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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 19:48

U.S.A. -  AVERTISSEMENT POUR TOUTES LES FEMMES ENCEINTES:

 

LE NOMBRE DE FAUSSES-COUCHES POURRAIT ATTEINDRE

LES 3.587 CAS

 

Un rapport choquant de l'Union Nationale des Femmes (NCOW, 11 août 2010) fait état de documents émanant de deux sources différentes et qui montrent que les vaccins H1N1 de 2009-2010 auraient contribué à provoquer, selon l'estimation,1.588 fausses-couches. La correction de cette première estimation pourrait faire apparaître qu'il y aurait en fait eu 3.587 cas. (cfr ici)

  

L'Union Nationale des Femmes a récolté ses données auprès de femmes enceintes de 17 à 45 ans. Les données brutes disponibles sont accessibles sur le site <ProgressiveConvergence.com>

 

En général on estime qu'approximativement 15% seulement des cas de fausses-couches en relation avec la vaccination sont rapportés. (cfr ici)

 

L'Union Nationale des Femmes souligne le fait que le CDC a négligé de porter à la connaissance des fournisseurs de vaccins les données concernant les derniers rapports d'éventuelles morts fœtales.

  

loupeEt ceci ne doit pas nous faire oublier qu'aux USA, le vaccin utilisé était SANS adjuvant, le squalène, une substance notoirement connue pour EXCITER le système immunitaire et présente dans plusieurs vaccins H1N1 dont le Pandemrix...

 

En quoi le squalène peut-il être particulièrement craint chez la femme enceinte?

 

1. Chez la femme enceinte, le système immunitaire est naturellement affaibli et ce pour permettre au corps de la mère de tolérer la présence du bébé dont l'ADN est différent de l'ADN maternel (un mix d'ADN maternel ET paternel) et donc de mener la grossesse à terme. On peut donc parler d'"immunomodulation physiologique".

 

Le squalène, dans la mesure où il excite le système immunitaire et sert à le faire réagir fortement à une substance étrangère (antigène) contre lequel le corps ne réagirait pas du tout sans la présence d'un adjuvant, peut dérégler ce phénomène naturel d'immunomodulation et provoquer une fausse couche. Bien entendu, le corps médical (surtout celui qui aura recommandé la vaccination) aura tendance à nier cette éventualité tout à fait rationnelle.

 

2. Le squalène, générateur de nombreuses maladies auto-immunes chez l'animal a montré un profil inquiétant en matière de reprotoxicité dans les études sur les rats.

De l'aveu même de GSK, les études faites sur les rats avec le vaccin adjuvanté ont donné lieu:

 

- à des fausses couches

- à des décès chez la mère

- à des malformations (notamment de l'uretère)

 

3. Malgré ces données, pourtant très concrètes, les agences de validation ont affirmé de façon mensongère que les essais n'avaient donné lieu à aucun résultat problématique ou inquiétant et ont prôné le recours aux vaccins H1N1, même ceux adjuvantés, chez les femmes enceintes!

Et ce, alors que le propre règlement de telles agences était bafoué...

 

En effet, le 30 septembre 2009, Initiative Citoyenne qui se trouvait à Ciney, pour assister à "une séance d'information" donnée par le Dr Daniel Reynders de la cellule Influenza, a eu l'occasion de demander à ce dernier comment l'agence européenne du médicament (EMA) avait pu donner la recommandation de vacciner les femmes enceintes alors que dans les "guidelines" de cette agence, il était indiqué que des tests de reprotoxicité sont nécessaires avant d'utiliser le produits chez cette catégorie. Nous lui avons alors demandé OU SONT CES ETUDES? Le Dr Reynders nous a alors benoitement répondu qu'il ne pouvait pas donner de réponse à la place de l'EMA et qu'il n'était pas au courant de telles études ni si elles ont ou n'ont pas été faites! Oui, vous avez bien lu, le coordinateur stratégique, celui qui était pendant des mois sur les plateaux télés, en radio, dont les propos étaient relayés dans les journaux et qui recommandait la vaccination aux femmes enceintes n'avait AUCUNE connaissance d'études spécifiques de tolérance pendant la grossesse et en post-accouchement! Et puis, comme si la cellule Influenza n'avait pas à ce point déjà accumulé suffisamment de contradictions comme ça, voilà que le Pr Van Ranst déclarait le 20 octobre 2009 en commission santé de la chambre que: " Les tests assortis d'une médication ne sont en effet jamais réalisés sur les femmes enceintes. L'EMEA dispose pourtant de suffisamment d'éléments attestant que la vaccination de femmes enceintes est sûre. Les tests en laboratoire et les tests réalisés sur des animaux se sont déroulés sans problème."

 

Inlassablement, les officiels ne faisaient que répéter que "les femmes enceintes ont 4 fois plus de risques de complications de la grippe A", sans même se soucier d'évaluer aussi l'autre côté de la balance c'est à dire les risques du vaccin chez cette population spécifique!

 

Nous avons là une preuve éclatante, mais non moins préoccupante de la négligence coupable des autorités "scientifiques' qui se sont donc révélées être, une fois de plus, en plein dogmatisme!  Si ces "autorités" n'avaient pas été dans l'idéologie du "tout vaccin", alors elles auraient comparé des "bénéfices" aux risques réels, chose qui ne s'est pas produite... et des femmes enceintes en ont fait les frais bien entendu, y compris en Belgique!

 

Mais, qu'à cela ne tienne, ça n'empêche pas ces folles autorités scientifiques de remettre le couvert en recommandant encore et toujours la vaccination antigrippale saisonnière aux femmes enceintes à partir du 2° trimestre et cela, alors même que les fabricants stipulent dans leurs notices ne pas avoir de données sur l'administration de ces produits dans ces populations!!

 

Belgique & femmes enceintes vaccinées: quelle est la situation?

 

En Belgique, de nombreux médecins s'étaient positionné fort logiquement en défaveur de la recommandation vaccinale (H1N1) chez les femmes enceintes. Citons par exemple, le Dr Eric Beeth d'Initiative Citoyenne mais aussi le Dr Erpicum, médecin généraliste (cfr émission "Question à la Une" du 17/02), le Dr Michel Vermeulen, médecin généraliste sur son blog (ICI), le Dr Philippe Vandermeeren, président du Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO) qui laissait également entendre ses réticences personnelles à cet égard à Nathalie Malleux, l'automne dernier...

 

Bien sûr, le groupement des gynécologues-obstétriciens de langue française avait fortement recommandé ladite vaccination des femmes enceintes mais, faut-il le rappeler, cette association médicale comptait la firme GSK (fabricant du Pandemrix) parmi ses sponsors officiels sur son site...

 

Tout récemment encore, une personne, que nous remercions ici, nous a fait transféré un courriel échangé avec le commissaire interministériel Influenza, le Pr Marc Van Ranst. Voici ce qu'il  a osé affirmer au sujet des femmes enceintes vaccinées:

 

"Toutes les mères qui ont été vaccinées pendant leur grossesse ont mis au monde des bébés en parfait état de santé. Il y a maintenant plus de 9 mois que la campagne de vaccinations a eu lieu. Toutes ces femmes ont accouché. Un calcul rapide sur un bout de papier ( sans citer toutes les sources): Dans le vaccin on il y a 4,86 milligrammes de polysorbate à O,4%. Ce qui représente 0,4% de O,5 ml = 0,002 ml injecté dans le corps d'une femme d'un poids moyen de 50Kg = 0,00004 ml/kg de poids corporel.

 

Au cours de l'expérience sur des jeunes rats (20 grammes) on a utilisé 0,1 ml d'une solution à 5%. Ce qui représente 5% de 0,1ml = 0,005 ml dans un rat de O,02 Kg = 0,25 ml/kg de poids corporel. La différence: une dose 6250 fois plus forte chez ces petits rats...

 

Si on reçoit une balle de badmington ( 5;5g) sur la tête: aucun problème.

Si par contre on reçoit un bloc de 34Kg ( c.a.d. 6250 X plus lourd) on est mort.

Tout le monde peut rester 10 secondes sous l'eau sans respirer. Si on reste 17 heures (c.a.d.6250 X plus longtemps) sous l'eau sans respirer, on est certainement mort. Tout peut donc être comparé à tout.  Informer les gens et leur permettre de réfléchir est excellent. Mais il s'agit de leur donner une information correcte et non une information trompeuse qui n'est pas de l'information." (Dr Marc Van Ranst)



[Pour l'information des lecteurs, il faut savoir que le polysorbate, un des nombreux ingrédients du vaccin Pandemrix (un émulsifiant) s'est révélé avoir un effet stérilisant chez la souris. Il convient aussi de savoir que, d'une espèce à l'autre, les seuils de toxicité peuvent être extrêmement variables, raison pour laquelle l'expérimentation animale est très critiquée, l'extrapolation aux humains pouvant s'avérer excessivement dangereuse. Ainsi, des doses très hautes chez une espèce peuvent être à tort interprétées comme "sûres" chez l'humain qui, peut très bien être déjà sensible à des doses infimes, sans compter les autres sources d'intoxication et de pollutions connexes.]



Nous avons, pour notre part, reçu des informations tout à fait contradictoires par rapport aux affirmations du Pr Marc Van Ranst....



Bien sûr, lesdites informations n'ont pas été officiellement publiées (qui s'en étonnera?) mais nous nous devons, dans un souci d'honnêteté et de transparence d'en faire part au public. Nous tenons ces informations d'infirmières, de sages-femmes, de médecins et de gens proches du personnel médical. Ces informations nous remontent aussi bien de Bruxelles que d'autres zones comme Liège et la province du Luxembourg.



- Une accoucheuse de la Province de Liège rapporte en effet fin juillet que:

"les fausses couches et les bébés morts nés ont été plus fréquents il y a un mois ou deux et la majorité des mères étaient vaccinées contre le H1N1."



- Une infirmière de Bruxelles s'étant renseignée auprès du personnel d'une grande maternité nous a aussi rapporté un nombre accru d'enfants morts nés.



- Des médecins bruxellois nous ont rapporté leur discussion avec des médecins en néonatologie au sujet d'enfants prématurés, tous ou presque nés de mères vaccinées.



- Une autre personne enfin nous rapportait ceci de tristement significatif:



"Une amie de mes amies travaille dans un hôpital à Bruxelles. Elle est super POUR les vaccins mais elle a raconté que cette année-ci, ils ont eu 5 femmes enceintes avec un accident vasculaire cérébral (chose rare). Point commun entre elles: toutes vaccinées contre la grippe A. L'hôpital se posait quand même des questions. Je n'ai pas vu cette information reprise dans les articles officiels d'effets secondaires."



En effet, 5 femmes enceintes avec un AVC dans un même hôpital, c'est plus que troublant !



4. Le cynisme du monde politique est lui aussi sans limites...Songeons par exemple aux propos de Laurette Onkelinx qui disait, le 20 octobre 2009, en commission Santé de la Chambre que:



"Pourquoi propose-t-on de vacciner les femmes enceintes? Parce qu'avec un syndrôme de grippe, elles risquent plus que d'autres de faire une fausse couche. Elles vont devoir en parler avec leur gynécologue et comparer ce risque-là avec les effets secondaires du vaccin." (Laurette Onkelinx)



Jusque là, les choses pourraient sembler "normales" au simple quidam MAIS...

Comment donc les patientes auraient pu avoir une bonne chance de recevoir des informations objectives de leur gynécologue au vu de la position de leur groupement professionnel (cfr supra), sponsorisé officiellement par le producteur du vaccin, GSK?

Comment aussi les médecins pouvaient-ils correctement informer leur patientèle dès lors que le contrat secret conclu entre l'état belge et GSK contenait une foule de dispositions gravissimes et contraires à la santé publique?

 

Bien qu'ayant signé ce contrat secret, au nom de l'état belge, en juillet 2009, Mme Onkelinx osait pourtant encore affirmer ceci le 20 octobre 2009 en commission Santé de la Chambre, soit postérieurement à sa signature:



"Tout d'abord, nous voulons travailler en toute transparence. Rien ne sera caché. Tout sera connu. Tout sera public. Toutes les informations figureront sur les sites et les brochures d'information. Comme la vaccination est volontaire, la décision de se faire ou de ne pas se faire vacciner relève de la responsabilité individuelle. Pour prendre cette décision, il faut être bien informé. Nous avons donc à coeur de poursuivre un travail d'information très spécifique. Il suffit d'aller consulter le site Influenza qui vient d'être relancé pour voir combien nous avons la volonté d'être précis en la matière." (Laurette Onkelinx, 20 oct 2009, Commission Santé de la Chambre)



La vérité c'est que seuls 4% de la totalité du contrat était disponible sur le "très précis" et "très fiable" site Influenza et que les 96% autres (les plus importants) ont été cachés au public jusqu'à la révélation du texte intégral, le 6 mai 2010, soit après la période-clé de décision pour des centaines de milliers de Belges... En signant un tel texte en juillet 2009, Mme Onkelinx savait donc pertinemment bien qu'elle s'engageait à une clause de confidentialité stricte (au sujet de laquelle GSK a expliqué que l'état en était, au moins en partie, demandeur!), ce qu'elle a elle-même avoué dans le JT de RTL du 6 mai 2010 dernier. Elle a donc permis, par sa signature, que les parlementaires ne puissent pas contrôler la validité du marché et la valeur du produit. Quant aux parlementaires, ils ont permis par leur docilité et leur manque de curiosité que ces informations restent si longtemps tues et ne "sortent" pas plus tôt.



Pour d'autres détails concernant la vaccination expérimentale chez les femmes enceintes, voir l'article "Arepanrix: une expérimentation illégale; Vaccination des femmes enceintes avec Pandemrix" par le Dr Eric Beeth, ICI.

 

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