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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 14:05

algerie-tineza-ouatine.jpg

Une pathologie inconnue sème la panique à Tine-Zaouatine

 

Par : Rubrique Radar

 

Les notables du village de Taouendert, relevant de la commune de Tine-Zaouatine, à 500 km à l’extrême sud de Tamanrasset, ont, suite à la propagation d’une maladie étrange à travers toutes les tribus du village, lancé un appel de détresse aux autorités concernées afin d’intervenir illico presto. Les représentants du comité de village de Taouendert racontent qu’avant le conflit malien, personne n’avait été touché par une maladie pareille. Les réfugiés du Sahel seraient porteurs de ce virus inconnu, lequel affecte déjà une centaine de nomades. Nous avons enregistré des morts dont des enfants, des nourrissons et des personnes âgées à cause de cette pathologie. Jusque-là, on a dénombré 8 morts. Le virus n’a épargné personne. Nous avons interpellé les responsables concernés mais on ne sait pas ce qu’ils attendent encore pour intervenir”. Le directeur de la santé publique (DSP) de la wilaya de Tamanrasset, Ben Snoussi Amar, a démenti catégoriquement cette information, assurant qu’il s’agit d’un syndrome grippal qui est pris en charge par une équipe médicale pluridisciplinaire dépêchée sur place.

 

Source : Liberté-Algérie.com

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 14:15

Vaccin anti-HPV Cervarix

 

LES REGRETS D’UNE FAMILLE

 

« L’un des pires cauchemars pour des parents est de voir leur enfant faire de graves réactions après une simple vaccination de routine. Mais pour beaucoup de familles, ce n’est souvent qu’un début. Ce sont des centaines et peut-être des milliers de familles de par le monde qui assistent à la détérioration de la santé de leur(s) enfant(s) après les vaccinations HPV. Elles passent souvent des mois et même parfois des années allant d’un spécialiste à l’autre dans une tentative désespérée de renverser la spirale descendante. Mais c’est souvent quand elles sont épuisées émotionnellement, psychologiquement et financièrement et qu’elles font appel aux services sociaux que les familles commencent à vivre leur véritable cauchemar quand elles se voient accusées d’avoir imaginé la maladie de leur enfant, de l’avoir provoquée, quand elles se voient accusées d’hystérie, de Munchausen par procuration etc… » Freda Birrell, Sanevax.

 

Le Syndrome Post-Cervarix : L’histoire de Lucy (Royaume-Uni)

 

Steve Hinks, 18 février 2013

 

Notre fille Lucy a contracté la rougeole une semaine après sa vaccination ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole). Le week-end suivant, elle a été admise à l’hôpital et placée dans une chambre d’isolement car il y avait suspicion de méningite. Quelques semaines plus tard, elle a développé un ganglion lymphatique dans le cou. Ce ganglion a dû être enlevé chirurgicalement.

 

Quand, par après, elle a rapporté de l’école un formulaire de consentement pour la vaccination HPV, sa mère et moi étions très réticents à accorder l’autorisation pour la série des trois injections.

 

Lucy-before-Cervarix.jpg

Lucy, avant le vaccin Cervarix

 

Cependant l’infirmière de l’école a rassuré mon épouse en lui disant  que le Cervarix était tout à fait sûr – rien à voir avec le vaccin ROR que Lucy avait reçu et qui lui avait valu tant d’ennuis. Elle a souligné que ce vaccin protégerait ma fille de 13 ans contre le cancer du col de l’utérus. Quels sont les parents qui pourraient refuser de prendre toutes les mesures qui s’imposent pour protéger leur fille ?

 

Nous avons finalement accepté de mettre de côté l’expérience négative que nous avions connue précédemment et avons accepté de donner notre consentement à la série des vaccinations HPV. A ce moment-là, nous n’avions pas la moindre idée à quel point cette décision allait modifier nos vies.

 

Avant de recevoir le Cervarix, Lucy était une jeune femme en parfaite santé. Elle était parmi les meilleurs élèves de sa classe et n’avait pratiquement jamais manqué l’école.

 

Après la première et la deuxième injection du Cervarix, nous avons dû l’emmener plusieurs fois chez le médecin. Elle se sentait fatiguée et présentait des symptômes grippaux. C’était une chose tout à fait inhabituelle pour Lucy mais à ce moment, personne ne se doutait que ce qui se passait pouvait être vraiment préoccupant.

 

Le 4 mai 2011, Lucy a reçu sa troisième et dernière injection du Cervarix. Peu de temps après l’injection, elle téléphona à sa maman pour que celle-ci vienne la chercher à l’école et la ramène à la maison. Lucy avait l’impression d’avoir la grippe et se sentait épuisée. Néanmoins, le lendemain, elle rassembla toutes ses forces pour se rendre à l’école car c’était l’époque des examens. Sa maman et moi n’avions à ce moment aucune idée que c’était le commencement de la fin de notre vie normale.

 

La santé de Lucy commença à se détériorer rapidement. Elle a commencé à avoir des migraines persistantes, une fatigue inexpliquée, des douleurs articulaires et musculaires, des ecchymoses inhabituelles, des douleurs abdominales, des pertes de mémoire et une mauvaise circulation ; elle perdit l’appétit et commença à perdre du poids. Elle avait tout le temps froid. Nous avons dû l’emmener à deux reprises à l’hôpital.

 

Personne ne pouvait nous expliquer la cause des mystérieux symptômes que manifestait notre fille. Le seul indice que nous avions était la note que le pédiatre avait fait parvenir à notre médecin de famille et qui stipulait :

 

             «  Il est tout à fait possible qu’il s’agisse d’une réaction au vaccin HPV. »

 

Le 4 juillet Lucy, s’est effondrée d’épuisement et a dû à nouveau être emmenée chez le médecin. A cette époque elle avait déjà perdu 7 kilos ; sa fatigue chronique était devenue incontrôlable. Lucy a alors commencé à dormir 23 heures par jour. On pouvait tout juste la réveiller pour qu’elle prenne un peu de nourriture liquide ou un peu d’eau, mais c’était tout. Je ne puis compter le nombre de fois où sa maman s’est levée en pleine nuit pour s’assurer que Lucy respirait encore.

 

En septembre, Lucy a glissé dans un sommeil comateux. Au cours des 13 semaines suivantes, elle n’a plus ouvert les yeux et n’a plus pu parler. Ce fut pour nous parents, le pire cauchemar de notre vie.

 

Le nouveau pédiatre que nous avions consulté a cru qu’il s’agissait d’un cas grave de CFS/ME, (Syndrome de fatigue chronique/fibromyalgie) mais le traitement proposé ne pouvait être appliqué vu que Lucy n’arrêtait pas de dormir.

 

Juste avant Noël 2011, le vice-recteur de la plus grande université homéopathique du Royaume-Uni était venu nous rendre visite et avait promis de faire l’impossible pour sauver Lucy. Comme par miracle, Lucy se réveilla le lendemain.

 

Avec les soins de cet homéopathe, la santé de Lucy a commencé de s’améliorer de manière incroyable. Pour la première fois depuis des mois, elle fut capable de se nourrir seule. Elle a même pu regarder la télévision et surfer sur le web pendant de très courtes périodes. Après nous être sentis impuissants pendant des mois, nous avions l’impression d’assister à un véritable miracle.

 

Nous savons que nous ne sommes pas sortis de l’auberge, mais au moins maintenant, on peut espérer qu’elle va continuer à s’améliorer. La perte de poids de Lucy est toujours une préoccupation majeure.

 

Lucy-after-Cervarix.jpg

                                                                       Lucy, après le vaccin Cervarix

 

Lucy a continué à dormir beaucoup plus que d’habitude ; elle faisait au moins quatre siestes par jour. Le pédiatre a expliqué à notre médecin traitant qu’elle ne devait pas souffrir de fibromyalgie, mais qu’il devait s’agir d’une réaction à l’injection du vaccin.

 

Croyez-le ou non, nous n’en avions pas encore terminé avec le bouleversement de nos vies à la suite du vaccin HPV.

 

Début 2012, Lucy a dû se rendre, chaque semaine, chez un consultant en psychiatrie. On a voulu que Lucy soit admise dans une unité psychiatrique pendant une période de 3  à 6 mois pour permettre une évaluation de son cas .Quand nous nous sommes rendus dans cette institution, on nous a finalement fait comprendre qu’il ne s’agissait pas de la solution idéale pour Lucy. - Inutile de dire que nous avons de suite marqué notre accord.

 

La santé de Lucy a tellement continué à s’améliorer que nous avons planifié des vacances en juin pour toute la famille. L’infirmière de Lucy, notre médecin traitant, un consultant médical, tous ont jugé que Lucy était capable d’entreprendre un voyage et que ces vacances ne pouvaient que lui faire le plus grand bien.

 

Quelques heures avant notre départ, notre famille a été renseignée aux services sociaux et à la police. Heureusement, nous avons pu obtenir la permission de prendre nos vacances bien méritées, même si notre départ avait été retardé de plusieurs heures, nous provoquant un stress considérable.

 

A notre retour, pas moins de trois agents des services sociaux sont venus enquêter et faire des rapports. Ils nous ont finalement fait savoir par écrit en septembre que les services sociaux n’avaient pas à être mêlés à l’affaire.

 

En dépit de cela, juste avant la Noël, nous avons appris que la première enquête qui avait débuté en mai, était toujours en cours. Nous avons également appris que plusieurs réunions s’étaient tenues pour examiner la possibilité d’une maladie inventée de toute pièce ou provoquée. Personne ne pourra imaginer le degré de stress inutile que pareille nouvelle a provoqué dans notre famille. Comment a-t-on même pu imaginer la possibilité que nous ayons pu inventer pareille maladie ?

 

La santé de notre fille continue de s’améliorer. Peu à peu, elle reprend du poids. En septembre elle n’a plus éprouvé la nécessité de faire des siestes. Lucy a même repris le chemin de l’école à mi-temps et pour la première fois depuis 18 mois.

 

Comment a-t-on pu penser que nous avions imaginé sa maladie alors que nous nous sommes tellement battus pour améliorer sa santé et que les résultats ont suivi ?

 

Le fond du problème est le suivant : nous donnerions aujourd’hui n’importe quoi pour pouvoir revenir en arrière et changer d’avis au sujet du formulaire de consentement à la vaccination HPV pour notre fille.

 

Source: SaneVax

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:50

Abraham Lincoln et l’Homéopathie

  

Homeopathy Plus News, 14.02.2013

 

LINCOLN.jpg

 

* Saviez-vous qu’Abraham Lincoln était un grand partisan de l’homéopathie ?

Il utilisait régulièrement les médicaments homéopathiques et s’est entouré de membres du gouvernement qui étaient eux aussi de fervents partisans de l’homéopathie.

 

* Il est arrivé qu’un soir l’un des membres de son cabinet fut poignardé alors qu’il faisait une livraison de remèdes homéopathiques.

 

* Le chef de l’armée de l’Union qui souffrait de fièvre typhoïde fut traité avec succès par homéopathie. Il put dès lors se maintenir aux commandes alors qu’il était encore en cours de traitement.

 

* L’Association Médicale Américaine (AMA) s’est sentie menacée par la popularité dont jouissait l’homéopathie. L’un des médecins de l’AMA devait déclarer : « Trop d’épouses de médecins conventionnels vont consulter les médecins homéopathes et ce qui est pire, c’est que ces dames entraînent aussi leurs enfants chez ces homéopathes. » L’Association Médicale Américaine a, en partie, été fondée pour empêcher le succès croissant de l’homéopathie. Elle a rédigé un code d’éthique pour empêcher la consultation de médecins homéopathes. (Un membre de l’Association Médicale Américaine (AMA) a même été expulsé de sa société médicale locale pour avoir consulté un médecin homéopathe qui n’était autre que sa propre épouse!)

 

* Alors que Lincoln avait déposé une proposition de loi en vue de créer une université enseignant l’homéopathie à Chicago, l’AMA s’arrangea pour s’opposer à la participation des médecins homéopathes dans la guerre civile américano- espagnole. Il en résulta que davantage de soldats moururent de la fièvre typhoïde que des balles de l’ennemi. A cette époque déjà, l’homéopathie traitait la fièvre typhoïde avec succès partout aux Etats-Unis et en Europe. (Il est intéressant de noter que cet antagonisme ne fut pas aussi virulent au cours de la première guerre mondiale : 2.000 médecins homéopathes avaient été engagés et la Croix-Rouge Américaine avait autorisé la création d’un hôpital homéopathique.)

 

De nombreux politiciens, médecins et personnages éminents, le Ministre des Postes, le Secrétaire au Trésor (qui avait eu la vie sauve grâce à l’homéopathie alors qu’une épidémie de choléra sévissait en 1849), le Secrétaire d’Etat William Seward, y compris le Maire de Chicago avaient soutenu le projet de Lincoln.

 

C’est dans la même nuit où Lincoln fut assassiné que le Secrétaire d’Etat William Seward fut poignardé dans un complot d’assassinat dirigé contre l’Union.

 

Source: Homeopathy plus

 

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19 février 2013 2 19 /02 /février /2013 21:25

Cette info est finalement plus importante que le fait de commenter la perspective d'un Xième nouveau vaccin (contre le rhume des foins) qui n'est jamais qu'une vraie fausse solution de plus.

 

La Commission Européenne pousse terriblement, on le sait, à la vaccination: H1N1 mais aussi bien d'autres vaccins. A chaque fois, il faut financer toutes sortes d'initiatives pour augmenter les taux de vaccinations, y compris même, chez les migrants! Tout cela bien sûr au nom du prétendu Bien public.

 

Problème: la Commission Européenne n'en a en réalité rien à caler de la santé publique et l'a ENCORE prouvé une Xième fois récemment.

 

En effet, après avoir multiplié par 3 les taux de cesium radioactif dans les aliments pour ne surtout pas entraver les échanges commerciaux depuis Fukushima, la Commission réautorise à présent pour les poissons d'élevage les farines animales... celles-là même qui sont à l'origine de la crise de la vache folle!

 

C'est très important de faire les liens entre les scandales sanitaires car hélas, ils se tiennent tous et toujours, au nom du profit, on met la santé et la vie des gens en danger. C'est à chaque fois la même chose et avec la vaccination, on n'échappe évidemment pas à la règle!

 

Voici copie, ci-dessous, de l'excellent communiqué du député français Nicolas Dupont-Aignan sur son site (Debout la République) au sujet du retour des farines animales et du rôle de la Commission Européenne:

 

La Commission fait une queue de poisson à la santé des européens

 

En autorisant aujourd'hui le recours aux farines animales pour les poissons d'élevage, la Commission de Bruxelles adresse un bras d'honneur à tous les consommateurs européens.

 

Seulement une semaine après le début du scandale de la viande de cheval, cette décision démontre que la Commission n'a plus peur de rien ni de personne. Il faut rappeler que ce mode d'alimentation était interdit depuis la crise de la vache folle. A raison, les experts avaient estimé que nourrir des poissons avec des farines de porc et de volaille revêtait un risque sanitaire. Afin d'éviter un drame comme celui de la vache folle, les États et notamment la France avaient poussé à leur interdiction. La Commission à la solde des lobbys avait tout fait pour éviter cette interdiction. Aujourd'hui elle a décidé d'autoriser à nouveau leur utilisation.

 

C'est un risque sanitaire immense que Bruxelles fait courir aux consommateurs. Il ne s'agit pas ici d'avoir dans nos assiettes du cheval à la place du bœuf. C'est beaucoup plus grave. En cédant à la pression de certains lobbys, les Commissaires de Bruxelles jouent avec la santé des Européens.

 

Hier Bruxelles donnait une fin de non-recevoir aux exigences de pays comme la France qui réclament un étiquetage des plats préparés en fonction de l'origine des produits. Cette nouvelle annonce démontre qu'il n'y a plus rien à attendre d'une Union européenne sclérosée et obscurantiste. Je demande à François Hollande de prendre ses responsabilités. On ne parle plus simplement d'emplois délocalisés. On parle ici de santé publique menacée par le diktat de Bruxelles. Soit il obtient de la Commission qu'elle recule, soit il en tire les conséquences et interdit sur le territoire français l'utilisation de ces farines.

 

Nicolas Dupont-Aignan


Député de l'Essonne


Président de Debout la République

 

dupont-aignan.png

 

Voir aussi: L'UE veut faire taire les eurosceptiques, exactement comme elle veut imposer les vaccins!

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 21:00

17. 02. 2013

 

Vasella.jpg                               Daniel Vasella ne pourra pas donner de conseils payants. [Keystone]

 

Le patron de Novartis Daniel Vasella a confirmé vendredi à la télévision alémanique qu'il touchera une indemnité de 72 millions de francs pour ne pas travailler pour la concurrence de l'entreprise.

 

Le patron de Novartis va toucher 72 millions de francs lorsqu'il quittera l'entreprise. Daniel Vasella a confirmé ce chiffre dans l'émission "Tagesschau" de la télévision alémanique. En échange, il a l'interdiction de travailler pour la concurrence.

 

Dans le courant 2010, année durant laquelle Daniel Vasella a quitté le poste de directeur, Novartis a déposé ce montant à la banque privée Wegelin, selon le site d'informations Inside Paradelplatz. Une porte-parole de Novartis a assuré que l'entreprise est "en conformité avec la loi".

 

Dons à des œuvres

 

Daniel Vasella touchera durant six ans au maximum 12 millions de francs par année à titre de dédommagement. Il ne percevra toutefois l'entier de la somme que s'il se tient aux conditions négociées avec le groupe pharmaceutique, en particulier une interdiction de passage à la concurrence et la transmission de son savoir-faire à Novartis.

 

Le patron de Novartis affirme qu'il ne conservera pas cet argent, mais le consacrera tout ou partie à des dons. Dans l'interview accordée au Tagesschau, le téléjournal de SRF, Daniel Vasella évoque comme bénéficiaires potentiels des organisations d'utilité publique et autres institutions.

 

bri/gchi 

  

 

Fortune de 400 millions de francs

 

Fin janvier,  le président du conseil d'administration du géant pharmaceutique a annoncé qu'il ne solliciterait pas de nouveau mandat lors de la prochaine assemblée générale, après avoir piloté le groupe pendant 17 ans.

 
Daniel Vasella a revêtu la double casquette, avec la fonction de directeur général prise elle en 1996 et lâchée en 2010.


Son salaire actuel serait de 13 millions de francs. Sa fortune est estimée à 400 millions de francs selon Bilanz. Daniel Vasella est l'un des principaux actionnaires du groupe pharmaceutique.

 

Source: Rts.ch

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:55

Van-Ranst.JPG

Il y a peu, une épidémie de grippe s’est produite dans un home de Vilvorde, a déclaré le Dr Luc de Munck (CRA) au Journal du Médecin (Artsenkrant du 12 février 2013, p. 2). Au cours des quatre dernières semaines, 48 personnes ont manifesté des symptômes typiques de la grippe. Les personnes qui sont tombées malades avaient pourtant été vaccinées contre la grippe. « Mais cela ne suffit pas » a déclaré le professeur Marc Van Ranst.

 

Tout a commencé il y a quatre semaines, explique le docteur Luc de Munck du Home (WZC) de Vilvorde. « En quelques jours, 14 pensionnaires sont tombés sérieusement malades ; ils présentaient les caractéristiques typiques d’une infection virale, alors qu’ils avaient tous été vaccinés contre la grippe. »

 

Le weekend suivant, il y eut encore plus de malades. En accord avec le Dr Marc van Ranst (UZ Leuven), le Dr de Munck demanda que l’on procède à des cultures naso- pharyngiennes de trois pensionnaires. Il fut supposé que la souche B/Victoria du virus de l’influenza B qui, cette année ne faisait pas partie du vaccin, était  responsable de l’infection. Dans l’attente des résultats des examens,  la maison de soins décida de fermer la cafeteria, comme de demander aux pensionnaires de prendre les repas dans leurs chambres, et au personnel de porter des masques et des gants….Mais, malgré les mesures prises, le nombre de malades présentant les symptômes de la grippe ne cessèrent d’augmenter pour atteindre le nombre de 48. Quelques membres du personnel furent aussi touchés et des pensionnaires durent même être hospitalisés.

 

L’influenza A

 

Les cultures effectuées par le Ministère de la Santé publique montrèrent qu’il ne s’agissait pas de la souche Victoria ; les échantillons contenaient en fait l’influenza A(H3N2), une souche qui faisait partie du vaccin utilisé. « Rien d’illogique » déclare le Dr Van Ranst de l’UZ Leuven ! «  Le vaccin contre la grippe ne fonctionne pas d’une manière parfaite. En outre, son efficacité diminue chez des personnes avec un système immunitaire qui vieillit. »

 

N’aurait-on pas pu éviter cette épidémie ? « Peut-être bien, mais avec une stratégie plus large », pense le Pr Van Ranst. « En tout premier lieu, tous les pensionnaires devaient être vaccinés. Ce qui fut le cas à Vilvorde. Mais en outre, il fallait qu’un maximum de membres du personnel soient également vaccinés, parce que c’est par eux que le virus de la grippe est rentré. Dans beaucoup de homes pour personnes âgées, le taux de vaccination est vraiment trop peu élevé. A partir d’études que nous avons effectuées l’année dernière, nous avons pu réaliser qu’à peine un quart du personnel soignant des homes s’était fait vacciner. »

 

Qu’en était-il pour le home de Vilvorde ? Ann Verhaeren, directrice du Centre en question déclare : «  Seulement 26% de notre personnel est vacciné. Quant au personnel soignant proprement dit, seuls 14% se sont fait vacciner. L’an prochain, nous allons bien sûr faire des efforts pour améliorer cette situation. »

 

Irresponsable ?

 

Il n’y a pas que les membres du personnel, les visiteurs peuvent aussi colporter des maladies. « Il faudrait que l’on soit plus sévère par rapport aux visites des petits enfants malades. Je constate que les homes se comportent d’une manière assez « libérale » par rapport aux petits enfants et arrière-petits enfant qui font un gros rhume. D’un côté on peut comprendre la chose, mais il faut savoir que cela comporte aussi des risques. Dans un certain sens, c’est quelque peu irresponsable, car la société investit pas mal de moyens dans les campagnes de vaccination, alors que nous laissons la porte arrière grande ouverte. »

 

Le professeur de virologie de Louvain a-t-il, dans le cas qui nous occupe, utilisé des antiviraux ? «  Dans des circonstances normales, je n’en suis sûrement pas partisan. Mais dans une situation épidémique comme celle qui s’est produite dans ce home, on peut se le permettre pour empêcher que les problèmes durent trop longtemps et ainsi limiter la mortalité et éviter autant que possible des hospitalisations. »        

 

Tijs Ruysschaert

 

Source:  Journal du Médecin

 

Voici la démonstration solennelle de l’inefficacité totale de la vaccination chez les personnes à qui on recommande en priorité le vaccin. Et quand des échecs surviennent, ce qui est monnaie courante, pas seulement dans ce home-là mais aussi dans tous les autres, c’est toujours la faute aux non vaccinés parce qu’ils auraient dû l’être ! Donc quand on voit ce genre d’information-aveu publié, on peut arriver à deux types de conclusions possibles : d’une part que ces experts aux manettes font preuve d’un fanatisme inquiétant et d’autre part, qu’ils sont finalement peu intelligents de publier ce genre d’aveu qui les enfoncent jusqu’au cou ! 

 

Culpabiliser les petits enfants est en outre ridicule, leur visite apporte réconfort et joie de vivre aux résidents, ce qui a un effet positif sur l’immunité. Mais il est vrai qu’avec le nombre de vaccins infligés aux malheureux petits enfants, ceux-ci sont sans cesse malades et choppent bien plus d’infections par ci par là que s’ils avaient eux-mêmes pu être vierges de toute vaccination (les comparaisons entre enfants vaccinés et non vaccinés sont très claires à ce niveau !). Il serait donc plus efficace en termes de vraie prévention et de santé publique de cesser d’une part d’accabler les enfants avec des batteries de vaccins dès leur plus jeune âge, ce qui entrave très lourdement hélas la bonne marche de leur système immunitaire et d’autre part, qu’on fasse enfin de la vraie prévention sans danger profitable aux résidents et pas seulement en matière de prévention antigrippale (dosage du taux de vitamine D, supplémentation y compris en Zinc, en magnésium, vitamine C+++, etc). Voilà ce qui changerait vraiment les choses dans le bon sens. Mais nul doute que cela n’enchanterait pas Van Ranst, on se demande bien ce qu’il aurait à expliquer sur ce sujet qu’il semble totalement ignorer…

 

Souvenons-nous enfin que ce genre d'articles a aussi vocation à préparer petit à petit l'opinion publique à une éventuelle vaccination annuelle généralisée des jeunes enfants contre la grippe, une idée qui a germé en Grande-Bretagne (qui copie en cela les Américains) et qui consistera à administrer un vaccin vivant atténué aux jeunes enfants, une démarche qui ne pourra donc que contribuer à répandre encore plus de virus susceptibles d'infecter les malheureuses personnes âgées dont les vaccins sont inefficaces! Aux USA où cette mesure a été généralisée dès 2002, on a très vite observé une hausse claire des décès liés à la grippe chez les enfants vaccinés... cherchez l'erreur là encore!

 

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 21:30

Michel Georget 1

Libre Journal des sciences et des techniques du 15 février 2013 : “Les risques des vaccins.

 

Par Paul Deheuvels  15 février 2013  Libre Journal des sciences et des techniques  

 

 

Paul Deheuvels, assisté d’Étienne Chaudron, recevait Michel Georget, professeur de biologie émérite et Sylvie Simon, journaliste, écrivain, pour une émission consacrée aux risques des vaccins.

 

Première partie: écouter ici
Seconde partie: écouter ici

 

Paul Deheuvels

 

Paul Deheuvels, de l'Institut, est professeur à l'université Pierre et Marie Curie, directeur du laboratoire de statistique théorique et appliquée (LSTA). Il est membre de l'Académie des sciences depuis l'an 2000.

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 22:36

AUSTRALIE : Vaccination obligatoire ?

 

compulsory.JPG

 

Peu importe l’opinion que l’on peut avoir sur les avantages ou les risques relatifs à cette procédure médicale, si l’on pense que chacun a le droit inaliénable de décider de ce qui rentre ou non dans son corps comme dans celui de ses enfants, il devient évident que l’on puisse s’accorder sur le fait qu’une vaccination obligatoire est à la fois moralement et éthiquement odieuse et exécrable.

 

Aucun gouvernement ne devrait avoir le droit de nous contraindre à mettre notre vie ou notre santé en danger si notre recherche nous a fait comprendre que dans certaines situations la vaccination peut faire plus de mal que de bien. Pourtant il semble que le gouvernement australien se prépare à agir de la sorte.

 

Au sein du Parlement fédéral, un comité consultatif a tenu des réunions pour déterminer la meilleure façon d’adopter la vaccination forcée. En fait, le projet de loi nécessaire pour mettre en route pareille loi draconienne a déjà été écrit et la seule raison pour laquelle il n’est pas encore d’application est le problème de l’indemnisation des accidents vaccinaux qui n’est pas encore réglé.

 

Bien que l’idée de perdre notre droit de dire non à quelque chose d’aussi fondamental que des procédures médicales soit terriblement effrayant, on pourrait malgré tout considérer qu’il s’agit peut-être d’une occasion unique de nous réveiller et de déployer les efforts nécessaires pour que pareille loi ne passe jamais.

 

En réalité, pas plus tard que hier, nous avons reçu un appel de la rédaction d’une revue médicale très respectée qui nous a signalé avoir reçu quelque information au sujet de la perspective de vaccination obligatoire en Australie. La rédaction voulait savoir si nous disposions de détails concrets et j’ai dû leur dire que non- mais quand vous continuez d’entendre cette même information encore et encore de la part de plusieurs sources qui ont déjà prouvé de par le passé qu’elles étaient fiables, vous commencez à vous demander si toutes ces fumées ne sont pas réellement indicatrices d’un feu ?

 

Source: Meryl Dorey, de l'Australian Vaccination Network (AVN), newsletter du 13/02/13

 

AVN-logo.PNG

 

Elément-clé à souligner ici, c’est le CARACTERE INSIDIEUX de la loi en préparation destinée à forcer la population à se faire vacciner. Il s’agit d’une loi « fourre-tout » qui obligera la vaccination « au nom de la lutte contre la discrimination ». Ainsi, au prétexte que les gens doivent être traités de la même façon, on finira par imposer à tous les vaccins standards qui font de plus en plus grincer des dents. Des lanceurs d’alerte australiens, soucieux de leur liberté et de celle des autres, tentent de faire insérer une clause dans la loi en préparation selon laquelle aucun acte médical ne pourra être imposé sans le consentement des gens (s’il faut une telle lutte pour faire adopter une telle clause de bon sens consistant à rappeler un droit inné pour éviter qu’on ne nous l’enlève, c’est dire si on est déjà loin dans le degré de tyrannie atteint!!)

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 22:20

Trinidad.png

On pourrait penser que c'est là une critique "de principe", liée à la croyance que la vaccination anti-HPV pourrait être associée à une émancipation sexuelle plus précoce.

 

Pourtant, il n'en est rien, ce n'est certainement pas là, la raison première des réticences de l'Eglise catholique romaine par rapport au programme vaccinal scolaire contre le HPV dans les écoles de Trinidad et Tobago.

 

L'Eglise locale est en effet opposée à la vaccination HPV en milieu scolaire et l'a fait savoir au Ministre de la Santé. En cause: l'insécurité du vaccin. L’Eglise catholique romaine a précisé que son Conseil d’Administration a évoqué les « graves dangers » résultant de l’utilisation de ce vaccin (y compris des décès) et elle a déconseillé aux parents la vaccination de leur fille avec Gardasil.

 

Après le positionnement gênant de l'Eglise, le Ministre s'est sans doute efforcé de "trouver un arrangement" et l'Eglise a adouci son opposition de départ mais en rappelant qu'il était indispensable que les jeunes filles et leurs parents puissent choisir en toute connaissance de cause, ce qui suppose de leur exposer la liste complète des risques graves, y compris mortels, possibles. En outre, l'Eglise a aussi insisté sur l'importance d'avoir un suivi suffisant des jeunes filles vaccinées dans ces conditions.

 

Il faut dire que le taux de cancers du col est nettement plus élevé dans ces pays que chez nous. Néanmoins, quand on sait que le frottis du col de l'utérus a permis, à lui seul, une réduction de 80% de la mortalité par ce type de cancer, on se dit que le prix de ces vaccins constitue un triste gaspillage au détriment d'un investissement prioritaire dans des programmes de dépistage organisé!

 

Source: Stabroeknews & Trinidad Express

 

Que ce soit Initiative Citoyenne (en 2011), Vie Féminine (en 2012) ou l’Eglise Catholique Romaine de Trinidad (en 2013), nous sommes toutes et tous intellectuellement en mesure de constater que les jeunes et leurs parents sont trompés et qu’ils ne bénéficient hélas pas de l’information honnête minimale suffisante pour choisir en toute connaissance de cause. Les risques graves du vaccin sont en effet constamment minimisés ou tus et les « avantages » du vaccin, sans cesse présentés de façon trop absolue. Nous avions écrit en son temps aux directions d’écoles, à la Ministre, aux associations de parents, comme vous pourrez le voir sur notre site. Vie Féminine aussi avait écrit à la Ministre…

 

En Belgique, seules 20% des jeunes filles visées ont reçu le vaccin HPV dans le cadre scolaire. Et le taux de vaccination a été 4 fois moins élevé dans les écoles de l’enseignement catholique (réseau libre), par rapport au réseau officiel, ce qui laisse supposer que les jeunes filles ont été MIEUX INFORMEES dans ces écoles-là que dans les autres sur les risques graves possibles de ces vaccins.

 

Mais un peu partout dans le monde hélas, la désinformation continue de battre son plein au sujet de ces vaccins. Pas plus tard qu’hier par exemple, un soi-disant expert officiel en vaccinologie à Madagascar, affirmait de façon trompeuse et non scientifique dans un grand quotidien de l’île que le vaccin HPV permettra d’éviter 98% des cancers du col, un chiffre qui ne repose sur absolument aucune preuve, bien au contraire. Ce chiffre de 98% dépasse même en effet les chiffres mensongers des fabricants (qui parlaient eux de 70% de cancers du col évitables) qui étaient déjà remis en cause par plusieurs spécialistes, comme le gynécologue Dr Spinosa qui expliquait bien, résultats d’essais cliniques du Gardasil à l’appui, qu’en réalité, les vaccins ne permettaient qu’une réduction des lésions précancéreuses dues aux souches 16 et 18 de l’ordre de 16,9% !!

 

 

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 21:30

abus-de-conscience

Voici une interview salutaire du Dr Alain Perrier dans le Journal La Savoie du 7 février 2013 dernier sur les vaccins de l'inconscience médicale.

 

Extraits:

 

" J'ai pris conscience, avec les mamans qui venaient me voir pour leurs enfants qui, après une ou des vaccinations, étaient malades tout atteints des maladies dont ils auraient dû être protégés."

 

"Piquer, piquer, piquer... c'est de la prévention nous dit-on, mais est-ce un acte médical? Un acte médical est avant tout un travail de diagnostic. Tout bon médecin devrait faire un diagnostic, celui de ma protection immunitaire. Sans cela, comment évaluer le remède à prescrire?"

 

"On pique parce que c'est la loi, mais cette loi est dirigée dans l'ombre par les lobbies. Lobbies qui sont en permanence à l'Assemblée à soutenir telle ou telle source de profit."

 

Vacciner, est-ce un acte scientifique? (journaliste)

 

Dr Alain Perrier: "C'est une honte immunologique! Le vaccin entraîne en réalité un effondrement du système immunitaire. Avec lui, on prend le risque d'un antigénisme croisé."

 

"Pourquoi voit-on des maladies se déclencher après une vaccination, des maladies persister malgré tout? Quel est cet homme de demain que la science est en train de nous programmer? Un homme objet, docile, sans conscience? [...] La santé officielle, ne va-t-elle pas faire de nous tous, des malades? "

 

L'avis d'Initiative Citoyenne sur la notion de "contagion":

 

Initiative Citoyenne est un peu plus nuancée que le Dr Perrier sur la notion de contagion mais est d'accord sur le fait que la seule contagion n'explique en effet pas tout: de là en effet le fait que tout le monde ne contracte pas forcément une maladie, fusse-t-elle contagieuse et fussent les gens non immunisés. Le terrain individuel est en effet une notion complètement ignorée par la pseudo-science qu'est la vaccinologie. De là aussi de nombreux accidents, systématiquement niés. On remarquera quand même ici avec bonheur l'ouverture d'un tel média, en déplorant hélas que c'est loin d'être le cas de tous! Certains médecins, bien plus souvent en fin de carrière d'ailleurs, ont aussi plus de courage que d'autres...

 

 

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