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8 juillet 2014 2 08 /07 /juillet /2014 21:30
Alors que l'inimitable François Hollande souhaite établir la gratuité du vaccin Gardasil pour toutes les adolescentes françaises - une mesure insensée qui coûtera près de 1 milliard d'euros alors que la Sécurité Sociale française est sensée faire 10 milliards d'euros d'économie! - les premiers dépôts de plainte de victimes de ce vaccin calamiteux commencent à tomber en Espagne.



ESPAGNE : première plainte déposée contre les fabricants de vaccins (contre le HPV) et les autorités sanitaires

 

Par Alicia Capilla (Présidente de l’AAVP), 8 juillet 2014

 

AAVP--2-.JPG

Associacion de Afectadas Por La Vacuna Del Papiloma


Trois-mains.JPG

 

L’AAVP avec le cabinet d’avocats Almodovar & Jara ont déposé la première plainte d’une longue série pour dommages causés par les vaccins HPV. La plainte a été déposée devant la Haute Cour contre les autorités sanitaires et les fabricants de vaccins.

 

Le procès en justice commence maintenant pour une des filles de Valence qui ont souffert d’une réaction indésirable après la deuxième dose de Gardasil en 2009.

 

Les familles espagnoles dont les vies ont été bouleversées par les vaccins contre le HPV se sont regroupées au sein de l’Association AAVP (Association des personnes touchées par les vaccins HPV (AAVP: www.aavp.es) avec comme objectif de venir en aide aux familles qui se trouveraient dans des circonstances similaires.

 

La plainte en justice parfaitement documentée est basée sur les violations du droit fondamental au consentement éclairé avant toute intervention médicale.

 

Les parents dont les filles ont été vaccinées avec le Gardasil n’ont pas été informés des risques possibles du vaccin, en dépit du fait qu’il existe de nombreux rapports dans les bases de données européennes, espagnoles et américaines. En outre, la plupart des effets indésirables dont ces filles ont souffert sont repris dans la notice du vaccin.

 

La mise sur le marché des vaccins contre le HPV sans que leur réelle efficacité soit connue est une autre question. L’efficacité n’a pas été suffisamment prouvée et ne sera pas démontrée avant des décennies.

 

La plupart des dommages produits par ces vaccins restent cachés en dépit du fait que les systèmes de pharmacovigilance dans le monde recueillent de nombreux rapports de réactions similaires.

 

En outre, le Ministère Espagnol de la Santé a dissimulé de l’information en niant que les dommages subis par ces filles étaient fondés et que des cas semblables avaient été signalés aux autorités sanitaires de différents pays.

 

Le Ministère Espagnol de la Santé, Sanofi Pasteur, Merck, Sharp and Dohme (MSD), les producteurs du Gardasil, le vaccin contre le papillomavirus humain ont la responsabilité de rendre compte avec précision et en temps opportun de toutes les données disponibles du moment.

 

Les autorités sanitaires du monde entier tentent de nier tout lien de causalité entre les vaccins HPV et les événements indésirables qui surviennent après l’administration du vaccin. Dans certains cas, les autorités disent que ces problèmes médicaux sont d’ordre psychologique. La chose est paradoxale parce que si des personnes de différents pays et à différentes époques souffrent de réactions indésirables similaires, il semble indéniable que la cause en soit le vaccin.

 

Les dommages de santé dont ces filles ont souffert et continuent de souffrir ne figuraient pas tous dans les notices ou les dépliants au moment de l’injection. Certains effets secondaires ont été rajoutés par après.

 

Sur la base des données que l’AAVP a examinées, le nombre de décès suspects et de séquelles graves laissées par les vaccins contre le papillomavirus humain est totalement inacceptable.

 

Comme il a été signalé dans la plainte déposée, les autorités sanitaires ne se sont pas donné la peine d’enquêter sur les faits et leur attitude semble bien favoriser les fabricants. Elles ont même accusé les victimes de souffrir de troubles psychologiques, ce qui n’est nullement vrai.

 

Cette première plainte va être suivie de quatre autres endéans les deux mois. L’Association continuera à produire d’autres cas, non seulement contre le Gardasil, mais aussi contre le Cervarix, l’autre vaccin contre le HPV produit par GlaxoSmithKline.

 

VAERS (Vacccine Adverse Events Reporting System)

 

Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA

 

Mise à jour des chiffres au mois de MAI 2014  pour les

Vaccins contre le cancer du col de l’utérus

Rapports d’effets secondaires

 

Description

Total

Infirmes

1.139

Décès

168

N’ont pas récupéré

7.043

Frottis du col anormaux

570

Dysplasies du col de l’utérus

242

Cancers du col de l’utérus

78

Cas où le pronostic vital a été engagé

636

Visites aux urgences

11.634

Hospitalisations

3.644

Séjours hospitaliers prolongés

249

Effets secondaires graves

4.869

Effets secondaires

34.950

 

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

 

Source : SaneVax

 

Gardasil--filles---the-truth-about-Gardasil-.jpg

 

GARDASIL : plainte pénale déposée en Espagne

  

Par Norma Erickson, 2 août 2014

 

Le 19 juin 2014, à Logrono, Espagne, le Procureur Don Manuel Saez Ochoa a déposé une plainte pénale contre les laboratoires Merck-Sanofi Pasteur, les autorités nationales de santé espagnoles, ainsi que contre les autorités régionales de santé de la province de La Rioja au nom de Zurine Jimenez Guereno et de sa mère Dona Maria del Carmen Jimenez Guereno pour dommages de santé et handicaps subis par Zurine après l’administration du Gardasil.

 

La plainte précise que les laboratoires Merck ont négligé d’utiliser un placebo inerte au cours des essais cliniques, manipulant ainsi, sous de faux prétextes, les données et le marketing du Gardasil. Malgré les plaintes de plusieurs jeunes femmes présentant des problèmes de santé similaires après avoir été vaccinées par le Gardasil, les autorités de santé espagnoles ont ignoré les appels pour un moratoire sur l’utilisation du Gardasil jusqu’à ce que les questions de sécurité soient résolues.

 

Les autorités nationales ainsi que les autorités régionales de santé ne se sont pas donné la peine de vérifier l’exactitude des données de sécurité que Merck a présentées pour obtenir l’approbation concernant l’administration du Gardasil comme mesure préventive du cancer. Ces autorités n’ont fait aucune tentative pour informer le public qu’il existait déjà des moyens sûrs, efficaces et éprouvés de lutte contre le cancer du col de l’utérus.

 

Le texte de la plainte précise que bien que les autorités nationales et régionales de santé avaient connaissance des effets pervers potentiels du Gardasil, elles ont, de toute façon, choisi de recommander l’administration du vaccin. La plainte souligne que pareille attitude révèle un mépris absolu pour la santé et le bien-être des jeunes-filles espagnoles.

 

Selon la plainte, l’attitude de la société pharmaceutique Merck et des autorités sanitaires espagnoles (nationales et régionales) avant, pendant et après l’administration du Gardasil, montre que ces gens ne se soucient nullement du risque auquel les consommateurs médicaux s’exposent chaque fois que le Gradasil est utilisé.

 

La plainte précise qu’avant l’administration des vaccins, personne ne s’était inquiété de ses effets indésirables possibles. Lorsque des effets indésirables se produisaient, les personnes qui avaient reçu le vaccin étaient traitées avec mépris et étaient abandonnées dans un état d’impuissance. Il n’y a prétendument pas eu la moindre enquête officielle sur l’état de santé des jeunes-filles après le Gardasil, alors qu’elles étaient en parfaite santé avant l’injection du vaccin.

 

Le tollé public et la demande d’un moratoire jusqu’à ce que les problèmes de sécurité soient résolus furent ignorés des autorités de santé espagnoles. Les injections de Gardasil ont continué en dépit des dommages rapportés.

 

Selon le procureur Don Manuel Saez Ochoa, le fait demander une exemption en faisant valoir  que les autorités ne connaissaient pas les dangers du vaccin Gardasil est risible…Franchement cette attitude parait clairement  malveillante et constitue une infraction à l’article 149.1 du code criminel qui stipule : provoquer chez une autre personne, par tout moyen ou procédé, la perte ou la dégradation d’un organe ou d’un membre, l’impotence, la stérilité, une grave malformation ou une maladie physique ou mentale, sera puni d’un emprisonnement de six à douze ans.

 

Accusations contenues dans la plainte officielle

 

Merck-Sanofi Pasteur, les autorités de santé nationales et régionales sont accusées de :

 

* Commercialisation frauduleuse et/ ou administration d’un vaccin insuffisamment  testé;

* Manque d’information du public sur les risques potentiels de l’utilisation du Gardasil;

* Violation claire du droit au consentement éclairé ;

* Ignorance du nouvel état de santé des personnes qui ont reçu le Gardasil en dépit de la similarité des symptômes et la période relativement courte qui s’est écoulée  entre l’administration du vaccin et l’apparition des symptômes ;

* Ignorance des nouvelles preuves scientifiques illustrant les effets nocifs potentiels des ingrédients du Gardasil ainsi que des méthodes de fabrication ;

* Mépris total pour les personnes souffrant de nouveaux problèmes de santé après avoir reçu le Gardasil ;

* Manque d’information du public sur le fait que les infections HPV sont simplement l’un des facteurs de risques impliqués dans le développement du cancer du col utérin ;

* Manque d’information du public au sujet du fait que 90% de toutes les infections HPV se résorbent spontanément sans intervention médicale ;

* Manque d’information du public par rapport aux autres méthodes de lutte contre le cancer du col utérin ;

* Responsabilité pénale pour les dommages résultant de l’administration du Gardasil.

 

Même si l’on suppose que Merck-Sanofi Pasteur et l’ensemble des responsables de la santé au gouvernement n’étaient pas au courant des risques potentiels comme de l’absence prouvée de bénéfice du Gardasil, on ne peut nier que de nombreuses preuves médicales et scientifiques ont été fournies depuis 2007 lorsque le vaccin a été approuvé pour utilisation en Espagne.

 

Compte tenu de leur expertise, tous ces gens étaient conscients du fait qu’il existait plusieurs méthodes destinées à contrôler le cancer du col de l’utérus, méthodes qui avaient fait la preuve de leur efficacité et de leur innocuité.

 

Zurine était une fille en bonne santé, sportive et douée jusqu’à ce qu’elle reçoive à l’école les trois injections du Gardasil recommandées par le programme de vaccinations. Trois semaines plus tard, elle dut être admise aux urgences de l’hôpital local. Elle souffrait d’une multitude de symptômes dont étourdissements, grande fatigue et convulsions.

 

N’ayant pas reçu de réponses claires de la part des médecins, on a commencé à parler de dépression. Ses parents ont alors décidé d’emmener Zurine chez un spécialiste privé

 

Selon ce spécialiste, le Dr Mark Mazzuka :

 

Zurine souffrait d’une maladie cellulaire grave, le stress oxydatif lié à une déminéralisation du corps. Pour expliquer la chose, on pourrait dire que cette jeune-fille de 18 ans était enfermée dans les cellules d’une personne dont le corps a plus de soixante ans. Zurie souffrait aussi de polyneuropathie, d’inflammation du foie et de la vessie.

 

Cinq ans après son dernier vaccin Gardasil, la vie de Zurine ne ressemble plus guère à ce qu’elle avait jadis considéré comme normal. - Séjours réguliers à l’hôpital pour traiter de nouvelles et mystérieuses maladies. Personne ne sait dans quelle mesure elle sera capable de récupérer ;

 

De milliers de jeunes femmes dans le monde entier se retrouvent dans la même situation que Zurine. Après avoir connu une vie heureuse, active et une bonne santé, ces personnes doivent faire face à une multitude de problèmes auto-immuns, ainsi qu’à des troubles neurologiques. Pour toutes ces personnes, les effets secondaires « possibles » du Gardasil sont devenus une réalité brutale beaucoup trop pénible.

 

Il est grand temps que les personnes en poste et qui avaient des responsabilités en la matière soient tenues responsables de leurs actions. Les poursuites pénales sont très probablement le seul moyen d’atteindre cet objectif.

 

Il est probable que six à douze ans de prison seraient susceptibles de rappeler aux responsables ce que cela signifie de se comporter de manière éthique. Cela leur permettrait peut-être de se souvenir que leur premier devoir est de préserver la santé publique et non de la détruire.

 

Le 30 juillet, le juge a décidé d’ouvrir une procédure pénale, ainsi qu’une enquête sur les faits. Il s’agit de la première affaire criminelle en Espagne en ce qui concerne les dommages attribués au Gardasil.

 

Texte de la plainte en anglais et en espagnol ci-dessous :

 

Read the complaint in English here.

 

Read the complaint in Spanish here.

 

Source : SaneVax

 
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commentaires

D
Le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus n’a cessé de diminuer entre 1978 et 2000 avec un taux annuel moyen<br /> de décroissance de 2,88 %. Dans le même temps, la mortalité a diminué en moyenne de 4,44 % par an.<br /> Ces taux ont continué à descendre depuis, sans doute par une meilleure prévention (préservatifs), une meilleure hygiène, et surtout un meilleur dépistage.<br /> Mais sachant que le cancer du col de l'utérus est en 21ème position dans les chiffres de décès par cancer (24 fois moins que le poumon, 15 fois moins que colon+rectum, dix fois moins que sein ou<br /> prostate, et sachant qu'il meurt 540.000 personnes par an en France, toutes causes confondues, dont 1.100 du cancer du col (dont la plupart auraient du être dépistés et soignés à temps, au cours de<br /> 4 stades précancéreux curables), ce qui représente 2,037 décès pour mille (ou 0.2037%), on cherche vainement l'urgence d'étendre à toute une population (y-compris les garçons!!!) les bénéfices<br /> supposés de ce vaccin.<br /> Non seulement on ne sait pas s'il aura la moindre efficacité 30 à 40 ans plus tard (son âge de survenue est en moyenne de 51 ans), mais on sait par contre qu'il dévie la prévalence de certaines<br /> souches (parmi la centaine de souches de papillomavirus) vers d'autres souches non concernées par le vaccin (seulement 2 ou 4), et dont rien ne dit qu'elles ne seront pas plus mortifères..<br /> On sait que l'industrie du vaccin crée 6.000 emplois en France, il reste juste à établir combien on crée de morts et d'estropiés pour chaque emploi, de part le monde.<br /> Et si le jeu en vaut la chandelle.
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