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29 septembre 2017 5 29 /09 /septembre /2017 21:34

Grâce au brevet sur le vaccin antipneumococcique, Pfizer gagne sur de nombreux plans

Dr Jacob Puliyel, 25.08.2017

Pfizer a non seulement reçu une subvention pour «développer» un médicament qui existait déjà, mais les bénéfices que la firme tirera d’un vaccin inefficace dépassent de loin ce qui avait été conclu à l’origine.

Logo de la compagnie visible derrière les branches au siège de Pfizer à Dublin, en Irlande, 24 nov. 2015. Credit: Reuters/Cathal McNaughton

Logo de la compagnie visible derrière les branches au siège de Pfizer à Dublin, en Irlande, 24 nov. 2015. Credit: Reuters/Cathal McNaughton

New Delhi : Pfizer a obtenu un brevet indien pour son Prevenar 13 – un vaccin antipneumococcique. Ce vaccin coûte plus de 3.000 Rs la dose. Et les 3 doses qui sont requises pour vacciner un enfant coûtent finalement plus de 10.000 Rs. L’office des brevets interdit en outre aux autres entreprises indiennes de fabriquer une version moins chère du vaccin. Bien que le vaccin soit d’un prix exorbitant, son efficacité est faible. Pourtant, il semble que personne n’ait été surpris par l’annonce du brevet, compte tenu de toute l’histopire de ce vaccin à l’échelle nationale et internationale.

Selon la requête présentée par M. Prashant Bhushan de la Haute Cour de Delhi, ce vaccin présenterait la particularité d’avoir été recommandé avant qu’il ne soit fabriqué, et encore moins testé par le Groupe National Consultatif Technique sur la Vaccination dont la mission est d’évaluer et de recommander des vaccins pour leur introduction dans le pays.

Un vaccin peu efficace

Les bactéries pneumococciques ne sont qu’un des très nombreux organismes susceptibles de provoquer une pneumonie. De nombreuses autres bactéries, mycoplasmes, et virus peuvent également provoquer des pneumonies. La seule bactérie pneumococcique comporte environ 100 souches. Le vaccin est dirigé contre seulement 13 de ces souches. Il est clair que ce vaccin ne touche qu’une petite fraction de ce que représentent les causes de la maladie. La pneumonie bactérienne est très facilement traitable ; elle répond très bien aux antibiotiques avec peu de séquelles à long terme.

Avant que ce vaccin contre 13 souches n’ait été mis sur le marché, la plupart des pneumopathies pneumococciques ont été causées par sept souches de la bactérie qui réagissaient très bien à une antibiothérapie peu coûteuse comme la pénicilline. Un vaccin contre sept souches a été introduit aux Etats-Unis en l’année 2000. Il en a résulté que la plupart de ces sept souches ont été éliminées, mais d’autres souches ont remplacé celles qui ont été éliminées. Ces nouvelles souches ont causé davantage de problèmes : accumulation de pus dans la poitrine et résistance à la pénicilline de première ligne. En bref, l’utilisation de ce vaccin ne faisait qu’aggraver le problème. On a ensuite développé un vaccin contre dix souches. Quand on s’est aperçu que ce vaccin provoquait de nouveaux glissements de souches, le vaccin contre 13 souches a été adopté. D’autres pays ont clairement eu l’occasion de tirer les leçons de ces erreurs et de choisir l’option de ne pas introduire de vaccin qui aggravait la situation. Mais l’influence des fabricants de vaccins, comme de leurs promoteurs internationaux (l’OMS et le GAVI) est telle que le vaccin a été recommandé dans les pays les plus pauvres qui ne peuvent se permettre de faire pareilles erreurs aussi coûteuses.

Ce vaccin présente une efficacité très faible. Selon un bulletin de l’OMS, le vaccin réduit l’incidence de la pneumonie de 3,6 cas pour 1000 enfants vaccinés. La prévention de ces quatre cas (une approximation généreuse) de pneumonie par la vaccination de 1000 bébés avec un vaccin qui revient à 10.000 Rs par enfant  coûtera la somme ahurissante d’un million de roupies, alors que le traitement de ces quatre cas de pneumonie avec le sirop Septran conseillé par l’OMS ne coûterait que 40 roupies. Même si le vaccin est acheté au dixième du prix du marché, il coûtera encore 100.000 roupies pour réduire quatre cas d’infection thoracique.

Effets indésirables

Outre une efficacité insuffisante, le vaccin présente aussi d’autres problèmes. Une étude publiée dans le prestigieux New England of Medicine montre que cette vaccination a contribué à presque doubler l’incidence de l’asthme. Pour deux cas de pneumonies qui ont été empêchées, un enfant développera de l’asthme. La pneumonie est une maladie transitoire ponctuelle. L’asthme d’autre part a des implications à long terme. Il convient ici de se poser des questions sur ce type de compromis.

Malgré toutes ces preuves, ce vaccin a été introduit en Inde pour être administré à tous les enfants.

La nécessité d’introduire ce vaccin d’un prix exorbitant qui peut-être aggrave au lieu d’atténuer la morbidité respiratoire, comme le fait de lui accorder un brevet en Inde; tous ces éléments ont fait s’interroger des organisations comme Médecins Sans Frontières sur l’influence qu’exercent les fabricants de vaccins. Nous avons eu les preuves de cette influence il y a dix ans quand la compagnie a détourné le marché alloué par le GAVI. Le professeur Donald W. Light de l’Université de Stanford a décrit la chose en détail.

Une femme marche le long d'une pharmacie à Mumbaï, en Inde, le 28 avril 2017. Credit: Reuters/Files

Une femme marche le long d'une pharmacie à Mumbaï, en Inde, le 28 avril 2017. Credit: Reuters/Files

Mécanisme de financement détourné

En général, les compagnies pharmaceutiques aiment fabriquer des médicaments pour les pays riches ; ce qui leur permet de faire de grands profits. Elles ont peu d’intérêt à fabriquer des vaccins contre les maladies comme le paludisme qui touche les pays pauvres parce que ces pays ne peuvent leur assurer leurs marges bénéficiaires.

En 2005, le Centre pour le Développement Mondial, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates ont eu l’idée d’encourager les fabricants de médicaments à fabriquer des vaccins contre des maladies comme le paludisme. Les donateurs ont créé une société de gestion des actifs (= un mécanisme de financement) pour compenser les pertes de revenus des entreprises qui produisaient des médicaments pour les maladies négligées. Médecins Sans Frontières estime que les bénéfices pour un médicament qui marche s’élèvent à approximativement 400 millions de dollars. La société a convenu d’acheter jusqu’à quelques centaines de millions de doses du nouveau vaccin à un prix d’achat qui permettrait au fabricant de faire les bénéfices qu’il ferait si le vaccin était fabriqué pour les pays riches. A son tour, le fabricant s’engageait à produire le médicament pour les pays à faible revenu (1-2 dollars) sans faire de profit. Les bailleurs de fonds ne payeraient pas jusqu’à ce que le fabricant ait trouvé le vaccin innovant. La compagnie qui se présenterait la première récolterait tous les bénéfices.

Après que les fonds furent recueillis auprès de donateurs internationaux pour la mise en place de ce mécanisme de financement, l’argent a, inexplicablement, été accordé à Pfizer  pour le Prevenar 13, vaccin que la société avait déjà développé pour remplacer le vaccin anti-pneumocoque sérotype à succès pour le marché des riches. De plus, le prix de rachat a été porté de 5-6 dollars à 10 dollars et le prix sans but lucratif a été porté de 1-2 dollars à 3,50 dollars. En fait, aucun nouveau vaccin pour une maladie négligée n’avait été développé. La société a réalisé des bénéfices supérieurs à 600 millions de dollars, là où les bénéfices normaux s’élevaient, selon les calculs de MSF à 400 millions de dollars. Au niveau international, ce mécanisme de financement tel qu'utilisé a anéanti tout intérêt que d’autres fabricants auraient pu avoir pour réaliser un vaccin moins cher. Ces autres fabricants n’auraient pas pu concurrencer l’énorme subvention accordée à Pfizer.

La dernière goutte

Il n’est pas permis à l’Inde d’avoir accès au financement GAVI car son PIB par habitant dépasse 1.500 dollars par an. L’Inde doit donc payer le prix négocié complet pour le vaccin. Les fabricants indiens ont donc eu intérêt à fabriquer un vaccin moins cher pour des pays comme l’Inde et le marché local. L’octroi actuel du brevet à Pfizer pour le Prevenar 13 tue tout incitation, tout encouragement jusqu’en 2026.

Il est clair que si le brevet n’était pas là, le développement d’un vaccin moins cher aurait été possible et une incidence sur les prix aurait aussi été possible. Mais cela n’aurait rien changé à l’efficacité médiocre du vaccin, ni au problème de l’asthme causé par le vaccin.

Le Dr Jacob Puliyel est membre expert du National Technical Advisory Group on Immunization, organisme qui conseille le gouvernement par rapport à la politique vaccinale. Le Dr Puliyel dirige le service de pédiatrie au St. Stephens Hospital, à New Delhi.

Sources: The Wire & site du Dr Jacob Puliyel

Voir aussi

Prevenar: documents confidentiels accablants/ risques neurologiques de la double vaccination

Le vaccin Prevenar est-il sûr et sans danger? 

Des triplés deviennent autistes après le vaccin Prevenar (pneumocoques)

Pneumocoques: l'échec retentissant de la vaccination

Pneumocoques: nouvel élargissement des cibles vaccinales chez l'adulte

Prevenar: les coulisses d'une médiatisation bien huilée

Prevenar de 7 à 13: le marketing vaccinal dans tous ses états

Vaccination (Prevenar) dans le Tiers-Monde: le principe des soldes

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Vaccin contre la malaria: vers une grande expérimentation en Afrique, contraire au Code de Nuremberg

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25 septembre 2017 1 25 /09 /septembre /2017 22:21

Des études en recherche biomédicale apportent les preuves que le vaccin contre le HPV peut causer le cancer: 

SUBSTITUTION DES TYPES DE HPV A HAUT RISQUE APRES VACCINATION

                      Par James Lyons-Weiler, PhD, 13 septembre 2017

Vaccins HPV: ils peuvent favoriser le cancer du col de l'utérus par substitution des souches

Nombre d’études montrent que la vaccination partielle au moyen des vaccins disponibles contre le HPV (papillomavirus humain) n’est pas seulement insuffisante pour réduire les taux globaux d’infection par le HPV; il appert que ces vaccins provoquent l’apparition de types de HPV plus rares et plus agressifs, et dont l’effet  ne pourrait être qu’une augmentation dévastatrice des cancers liés au HPV.

Je passe ici en revue les études réalisées en recherche biomédicale qui montrent que la substitution de types de HPV est bien réelle, et que la vaccination contre les types les plus courants peut, malheureusement et ironiquement, provoquer des AUGMENTATIONS des cancers liés au HPV.

La première étude émane du CDC (Centre Américain de Contrôle et de Prévention des Maladies) lui-même. Cette étude ne montre aucun changement net dans les taux d’infection par le HPV (compte tenu de tous les types) après l’introduction des vaccins contre le HPV dans la pratique médicale :

Markowitz LE et al., 2016 Prevalence of HPV After Introduction of the Vaccination Program in the United States. Pediatrics. 2016 Feb 22. pii: peds.2015-1968.

Cette étude a conclu que la substitution de souches ne s’est pas produite. Leur analyse des types individuels n’a montré une augmentation significative chez aucun type. Toutefois, étant donné que les vaccins éliminent les types ciblés par le vaccin, l’absence de changement dans les taux d’infections montre que la substitution de type a bien dû se produire.

La deuxième étude réalisée par Fisher et Al. (2016) qui a spécifiquement constaté que les types de HPV à haut risque ont remplacé les types ciblés par les vaccins. Ils ont écrit :

"Le pourcentage des souches de HPV à haut risque était plus élevé qu'attendu, étant donné que 8 types de HPV anciennement considérés comme "à bas risque" ou "probablement à haut risque" sont en réalité des souches de HPV à haut risque."

Fischer et al 2016: Shift in prevalence of HPV types in cervical cytology specimens in the era of HPV vaccination. Oncol Lett. 12(1):601-610.

Une troisième étude est celle de Guo et al. (2015). Ces auteurs ont clairement révélé des signes de remplacement de types à la suite de la vaccination contre le HPV :

« La prévalence des types non vaccinaux à haut risque était plus élevée chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées (52,1% vs 40,4% ; taux de prévalence 1,29, IC 95% CI 1.06- 1.57), mais cette différence a été atténuée après ajustement des variables ayant trait au comportement sexuel (prévalence ajustée, ratio 1,19, IC 95% : 0,99-1,43). La vaccination contre le HPV a été efficace contre les 4 types de vaccin chez les jeunes femmes vaccinées après l’âge de 12 ans. Cependant, les femmes vaccinées présentaient une prévalence plus élevée des types à haut risque non liés au vaccin. Ceci pourrait suggérer que ces personnes pourraient bénéficier de vaccins plus récents couvrant des types supplémentaires.»

Guo et al., 2015. Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20-26 years) American Association for Cancer Research Meeting, Apr 18-22; Philadelphia, PA. Philadelphia (PA): AACR; 2015. Abstract nr 844.

La quatrième étude est celle de Mollers et al., qui ont écrit :

«  … nos résultats suggèrent que le regroupement (clustering) diffère selon les types de HPV, et varie selon les groupes à risques. » et « la niche écologique peut aussi être envisagée selon le type de remplacement des souches, ce qui fait référence à la possibilité que l'élimination des souches 16 et 18 puisse entraîner une transmission accrue des autres types non inclus dans le vaccin. La substitution des souches a été observée après la vaccination contre d'autres agents pathogènes (par exemple, Streptococcus pneumoniae) et est plausible lorsque les souches pathogènes génotypiquement diverses sont en concurrence pour les mêmes hôtes". 

Mollers M et al., 2014. Population- and type-specific clustering of multiple HPV types across diverse risk populations in the Netherlands. Am J Epidemiol. 179(10):1236-46. doi: 10.1093/aje/kwu038.

Une étude réalisée sur des femmes italiennes s’est aussi penchée sur le type de substitution. Les auteurs écrivent : « Une surveillance post-vaccination précise s’avère nécessaire pour détecter suffisamment tôt une éventuelle substitution de génotypes. »

Giambi C. et al., 2013. Etude transversale destinée à pouvoir estimer la prévalence du papillomavirus humain à haut risque, ainsi que la distribution de types chez les femmes italiennes âgées de 18 à 26 ans. BMC Infect Dis. 13:74. doi: 10.1186/1471-2334-13-74.

… Les études en provenance des Etats-Unis, de l’Allemagne, de l’Italie et des Pays-Bas appuient toutes les mêmes conclusions : il existe des preuves d’une grande préoccupation quant à la pertinence des vaccins contre le HPV : alors que les types ciblés par les vaccins sont éliminés, la centaine de types qui sont susceptibles de les remplacer dans la population sexuellement active comprend des types pathogènes qui peuvent être plus dangereux que ceux qui sont visés par les vaccins.

Les statistiques sur les types qui sont censés provoquer la plupart des cancers pourraient être potentiellement trompeuses parce qu’il existe une relation inverse entre la possibilité qu’un pathogène puisse causer une maladie (morbidity) et les décès (mortality). Si l’on compte le nombre de cas, le HPV 16 semble bien être à haut risque. Bien que les types de fréquence peu élevée pourraient même présenter un risque PLUS ELEVE – ce qui expliquerait peut-être pourquoi leur fréquence est peu élevée.

L’étude allemande (Fisher et Al. 2016) est irrévocable. Nous avons donc la réponse : la substitution des types de HPV est réelle. Elle est causée en partie par la vaccination contre un groupe de virus oncogènes.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi

Vaccins anti-HPV: quand le slogan "une de moins" ("one less") devient "une de plus" ("one more").

"Vaccins HPV, fausse protection et vrais risques: démêler le vrai du faux?"  

Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!

Etats-Unis: hausse des cancers liés à une infection au papillomavirus (NB: les USA sont un des pays du monde qui a le plus vacciné contre le HPV et ce, dès 2006,...)

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23 septembre 2017 6 23 /09 /septembre /2017 16:17

Les scientifiques de l’Université d’Oxford ont administré un vaccin contre la tuberculose à des bébés, alors que ce vaccin « ne marchait pas chez les singes »

 

                      Par Claire Newell et Edward Malnick, 3 septembre 2017

Un vaccin anti-tuberculeux pourtant inefficace chez les singes administré à des bébés par des scientifiques d'Oxford

L’Université d’Oxford est impliquée dans des problèmes éthiques après que des scientifiques furent accusés de conduite douteuse au cours de l’essai controversé d’un nouveau vaccin sur des bébés africains.

Le Professeur Peter Beverley, ancien recteur d’université, s’est plaint du fait que les scientifiques prévoyaient de tester un nouveau vaccin contre la tuberculose chez plus d’un millier de nourrissons, sans partager les données en leur possession. Ces données suggèrent que les singes qui avaient reçu les vaccins semblaient « mourir rapidement ».

Le Professeur Beverley a précisé qu’au cours de cette expérience, aucune preuve que ce soit n’avait été apportée que ce vaccin de rappel était efficace. Il a affirmé que l’information n’avait pas été donnée aux régulateurs, alors qu’une demande avait été introduite.

Dans l’étude sur les singes, cinq de ces six animaux infectés par la tuberculose et qui avaient reçu le vaccin expérimental sont devenus « très malades », et ont dû être abattus.

Une fiche informative distribuée aux familles d’Afrique du Sud et qui participaient au procès spécifiait que le vaccin avait été testé chez les animaux et les humains et qu’il était « sûr et efficace » chez les animaux.

Le Professeur Jimmy Volmink, doyen de la Faculté de Médecine et des Sciences de la Santé de l’Université de Stellenbosch, a déclaré au « Telegraph » que la fiche d’information ne semblait pas refléter les preuves concernant l’étude sur les singes, ce qui n’était pas « juste ».

Il a précisé que les personnes touchées par la tuberculose étaient souvent pauvres et « peu instruites », ce qui rendait particulièrement important qu’on leur donne des informations « claires et compréhensibles».

Près de 1500 bébés d’Afrique du Sud ont reçu le nouveau vaccin et les parents ont reçu la somme de 10 £ pour leur participation.

Le régulateur Sud-Africain qui a approuvé le procès a admis que la fiche d’information donnée aux parents « pouvait être interprétée comme trompeuse », ce qui soulève des questions sur le fait de savoir si les familles étaient suffisamment informées.

Les scientifiques d’Oxford qui ont participé au procès soutiennent que le vaccin était sans danger pour les enfants, et que leur expérience avait été approuvée par plusieurs organismes de réglementation. Ils ont précisé que le développement des enfants avait été suivi pendant deux ans après la vaccination - laps de temps approuvé par les organismes de réglementation.

L’étude des singes qui inquiétait le professeur Beverley a débuté en novembre 2006 et la demande introduite pour tester le vaccin dans le « Western Cap » a été introduite 18 mois plus tard.

A cette époque, le professeur Beverley a déclaré qu’il avait appris que les animaux de l’étude avaient dû être euthanasiés « plutôt rapidement ».

Tous les singes ont été infectés par la tuberculose, mais un groupe avait reçu le vaccin BCG largement utilisé, un autre singe n’a reçu aucun vaccin, un troisième a reçu le BCG plus le nouveau vaccin.

L’essai sur les bébés a commencé en juillet 2009, et près de la moitié des 2.800 nourrissons ont reçu le nouveau vaccin. En 2013, les résultats du procès concernant les nourrissons ont permis de conclure que le nouveau vaccin ne conférait aucune protection accrue.

Le Professeur Beverley, chercheur principal de l’Université d’Oxford jusqu’en 2010, s’est plaint formellement à l’Université.

Une enquête a été lancée et a conclu que, bien qu’il n’y ait eu aucun acte répréhensible, il aurait été de bonne pratique que les réactions potentiellement négatives observées chez les singes soient signalée aux autorités de manière plus rapide.

Le Professeur Helen McShane, l’un des principaux scientifiques qui ont développé le nouveau vaccin, a déclaré que le but de l’étude sur les singes visait à « tester la livraison des aérosols » chez les animaux, et non de « produire des informations sur la sécurité ».

Elle a déclaré que l’expérience avait échoué parce qu’« il n’y avait pas de différence entre les groupes ».

Le professeur McShane a déclaré au « Telegraph » qu’il n’y avait pas eu de retard dans la fourniture des données aux régulateurs concernant l’expérience sur les singes.

Elle a déclaré qu’elle ne pensait pas que les familles d’Afrique du Sud auraient été exploitées, et que les régulateurs avaient signé la fiche d’information donnée aux parents.

Elle a ajouté que l’essai sur les singes portait sur un nombre « limité » d’animaux et que le professeur Beverley était « mécontent ».

L’organisme de réglementation « South African Medicines Control Council » a déclaré qu’un « grand nombre de données » - en dehors de l’expérience sur les singes et qui comprenaient des essais antérieurs sur des humains – avaient été considérées comme faisant partie du processus d’approbation.

Ils ont également déclaré que l’expérience sur les singes « ne constituait pas un essai du vaccin sur les singes »  et que l’on n’avait pas suggéré que le vaccin soit dangereux chez les singes ou qu’il ait causé une maladie ou la mort ».

Toutefois, lorsqu’on a posé des questions sur la fiche d’information distribuée aux parents, le régulateur a déclaré : « Avec du recul, on peut dire que l’information obtenue sur l’efficacité pourrait être interprétée comme trompeuse », malgré que, « dans les études antérieures sur les humains, la  preuve  de sécurité ait été signalée».

Source: The Telegraph

Ce qu’il faut bien comprendre ici : la désinformation des parents dont cet article fait état est en réalité d’application pour tous les vaccins, dans tous les pays et pour tous les enfants. L’Afrique du Sud, et plus généralement les pays pauvres ne sont pas les seuls concernés. Quand, dans nos pays, les médecins de l’ONE ou de PMI affirment aux parents que les seuls effets secondaires des vaccins se résument à un peu de fièvre et/ou à une douleur ou une rougeur au point d’injection alors que les fabricants eux-mêmes listent plus de 800 effets secondaires susceptibles d’affecter tous les systèmes du corps (dont de nombreux effets gravissimes et irréversibles d’ordre neurologique, auto-immuns etc.), il s’agit d’une attitude dolosive, d’une tromperie délibérée et d’une mise en danger d’autrui évidente. Face aux aveux irréfutables des firmes, il est surréaliste que les instances officielles puissent impunément continuer leur propagande mensongère que certains enfants et adultes payeront pourtant irréversiblement (et sans aucune indemnisation) dans leur chair, au détriment de la collectivité tout entière...

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22 septembre 2017 5 22 /09 /septembre /2017 22:20

La recherche au Japon établit un lien entre le vaccin HPV et des dommages cérébraux

Japon: une recherche établit un lien entre le vaccin HPV et les dommages cérébraux

Commentaire de « Health Impact News »

Le Japon est un pays qui remet en question le vaccin contre le HPV à la suite de nombreux rapports d’effets secondaires graves. Le gouvernement japonais a cessé de le recommander.

Il n’est donc pas surprenant que la Société japonaise de médecine interne ait publié ses propres recherches sur le vaccin contre le HPV, et trouvé des « manifestations neurologiques associées au vaccin ».

On ne trouve pas ce genre de recherche médicale aux Etats-Unis où le Gardasil contre le HPV voit des ventes records et où les effets secondaires sont généralement censurés par les médias et la profession médicale.

 

ENCEPHALOMYELITE AIGUE DISSEMINEE SUITE A LA VACCINATION CONTRE LE HPV

Par le Dr Makoto Yoneda, Ecole supérieure de sciences infirmières et de sciences sociales, Université préfectorale de Fukui, Japon.

La vaccination des adolescentes avec les vaccins contre la papillomavirus humain (HPV), Cervarix mixte bivalent et Gardasil quadrivalent, a été introduite pour prévenir le cancer utérin et cervical (1). Depuis l’approbation réglementaire du premier vaccin quadrivalent contre le HPV en 2006 et plus tard, le vaccin bivalent contre le HPV depuis 2011, environ 120 millions de doses ont été distribuées dans le monde entier (1). C’est depuis 2010 que les deux vaccins ont été introduits au Japon pour être administrés aux jeunes adolescentes. Cependant, c’est avec l’augmentation du nombre de sujets recevant ce vaccin que certains effets néfastes ont commencé à être signalés au Japon. Ces effets indésirables comprennent des manifestations cliniques variées, telle que l’intolérance orthostatique; syndrome de tachycardie posturale ; douleur ou froideur dans les membres d’origine ambiguë, tout comme le syndrome de douleurs régionales complexes; les mouvements involontaires ; un comportement anormal ressemblant à une psychose ; maux de tête, fatigue générale; syndrome de Guillain Barré; ataxie cérébelleuse aiguë et encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) (2-6).

Sekiguchi et al. ont signalé deux cas d’ADEM après l’administration de vaccins contre le HPV (7). Les deux patients ont présenté des symptômes neurologiques après la deuxième administration du vaccin contre le HPV. Leurs symptômes se sont améliorés après l’administration intraveineuse de méthylprednisolone, sans signes de rechute. Les auteurs ont estimé une prévalence de 0,05 pour 100.000 pour l’ADEM après l’administration du vaccin contre le HPV au Japon, selon les données de l’Agence pharmaceutique et médicale (PMDA cf 0,1-0,2 pour 100.000 d’ADM post vaccinal au total) (8), et ont souligné l’importance de données supplémentaires dans leur étude sur la relation entre vaccins contre le HPV et l’ADEM (7). Dans une vaste étude épidémiologique, l’ADEM faisant suite à la vaccination, était peu fréquente, mais cependant pas rare (environ 5%) (9), et a eu tendance à se produire après la vaccination de rappel plutôt qu’après la première injection, tout comme dans les cas signalés (6,7).

En général, la vaccination peut induire une encéphalite allergique expérimentale (EAE), probablement en raison du mimétisme moléculaire entre l’épitope du vaccin et les antigènes neuraux avec l’activation subséquente des cellules immunitaires réactives (10,11). Le syndrome auto-immun / inflammatoire induit par les adjuvants (ASIA) a également été proposé comme une pathophysiologie potentielle des effets indésirables notés avec les vaccins contre le HPV (12). En particulier, l’aluminium (Al) est couramment utilisé dans les vaccins contre le HPV en tant qu’adjuvant pour prolonger la durée des effets du vaccin. En effet, des anomalies comportementales ont été observées chez des jeunes filles après administration d’adjuvants aluminiques du vaccin contre le HPV. (13)

Ces données expérimentales confirment la relation entre des manifestations neurologiques et les vaccins contre le HPV.

Voir l’entièreté de l’étude : ici

Source: Health Impact News

Voir aussi

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires du vaccin anti-HPV

Japon: avertissement des chercheurs sur les effets secondaires des vaccins HPV

Les taux de vaccination HPV s'effondrent au Japon

Traitement orthomoléculaire des effets secondaires des vaccins HPV (Gardasil et Cervarix)

Des effets secondaires graves du vaccin contre le papillomavirus volontairement minimisés par les laboratoires? Des chercheurs dénoncent une manipulation des chiffres dans les études de référence

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16 septembre 2017 6 16 /09 /septembre /2017 18:17

ETUDE : l’inflammation induite par les vaccins provoque une épidémie d’obésité

ETUDE : l’inflammation induite par les vaccins provoque une épidémie d’obésité

Commentaires de Health Impact News

L’obésité infantile constitue aujourd’hui une raison qui autorise l’Etat à enlever les enfants à leurs parents. Les autorités considèrent que si un enfant est obèse, la faute est à rechercher chez les parents qui n’auraient pas été capables de nourrir convenablement leur enfant. On suppose que l’obésité infantile résulte d’un régime alimentaire. Nous savons cependant tous que les enfants sont différents en matière de poids et de nourriture. Certains enfants  peuvent se nourrir très mal (malbouffe) la plupart du temps et ne jamais prendre de poids, alors que certains enfants peuvent suivre un régime alimentaire sain et bio et prendre des kilos.

Le Dr. J. Bart Classen a publié une étude qui donne la preuve accablante que l’obésité infantile ne dépend pas essentiellement d’un régime alimentaire, mais bien d’une « inflammation induite par les vaccins ».

Communiqué de presse

Un article récemment publié dans le « Journal of Endocrinology, Diabetes & Obesity, 5(3) : 1107 par l’immunologiste J. Bart Classen, MD. fournit de nouvelles preuves des dangers présentés par les vaccins..

Le document examine les preuves sans cesse croissantes  que de nombreux cas d’obésité, de diabète de type 2 et de syndrome métabolique sont des maladies inflammatoires, et que l’inflammation provoquée par les vaccins est la cause de l’épidémie de ces maladies.

En recevant un vaccin, le système immunitaire de certains individus devient hyperactif conduisant à une destruction auto-immune des cellules sécrétrices d’insuline et au développement du diabète de type 1. Beaucoup d’autres individus produisent du cortisol et d’autres molécules pour supprimer l’inflammation induite par le vaccin. Cette augmentation de la production conduit au diabète de type 2, à l’obésité et au syndrome métabolique. Le nouveau document examine les preuves qui montrent que les vaccins, et non nécessairement l’alimentation provoquent des épidémies d’obésité, de diabète de type 2 et du syndrome métabolique.

Le Dr J. Bart Classen déclare :

«  Le nouveau document examine la preuve que les vaccins sont beaucoup plus dangereux que ce que le public peut être amené à croire. Des tests adéquats n’ont jamais été effectués pour indiquer qu’il existe une amélioration générale de la santé par la vaccination. Un problème majeur avec les vaccins est l’approche à dose unique passe partout. Afin d’induire une protection contre l’infection dans 1% d’une population avec un système immunitaire parmi les plus faibles, les vaccins stimulent le système immunitaire des 99% restants de la population, ce qui entraîne des épidémies de maladies inflammatoires. »

ABSTACT/RESUME :

Il existe une épidémie d’obésité, de diabète de type 2, de syndrome métabolique et de maladies associées. Les patients souffrant de ces maladies ont souvent des marqueurs d’inflammation accrue. De nombreux chercheurs ont publié que la surcharge nutritionnelle provoquait l’épidémie d’obésité et l’inflammation associée qui conduit au diabète de type 2 et au syndrome métabolique. Une vision contrastée a fourni de nombreuses preuves que la surcharge immunitaire induite par les vaccins a provoqué une épidémie d’inflammation. Et, c’est cette inflammation qui a provoqué des épidémies d’obésité, de diabète de type 2 et de syndrome métabolique. Les données de ces manuscrits prouvent que la surcharge immunitaire et non la surcharge nutritionnelle, a été le principal facteur contribuant aux épidémies et à l’inflammation associée aux épidémies d’obésité. Plusieurs éléments de preuve sont examinés, y compris la preuve que l’inflammation précède l’obésité chez de nombreux patients, le manque d’inflammation chez de nombreux patients obèses, une épidémie d’inflammation chez des patients minces et une épidémie d’obésité chez des enfants de moins de 6 mois. L’échec de la lutte contre l’épidémie d’obésité est lié à l’accent mis sur la nutrition, et à l’ignorance de la cause racine, la surcharge immunitaire induite par les vaccins. Une fois qu’un patient a développé un syndrome métabolique avec des éléments favorisant le diabète de type 2, les thérapeutes soumettent trop souvent leurs patients à une surcharge immunitaire accrue en administrant des vaccins annuels contre la grippe, ainsi que de nombreux autres vaccins. Cette manière de faire rend le syndrome métabolique plus difficile à inverser. Le plan visant à réduire l’obésité doit être axé sur la prévention de la surcharge immunitaire, et ne pas culpabiliser les patients pour leur alimentation. L’épidémie d’obésité peut être inversée par l’arrêt des pratiques de vaccination qui entraînent une surcharge immunitaire.

Source : Vaccine Impact

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14 septembre 2017 4 14 /09 /septembre /2017 22:15

Beaux effets du vaccin Gardasil :

«  Je préférerais être morte plutôt que vivre dans pareil état »

Beaux effets du vaccin Gardasil: "Je préférerais être morte que vivre dans pareil état"

L’agonie d’une adolescente clouée dans un fauteuil roulant, vivant comme si elle avait 80 ans. Ses parents affirment que c’est le vaccin HPV controversé qui est à blâmer.

* Zara Beattie de Wigton, Cumbria était une footballeuse qui promettait

*.Aujourd’hui, l’adolescente sait à peine se lever seule, et passe la plupart de son temps au lit.

* Ses parents croient que ses symptômes ont commencé à se produire après le vaccin contre le HPV.

* Depuis le vaccin, Zara souffre de palpitations cardiaques et de fortes douleurs dans tout le corps

* Les experts disent qu’il n’y a pas de lien entre sa maladie chronique et le vaccin.

Par Daisy Dunne, Mailonline, 8 mai 2017 

 

La maman, infirmière, affirme que sa fille de 13 ans a été clouée dans un fauteuil roulant après avoir souffert d’un effet secondaire du vaccin HPV.

Le cœur brisé, Anthea Beattie, 49 ans, explique que Zara est comme une personne de 80 ans dans un corps d’adolescente. Elle est convaincue que sa maladie est due au vaccin qui doit protéger contre le cancer du col de l’utérus.

La jeune sportive, footballeuse dont l’avenir était prometteur (elle pratiquait aussi le netball), a commencé à connaitre des problèmes respiratoires au cours d’une leçon d’éducation physique, en janvier de l’année dernière, peu de temps après qu’elle ait reçu le vaccin.

Dans un premier temps, les parents ont mis ses problèmes respiratoires sur le compte de l’asthme. Mais la santé de la jeune-fille a continué à se détériorer au cours des semaines qui ont suivi. Elle a souffert de palpitations, s’est sentie étourdie, faible et fatiguée. Elle a finalement été diagnostiquée comme souffrant du symptôme de tachycardie orthostatique posturale (POTS) qui accélère le rythme de son cœur.

Madame Beattie explique: « C'est horrible. Ma fille m’a dit : « maman je préférerais être morte que de souffrir pareillement. » Elle n’a que 13 ans et a l’impression de vivre dans le corps d’une personne de 80 ans.»

Chaque fois qu’elle veut se lever, la jeune-fille se sent faiblir ; elle est incapable de quitter la maison autrement qu’en fauteuil roulant. Elle a dû être scolarisée à la maison.

Rester à table pour prendre un repas l’épuise totalement. Elle reste à la maison 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, sauf pour des rendez-vous à l’hôpital.

Les médecins refusent de confirmer les inquiétudes des parents, mais la maman Anthea  et son mari Ian, ingénieur de 54 ans sont convaincus que l’état de Zara a été déclenché par le vaccin.

Anthea qui s’est vue forcée de réduire son temps de travail pour s’occuper de Zara, explique : « J’ai été infirmière pendant 30 ans et je n’ai jamais vu une chose pareille, et il y a tellement de jeunes-filles qui se trouvent dans  une situation identique. Je ne peux pas croire qu’il s’agit de coïncidences.

LE VACCIN EST-IL SUR ?

Selon le « Cancer Research UK », Il y aurait eu 3.200 nouveaux cas de cancer du col au Royaume Uni en 2014 – soit environ neuf diagnostics par jour.

Comme pour tout vaccin, il existe une très faible probabilité de réaction allergique sévère avec le vaccin HPV, selon le « Vaccine Knowledge Project » de l’Université d’Oxford.

Les statistiques de l’Agence européenne du médicament montrent que jusqu’en février 2017, ils ont enregistré 11.687 réactions au Gardasil.

Beaucoup signalent des symptômes de fatigue chronique ; les cas de jeunes filles paralysées sont rares. Le rapport montre cependant que des décès ont été enregistrés.

Les autorités sanitaires du monde entier, y compris l’OMS ont passé ce vaccin en revue et ont conclu que ce vaccin était sûr.

C’est depuis 2008 que ce vaccin a été proposé aux jeunes-filles de 12-13 ans selon le programme du NHS pour le cancer du col de l’utérus.

Ce vaccin est connu pour protéger contre deux types communs du HPV qui sont responsables de plus de 70% des cas au Royaume-Uni où l’on détecte chaque année plus de 3000 nouveaux cas de cancer du col, dont plus de 900 sont mortels, selon « Public Health England ».

Les médecins estiment qu’environ 400 vies sont sauvées chaque année, grâce à la vaccination des filles.

Pour en revenir à Zara, la moindre chose lui demande d’énormes efforts – elle n’a plus la moindre énergie. Elle est comme une petite vieille femme, et avoue à sa maman que sa vie est à ce point horrible qu’elle préférerait être morte. Elle se tracasse aussi beaucoup pour son futur ; elle dit : « je ne sais pas comment je vais me sentir dans cinq minutes, sans parler de l’état dans lequel je pourrais être dans cinq ans ». « Tout a changé dans ma vie. Je ne voudrais à aucun prix que quiconque doive traverser ce que je dois vivre ». 

La jeune écolière sportive était jadis une joueuse prometteuse de foot et de netball et se plaisait à faire du vélo avant que sa santé se détériore. Elle souffre à présent de palpitations et de douleurs thoraciques.

La jeune écolière sportive était jadis une joueuse prometteuse de foot et de netball et se plaisait à faire du vélo avant que sa santé se détériore. Elle souffre à présent de palpitations et de douleurs thoraciques.

Zara a été vaccinée avec le Gardasil à l’école Nelson Thomlinson de Wigton, en octobre 2015. Elle a d’abord été traitée pour le syndrome POTS (= syndrome de tachycardie posturale orthostatique) au centre médical de l’Université Royal Victoria de Newcastle où les médecins étaient incapables de dire ce qui a causé sa maladie [...].

Beaux effets du vaccin Gardasil: "Je préférerais être morte que vivre dans pareil état"

Madame Beattie fait partie d’un groupe de personnes sceptiques qui demandent qu’une meilleure information soit donnée aux parents sur ce vaccin et que davantage de recherches soient effectuées.

La famille de Zara fait partie d’une association de 400 familles qui ont une ou des filles dont la santé a été endommagée par les vaccins. Ces familles réclament une action du gouvernement.

Madame Beattie explique : «  Je veux me forcer à croire que la santé de Zara pourra s’améliorer, mais notre vie a été tellement bouleversée. Zara ne sera plus jamais une adolescente normale.

Mais les compagnies pharmaceutiques sont catégoriques : il n’y a pas d’effets secondaires graves ; pour elles toutes ces affirmations relèvent de la bêtise.

« Moi, je voudrais demander à ces gens de venir voir ma fille qui jouait football et dont la vie était belle et heureuse »

« Public Health England » déclare que l’OMS, le CDC et l’European Medicines Regulator, de même que les experts britanniques ont étudié de manière approfondie tout ce qui a trait à la sécurité vaccinale »

Ces organismes ont conclu qu’il « n’existe pas de preuve crédible d’un lien quelconque entre le vaccin HPV et toute une série de maladies chroniques. »

Le mois dernier un porte-parole du PHE, ainsi que des « Medicines and Healthcare products Regulatory Agency » a déclaré : Comme c’est le cas pour tous les vaccins, le vaccin HPV est sous constante surveillance. On prend très sérieusement en compte chaque effet secondaire suspect qui pourrait se produire.»

Source : Mailonsunday

PS: Seuls 1 à 10% des effets secondaires sont officiellement rapportés

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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 22:35

Les vaccins ont provoqué une dermatite et le diabète de type 1 chez notre petit garçon

                                          Bruno Péres, 3 septembre 2017

Les vaccins ont provoqué une dermatite et le diabète de type 1 chez notre petit garçon

Quand notre petit garçon, Rafael, est né le 9 septembre 2014, il était heureux et en parfaite santé. Au cours des premiers jours de sa vie on lui administra deux vaccins : le vaccin contre l’hépatite B et le BCG. Quelques jours plus tard, il a fait une grave dermatite.

Le médecin nous a dit que la chose était commune chez les bébés et nous a assurés qu’il n’y avait rien à craindre. Après quelques semaines, la dermatite a disparu. Nous avions accepté ce que le médecin nous avait dit et pensions que la dermatite n’avait pas été causée par le vaccin. En rétrospective, je reconnais que la réaction du bébé était déjà en fait, un signe de ce qui allait se produire dans la suite.

Au cours des mois suivants, Rafael n’est pas tombé malade. Il a été allaité jusqu’à 11 mois.

Une semaine et demi  après son premier anniversaire, soit le 21 septembre 2015, nous nous sommes rendus au Centre de santé pour que notre petit reçoive les vaccins recommandés, soit le vaccin contre l’hépatite A et le ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole). C’est cette série de vaccins qui a changé toute la vie de notre famille.

Au cours des jours suivants, l’énergie de notre petit a considérablement diminué et son humeur s’en est fortement ressentie. Il avait tout le temps soif et était très fatigué. Il n’avait plus la force de jouer comme précédemment. Deux semaines plus tard, soit le 2 octobre, il reçut le diagnostic de diabète de type 1. Dans notre famille, personne ne souffre de diabète de type 1.

Nous avons voulu effectuer un autre test pour confirmer le diagnostic. Ce test a révélé des anticorps positifs, ainsi que la valeur hbA1c pour l’hémoglobine glyquée.

Cela a confirmé nos craintes et nous a menés à nous interroger sur les vaccinations.

Nous avons commencé à chercher des preuves que les vaccinations pouvaient être des causes potentielles de certaines maladies de l’enfance.

La première preuve que nous avons découverte se trouvait dans la notice des vaccins. Nous avons estimé que tout lien éventuel entre les vaccins et le diabète de type 1 aurait dû nous être divulgué. Nous avons poursuivi nos recherches en ligne et avons constaté que des éléments de preuves allaient dans le sens de nos préoccupations. Nous avons trouvé très frustrant de constater que les preuves étaient largement disponibles, mais restaient ignorées de la communauté médicale.

Faudrait-il vraiment que la moitié de la population vaccinée soit affectée pour que l’on puisse enfin se pencher sur le problème ?

Nous avons accumulé quantité de preuves qui montrent que les vaccins sont susceptibles de provoquer des dommages de santé chez les enfants. Faudrait-il croire que ces dommages de santé causés chez les enfants ne constitueraient pas des  raisons suffisantes pour mettre un terme à l’utilisation de vaccins dangereux ?

En outre, ce ne sont pas que les enfants qui sont touchés négativement, mais aussi leurs familles et tous les autres contacts. Mais, ce sont avant tout les parents qui doivent porter l’énorme fardeau imposé par le manque d’information.

Je crois que les vaccins ne posent pas de problème pour la plupart des gens, mais qu’ils peuvent provoquer de terribles réactions pour un petit groupe de personnes qui n’ont pas été mises en garde par rapport aux complications qui pourraient se produire après vaccination. J’aurais de loin préféré que mon petit garçon fasse la rougeole, les oreillons et la rubéole plutôt que de faire un diabète.

Trois ans plus tard, nous devons lui injecter sept doses d’insuline par jour. Ses taux de glucose doivent être contrôlés entre 10 et 12 fois par jour. En raison du risque d’hypoglycémie, ses taux de glycémie doivent être contrôlés tous les soirs. Ma femme et moi devons restés éveillés presque toute la nuit pour nous assurer que notre enfant n’est pas en danger. Le diabète de type 1 est une maladie auto-immune qui nécessite une attention de toutes les heures.

Eléments et dispositifs médicaux nécessaires à la santé de Rafael

Aujourd’hui, Rafael va mieux et notre famille est heureuse. Il nous faudra cependant continuer à vivre en nous occupant d’une maladie incurable qui nécessite des soins journaliers pour le restant de nos jours. Je suis de tout cœur avec ces personnes et ces familles qui ont été victimes de complications vaccinales. Si les parents étaient informés des véritables risques que comportent les vaccins, risqueraient-ils que l’on injecte dans le corps de leurs plus précieux trésors des vaccins potentiellement dangereux?

Que préférez-vous pour votre enfant ? Le diabète ou la rougeole ? L’autisme ou les oreillons ? La grippe ou l’arthrite ? L’hépatite A ou une paralysie Guillain-Barré ? Ne prenez pas de risques avec la vie de vos enfants ! La rougeole peut être facilement traitée ; il n’en va pas de même pour le diabète de type 1 !

Source: Stopmandatoryvaccination.com

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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 21:54

Extrait du Soir des 9 et 10 septembre derniers.

 

Si on était dans un état de "droit", rien que cela devrait permettre d'obtenir la démission forcée d'une telle Ministre...

 

Jusqu'où ira donc le mépris de cette Ministre qui se croit dispensée de répondre de ses actes...

Capture d'écran du site du PTB

Capture d'écran du site du PTB

Capture d'écran du site 7 sur 7.be qui montre bien l'incohérence totale de Maggie De Block

Capture d'écran du site 7 sur 7.be qui montre bien l'incohérence totale de Maggie De Block

Capture d'écran du site de la RTBF, montrant là encore que De Block veut juste veiller au business de ses amis de Big Pharma, pas à la vraie santé des patients!

Capture d'écran du site de la RTBF, montrant là encore que De Block veut juste veiller au business de ses amis de Big Pharma, pas à la vraie santé des patients!

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10 septembre 2017 7 10 /09 /septembre /2017 21:58

Vaccins. « L’ANSM cherche à étouffer tout risque de scandale. » [Entretien avec Sophie Guillot, lanceuse d’alerte]

Sophie Guillot, lors de la manifestation pour la liberté vaccinale à Paris, le 9 septembre dernier

Sophie Guillot, lors de la manifestation pour la liberté vaccinale à Paris, le 9 septembre dernier

07/09/2017 – 06h55 Paris (Breizh-Info.com) – Samedi 9 septembre, une manifestation aura lieu devant le ministère de la Santé à l’initiative du mouvement citoyen Ensemble Pour une Vaccination Libre (EPVL). L’objectif : empêcher l’entrée en vigueur de la vaccination obligatoire. Nous avons interrogé l’une des portes-paroles de ce mouvement, Sophie Guillot, lanceuse d’alerte sur Nîmes.

Breizh-Info.com : Combien de personnes attendez-vous pour votre manifestation du 9 septembre prochain ?

Sophie Guillot : Autant que je sache pour le moment, sur la page événement de Facebook, sont inscrites 1300 personnes. Etant donné l’ampleur de la communication que nous avons menée, je pense que nous serons plus nombreux mais toute la question est de savoir combien. 2000 ? 5000 ? plus ? je n’en sais rien, nous ne sommes pas à l’abri d’un succès, nous avons invité plus de 5000 associations sur l’Ile de France par exemple. Une manifestation pour célébrer la mémoire des victimes de la vaccination en Pologne le 3 juin dernier attendait 500 personnes et en ont eu 20 000. Donc nous verrons samedi. Nous nous préparons à toute éventualité.

Breizh-Info.com : Dans votre communiqué, vous évoquez une grogne similaire à la vôtre en Italie et en Allemagne, êtes-vous en contact avec les groupes d’opposants à la vaccination obligatoire dans ces pays ?

Sophie Guillot : Oui nous sommes en contact avec des personnes de pas mal de pays (Roumanie, Italie, Pologne, Allemagne, USA, Australie, Colombie, etc.) et des délégations de certains pays seront présentes à la manifestation. Nous n’avons pas encore tous les détails. Je me suis rendue à Pesaro [en Italie, ndlr] le 8 juillet dernie , où j’ai assisté à une manifestation réunissant 50 000 Italiens venus des 4 coins du pays par tous les moyens possibles . Et en famille, toutes générations confondues

Breizh-Info.com : Nous avons interrogés plusieurs professionnels (médecins généralistes, infirmiers, etc.). La très grande majorité de ces professionnels soutient clairement la vaccination et considère qu’il serait néfaste de ne pas vacciner la population. Ils admettent l’existence d’effets secondaires indésirables, parfois graves, mais considèrent les avantages largement supérieurs aux inconvénients. Que leur répondez-vous ?

Sophie Guillot : Je réponds aux professionnels de santé qu’étant donné que pour le moment en France et dans le monde, les effets secondaires graves ne remontent à la pharmacovigilance qu’à hauteur de 1 à 10 %, personne ne peut décemment prétendre pouvoir faire la moindre « balance bénéfice risque » qui ait la plus petite chance d’être fiable (ou favorable) et ce, malheureusement, pour tous les vaccins, y compris pour le fameux DTP d’avant 2008 dont certains réclament le retour à grands cris.


Je leur réponds que leur premier devoir et leur première obligation sont « tout d’abord ne pas nuire » et qu’au cas où quelque événement que ce soit qui ne soit pas accidentel suite à une vaccination se produise, leur rôle n’est pas d’estimer que c’est ou non lié au vaccin précédemment administré, mais leur rôle à ce moment là est de signaler, à la pharmacovigilance ensuite de faire son boulot d’expertise et si possible correctement.

J’ai personnellement assisté une maman dont la fille de 15 ans a été très durement touchée (syndrome de West, autisme profond, handicapée à 80 %) suite à une seule et unique vaccination à l’âge de 3 mois et demi, lors de tentatives de négociations avec l’ONIAM [l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, ndlr] pour obtenir une reconnaissance de leur part.


Les faits dont je peux témoigner sont que les experts ont laissé un mois à la famille pour faire effectuer un scanner, un IRM , une ponction lombaire et une analyse de sang pour recherche d’origine génétique de la pathologie, et obtenir les résultats. Etant donné les délais, ce petit mois rendait la chose clairement impossible. Rien que pour l’analyse de sang et la recherche génétique, quand bien même la prise de sang aurait eu lieu le jour même il faut au moins 4 mois pour avoir le moindre résultat.
 

Au bout d’un mois, le comité des experts, sans aucun résultat des examens qu’ils avaient pourtant demandés, ont conclu que l’origine de la pathologie était génétique et clôt le dossier. Il se trouve que 8 mois plus tard les résultats sont tombés, il n’y avait aucun gène que ces braves gens attendaient. Autrement dit, l’ONIAM – et en passant l’ANSM [l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé, ndlr] – n’ont pas pour rôle de reconnaître quoi que ce soit. Leur principal rôle est de chercher à étouffer tout risque de scandale, et à museler ou décourager les victimes d’aller plus loin. Cette famille ira plus loin, et ira jusqu’au bout. A savoir en justice.

Et en passant, cette anecdote me confirme le témoignage que font toutes les victimes avec qui je suis en contact. Tout comme le fameux médecin qui dit, à un moment ou à un autre dans son cabinet « Mais madame, nous sommes bien d’accord, votre enfant a subi une encéphalopathie vaccinale et c’est ça qui est responsable de son état, mais je vous dis ça, jamais je ne vous l’écrirai, et ne me demandez pas de le reconnaître publiquement ».

Ces choses-là sont monnaie courante. Et il est temps que les médecins sortent de leur torpeur pour réaliser qu’ils sont instrumentalisés par l’industrie pour bousiller des enfants à coup de vaccinations multiples et bien trop précoces.

Je dis aux médecins que l’un des outils fondamentaux d’une bonne relation patients médecins et d’un bon diagnostic passe par l’écoute du patient et un interrogatoire pointu. Qu’ils prennent donc la peine d’écouter ce que tant de familles ont à raconter, et qu’ils se posent enfin les bonnes questions. Pour le moment, ils ont adopté la posture lâche du déni et le dénigrement des victimes. Ils tournent la tête, se font sourds, aveugles et malentendants. Cette posture leur fait perdre la confiance de leur patientèle, car les gens ne sont pas stupides et qu’internet permet de réaliser que le cas de son enfant n’est ni unique ni rare. Les enfants touchés ne reçoivent que les soins que leurs parents se battent pour chercher et si certains enfants s’en sortent mieux, ils ne le doivent pas aux médecins mais à leur famille, et à la chance aussi.


[cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine.

Source : Breizh-info.com

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10 septembre 2017 7 10 /09 /septembre /2017 11:53

LEICESTER :

Haut lieu historique de la résistance à l’idéologie vaccinale

 

Le Dr Suzanne Humphries MD, néphrologue, et auteur de nombreux documents sur les dangers de la vaccination s’est fait un honneur de se rendre, un peu comme en pélerinage, à LEICESTER, haut lieu historique de la Résistance à l’idéologie vaccinale, et la ville la moins vaccinée de toute la Grande Bretagne.

« La population de cette ville de 1873 à 1894 représentait les deux tiers de l’armée britannique pendant la même période. Les décès par variole dans l’armée et la Navy s’élevèrent à 37 par million, tandis que les décès enregistrés dans la ville de Leicester s’élevèrent à moins de 15 par million »  J.T. Biggs « Leicester : sanitation versus vaccination ».

Leicester, en Angleterre: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale

Le Dr S. Humphries est photographiée ici devant la prison de Leicester dans laquelle ont été incarcérés de nombreux parents considérés comme des criminels et qui avaient, avant tout, voulu protéger leurs enfants des suites souvent dramatiques de la vaccination. Ces parents refusaient d’empoisonner leurs nouveau-nés ou n’avaient pas pu payer les lourdes amendes pour refus de vaccination antivariolique rendue obligatoire, après avoir souvent vu leurs propres biens confisqués.

«  Nous voici devant le prison de Leicester, c’est un lieu historique. Très peu de gens savent ce qui s’est passé ici même en relation avec les suites dramatiques de la vaccination antivariolique : les manifestations de masse, les grandes marches, les nombreux rassemblements populaires.- La première loi vaccinale fut promulguée en 1840. En 1853, la vaccination antivariolique était devenue obligatoire. Les parents devaient vacciner leurs enfants de 3 mois avec du « pus » vaccinal.

En 1869, il y eut une telle tempête de protestations au sujet des graves problèmes causés par la vaccination que l’on vit pleuvoir les amendes, les confiscations de biens, ainsi que les emprisonnements. Malgré toutes ces mesures, la majorité de la population était décidée à passer outre pour éviter la dégradation de la santé des enfants.

C’est en 1869 que la Ligue Antivaccinale fut crée à Leicester. En 1867, soit deux années avant la création de la Ligue, 94% de la population était vaccinée. En dépit de ces taux très élevés de vaccination, Leicester enregistra des taux très importants de décès, tant chez les non vaccinés que chez les vaccinés.

C’est en 1871 que la ville de Leicester connut la pire des épidémies de variole jamais vue avec des taux énormes de mortalité. Cette catastrophe fut décisive pour ébranler la croyance de la population dans la vaccination. La révolte s’était implantée partout. »

En 1885, on a évalué à 80.000 personnes le nombre des protestataires faisant partie du cortège de plus de 3 kilomètres qui traversait la ville au milieu des applaudissements enthousiastes d’une immense et sympathique population. Les devises inscrites sur les bannières exprimaient dans un langage énergique, le mépris dans lequel on tenait le dogme de la vaccine, ainsi que l’inébranlable détermination du peuple à reconquérir, à n’importe quel prix, sa liberté médicale.

Au milieu de toutes, se faisait remarquer la magnifique bannière de nos amis de Belgique avec cette devise : « Ni les amendes, ni la prison ne peuvent empêcher la vaccine d’être un poison, et les faits de la vaccination une infamie. » Elle passait haute et fière, avec sa frappante vérité, au milieu des cris d’admiration de tout le monde.

Après le retour de la vaste procession à la place du marché, où des résolutions contre la tyrannie de la vaccination furent votées à l’unanimité, on brûla publiquement et solennellement les actes de la vaccination sur l’estrade, en présence des notables de la ville et au milieu des applaudissements frénétiques de l’immense assemblée. » Le nombre des arrestations fut tel que les autorités perdirent le contrôle de la situation ! (William Tebb de Londres 2ème rapport au Congrès international des médecins de Charleroi, 26, 27, 28 juillet 1885.)

A ce même Congrès, les propositions de M. Keuchénius de La Haye furent adoptées à l’unanimité. Ce même M. Keuchénius devait, au cours de son discours, s’écrier : « Oui ! Ce vaccin-vérole, c’est le comble de l’infamie ! Il faut que toutes les mères sachent l’affreuse vérité. »

 En Angleterre, le nombre des décès dus à la maladie passa de 2620 en 1870 à 23.126 en 1871 et à 19.000 en 1872.

Après ces marches de protestation, le taux de vaccinations tomba de 94% à 10 ou 15% avec un nombre très peu élevé de malades dû aux mesures sanitaires et d’hygiène finalement mises en place.

Leicester, en Angleterre: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale

La ligue Universelle des Antivaccinateurs réunissait essentiellement des médecins opposés à la vaccination et à son obligation. Elle organisa quatre Congrès internationaux à Paris, Cologne ; le troisième à Berne (Suisse) et le quatrième à Charleroi les 26, 27 et 28 juillet 1885, avec à sa tête Hubert Boens. Ce dernier avait élevé la voix avec véhémence pour défendre les opposants aux vaccinations :

« Oui, il y a des antivaccinateurs ; il y en a eu : il y en aura, aussi longtemps que les gouvernements et les administrations locales n’auront pas résolument déclaré que la vaccine, comme la saignée, comme toute médication thérapeutique, palliative ou préventive, qui s’adresse à l’individu exclusivement, doit être absolument libre et indépendante des caprices de la Faculté et le l’arbitraire des gouvernements. »

Le compte rendu de ce quatrième Congrès de Charleroi, dont est extrait ce passage, a fait l’objet du livre célèbre édité au Canada par le Dr CHEVREFILS en 1965 sous le titre : «  Les vaccins, racket et poisons ? »

« Les pro-vaccins ont considéré qu’il était incroyable et impossible que la ville de LEICESTER non vaccinée puisse, même pour une seule année, et encore moins pour une période de plusieurs années, résister avec succès à des attaques de variole nombreuses et répétées. Il s’agit cependant bien de faits têtus et irrécusables. »  J.T. Biggs (1912)

Leicester, en Angleterre: haut lieu de la résistance à l'idéologie vaccinale
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