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14 décembre 2014 7 14 /12 /décembre /2014 20:00

Epidémie de coqueluche dans un lycée américain 

Seuls les étudiants vaccinés ont été touchés ! 

 

 

Par Ethan A. Huff, 9 décembre 2014

Epidemie-de-coqueluche-seuls-vaccines-affectes.jpg

 

(Natural News)

 

Selon les officiels de la santé, les enfants non vaccinés seraient censés être la cause de la récente épidémie de coqueluche qui s’est produite dans le quartier chic du Cap Cod dans le Massachusetts. Mais comme l’a rapporté CBS Boston, tous les enfants touchés par l’épidémie étaient déjà vaccinés, ce qui prouve une fois de plus que les vaccins ne fonctionnent pas vraiment.

 

Au Lycée de Falmouth, quelques 15 enfants auraient souffert d’une maladie respiratoire, qu’on appelle la coqueluche. La nouvelle a semé une vague de panique par rapport à l’augmentation correspondante des exemptions à la vaccination. Mais comme d’habitude, parmi ceux qui ont été affectés par la maladie, il n’y avait aucun élève non vacciné. Mais peu importe les efforts qu’ont déployés les médias pour tourner la question, il est un fait que les élèves qui étaient vaccinés n’ont pas été protégés.

 

Les grands médias camouflent le problème des vaccinations et des exemptions

 

Lauren Leamanczyk, correspondante du CBS-Boston a affiché la ligne pro-vaccins en accusant les exemptions aux vaccins d’avoir provoqué l’épidémie. Elle s’appuie sur des données non divulguées qu’elle aurait trouvées et qui révéleraient que les exemptions de vaccination auraient quadruplé au cours de 25 dernières années. Pour les officiels de la santé, ce fait aurait contribué à augmenter le risque d’une épidémie.

 

Cette corrélation supposée ne prouve rien, bien sûr,  et n’implique pas de lien de causalité. Mais lorsque les vaccins sont impliqués, tout écart par rapport au protocole standard du vaccin (qui est essentiellement de se plier à ce que recommande le gouvernement, parce que c’est soi-disant bon pour vous), tout écart donc devient le bouc émissaire automatique en cas d’épidémie.

 

Dans son intervention, Leamanczyk  cite les paroles du Dr Sharon Daly, chef du département de pédiatrie à l’hôpital du Cape Cod. Ce dernier déclare que les épidémies augmentent quand les taux de vaccination diminuent. L’implication, évidemment, c’est que l’épidémie de Falmouth a été déclenchée par les enfants non vaccinés.

 

Mais quelques paragraphes plus loin, Leamanczyk, est obligée d’avouer le fait que tous les enfants affectés et qui ont développé la coqueluche avaient précédemment été vaccinés contre cette maladieSur base de ce seul fait, il est clair que les vaccins contre la coqueluche ne fonctionnent pas, tout simplement parce que tout enfant qui avait été vacciné aurait dû être protégé.

 

Même si certains enfants non vaccinés ont été malgré eux « porteurs » de la maladie, (une remarque souvent faite par les zélateurs des vaccins), cela ne fait que renforcer le fait que les vaccins contre la coqueluche sont un échec. Si les enfants non vaccinés ne contractent pas la coqueluche alors que les vaccinés font la maladie, alors il n’existe plus aucune base rationnelle pour poursuivre le programme de vaccination.

 

Le Massachusetts ne permet pas d’exemptions philosophiques comme le prétend Leamanczyk

 

Un autre défaut de l’article de Leamanczyk est l’évocation du type de dérogations supposément responsables de l’épidémie.  Elle suggère que la hausse des exemptions philosophiques est le coupable. Mais le Massachusetts ne permet pas les exemptions philosophiques. Il ne permet que les exemptions médicales et religieuses !

 

Cela pourrait paraître une différence minime, mais c'est en fait la base même des arguments de Leamanczyk et du département de la Santé : ce sont les exemptions qui sont la cause de l’épidémie. Elle a peut-être voulu parler des exemptions médicales et religieuses, mais cette erreur factuelle importante remet en question le principe de tout l’article qui jette un blâme inepte sur les enfants non vaccinés qui transmettraient la maladie à des enfants vaccinés. (Note d'Initiative Citoyenne: certains Etats des Etats-Unis permettent deux types de dérogations non médicales aux vaccins: les exemptions de type religieux et de type philosophique, ici, avec une seule des deux possibilités, on est donc moins "permissif" que dans d'autres Etats...)

 

Les vaccins marchent ou ne marchent pas. Point final. Le fait de blâmer des individus non vaccinés en faisant croire qu’ils transmettent la maladie à des vaccinés n’a aucun sens. Cela montre en fait le calendrier vaccinal pour ce qu’il est vraiment: un mythe parfait.                           

Les vaccins contre la coqueluche rendent la maladie plus virulente.

 

Quoi qu’il en soit, ce sont les individus vaccinés qui sont en fait les responsables de la propagation de la maladie. Dans le cas de la coqueluche, une étude néerlandaise a montré que la coqueluche avait muté et était devenue plus virulente à la suite de la vaccination. Cela expliquerait pourquoi les foyers de la maladie sont en hausse.

 

Une autre étude publiée dans le journal Infection Control Today admet que la stratégie vaccinale n’a « pas complètement éradiqué les souches de la bactérie », mais a plutôt conduit à « une augmentation de la diversité », ce qui signifie des souches plus meurtrières, plus virulentes et peut-être plus contagieuses.

 

Sources de NaturalNews pour cet article:

http://boston.cbslocal.com

http://www.nvic.org

http://www.inquisitr.com

 

Source de cet article traduit par Initiative Citoyenne: NaturalNews

 

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commentaires

C
Mais, je vous en prie, il n'y a vraiment pas de quoi. Ce fut un réel plaisir d'échanger avec vous. Grâce à vous j'ai les réponses à mes questions (même si ce ne sont évidemment pas celles que je<br /> vous ai posées).
Répondre
C
Merci de votre réponse. Mais je pense que vos critiques seraient plus crédibles si vous les argumentiez par des chiffres et en répondant aux questions plutôt qu'en les éludant (je ne sais toujours<br /> pas quelle était la taille de la cohorte visée). Autre question: pouvez-vous nous indiquer combien, à votre avis, de malades nous aurions eu à dénombrer en l'absence de toute vaccination ?<br /> J'aimerais que vous répondiez autrement qu'en affirmant que, de toute façon, les effets secondaires sont si graves et tellement nombreux qu'il n'y a même pas lieu de s'interroger sur les bénéfices.<br /> Merci beaucoup.
Répondre
I
<br /> <br /> Le problème c'est que vous souhaitez un nombre absolu de coqueluches alors que seule une minorité d'entre elles dégénère (un autre biais habile pour fausser le rapport bénéfices/risques!). A nous<br /> de vous retourner aussi la question: combien y aurait-il de malades chroniques en l'absence de vaccination éffrénée depuis des décennies?? En voilà une question intéressante et vous voilà du même<br /> coup pris à votre propre piège d'un soi-disant objectivisme absolu, volontairement empêché par la méthodologie d'évaluation de la pratique vaccinale DEPUIS SES DEBUTS. Si on pouvait comparer à<br /> large échelle des vaccinés à des non vaccinés (0 vaccins), on éviterait bien des biais et on pourrait répondre à toutes ces questions... merci de vous être tiré cette balle dans le pied des plus<br /> pédagogiques, merci beaucoup!<br /> <br /> <br /> <br />
C
Ceci ne fait que confirmer ce que l'on sait depuis longtemps et qui n'est d'ailleurs nié par personne : le vaccin utilisé n'a pas une efficacité de 100 %. Et, puisque 100 % des enfants sont<br /> vaccinés (ce que vous omettez curieusement de préciser), rien d'étonnant à ce que seuls des vaccinés fassent la maladie. A propos, quelle est la taille de la cohorte dont 15 enfants sont tombés<br /> malades ?
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I
<br /> <br /> Le problème voyez-vous, ce sont toujours ces pitoyables excuses qui sont utilisées pour IMPOSER des vaccins avec un discours qui les prétend très efficaces au public et avec peu (et même pas) de<br /> risques. Il est bon que les gens sachent que leurs enfants peuvent encore faire la maladie tout en étant vaccinés parce qu'alors, ils comprendront que l'enfant encourt parfois des risques hélas<br /> exorbitants en échange de zéro bénéfice. Cette vision culpabilisante d'immunité de troupeau est périmée et contribue au nivellement par le bas des libertés et de la santé publique. Il est du<br /> reste très dommage que vous n'ayez pas le courage d'extrapoler (par souci de réalisme) ce genre de situation décrite dans l'article à ce qui se passe sur le terrain où ce sont des milliers de<br /> gens dans le monde qui font la maladie ici où là bien que vaccinés et qui hélas, ne sont pas dispensés pour autant des risques d'effets secondaires à court, moyen ou long terme....<br /> <br /> <br /> <br />
É
M'enfin, vous ne voyez pas cet article corrobore les dires de ceux qui affirment qu'il faut se faire vacciner "pour protéger les autres" ?<br /> Ceux qui sont vaccinés tombent peut-être malades mais ils protègent ceux qui ne sont pas vaccinés et qui ne tombent donc pas malades !<br /> J'ai bien compris le principe ? lol
Répondre
G
Merci pour l'info. Juste une précision. Le titre de votre article laisse entendre que seul ceux qui étaient vaccinés sont tombés malades et d'autres non. Or l'article source de CBS précise que TOU<br /> les enfants étaient vaccinés, tous sans exception.<br /> <br /> Donc au mieux, ils ont attrapé la maladie entre eux, au pire cela provient directement du vaccin...
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