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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 15:50

Dommages irréparables provoqués par les vaccins :

une étude polonaise

  

Les auteurs de cette nouvelle étude écrivent : « Il n’est pas raisonnable de penser que la manipulation du système immunitaire par une nombre croissant de vaccinations durant les périodes critiques du développement cérébral ne va pas entraîner des effets neurologiques indésirables. » Voici ce qu’ils ont découvert.

 

Enfant-triste.jpg

Petite fille triste, Espen Faugstad

 

Par Heidi Stevenson

 

Une nouvelle étude scientifique polonaise aborde la question des dommages irréparables causés par les vaccins. Elle présente la question en termes d’effets indésirables, d’effets sur le système immunitaire et de symptômes neurologiques après vaccination. En évoquant l’histoire des vaccins, l’étude montre que ceux-ci ont présenté peu d’avantages. L’étude qui fournit une nouvelle information de vaste portée, se base en grande partie sur des recherches qui ne sont pas souvent référencées dans le monde occidental. Une lecture honnête de cette étude laisse peu de doute par rapport aux dommages qui peuvent être considérables et souvent définitifs.

 

Effets secondaires

 

Il existe différents systèmes permettant de définir les types d’effets secondaires indésirables des vaccinations. On fait la différence entre les réactions qui dépendent directement ou non du  système immunitaire. On classe les réactions selon qu’elles sont locales, générales, proches ou plus éloignées dans le temps.

 

Quel que soit leur classement, les auteurs de l’étude affirment :

 

« Les rapports de nombreuses revues médicales polonaises et étrangères nous amènent à conclure que les complications post-vaccinales chez les enfants peuvent être observées dans des cas sporadiques et qu’elles sont disproportionnées par rapport aux avantages de la vaccination dans l’élimination des dangereuses maladies de l’enfance. »

 

L’étude laisse peu de place au doute que les vaccins soient susceptibles de produire des risques graves qui soient totalement  disproportionnés par rapport à quelque bénéfice que ce soit.

 

Les auteurs ont d’abord fait remarquer que plusieurs effets secondaires indésirables surviennent peu de temps après la vaccination et sont reconnus par la loi polonaise. Ces effets indésirables comprennent :

 

Des réactions locales :

 

  • Réactions locales après le vaccin BCG (tuberculose)
  • Gonflements
  • Lymphadénopathie
  • Abcès au point d’injection

 

Effets secondaires indésirables sur le système nerveux central :

 

  • Encéphalopathie
  • Convulsions fébriles
  • Convulsions non-fébriles
  • Poliomyélite paralytique causée par le virus du vaccin
  • Encéphalite
  • Méningite
  • Syndrome de Guillain-Barré

 

Autres effets indésirables après vaccination :

 

  • Douleurs articulaires
  • Episodes d’hypotonie-hyporéactivité
  • Fièvre supérieure à 39°
  • Thrombocytopénie
  • Pleurs inconsolables continues.

 

Il est probable que les complications neurologiques post-vaccinales aient tendance à être des lésions nerveuses permanentes du système nerveux central, y compris les convulsions (tout spécialement s’il y a une élévation de la température), les épisodes d’hypotonie-hypo-réactivité, les encéphalites post-vaccinales, les encéphalopathies post-vaccinales et l’autisme.

 

Effets sur le système immunitaire

 

Le système immunitaire d’un nouveau-né ne fonctionne pas de la même manière que celui d’un adulte et n’atteint pas sa maturité avant l’âge de 3 ans. Le système immunitaire humoral du nouveau-né – qui fonctionne avec les anticorps – provient directement de la mère et est associé à l’immunoglobuline IgG fourni par la mère. Ce système débute environ 6 mois avant la naissance et disparaît environ 6 mois après la naissance.

 

Graphique-systeme-immunitaire.jpg

 

Les anticorps autonomes sont appelés immunoglobulines. Alors que le fœtus commence à développer un certain nombre d’immunoglobulines avant la naissance, il faut du temps, dans la plupart des cas plus d’un an, pour atteindre la maturité. Le graphique montre la vitesse à laquelle  les IgG de la mère augmentent et finissent par diminuer. Il montre également la vitesse à laquelle un nouveau-né commence à produire ses propres IgM, IgA et IgD.

 

Etant donné que le nouveau-né possède toujours des anticorps de la mère, la vaccination contre certains microorganismes ne peut fournir une protection durable. Les auteurs précisent :

 

« Il est bien établi que dans les premiers temps de la vie, les réponses immunitaires sont plus faibles et de plus courte durée que celles qui sont produites chez des hôtes immunologiquement matures. En conséquence l’efficacité de la vaccination dans la prime enfance (particulièrement au cours des 6 premiers mois) est limitée. »

 

Les auteurs poursuivent :

 

« Des preuves expérimentales montrent clairement que l’administration simultanée de deux à trois adjuvants, ou la stimulation répétée du système immunitaire par le même antigène peut vaincre la résistance génétique à l’auto-immunité. »

 

La pratique courante qui consiste à administrer plus d’un adjuvant à la fois ou à injecter le même antigène à plusieurs reprises est susceptible de provoquer des dommages auto-immuns.

 

Les auteurs soulignent en outre que la toxicité des adjuvants  peut produire une gamme de réactions indésirables.

 

On ne comprend pas bien la manière dont le corps réagit aux vaccins. On croit cependant que la voie Th1 est sacrifiée au profit de la voie Th2. Ceci est censé mener à l’apparition d’allergies chez les nouveau-nés. Les allergies (qui peuvent parfois être mortelles) étaient jadis particulièrement rares. Aujourd’hui, on retrouve des allergies chez au moins 35% et peut-être même jusqu’à 40% des enfants. Cette situation est devenue l’un des problèmes les plus graves de santé en Europe.

 

Les auteurs citent une étude démontrant qu’une infection de la varicelle naturelle protège contre l’asthme et la dermatite atopique chez les enfants, alors que ce n’est pas le cas pour le vaccin.

 

Les auteurs précisent :

 

« Il a été démontré que la vaccination annuelle contre la grippe empêchait le développement de l’immunité des lymphocytes T spécifiques du virus CD8+  chez les enfants. »

 

Les auteurs précisent :

 

« Il semble que le nécessaire équilibre Th1/Th2 soit plus facilement réalisé grâce aux défis naturels (c'est-à-dire par les maladies d’enfance relativement bénignes comme la varicelle et les oreillons) plutôt que par la vaccination.

 

Des recherches récentes menées par Singh de l’Institut International de Recherches sur le Cerveau aux Etats-Unis confirment l’authenticité de cette déclaration. […] »

 

Conclusion partielle

 

A ce stade de leur examen, les auteurs soulignent que les vaccins qui sont utilisés pour « former » le système immunitaire, réduisent en fait le seuil de réactions de défense contre le développement de maladies infectieuses. Ceci conduit aux questions suivantes :

 

  • Comment les systèmes immunitaire et nerveux en développement d’un enfant en bonne santé peuvent-ils répondre à une stimulation aussi intense ?
  • Ces systèmes immatures peuvent-ils assurer le même effet protecteur par rapport à autant de stimuli différents ?
  • Les effets secondaires des vaccins comprenant plusieurs antigènes sont-ils différents des effets secondaires des vaccins ne comprenant qu’un seul antigène ? Si c’est le cas, comment expliquer la chose ? […]

 

«  Il n’est pas raisonnable de supposer que la manipulation du système immunitaire au moyen d’un nombre croissant de vaccinations pendant les périodes critiques du développement cérébral ne finira pas par engendrer des effets indésirables sur le développement neurologique (de l’enfant). »

 

Les auteurs de l’étude montrent clairement que les vaccins comportent le risque de faire un tort immense.

 

Cet article a trait aux deux premières parties de l’importante étude de Sienkiewicz, Kulak, Okurowska-Zawada et Paszko-Patej. Le prochain article portera sur les symptômes neurologiques consécutifs aux vaccinations comme sur l’histoire même des vaccinations et leurs faibles bénéfices.

 

Etude originale: Neurologic adverse events following vaccination; Progress in Health Sciences, 2012, Vol.2, n°1, Sienkiewicz D., Kulak W., Okurowska-Zawada B., Paszko-Patej G.

 

Source: Gaia Health

 

Ci-dessous, voici les commentaires des Américains Dave Mihalovic et Catherine Frompovich qui ont repris plusieurs points saillants de cette étude polonaise:

 

Effets secondaires neurologiques faisant suite à la vaccination

 

Notes prises à partir de ce document extraordinaire :

 

http://progress.umb.edu.pl/sites/progress.umb.edu.pl/files/129-141.pdf

 

Notes prises à partir de ce document extraordinaire :

 

Article de discussion

 

http://wakeup-world.com/2013/10/03/irrefutable-evidence-shows-vaccines-had-no-health-benefit-or-impact-on-prevention-of-infectious-disease/

 

Le système immunitaire du nourrisson par rapport à la vaccination [le meilleur jamais lu !]

 

Page 131

 

Graphique montrant différents niveaux d’immunoglobulines en fonction de l’âge du nourrisson.

 

Il est à noter qu’un enfant ne possède pas la pleine maturité et la pleine défense immunitaire avant l’âge de 3 ans.

 

A étudier spécialement l’information avant le note de page [22]

 

Page 132

 

Des maladies allergiques baptisées « épidémie du XXIème siècle. »

35% de la population des pays développés souffrent d’allergies.

Corrélation positive de la maladie associée au vaccin ROR

 

Page 134

 

Symptômes neurologiques après vaccination / toxicité du Mercure / 125 fois plus élevée que la norme considérée sécuritaire.

 

Mort subite après vaccination due à un œdème cérébral et pulmonaire, ainsi qu’à des attaques cardiaques.

 

Page 135

 

Neurotransmetteurs excitateurs et toxine de la coqueluche.

 

Liste des complications neurologiques.

 

Page 137

 

Tableau. 8 : La plus forte baisse de la coqueluche a eu lieu avant l’introduction de la vaccination générale des enfants – Suisse 1910-1980

 

Les cas de diphtérie sont montés en flèche après que les vaccins aient été introduits en 1925. Voir le tableau.

 

«  Il est intéressant de noter qu’au cours des dernières décennies, la diminution des maladies infectieuses généralement rapportées s’est produite avant l’introduction de la vaccination contre ces maladies.

 

Selon un rapport de 2002 du Lancet Infectious Diseases [72] – il existe des preuves solides qui montrent  que, sur un plan personnel et environnemental, l’hygiène a réduit la propagation de l’infection – Les résultats de cette étude montrent qu’il existe un effet positif, continu et mesurable de l’hygiène personnelle et collective sur les maladies infectieuses. Le même rapport a montré que les taux bruts de mortalité due aux maladies infectieuses a diminué jusqu’à des niveaux quasi négligeables bien avant l’introduction des pratiques de vaccination universelle. Actuellement, les pays développés présentent des calendriers de vaccination de plus en plus complexes.

 

« C’est au cours des années 1960, que de plus en plus de vaccinations ont été mises en place. Les maladies allergiques, y compris l’asthme, les maladies auto-immunes, le diabète, de nombreux troubles neurologiques – difficultés d’apprentissage TDA, (trouble déficitaire de l’attention), TDAH (déficit d’attention avec hyperactivité, convulsions et autisme – autant de maladies chroniques qui ont retenu l’attention [73].

 

Dans les pays scandinaves, qui ont les taux de mortalité infantile les plus bas, les vaccinations sont volontaires et les nourrissons reçoivent leurs premières vaccinations à 3 mois.

 

«  On notera également que les pays scandinaves ont les taux les plus bas d’autisme par rapport aux autres pays développés, et dont les enfants qui reçoivent un plus grand nombre de vaccins sont aussi vaccinés beaucoup plus tôt [49]

 

Suggestions pour la modification du programme de vaccination de la Pologne – chose qui devrait aussi pouvoir s’appliquer aux Etats-Unis Voir # 8.

 

« Le professeur Majewska – neurobiologiste, Directeur de la Chaire Marie Curie du Département de Pharmacologie et de Physiologie du Système Nerveux à Varsovie – en collaboration avec des pédiatres, a rédigé une proposition de modification du programme de vaccination en Pologne et qui est basé sur une analyse des programmes de vaccination dans d’autres pays de l’Union européenne. Les propositions sont les suivantes :

 

  • Eliminer le thimérosal de tous les vaccins
  • Supprimer la vaccination des nourrissons contre l’hépatite B (ne vacciner que les nourrissons à haut risque, à savoir les nourrissons de mères infectées).
  • Arrêter la vaccination BCG des nouveau-nés (à utiliser seulement chez des enfants provenant de régions où le pourcentage de patients atteints de tuberculose dépasse 40 pour 100.000)
  • Commencer à vacciner à partir de 4 mois dans le groupe restant des enfants.
  • Abandonner le vaccin anticoquelucheux cellulaire.
  • Administrer un maximum de 3 types de vaccins en une seule journée.
  • Abandonner l’administration de vaccins à virus vivants, ou alors les administrer un à la fois à des intervalles de sécurité.
  • Rendre les vaccins monovalents accessibles.
  • Engagement du médecin vaccinateur pour mener un entretien préalable avec les parents au sujet d’éventuelles allergies, asthme, maladies auto-immunes, complications post-vaccinales chez les membres de la famille qui permettrait au médecin de pouvoir prédire si tel ou tel enfant serait susceptible d’avoir des réactions post-vaccinales graves. De tels enfants devraient pouvoir avoir accès à un programme de vaccination individualisé et très prudemment développé.
  • Surveiller l’état de santé des enfants après la vaccination afin de pouvoir dépister à temps des situations qui pourraient nuire à la santé de l’enfant ou mettre sa vie en danger.
  • Créer un programme national d’enregistrement obligatoire des complications vaccinales et des décès dus aux vaccins. Ces données devraient être signalées à l’OMS  et l’information sur les complications devrait être consignée dans le livret de santé de l’enfant [51].

 

Page 138

 

Conclusions

 

« Il semble qu’il serait utile d’appliquer le principe de précaution – le principe d’éthique (1988) selon lequel il serait préférable de ne pas mettre en œuvre une nouvelle technologie s’il existait une probabilité, même mal connue, d’effets secondaires indésirables, plutôt que de risquer des conséquences incertaines mais potentiellement dangereuses. »

 

Commentaire de Catherine Frompovich

 

Ce document est extrêmement précieux parce qu’il met en valeur toute une série d’arguments qui vont dans le sens de ceux qui demandent une vaccination sans danger (aux Etats-Unis et ailleurs). Ce document devrait pouvoir servir de modèle pour un travail de réforme de la vaccination. Ce document confirme aussi la plupart des thèmes repris dans le livre de Catherine Frompovich « Vaccination Voodo, What YOU Don’t Know About Vaccines » [4 Oct. 2013]

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commentaires

V
Merci pour les informations.J'ai une maladie auto immune (gaine des nerfs), comme ,enfant j'ai été vaccinée 2fois du vaccin antivariolique, à 2 mois d'intervalle,beaucoup de fiévre, n'y aurait-il pas un lien avec mon probléme?. Merci
Répondre
I
Bonjour, tous les vaccins contribuent statistiquement parlant à majorer le risque de survenue de maladies auto-immunes, voir notamment ici:<br /> <br /> http://initiativecitoyenne.be/article-maladies-auto-immunes-vaccins-un-lien-incontestable-109115896.html<br /> <br /> http://initiativecitoyenne.be/2015/05/scientifiquement-prouve-les-vaccins-causent-l-auto-immunite-et-ne-font-donc-pas-que-la-reveler.html<br /> <br /> Comme les effets secondaires des vaccins ne sont "évalués" que sur quelques jours et pas à long terme (et encore comparativement à de feux groupes placebos donc des gens qui reçoivent d'autres vaccins, ce qui biaise bien sûr la comparaison car tout vaccin est pourvoyeur d'effets secondaires graves!), rien ne permet d'exclure que ces antécédents vaccinaux lointains- auxquels s'ajoutent sans doute encore d'autres vaccins reçus entretemps même s'ils ne vous ont pas paru sur le coup "poser problème"- ont pu en partie au moins jouer un rôle décisif en faisant le lit de manifestations auto-immunes qui auraient en effet par exemple aussi peut-être ne pas apparaître sans ces vaccins.... les vaccins participent à une phénomène de synergie toxique, quand la coupe est pleine, le mal peut apparaître, ce qui signifie que sans X et X stimulations toxiques faisant grimper l'addition (dont les vaccins font assurément partie), ces phénomènes auraient pu rester latents sans se concrétiser donc le patient vivre sa vie durant sans....
P
Saviez vous que la mortalité n'est PAS un bonne indicateur de la disparition d'une maladie ? C'est étrange que les gens meurent moins de maladies quand ils sont mieux pris en charge médicalement...<br /> <br /> https://faireavancerleschmilblick.wordpress.com/2014/09/12/ces-graphiques-montrent-que-la-vaccination-est-un-mensonge/
Répondre
I
"Car si on prend mieux en charge, il faudra absolument pouvoir aussi y voir un effet favorable en termes de réduction de la mortalité"<br /> <br /> La réduction on la voit, et personne ne la nie. En revanche, la CAUSE de cette baisse de mortalité peut être le vaccin comme toute autre chose. (C'est votre argument pour nier l'efficacité des vaccins, je vous le rappelle) C'est pour cela que c'est un mauvais indicateur: On ne sait pas toujours a quoi sont dues les variations. <br /> <br /> Les vaccins permettent d'éviter une infection. Pour savoir si un vaccin est efficace, on compte les infection. C'est de la logique élémentaire.<br /> <br /> <br /> "En outre, toute personne qui sait lire verra l'illogisme du commentaire de PsyX car SI une maladie disparait forcément que sa mortalité va baisser et en sera le meilleur indicateur, au contraire!"<br /> <br /> Vous faites une confusion. Comment savez-vous VOUS qu'une maladie disparait ? SI la mortalité baisse, la maladie ne baisse pas forcément. Pour le savoir, on compte les maladies, pas les décès.<br /> <br /> <br /> "c'est à la portée d'un enfant de primaire!"<br /> <br /> Dans ce cas, vous n'avez pas le niveau d'un enfant de primaire.
I
Saviez-vous que la mortalité est au contraire l'indicateur épidémiologique le plus fiable qui permet d'éviter et de dépister les biais dans les études épidémiologiques trop partiales et si peu indépendante des labos? Car si on prend mieux en charge, il faudra absolument pouvoir aussi y voir un effet favorable en termes de réduction de la mortalité. C'est de la logique élémentaire, ça s'appelle une relation nécessaire. On peut même dessiner cette relation par un ensemble pour éclairer ce qu'il en est. Si a alors B; si on prend mieux en charge en évitant des cas ou en traitant mieux les cas déclarés, cela ne peut que réduire aussi la mortalité... c'est à la portée d'un enfant de primaire! Avec les statines, c'est pareil, les promoteurs de ces poisons ayant tenté de noyer le poisson en disant que cela ne montre pas forcément une réduction de mortalité mais de morbidité mais le hic c'est que les accidents vasculaires ayant un pourcentage de mortalité non négligeable, si on évite des complications et qu'il n'y a pas de biais dans les études, on doit voir alors aussi des baisses de mortalité or ce n'est absolument pas ce que démontrent les essais cliniques de fabricants de ces médocs (style crestor etc.). En outre, toute personne qui sait lire verra l'illogisme du commentaire de PsyX car SI une maladie disparaît forcément que sa mortalité va baisser et en sera le meilleur indicateur, au contraire!
M
en première page de ce lien:<br /> http://www.fichier-pdf.fr/2012/07/27/angelika-kogel-kiggs-study/preview/page/8/
Répondre
M
Bonjour Muriel,<br /> <br /> Il s'agit de la fameuse étude KIGGS. Concernant Angelika Kogel-Shauz, impossible de trouver son CV, donc impossible malheureusement de vérifier ses compétences.<br /> <br /> En première page de ce lien, on peut lire que l'Institut Koch ne cautionne pas les résultats dérivés par M. Kogel.<br /> Dans ce lien, il n'est malheureusement pas décrit le développement des calculs statistiques effectués par M. Kogel. Dans ce document, les graphes sont montrés sans aucunes barres d'erreur. Il n'est<br /> pas fait mention d'IC non plus. Bref, en l'état, il est impossible de vérifier les résultats de M. Kogel.<br /> <br /> Par contre, en utilisant Google Schoolar, on peut facilement trouver cette publication :<br /> http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3057555/<br /> <br /> La publication étant OpenAccess, le texte et les graphes sont accessibles à tous. On remarquera l'importance des barres d'erreur pour les non-vaccinés. C'est normal vu le faible leur faible nombre<br /> en proportion. Quand on compare deux groupes dont les poids sont très différents, il faut être extrêmement rigoureux dans son approche. C'est de la simple honnêteté intellectuelle.<br /> <br /> Finalement, après une étude statistique rigoureuse, on aboutit à la conclusion suivante (je recopie de l'article):<br /> "The prevalence of allergic diseases and non-specific infections in children and adolescents was not found to depend on vaccination status."
Répondre
M
Bonjour,<br /> Voici le lien<br /> https://www.youtube.com/watch?v=1Gsoyo8k_0g
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