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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 06:59

Un enfant expulsé de l’école pour ne pas s’être fait vacciner malgré une formelle contre-indication médicale

 

D’après Dave Mihalovic, 22 septembre 2013-09-23

 

Enfant-expulse-de-l-ecole-Dave-Mihalovic.jpg 

 

Une école de l’Etat de New York a mis fin aux droits d’un enfant de suivre les cours de son école  sur la seule base du fait qu’il n’était pas vacciné. Et ce, malgré la contre-indication formelle du médecin traitant qui a stipulé qu’étant donné l’état de santé de l’enfant, la vaccination pouvait lui être fatale. La maman a décidé de déposer plainte contre l’Etat.

 

La maman : quand Mary est née, et comme pratiquement tous les parents, je ne connaissais pas les ingrédients qui font partie des vaccins. J’avais été conditionnée à penser que je devais vacciner mon enfant comme les normes sociales américaines nous le faisaient comprendre. J’avais en fait eu l’esprit totalement lessivé.

 

C’est comme cela que Mary a été vaccinée comme tous les nouveau-nés de ce pays. Après chaque vaccination, Mary a eu des réactions négatives et les médecins ne comprenaient pas ce qui se passait.

 

Quand nous y repensons aujourd’hui et avec l’information que nous avons récoltée, nous savons que les plus gros problèmes ont commencé avec les vaccins DTaP (= diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) qu’elle a reçus le 9 juillet 2007 et le 13 août 2007.

 

Mary a eu des problèmes intestinaux graves. Du mucus coulait de ses yeux, de son vagin, la région de l’anus était toute rouge, toute enflammée. Elle ne parvenait plus à absorber de nourriture ; elle ne grandissait plus.

 

Après avoir reçu son vaccin Comvax le 29 août 2007, elle n’a pas arrêté de pleurer. Rien ne pouvait la consoler. Elle eut les mêmes symptômes que ceux qu’elle avait eus après ses vaccins DTaP.

 

Le médecin lui prescrivit des suppositoires antibiotiques pour ses infections de l’oreille. Mais cette prescription contribua encore à affaiblir son système immunitaire et à aggraver son état : un vrai désastre. Moins de vingt secondes après qu’on lui ait administré quelque produit (non naturel) que ce soit, elle faisait un choc anaphylactique ; elle commençait ensuite à vomir, à faire des convulsion, ses yeux se révulsaient  et de l’eau qui s’écoulait de son rectum…

 

Après des examens, des tests et des traitements qui ont duré des années, nous avons finalement appris qu’elle avait un système immunitaire hyperactif. De ce fait, elle ne tolère aucun agent de conservation ou ingrédient artificiel. Mary est très allergique au gluten, à la caséine, etc.  Les colorants, les conservateurs, les produits non naturels la rendent très malade.

 

Pour pouvoir fréquenter l’école, nous avons, en 2010, pensé à demander l’exemption religieuse pour les vaccinations. Mais en 2012, la santé de Mary s’aggrava ; elle dut être hospitalisée. Notre médecin nous a expliqué que nous pouvions aussi demander une exemption médicale de vaccinations. Ce médecin nous a confirmé que des vaccinations pourraient compromettre son système immunitaire. Il a  précisé :

 

«  A mon avis, Mary Check ne peut plus tolérer quelque agression que ce soit sur son système immunitaire, aussi minimes soient-elles, car ces dernières pourraient produire chez elle des réactions anaphylactiques. Sont concernés : les vaccins, les médicaments et certains aliments. »

 

J’expliquai cette situation au directeur de l’école en évoquant le fait que je pouvais recourir à des dispenses religieuses et médicales. Mais, quand je voulus concrétiser mes demandes pour pouvoir obtenir ces dispenses, il s’avéra que le délai était passé.

 

24 heures après, l’affaire était classée et Mary se vit refuser ses droits médicaux et fut expulsée de l’école.

 

J’ai été contrainte de porter l’affaire devant un tribunal fédéral pour prouver que ma demande d’exemption religieuse était légitime et pour déposer plainte contre le Système Educatif…

 

Que l’on soit pour ou contre les vaccinations, le droit des parents au choix doit absolument être respecté. Les parents doivent pouvoir choisir les traitements qui sont appliqués à leurs enfants.

 

Les paroles de Barbara Loe Fisher (Présidente du NVIC) m’ont été droit au cœur : «  Nous les parents, nous aimons et connaissons mieux nos enfants que quiconque. Ce sont, et les lois américaines et les impératifs moraux qui font de nous parents, les gardiens de nos enfants jusqu’à ce qu’ils aient l’âge de prendre par eux-mêmes des décisions majeures et vitales. Nous sommes responsables de leur bien-être et ce sont nous les parents qui portons le fardeau des peines, des maladies ou qui faisons le deuil quand il arrive que nos enfants décèdent. Comme nous sommes la voix de nos enfants, nous devrions, après avoir été parfaitement et totalement informés, être autorisés à prendre nous-mêmes des décisions rationnelles, volontaires par rapport à leurs maladies, par rapport aux risques des vaccins que nous acceptons de prendre sans craindre des représailles de la part des employés de l’Etat. »

 

Nous acceptons de discuter, d’être informés, d’éventuellement changer d’avis, mais de grâce, ne nous poursuivez pas et ne nous forcez pas à violer notre conscience et à renier nos croyances. Nous demandons également que les avis de nos médecins soient respectés…

 

Source: Naturalblaze.com

 

 « Il n’est pas possible d’être en présence d’une enfant dont la santé a été profondément dévastée par les vaccinations, et ne pas penser que cet enfant pourrait être le vôtre. Il n’est pas possible de tenter de réconforter une maman qui vient juste d’enterrer son enfant décédé des suites d’un vaccin…et ne pas savoir que vous pourriez être la personne qui se trouve là debout au bord de la tombe. Quand pareil drame arrive à votre enfant, les risques sont de 100 pour cent. »      

Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC, 13 mai 1996

 

Voir le parallèle malheureusement parfait avec l'attitude de crèches francophones soutenues par l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance) ici en Belgique, qui n'hésitent pas à virer des enfants vaccinés des crèches quand ils ont mal réagi à de précédentes doses et qu'ils sont sous certificat médical de contre-indication, l'Office n'hésitant pas à prétexter que la vaccination doit se poursuivre mais en milieu hospitalier! En réalité, nous sommes arrivés à un degré de tyrannie tel que les idéologues estiment implicitement que c'est aux enfants de s'adapter aux vaccins et non l'inverse. Les enfants sous contre-indication médicale sont donc progressivement assimilés à des coupables qui empêchent les rêves totalitaires des idéologues de se réaliser (taux de vaccination à la soviétique de 100%)

 

Ecoutez cette vidéo incontournable à ce propos:

 

 

 Voir aussi: Lettre à la presse et à l'ONE sur ce scandale vaccinal qui ne peut plus durer

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commentaires

É
"Ce médecin nous a confirmé que des vaccinations pourraient compromettre son système immunitaire." : pourraient ? Au conditionnel ?<br /> Personnellement, je l'aurais mis à l'indicatif.<br /> Et je n'aurais même pas utilisé l'expression "des vaccinations peuvent compromettre", mais seulement le verbe "compromettent" tout seul, parce que, quoi qu'il arrive, même si c'est parfois<br /> tellement léger qu'on ne s'en rend pas compte, toute vaccination compromet un minimum le travail normal du système immunitaire !<br /> Bonne journée !
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