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17 mars 2013 7 17 /03 /mars /2013 21:00

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L'association inter-universitaire PROVAC qui a pour mission contradictoire la promotion ET l'expertise des programmes vaccinaux en Communauté française a aussi pour responsable le Dr Béatrice Swennen qui a des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins selon un rapport officiel du Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé de mai 2011.

 

C'est pourtant cette même association à qui la Communauté française a confié la mission sensible de rédiger la communication aux jeunes et aux parents en matière de vaccination anti-HPV scolaire. Une mission non remplie à cet égard, selon ce que l'Association Vie Féminine avait notamment écrit à la Ministre Laanan en janvier 2012.

 

Mais Provac a aussi pour mission le prosélytisme vaccinal auprès des médecins.

 

En fait, il faut vacciner sans relâche, toujours plus. Par principe. Et adapter au besoin les faits en les déformant au contour étroit des théories et de l'idéologie vaccinalistes. Au point, bien sûr aussi de ne même plus se rendre compte qu'au regard du droit (y compris international, y compris les Droits de l'Homme), toute vaccination obligatoire a toujours été illégale!

 

Dans une brochure de 4 pages intitulée "La Santé pour tous" (un comble quand on sait les effets calamiteux des vaccins, à fortiori quand on les répète tout au long de la vie!), on peut lire la prose de Marie-Christine Miermans, psychologue-stratège de la cellule Provac.

 

Mme Miermans se présente comme une professionnelle de la promotion de la santé (sic!) avant de lister "les valeurs" (resic!) de Provac. Selon ses dires, les valeurs de Provac seraient l'équité (elle a bon dos l'équité mais en termes de nivellement par le bas de la santé de tous, on doit pas en être très loin) et l'accessibilité à la prévention vaccinale de tous ceux qui la choisissent pour eux et leurs enfants (un comble vu le véritable harcèlement vaccinal qu'on connaît aujourd'hui et vu aussi que ce n'est même plus une question de choix pour tous les parents qui sont forcés de mettre leurs enfants dans les crèches ONE pour pouvoir travailler). Mais Mme Miermans ne s'arrête pas en si bon chemin et tient aussi à rappeler que Provac lutte aussi "contre les inégalités sociales en matière de santé" et alors, la meilleure de l'année... "pour l'accès à l'information pour tous".

 

Là, on croit vraiment rêver puisqu'il s'agit en réalité d'une pseudo information absolument non objective, mais uniquement ORIENTEE dans le but de persuader le moindre chaland de recourir à la vaccination à la moindre occasion.

 

Après avoir allègrement englobé la vaccination au même titre que l'amélioration des conditions d'hygiène, de l'eau et de l'alimentation, dans la réduction drastique de la mortalité infectieuse au XXième siècle, Mme Miermans nous ressert le traditionnel couplet culpabilisant sur "la solidarité" et le fait que les vaccins seraient en fait "victimes de leur propre succès".

 

Elle écrit même sans complexe que "toute vaccination évite généralement à une personne de contracter la maladie, mais lui permet aussi de ne pas la transmettre à d'autres."

 

Elle poursuit ensuite en affirmant que les "experts scientifiques" et les autorités sanitaires se prêtent à une évaluation des bénéfices attendus versus les risques encourus avant toute intégration d'un nouveau vaccin dans le calendrier vaccinal. Cette affirmation gratuite rassurera les plus crédules. Hélas, c'est évidemment faux car les "experts" partent toujours du postulat idéologique que tous les risques dont ils disent ne pas comprendre les mécanismes, ne sont jamais liés aux vaccins. Ils comparent donc une diminution possible du cas des maladies à prévention vaccinale avec un risque de fièvre ou de rougeur au point d'injection. Sans surprise alors, et pour le plus grand bonheur des firmes qui ont exclusivement financé les données sur lesquelles ces grands "experts" se prononcent, ces derniers décrètent que tout est OK, qu'il s'agit d'un progrès et qu'il faut non seulement rembourser mais aussi élargir le vaccin au plus grand nombre.

 

Comme vous aurez pu le constater sur ce site, à de multiples reprises nous avons interrogé ces soi-disant "experts", professeurs ou infectiologues, sans oublier aussi la direction médicale de l'ONE (par recommandé là pour le coup) sur les critères d'évaluation de la sécurité des vaccins et jamais le moindre d'entre eux n'a été capable de nous répondre! Lors du débat sur la vaccination infantile organisé par le groupe des Objecteurs de Croissance à l'Université Libre de Bruxelles le 14 octobre 2011, Provac était invitée mais a appliqué la politique de la chaise vide. Ces gens craignent le débat et n'acceptent que les séquences différées et facilement modulables au montage. Lors de l'émission sur les vaccins diffusée le 17 octobre dernier dans Question à la Une aussi, nous avons rappelé les carences graves dans l'évaluation de la sécurité des vaccins et qui font, par définition, que TOUTE vaccination quelle qu'elle soit est et demeure expérimentale. En effet, tant qu'il n'y aura pas d'études de tolérance des vaccins sur le long terme, que les vaccinés ne seront pas comparés à des gens vierges de tout vaccin (pour éviter les biais), qu'il n'y aura pas d'analyse pharmacocinétique des vaccins ni d'analyse de leur potentiel cancérogène, mutagène et tératogène (contrairement par exemple aux médicaments mais aussi aux produits cosmétiques!!), l'ampleur des risques est tout simplement indéterminable et partant, la moindre analyse bénéfices/risques ne peut donc, dans les faits, JAMAIS être effectuée.

 

Dans cette même émission, les experts officiels ont nié ce caractère franchement expérimental de la moindre vaccination en essayant de noyer le poisson avec les études destinées à pratiquer une simple prise de sang assez rudimentaire sur les cobayes humains vaccinés au cours des essais cliniques ou encore, ils ont évoqué les dosages d'anticorps. Il faut se rendre compte que ces tests-là ne sont EN RIEN équivalents aux exigences minimales d'évaluation de sécurité telles qu'énumérées ci-dessus. Les anticorps servent, dans la vision étroite des vaccinalistes à dire si, dans leur conception, tel vaccin est efficace ou non, cela n'a donc rien à voir avec l'évaluation de la sécurité des vaccins.

 

Pour le H1N1 aussi, il convient de se souvenir que la Ministre Onkelinx avait nié le caractère expérimental du Pandemrix, de même que Mr De Cuyper, Administrateur général de l'Agence belge des Médicaments (AFMPS). Pourtant, la publication en mai 2010 du fameux contrat d'achat de vaccins  a montré noir sur blanc que nous avions raison et que le vaccin Pandemrix, comme tous les autres vaccins du marché d'ailleurs, était bel et bien expérimental.

 

La suite avec les narcolepsies n'était que la partie émergée de l'inévitable iceberg que nous avions prévu et annoncé, souvenez-vous. Nous l'avions bien dit: de toute façon, il y aura des victimes mais on ne sait pas dire à l'avance sur qui ca va tomber.

 

Lorsqu'on a compris le drame que représente la non satisfaction de ces exigences d'évaluation pour des produits imposés pourtant à un si grand nombre de personnes et de nouveaux-nés, on ne peut évidemment que frémir à la lecture des propos de cette Mme Miermans qui évoque notamment (sa mission au sein de Provac en tant que psychologue?) le fait de "créer des conditions qui permettent de MIEUX ACCEPTER LE RISQUE".

 

Ca c'est clair qu'une des ficelles, c'est de tout simplement le taire ce risque ou de le minimiser pour maximiser les chances que les gens tendent le bras puis hop, une fois que c'est dans le corps et que ce qui s'y passe est de toute façon irréversible et incontrôlable, ce que les gens pensent n'a plus trop d'importance. Sauf peut-être en ce qui concerne l'effet fâcheux sur les programmes vaccinaux puisque les gens qui se rendent compte après coup d'avoir été désinformés seront donc tout naturellement peu enclins à retomber dans le panneau lors de la prochaine proposition-entourloupe vaccinale!

 

Mais ce n'est pas tout, Mme Miermans avoue finalement noir sur blanc la machine autoritaire implaccable à laquelle elle contribue au sein de Provac puisqu'elle déclare:

 

"A titre collectif, quand les experts recommandent l'introduction d'un vaccin dans le calendrier vaccinal et que les autorités sanitaires et politiques décident de le financer en le rendant accessible dans le circuit de distribution gratuit des vaccins de la Fédération Wallonie-Bruxelles, il existe, pour le programme, une obligation de résultats en termes de couverture vaccinale adéquate, et donc d'adhésion du grand public et des professionnels de santé."

 

En d'autres termes, une fois que les experts (dont la collusion de plusieurs avec les pharmas est connue) ont fait les affaires de ces dernières, les gens n'ont plus qu'à suivre de façon à éviter un bide aux politiciens irresponsables qui ont cautionné pareil système scandaleux. Mais où est-ce qu'on est???? Qu'est-ce que c'est que ce cirque sinistre où les gens servent finalement le programme bien plus que le programme ne les sert et où le maître mot est dépendance plutôt qu'autonomie? On marche vraiment sur la tête et visiblement, ce ne sont pas forcément les psychologues institutionnels qui nous aideront à normaliser la situation!!!!!

 

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