 638-642

 

(3) http://www.infosantepaysdauge.fr/dc/public/Etudes_Pharmacovigilance_VHB.pdf (cfr pages 6,7, 8 et 9/32)

 

(4) MIKAELOFF Y, CARIDADE G, SUISSA S, TARDIEU M. “Hepatitis B vaccine and the risk of CSN inflammatory demyelination in childhood” Neurology 2009 Mar 10;72(10):873-80. doi: 10.1212/01.wnl.0000335762.42177.07. Epub 2008 Oct 8.

http://www.neurology.org/cgi/content/abstract/01.wnl.0000335762.42177.07v1

 

(5) http://www.liberation.fr/sciences/0101124147-cachez-ce-risque-que-je-ne-saurais-voir

 

(6) GEIER D.A, GEIER M.R. A case-control study of serious auto-immune adverse events following hepatitis B immunization. Autoimmunity 2005 ; 338 : 215-281

 

(7) GOUT O. Central nervous system demyelination after recombinant hepatitis B vaccination: report of 25 cases. Neurology 1997, 48 (Suppl.) : A424

 

KAPLANSKI G. Central nervous system demyelination after vaccination against hepatitis B and HLA haplotype. J. Neurol Neurosurg Psychiatry 1995, 58 : 758-759

 

NADLER JP. Multiple sclerosis and hepatitis B vaccination. Clin infect Dis 1993, 17 : 928-929

 

HERROELEN L. DE KEYSER J. EBINGER G. Central-nervous-system demyelination after immunisation with recombinant hepatitis B vaccine. Lancet . 1991 (338) : 1174-1175

 

Langer-Gould A., Qian L., Tartof S.Y.(e.a), « Vaccines and the risk of multiple sclerosis and other central nervous system demyelinating diseases. », JAMA Neurol. 2014 Dec;71(12):1506-13. doi: 10.1001/jamaneurol.2014.2633.

 

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28 novembre 2012 3 28 /11 /novembre /2012 23:00

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Un lecteur vigilant a bien fait de nous signaler cette Xième contradiction préoccupante: alors que l'Agence française du Médicament (ANSM) vient récemment de recommander d'éviter chez les enfants de moins de 3 ans les lingettes pour bébés à base de phenoxyéthanol - suspecté d'être toxique pour la reproduction- lorsqu'elles sont destinées au siège et  d'en réduire fortement les doses pour les lingettes destinées à d'autres usages, la présence de cette même substance dans les vaccins, pourtant profondément injectée par voie intra-musculaire à de jeunes enfants au système reproductif encore largement immature, ne semble pas véritablement émouvoir cette même agence.

 

Il faut toutefois rappeler que c'est la même Agence qui a tout récemment refusé de financer la poursuite des travaux de l'équipe du Pr Gherardi du CHU Henri Mondor de Créteil sur la toxicité de l'aluminium vaccinal alors même que cette agence avait pourtant explicitement recommandé en 2011 de réduire la concentration d'aluminium dans les déodorants et de ne pas utiliser des anti-transpirants à base d'aluminium sur une peau lésée. Là aussi, on peut donc dire qu'il s'agit d'une énorme incohérence quand on sait que les vaccins à base d'aluminium sont injectés profondément dans l'organisme par voie intramusculaire!

 

Ces sagas ressemblent aussi à la critique du formaldéhyde ménager dans les médias, incriminé sans trop de problèmes lorsqu'il provient des meubles ou de la pollution des maisons, mais en oubliant toutefois la première et la plus précoce des "pollutions intérieures" à savoir celle des vaccins dont plusieurs contiennent ce formaldéhyde, pourtant classé cancérigène certain, et ce alors même que les vaccins ne sont jamais soumis à la moindre évaluation de leur potentiel cancérogène (contrairement aux autres médicaments) et que plusieurs chercheurs ont déjà tiré la sonnette d'alarme sur la sous-estimation de la toxicité de plusieurs produits chimiques à soi-disant "faibles doses"!!

 

Des agences qui SAVENT les risques de cancers et de troubles pour la reproduction de substances pourtant autorisées et tolérées dans les vaccins, ne font en réalité qu'apporter la  preuve lamentable au public qu'elles préfèrent protéger des dogmes plutôt que la santé publique réelle.

 

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