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7 mars 2015 6 07 /03 /mars /2015 21:46

« C’est sûr que si j’avais lu ça avant la vaccination, on n’aurait pas fait le vaccin. Ça c’est clair et net ! » !

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Lauralie est un enfant qui est né à terme avec une microcéphalie. C’est un enfant qui avait un périmètre crânien inférieur à la moyenne. Jusqu’à 4 mois, on a trouvé qu’elle avait un développement que l’on trouvait relativement normal.

 

Suite à la vaccination, Lauralie a eu beaucoup de problèmes mais a perdu énormément d’acquis, intellectuels aussi.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

A l’âge de huit ans, Lauralie est toujours incapable de marcher, incapable de parler.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Elle est obligée de dépendre de quelqu’un pour faire le moindre geste, faire la moindre petite chose.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Quand Lauralie a réagi 45 minutes après le vaccin, tout de suite j’ai su que c’était relié au vaccin. Il n’y avait aucun doute dans ma tête.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Ça, c’est la monographie du vaccin. Ce sont les compagnies pharmaceutiques qui produisent  ce document-là et dans lequel on retrouve la description des produits. On parle aussi des précautions à prendre pour des enfants qui ont des problèmes neurologiques, soit confirmés soit sous- jacents. Ces enfants-là risquent potentiellement de développer des problèmes neurologiques beaucoup plus importants.

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Il semble que les nourrissons et les enfants atteints d’affections neurologues sous- jacentes présumées ou confirmées – ce qui était le cas pour Lauralie – présentent un risque accru de manifestation de ces affections dans les 2 ou 3 jours après l’administration du vaccin avec agent anticoquelucheux à cellules entières. Donc, la décision d’administrer Pentacel à des enfants présentant des troubles neurologiques sous- jacents confirmés ou présumés doit être prise au cas par cas, en pesant les risques et les avantages.

 

Pourquoi ces informations-là ne se retrouvent-elles pas dans le protocole d’immunisation. C’est sûr que si j’avais lu ça avant la vaccination, on n’aurait pas fait le vaccin. Ça c’est clair et net!

Lauralie, victime grave des vaccins, est décédée à l'âge de 8 ans

Source: Extrait du documentaire "Silence on vaccine" (entre 52'37'' et 54'34'' +/-)

 

Nous vous invitons également à lire le commentaire de Pascale Beaumont, maman de Lauralie, décédée à l'âge de 8 ans seulement donc (et dont les symptômes avaient commencé seulement 45 minutes après la vaccination...):

 

Pascale Beaumont 


9 février 2009 21 h 09

 

Silence, les autorités médicales ont parlé...

Je ne peux passer à côté des commentaires et du sempiternel discours de nos responsables de la santé publique qui, interventions après interventions, tiennent toujours le même propos concernant entre autres, la sécurité de la vaccination.


Les vaccins sont-ils aussi sécuritaires que nos dirigeants en santé publique le prétendent ? Est-ce vrai de prétendre qu’un individu sur un million développera une encéphalite à la suite de l'administration du vaccin RRO" tel que le mentionne Dr Ward ?


Pour que cet argumentaire soit valable, il faudrait que le pourcentage d'effets secondaires reporté soit statistiquement assez élevé pour permettre d'évaluer objectivement la sécurité des vaccins. Actuellement et selon Dr Marc Lebel de l'hôpital St-Justine, 98 % des effets secondaires ne sont pas reportés. Et ce, pour plusieurs raisons selon moi. D'abord, plusieurs personnes du milieu médical ne savent pas que les effets secondaires doivent être reportés via le Rapport d'incident associé temporellement à l'administration de vaccins. Certains ne se donnent pas la peine ou n'ont pas le temps de le remplir, sans oublier que pour d'autres, leur opinion personnelle pro vaccin prime sur leur responsabilité professionnelle à déclarer les cas d'effets secondaires. De plus, certains patients ne feront aucun lien entre leur état de santé et la vaccination, faute d'éducation et d'information.


De plus, contrairement à ce que mentionnait Dr De Wals dans le cadre d'une entrevue accordée à la journaliste Chantal Srivastava à l'émission Les années lumières du 01 février 2009, le programme de surveillance des effets secondaires des vaccins tel que le programme IMPACT ne fonctionne que théoriquement. Comment expliquer que notre fille ait passé une semaine à l'hôpital de Montréal pour enfants sans qu'aucune infirmière de ce programme vienne nous rencontrer ?


J'ai dû moi-même, non seulement trouver un médecin pour déclarer le cas de notre fille à la protection de la santé publique mais aussi, faire les démarches auprès de la compagnie pharmaceutique pour signaler le cas. Cette dernière devait faire suivre la déclaration à Santé Canada, ce qui n'a pas été fait puisque l'histoire de notre fille n'a jamais été retrouvée dans les statistiques de la Direction de la santé publique canadienne. Nous pouvons donc conclure que contrairement à ce que mentionnait Dr De Wals, les systèmes mis en place pour détecter les incidents et les accidents post-vaccinatoires, les enquêtes et les études qui doivent en découler ne fonctionnent tout simplement pas. Alors comment peut-on sonner l'alarme afin d'éviter ce drame à d'autres familles lorsque nos dires sont ridiculisés, méprisés et que personne du milieu médical n'ose prononcer le mot "choc post-vaccinatoire" sans craindre la foudre de l'hérésie ? 


Quoique très valable et rassurante pour les autorités médicales et gouvernementales, la pharmacovigilance ou les études post-commercialisation sont non seulement théoriques mais inefficaces puisqu'il sera toujours impossible d'avoir un portrait clair et précis des effets secondaires si seulement 2% des cas, à travers le monde, sont rapportés. 


Pour s'assurer que les vaccins soient sécuritaires, il faut aussi valider leur innocuité au niveau de leur toxicité pour l'humain. Malheureusement, il n'y a aucun médecin, spécialiste ou toxicologue qui peut certifier qu'il n'y a pas d'interaction entre les différents produits que l'on retrouve dans les vaccins et de plus, on ne connaît pas l'interaction directe ou croisée de ces produits avec les produits chimiques que l'on retrouve malheureusement de plus en plus dans le corps de nos enfants.


Et qu'en est-il du programme d'indemnisation mentionné par Dr Ward dans l'article de Pauline Gravel ? L'accès à ce programme exige au départ que le patient soit représenté par un médecin, critère éliminant d'emblée bien des requêtes puisque le patient doit trouver non seulement un médecin qui croit en son histoire, qui prendra connaissance de tout le dossier médical du patient mais qui aura aussi le courage d'aller se battre contre l'establishment médical. Le programme québécois d'indemnisation de victimes d'immunisation est fort louable mais pour qu'il soit juste et accessible, il faudra que le gouvernement revoie ses procédures et s'assure de la transparence et de l'honnêteté intellectuelle de tous les membres y siégeant, ce qui ne fut pas le cas dans notre dossier.


Compétence scientifique douteuse...grâce au support de protagonistes du milieu médical, Pauline Gravel réussit à démolir le travail et la réputation de 3 médecins se retrouvant dans le documentaire de Lina B Moreco, soient les Dr Wakefield et les Geier. Une simple recherche aurait permis à Mme Gravel de constater que certains questionnements existent aussi au sujet du Dr Fombonne qu'elle utilise à grande pelletée comme référence scientifique et médicale dans son article.


http://www.ledevoir.com/2007/05/04/commentaires/07

Et puis Dr Wakefield est-il le seul farfelu à avoir trouvé des virus de la rougeole, voire des bouts d'ARN du virus, dans les biopsies intestinales et le sang de huit enfants autistes tel que l'affirme Dr Fombonne ?


Allez donc fouiller un peu ici et là ... 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12849883
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12145534

Et puis selon l'article de Mme Gravel, le thimérosal, présent dans quelques vaccins qui se transforme dans le corps en éthylmercure n'est plus toxique? Allez donc fouiller un peu ici et là ...


http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15184908
http://toxsci.oxfordjournals.org/cgi/content/abstr
http://toxsci.oxfordjournals.org/cgi/content/abstr

Difficile de trouver ce qu'on ne cherche pas....


Si la Direction de la santé publique a à cœur la santé de sa population, de ses vieillards et de ses enfants, je crois sincèrement qu'elle devra ouvrir la porte à la discussion avec les médecins et les victimes d'effets secondaires, revoir le programme d'indemnisation qui manifestement ne répond pas à sa mission et se permettre de se questionner et de se repositionner par rapport à son programme d'immunisation universel. 


Et non, la cinéaste Lina B Moreco ne vient pas de saper la confiance en la vaccination, au contraire. Elle vient de toucher à un sujet des plus tabous que tentent ridiculement de faire taire les dirigeants de la santé publique en propageant d'absurdes discours, basés sur la peur, la culpabilité et le mépris de l'intelligence de la population. Ils seront les seuls à blâmer si la population, épuisée par tant d'incohérences et de mépris, perd toute confiance en eux, en leur intégrité et en leur transparence. 


Pascale Beaumont, mère de Lauralie Beaumont victime d'un choc post-vaccinatoire et décédée à l'âge 8 ans.

 

 

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Profondément attristé de la nouvelle, la publication de vos donnés fait en sorte que cette triste situation ne se répète pour d'autre parents et leur enfants, merci et courage, avec tout mon amour.
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