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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 15:43

Le 9 septembre dernier, nous consacrions déjà un article sur ce qui n'était à l'époque encore qu'un projet de loi, certes inquiétant mais seulement à l'état de projet.

 

Nous venons hélas d'apprendre hier, 9 octobre 2011, que ce texte de loi AB499 est à présent effectif et qu'il a été signé par le Gouverneur de l'état, permettant donc désormais de vacciner les enfants de 12 ans contre des maladies sexuellement transmissibles (hépatite B, HPV,..) sans que leurs parents n'en soient informés!

 

Comme l'explique et le dénonce Ginger Taylor, directeur du "Canary Party", un collectif citoyen américain, préoccupé par les questions sanitaires, tout comme Initiative Citoyenne:

 

"Cela signifie qu’à partir de demain les garçons et les filles de 12 ans vont se retrouver seuls dans le bureau du médecin ou des infirmières de l’école. On leur présentera un vaccin en leur disant que s’ils ne l’acceptent pas ils pourront devenir malades ou même mourir. Le vaccin sera ensuite administré aux enfants et leurs parents n’en sauront vraisemblablement jamais rien…

 

La notice du vaccin Gardasil comporte 30 pages. A voir ici :Gardasil Package Insert. L’Etat de Californie a décidé que des enfants de 12 ans étaient compétents pour pouvoir lire et assimiler cette information, pour comprendre les risques et les bénéfices de ce vaccin et de donner un consentement libre et éclairé. Absurde.

 

[…] La plupart d’entre vous savent déjà que quand un effet secondaire du vaccin  se produit, quelque soient les preuves de la responsabilité du vaccin qui pourraient être apportées, le fait est simplement nié par l’establishment médical. En outre, aucune des personnes impliquées dans le programme d’administration des vaccins ne peut être rendue responsable de quelque dommage que ce soit, ni même de décès… "

 

 

Vidéo-débat sur la fausse pertinence de ce transfert d’autorité des parents à l’Etat : ICI (Fox News)

 

 

Malgré la mise en place de ce genre de mesures scandaleuses et inadmissibles, ce qui est véritablement réjouissant, c’est le nombre croissant de collectifs citoyens qui se créent pour défendre les libertés fondamentales, de plus en plus piétinées par des dirigeants sans éthique.

 

Initiative Citoyenne est de ceux-là, tout comme le collectif « No Forced vaccines » récemment créé en Nouvelle-Zélande suite à la volonté scélérate des autorités de lier les allocations familiales à l’administration de vaccins ou encore le « Canary Party » que nous venons d'évoquer ci-dessus.

 

Quelques soient les langues et les pays, les objectifs communs à tous ces collectifs en disent long sur le bon sens et la pertinence de leurs actions. Cette universalité témoignant en fait d'une véritable dynamique citoyenne mondiale qui sera, à terme, à même de faire tomber les pires formes de tyrannie.

 

Si nous prenons par exemples les différents principes fondateurs du « Canary Party », que voyons-nous ? Qu’ils sont en fait totalement compatibles avec les objectifs et missions d’Initiative Citoyenne alors que nous venons seulement de découvrir leur existence :

 

1. Que la prise de conscience de l’origine humaine des nouvelles pandémies tant attendues est la première condition pour faire cesser un tel manège

 

2. Que lorsque la complexité vient plomber notre compréhension des différentes crises sanitaires, le fameux principe « D’abord ne pas nuire » est un bon repère.

 

3.  Que le bonheur et le bien-être des individus est la première condition d’un environnement sûr.

 

4. Que le droit des individus d’accepter ou de refuser des actes médicaux pouvant les affecter eux ou leurs enfants, doit être défendu.

 

5. Que l’autonomie suppose que les individus assument leurs responsabilités en matière de santé et puissent prendre leur destin en main.

 

6. Que l’accès total à toutes les professions de santé et une information fiable sont des conditions essentielles à la liberté.

 

7. Que lorsque des effets secondaires et dommages surviennent en raison d’un échec des institutions, les victimes méritent justice.

 

8.  Que des décisions justes sont plus aisément adoptées quand les institutions sont entièrement dégagées de tout intérêt commercial.

 

9. Qu’une société ayant un minimum de compassion ne doit pas laisser sur le côté de la route, les personnes victimes ou lésées.

 

 

 

Aux Pays-Bas semble-t-il, les jeunes filles de 12 ans peuvent déjà se faire vacciner, même contre l’avis de leurs parents. L'institut de santé publique hollandais écrit donc (traduction):
 
"Une fille de 12 ans peut-elle se faire vacciner sans le consentement parental?


OUI, cela est faisable. Jusque 12 ans, un enfant ne peut pas se faire vacciner  sans le consentement des parents. A partir de 12 ans, cela est possible. Si une fille le souhaite, la vaccination peut être administrée et ce, même si les parents n'ont pas donné leur consentement pour ce faire."

 

Ce qui est malhonnête, c’est que ce commentaire ne précise pas explicitement que dès 12 ans, la jeune fille peut accepter OU REFUSER de se faire vacciner or il est pourtant bien évident qu’il y a beaucoup plus de cas où la jeune fille n’a pas forcément envie de se faire vacciner selon le souhait de ses parents que des cas où une jeune fille voudrait à tout prix la vaccination contre l’avis de ses parents…

 

 

 

 

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