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9 juin 2015 2 09 /06 /juin /2015 20:58

Lancement d'un nouveau groupe de soutien pour les survivantes irlandaises du vaccin HPV Gardasil

Irlande: les survivantes du Gardasil lancent un groupe de soutien

Swords, Irlande, 23 mai 2015

 

Le groupe de soutien appelé R.E.G.R.E.T. a été lancé récemment en Irlande par des parents d’adolescentes, malades chroniques. Ces parents mettent en cause une injection que leurs filles ont reçue à l’école et qui serait la cause de leur maladie. La vaccination en question s’appelle Gardasil, et est commercialisée comme vaccin anti-cancer. R.E.G.R.E.T. est un acronyme pour « Reactions and Effects of Gardasil Resulting in Extreme Trauma. »

 

Les membres de dix familles de tout le pays se sont réunis pour partager leurs expériences et leur exaspération devant l’incapacité des autorités de Santé de reconnaître les raisons profondes des réactions indésirables graves que leurs enfants ont connues à la suite du vaccins, alors que jusqu’à l’injection, elles jouissaient d’ une vie parfaitement saine et active.

 

Un des principaux griefs soulevés à la réunion concernait les informations fournies par le HSE (dans le cadre du « consentement éclairé ») et que le groupe considérait comme extrêmement trompeuses, particulièrement en ce qui concerne la sécurité du vaccin.

 

Une incidence élevée de réactions graves a été signalée aux Etats-Unis depuis que le Gardasil a été commercialisé en 2006. Même les propres essais cliniques du fabricant révèlent qu’il y a eu 1 réaction grave sur 40 (2,5%)*, mais on dit encore aux parents irlandais que le Gardasil est « très sûr ».

 

Bien qu’il n’ait jamais été prouvé que le vaccin  pouvait protéger du cancer, le HSE insiste pour dire que les avantages du Gardasil l’emportent sur les risques. Ces gens-là prétendent même que le produit a été « entièrement testé ». Ceci, en dépit des tests limités dus à un processus de tests accélérés pour ce « vaccin salvateur ».

 

Le HSE n’a pas informé les parents que le Gardasil contenait de l’ADN recombinant non humain génétiquement modifié, dont les effets sont inconnus et imprévisibles lorsque ces produits sont injectés à un être humain.

 

Les types de conditions de santé débilitante à long terme dont ont fait part, dans de nombreux cas, les parents irlandais ont empêché leurs filles de poursuivre normalement leurs études.

 

Les médecins irlandais n’ont pas pu trouver de traitements adéquats pour ces types de maladies chroniques. A de très rares exceptions près, les médecins rejettent ces réactions graves comme étant de pures coïncidences sans rapport avec le Gardasil. Lorsque les tests sont négatifs, on dit aux parents que leurs filles souffrent simplement de problèmes psychologiques/psychosomatiques.

 

Le groupe des parents a aussi lancé le site www.Regret.ie sur lequel les parents peuvent lire les comptes rendus de première main des victimes irlandaises et de leurs familles. Ce site est destiné à sensibiliser d’autres parents dont les filles doivent encore recevoir l’injection en conformité avec le programme de vaccination dans les écoles, et qui devrait reprendre en septembre.

 

Le groupe peut être contacté à Support@Regret.ie

 

Selon Catherine Weitbrecht, porte-parole du groupe « Regret »:

 

« Depuis que le groupe a été formé, 4 nouveaux parents avec leurs filles sont venus nous rejoindre grâce à notre site. Deux de ces histoires sont particulièrement horribles. L’une de ces filles est à ce point déprimée qu’elle doit être surveillée 24 heures sur 24 et tous les jours de la semaine. L’autre a une maladie sanguine si grave qu’elle pourrait avoir des hémorragies qui pourraient la conduire à la mort s’il lui arrivait d’avoir un accident même mineur. La troisième souffre du syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) et la troisième fait des convulsions».

 

*Selon la FDA, un événement indésirable grave doit correspondre à l’un des critères suivants : décès, vie en danger, hospitalisation, invalidité ou dommages permanents, anomalie congénitale/ malformation de naissance, ou exigence d’intervention pour prévenir une détérioration définitive de santé.

 

Source: SaneVax

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7 juin 2015 7 07 /06 /juin /2015 22:29

Royaume-Uni: Des milliers de jeunes-filles atteintes de maladies débilitantes après les vaccins reçus à l’école contre le cancer du col de l’utérus 

Royaume-Uni: des milliers de jeunes filles victimes de la vaccination scolaire "contre le cancer du col de l'utérus"

« J’ai eu de terribles douleurs thoraciques et abdominales, des difficultés respiratoires – une fois même je ne pouvais plus bouger quoi que ce soit d’un côté de mon corps. »

 

Paul Gallagher 31 mai 2015

 

Quand on a demandé à Caron Ryalls de signer un formulaire de consentement pour que sa fille, Emily, de 13 ans soit vaccinée contre le cancer du col de l’utérus, elle a pensé que c’était le meilleur moyen de protéger la santé de sa fille pour le futur.

 

Pourtant, dès qu’Emily a commencé à souffrir des effets secondaires du vaccin, les quatre années qui ont suivi ont représenté un véritable cauchemar pour la famille. A peine deux semaines après la première injection du vaccin HPV, l’adolescente a commencé à souffrir d’étourdissements et de nausées.

 

« Les symptômes ont continué de s’aggraver après la deuxième et troisième injections. J’ai dû plusieurs fois me rendre dans le centre A&E à cause de mes terribles douleurs thoraciques et abdominales, ainsi qu’à cause de mes difficultés respiratoires. » Emily qui a maintenant 17 ans se rappelle : « Une fois, je ne pouvais même plus bouger quoi que ce soit d’un côté de mon corps. Je ne comprenais absolument pas ce qui se passait. »

 

Emily est l’une de ces milliers de jeunes-filles qui ont souffert de maladies débilitantes après des vaccinations de routine. Elle doit encore récupérer et n’a aucune idée du jour où sa santé redeviendra normale.

 

«  Avant la vaccination, Emily avait une santé impeccable ; elle n’avait jamais eu de problèmes », explique Madame Ryalls, 49, de Ossett dans le West Yorshire.» Comme elle avait été jugée en excellente santé, elle avait représenté l’école aux tournois de hockey, netball et athlétisme. Elle était aussi une excellente danseuse. A l’école, elle était une travailleuse acharnée. Elle se classait toujours dans les premières. Son avenir s’annonçait très brillant. »

 

Madame Ryalls a signalé le cas d’Emily à l’Agence des produits de santé (MHRA). En 10 ans, jusqu’au mois d’avril de cette année, cette Agence a reçu environ 22.000 rapports spontanés de présomptions d’effets indésirables de 13 catégories de vaccins de routine comprenant le vaccin contre la grippe, le vaccin ROR, le vaccin antitétanique, contre la diphtérie et la polio. Cette information a pu être obtenue grâce à la loi sur la liberté d’information qui a été publiée ce mois-ci.

 

REACTIONS AUX MEDICAMENTS (Tableau ci-dessous)

 

Nombre total de rapports concernant des effets secondaires suspectés d’être associés aux vaccinations de routine, au cours de la période du 1/1/05 au 22/04/15

 

Dans la seule catégorie du vaccin HPV, le nombre des effets secondaires indésirables s’élève à 8.228. Parmi ces 8.228 cas, 2.587 ont été classifiés « graves » - selon plusieurs critères, y compris la nécessité d’hospitalisation ou le risque de décès.

 

Le MHRA a précisé que ces chiffres ne reflètent pas le nombre véritable d’effets secondaires en raison d’un « niveau inconnu et variable de sous-déclaration ». L’Agence estime qu’elle reçoit environ 10% de tous les rapports, ce qui suggère que le nombre réel des jeunes-filles souffrant d’effets secondaires pourrait atteindre des dizaines de milliers. L’Agence tient aussi à préciser que « plusieurs millions » de vaccins ont été administrés au cours de ce laps de temps sans que des problèmes aient été signalés.

Royaume-Uni: des milliers de jeunes filles victimes de la vaccination scolaire "contre le cancer du col de l'utérus"

« Chaque visite chez un médecin ne s’est jamais faite dans d’excellentes conditions » dit Madame Ryalls. «  Chaque évocation du vaccin HPV, nous valait l’hostilité et le ridicule. On nous a finalement orientées vers un pédiatre local. Celui-ci a fait comprendre à notre fille qu’elle devait un peu se bouger pour revenir à la normale – L’une de ses remarques concernant le total épuisement d’Emily fut celle-ci : «… Mais, nous nous sentons tous fatigués le matin, Emily ! »

 

Deux ans après être tombée malade, Emily a été envoyée chez le Dr Pradip Thakker du Centre Médical Queens à Nottingham. Ce médecin utilisait une table spéciale pour pouvoir diagnostiquer le syndrome de tachycardie orthostatique posturale. Dans ces cas, le déplacement de la position couchée à la position debout provoque un rythme cardiaque anormalement élevé.

 

A cette époque Emily n’était pas capable de suivre plus de trois ou quatre heures de cours par semaine. Madame Ryalls qui avait, à partir de rien, créé une maison d’édition, fut contrainte de fermer pour pouvoir s’occuper à plein temps d’Emily.

 

La Recherche sur le Cancer de Grande Bretagne souligne que le cancer du col de l’utérus est le deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes de moins de 35 ans. Au Royaume-Uni, 3.000 femmes par an reçoivent le diagnostic de cancer du col de l’utérus, et on estime que 400 vies pourraient être sauvées chaque année à la suite de la vaccination des filles avant qu’elles ne soient infectées par le papilloma virus humain.

 

Le NHS dit que le vaccin qui a été introduit dans le cadre du programme de vaccination de routine en 2008, protège contre les deux types de HPV qui causent 70% des cas de cancer du col de l’utérus. Le dépistage est cependant encore nécessaire pour pouvoir repérer des anomalies cervicales provoquées par d’autres types de HPV qui pourraient mener au cancer.

 

Depuis septembre 2014, les jeunes-filles n’ont reçu que deux injections. La seconde s’effectue de six à 24 mois après la première. Le NHS dit que le programme s’est montré « très efficace ». D’autres pays cependant prennent des mesures suite à l’augmentation du nombre de rapports de filles souffrant d’effets secondaires. Un documentaire danois qui a été présenté à la télévision en début d’année a mis en évidence le grand nombre de filles  qui semblent avoir été affectées après avoir reçu leur vaccin contre le HPV. Certaines d’entre elles, comme les filles que les Ryalls ont rencontrées au Royaume-Uni sont maintenant en fauteuil roulant.

 

L’année dernière, le Japon a retiré sa recommandation du vaccin contre le HPV à la suite des effets secondaires qui avaient été rapportés.

 

Dans un article publié la semaine dernière dans la revue « Springer Journal Clinical Rheumatology », le Dr Manuel Martinez-Lavin qui traite depuis plus de 30 ans des personnes souffrant de douleurs chroniques, a déclaré que ces maladies sont plus fréquentes après la vaccination contre le HPV ». Il écrit : «  La vaccination a été l’une des mesures de santé publique les plus efficaces dans l’histoire de la médecine. Il n’empêche que des réactions indésirables apparemment inexplicites ont été décrites après l’injection des nouveaux vaccins contre le papilloma virus humain (HPV).Il semble que les effets indésirables soient plus fréquents après cette vaccination qu’après d’autres types de vaccins. »

 

Le Dr Martinez-Levin a déclaré qu’il croyait que  le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, ainsi que la fibromyalgie figuraient parmi les maladies qui pouvaient se développer après la vaccination contre le HPV. Il pensait aussi que les cliniciens devaient être conscients de l’association possible entre la vaccination contre le HPV et le développement de ces symptômes douloureux difficiles à diagnostiquer.

 

Madame Ryalls et environ 80 familles qui se trouvent dans des situations similaires au Royaume-Uni sont en train de prendre des mesures. Elles ont formé l’association des filles dont la santé a été endommagée par le vaccin contre le HPV (AHVID) pour pouvoir rassembler les filles ainsi que leurs familles.

 

Madame Ryalls a déclaré : « Nous voulons que nos voix portent plus. Nous déployons beaucoup d’efforts pour créer des centres régionaux d’évaluation et de traitement, comme c’est le cas au Danemark et au Japon. Nous voulons que les effets indésirables puissent être plus facilement rapportés. Nous voulons une meilleure information, une plus grande transparence pour permettre aux parents de prendre des décisions véritablement éclairées au sujet de la vaccination contre le HPV. »

 

Madame Ryalls a aussi déclaré que l’AHVID souhaitait que les recherches s’intensifient et que s’améliore le traitement des filles qui n’est aujourd’hui pas suffisamment au point, car trop peu de médecins sont capables de repérer le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, ainsi que d’autres maladies auto-immunes.

 

« Je ne suis pas anti-vaccins » déclare Madame Ryalls, mais il reste des tas de questions en suspens. Je ne dirai jamais à personne de faire ce vaccin. Il s’agit là d’une affaire personnelle. Je voudrais surtout suggérer à chacun de faire ses propres recherches et de ne pas se contenter des brochures qui sont distribuées dans les écoles. »

 

Emily a tout fait pour pouvoir retourner à ses études. Elle étudie l’anglais et la photographie. Elle espère pouvoir poursuivre l’étude de la photographie à l’université.

 

Le MHRA a déclaré qu’il n’y avait guère de raisons de se soucier du nombre d’effets secondaires faisant suite au vaccin contre le HPV et que les bénéfices de la vaccination l’emportaient sur les risques connus.

 

L’Agence précise encore : «  la grande majorité  des rapports d’effets secondaires soupçonnés du HPV ont trait aux risques de la vaccination qui sont bien décrits dans la notice du vaccin. Le taux de déclaration des effets indésirables présumés n’ont pas nécessairement fait la preuve qu’ils étaient causés par le vaccin. Ces effets secondaires peuvent être influencés par de nombreux facteurs et devraient varier en fonction des vaccins. Le plus grand nombre de rapports concernant le vaccin contre le HPV ne signifie pas nécessairement qu’il est moins sûr que les autres vaccins.

 

« Les rapports concernant le syndrome de tachycardie orthostatique posturale sont maintenant étudiés par les régulateurs de l’UE. La maladie peut aussi se produire naturellement chez des adolescentes et, à l’heure actuelle, il n’y a pas suffisamment de preuves pour indiquer que le vaccin est en cause. Tout cela devra encore être étudié. »

 

Source: The Independent

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 13:25

« Nous les avons crus quand ils ont dit que le Gardasil était sans danger »

 

WDDTY, Juin 2015, relayé par SaneVax

"Nous les avons crus quand ils ont dit que le Gardasil était sans danger"

Depuis deux ans, Lotte Amit a connu une vie très difficile depuis qu’elle a fait le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Il est tragique de constater que son histoire fait partie d’un nombre sans cesse croissant de cas qui montrent que quelque chose ne tourne pas rond du tout avec ce vaccin.

 

Comme Charlotte (Lotte) Amit souffrait d’hyperthyroïdie, ses parents Sue et Ian avaient pensé qu’il était préférable de ne pas la faire vacciner. Mais leurs doutes se sont évanouis en partie quand ils ont reçu une lettre standard des services médicaux locaux qui demandaient que Lotte se fasse vacciner contre le cancer du col de l’utérus (HPV).

 

« Nous avons évidemment été très surpris de recevoir pareille lettre étant donné que Lotte n’avait que 15 ans et n’était pas du tout sexuellement active. J’ai voulu m’informer davantage, et on m’a dit que ce serait une garantie pour l’avenir. Nous avions totale confiance que cette vaccination était pour le plus grand bien de Lotte, qu’elle était sans danger, et que le médecin savait ce que contenait ce vaccin. », déclare Sue de St. Austell dans les Cornouailles.

 

C’est à l’automne 2012 que Lotte a reçu ses deux premières doses du vaccin. Après le second vaccin, Lotte a commencé à retourner ses mains dans tous les sens. Elle se plaignait de picotements dans les mains et dans les poignets. Cela lui rappelait les comportements qu’elle observait chez des enfants dont elle s’occupait.

 

Ce comportement bizarre n’a duré que quelques jours. Puis, en mars de l’année suivante (2013), ce fut le tour de la troisième injection. C’est deux jours plus tard que le cauchemar a commencé, explique Lotte. Trois ou quatre fois par jour, il lui arrivait de se rouler par terre en pleurant de mal  dans ses mains et ses pieds. Ses parents lui donnèrent des calmants, mais ceux-ci ont semblé n’avoir aucun effet.

 

Lotte qui avait toujours été une fille pleine d’énergie, a commencé à devenir léthargique. Elle ne savait pratiquement plus quitter son lit de toute la matinée. Ses règles s’arrêtèrent subitement. Elle commença à présenter des comportements obsessifs, compulsifs. Il suffisait d’un rien pour qu’elle ressente à nouveau des douleurs atroces dans ses mains et ses pieds. Les choses étaient parfois si terribles qu’elle sortait de la maison à toutes les heures du jour et de la nuit. Il lui est même arrivé une fois de sortir nue. C’est la police qui l’a finalement retrouvée alors qu’elle se cachait dans les bois.

 

Sue et Ian déclarent qu’il est « douloureusement évident » que c’est bien le vaccin contre le HPV qui est à blâmer.- Les parents ont fini par reconduire Lotte chez le médecin traitant qui lui avait administré les vaccins. « Il nous a tout juste dit de passer à autre chose », dit Sue. Comme ce médecin était convaincu que les problèmes de Lotte relevaient d’une forme d’hystérie, il l’a envoyée chez un psychiatre qui lui a prescrit des anxiolytiques, comme aussi du Risperdal (Risperidone).

 

Un soir, alors que Sue était couchée contre la poitrine de Lotte, elle remarqua que ses battements de cœur étaient irréguliers. A l’aide d’un moniteur de fréquence cardiaque, elle finit par réaliser qu’elle sautait 4 battements sur 10. Aux urgences, les médecins lui ont dit qu’elle avait un souffle systolique qui ne mettait pas sa vie en danger.

 

Les parents ont finalement emmené Lotte dans une clinique homéopathique. Le toxicologue leur a dit que le système nerveux de Lotte, de même que ses ovaires, ses reins et son foie étaient endommagés. Après un traitement de quelques mois, Sue a remarqué que l’état de santé de Lotte s’était grandement amélioré. Ce médecin a également conseillé à Lotte de boire de l’eau de source, en expliquant que le silicium de l’eau se liait à l’aluminium qui était un des ingrédients du vaccin. Après avoir bu plusieurs litres d’eau par jour pendant quelques jours, Lotte a vu réapparaître ses règles qu’elle n’avait plus eues depuis bien longtemps. Sue explique que « depuis qu’elle fut vaccinée, elle n’avait eu ses règles que trois fois en deux ans.

 

Sue a dû retirer Lotte de l’école juste trois mois avant ses examens, et a dû lui faire donner des cours à la maison. Elle a terminé son année avec un pauvre 5 et la mention « D » en science. En septembre dernier, elle a débuté à l’université, mais a dû quitter à cause des phobies qui lui prenaient quand elle entendait ses condisciples renifler. Lotte étudie maintenant l’histoire ancienne et l’archéologie classique à la maison.

 

Aujourd’hui, Lotte a 17 ans. Elle s’évertue à faire face à ses phobies. Sue estime que sa fille fait certains progrès, bien que personne ne sache si elle guérira complètement ou si elle sera, un jour, capable de fonder une famille. « Alors que nous avons été dans une grande colère en réalisant que la vie de Lotte avait été pratiquement ruinée par le vaccin Gardasil, nous nous voulons malgré tout reconnaissants qu’elle ne soit pas clouée dans un fauteuil roulant ou décédée. Car nous savons que ces malheurs ont touché beaucoup trop de jeunes-filles qui ont reçu le vaccin contre le HPV et auxquelles on avait dit que le vaccin était tout à fait sans danger. » 

 

Source : What Doctors Don’t Tell You www.wddty.com , relayé par SaneVax

Rapports d’effets secondaires des vaccins contre le HPV

 

Mise à jour des chiffres au mois d’AVRIL 2015

 

VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA

"Nous les avons crus quand ils ont dit que le Gardasil était sans danger"

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

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12 mai 2015 2 12 /05 /mai /2015 09:51

Le cœur brisé d’une maman

« Qu’est-ce qui est arrivé à ma fille ? »

Le cœur brisé d'une maman après le Gardasil: "qu'est-ce qui est arrivé à ma fille?"

Par Rhristina Rapley

 

L’édition d’avril 2015 du Woman’s Day Magazine de Nouvelle Zélande publie l’histoire d’une nouvelle survivante d’une nouvelle maladie « mystérieuse » apparue après l’administration du vaccin Gardasil. Il s’agit d’une histoire malheureusement trop familière pour des milliers de familles dans le monde.

 

On peut se demander combien de familles devront encore se joindre au club des « survivantes » avant que des recherches médicales et scientifiques ne soient entreprises pour déterminer la cause de ces maux et en établir des protocoles efficaces de traitement.

 

Aucun médicament n’est sûr pour tout le monde – les vaccins n’y font pas exception. Il s’agit que l’on s’occupe vraiment de ceux ou celles qui ont souffert des effets secondaires des vaccins et qu’on les traite d’une manière efficace. Le fait d’ignorer ces cas ne va pas les supprimer. [Sanevax, 6 mai 2015]

 

Après deux mois d’hospitalisation et des semaines de traitement ininterrompus, des essais, des tests, Deb a soudainement réalisé que sept mois plus tôt, sa fille avait, à l’école, reçu la première série de vaccins contre le HPV.

 

Le vaccin connu sous le nom de Gardasil est offert gratuitement par la Santé publique pour protéger contre le papilloma virus humain, une des causes principales du cancer du col de l’utérus. Ce vaccin comporte 3 injections séparées de 6 à 7 mois.

 

J’ai toujours fait partie du camp pro-vaccins et je n’ai pas réfléchi à deux fois avant de signer un document qui autorisait la vaccination chez ma fille. Je me suis moi-même battue contre le cancer du col. C’était donc pour moi une évidence.

 

Deb. a expliqué :

 

Kate qui avait toujours été une adolescente en parfaite santé et n’avait jamais mis les pieds dans un hôpital, est brusquement tombée très malade.

 

Après chacune des vaccinations, elle a dû être hospitalisée pendant trois semaines. La première fois, elle a attrapé un virus et fut paralysée des bras et des jambes. La seconde fois, elle a fait une pneumonie et la troisième fois son cerveau a commencé à gonfler lui provoquant une psychose.

 

Source : SaneVax

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2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 21:08

GARDASIL : quand notre cauchemar va-t-il se terminer ?

 

 

Par Martin, County Meath, République d’Irlande, avril 2015

 

Quand elle est entrée en secondaire, ma fille, Abbey était heureuse et en parfaite santé. Le 22 septembre 2014, elle a reçu les vaccins Gardasil et DTCa à l’école. Elle a fait une réaction immédiate. Pendant plus d’une heure elle est restée couchée par terre sur une natte pendant que les autres filles se faisaient vacciner.

 

Pendant tout ce temps-là, tout son corps a eu des secousses convulsives, sa vision était complètement trouble, ses globes oculaires allaient dans tous les sens, elle souffrait de maux de tête, de nausées etc. Une heure vingt plus tard, nous fûmes appelés par l’école pour venir reprendre notre fille. Aucune ambulance n’avait été appelée. Les administrateurs de l’école n’ont été informés que le lendemain de ce qui s’était passé.

 

Quand je suis arrivé à l’école et que j’ai demandé pourquoi on n’avait pas fait venir une ambulance, on m’a répondu que j’exagérais et que allait pouvoir s’arranger.

 

Le lendemain, sa maman et moi avons pensé qu’elle souffrait d’épuisement. Nous ne savions pas alors que notre cauchemar venait seulement de commencer.

 

Deux jours après avoir reçu le vaccin, Abbey a pu retourner à l’école mais y a fait une nouvelle crise. C’est alors qu’elle fut transportée par ambulance à l’hôpital de Drogheda où elle resta six jours.

 

Après avoir subi quantité de tests, une IRM, après que l’on ait longuement réfléchi à son cas, elle fut renvoyée à la maison sans diagnostic et sans médication. On nous a expliqué qu’il nous fallait nous habituer à la situation et y adapter nos vies.

 

Six mois plus tard, nous attendons toujours d’être reçus par un neurologue.

 

Pour le moment, Abbey ne sait plus se rendre à l’école à cause de ses problèmes de santé. Chaque jour est devenu un combat à cause du Gardasil. Chaque jour, elle nous dit qu’elle souhaiterait tellement que tout puisse s’arranger et qu’elle puisse retourner à l’école.

 

Nous n’avons reçu aucune aide, ni de l’école, ni des services de santé !

 

Ses problèmes de vue, ses douleurs thoraciques, ses troubles cérébro-vasculaires n’ont jamais cessé !! Les médecins n’ont pas arrêté de nous suggérer qu’il pouvait s’agir de problèmes de comportement et de crises de panique, mais en tant que parents, nous connaissons notre enfant depuis 13 ans ! Abbey n’a jamais eu de problèmes de comportement comme les médecins tentent de nous faire croire.

 

Nous avons pas mal abrégé notre récit pour ne pas ennuyer le lecteur, mais nous pouvons dire que notre cauchemar dure maintenant depuis 6 mois et nous ne savons pas combien de temps cette situation pourra encore durer. 

 

Source: SaneVax

Rapports d’effets secondaires  des vaccins contre le HPV

Mise à jour des chiffres au mois de MARS 2015

 

VAERS: Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA.

 

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

 

Voir aussi: Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

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1 mai 2015 5 01 /05 /mai /2015 09:22

LES VACCINS HPV : un documentaire danois

 

Par Norma Erickson, SaneVax

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

Le jeudi 26 mars, la télévision nationale danoise (TV2) a diffusé un documentaire sur les vaccins contre le HPV intitulé : « Les filles vaccinées – Des malades trahies ». Le documentaire traite principalement du cas de 3 jeunes filles qui souffrent de graves problèmes de santé après avoir été vaccinées avec le Gardasil. La seule chose que ces jeunes-filles ont en commun avec des milliers d’autres filles à travers le monde est le fait qu’elles étaient en parfaite santé avant de recevoir le vaccin, et que maintenant, elles sont gravement malades.

 

Ces trois jeunes filles ont été examinées de la tête aux pieds sans pouvoir obtenir un diagnostic concluant, et sans pouvoir obtenir une aide qui aurait pu soulager leurs symptômes, comme c’est aussi souvent le cas dans d’autres pays où les vaccins contre le HPV sont administrés.

 

Au cours du documentaire, deux médecins de l’hôpital Frederiksberg déclarent qu’ils n’ont jamais rien vu de semblable tout au long de leur carrière. Ces deux médecins déclarent avoir, l’an passé et, à quatre reprises, fait parvenir un courrier aux autorités médicales danoises, pour les avertir des effets indésirables possibles après l’injection des vaccins contre le HPV.

 

Le Dr Louise Brinth de l’hôpital Frederiksberg a personnellement examiné 80 jeunes-filles qu’elle soupçonne de souffrir des effets secondaires de la vaccination contre le HPV. Elle déclare : « elles ont toutes des vertiges, elles s’évanouissent et la plupart d’entre elles souffrent de graves maux de tête qui sont souvent chroniques. Elles se plaignent aussi de douleurs abdominales et de nausées. Elles présentent des mouvements musculaires bizarres qu’elles ne peuvent contrôler, et elles sont très fatiguées. »

 

Le directeur de la Santé, le Dr Henrik G. Jenson, est d’accord avec ce qui est dit, mais il tient à préciser : « oui, on observe bien des tendances, mais dire qu’il y a un rapport (avec le vaccin) ce n’est pas la même chose. Quand nous observons ces tendances présentées par les rapports, nous réalisons qu’il doit y avoir une base qui permettrait davantage d’explications pour pouvoir approfondir le problème. Maintenant, il y a le fait que ces vaccins ont été approuvés par l’Agence Européenne des Médicaments (EMA). Ce sont eux qui réalisent l’évaluation de la sécurité des vaccins. »

 

Avant la diffusion du documentaire,TV2 a demandé aux autorités de Santé danoises de fournir la divulgation complète de tous les documents relatifs au programme de vaccination contre le HPV au Danemark. Malheureusement, le Directeur Henrik G. Jenson et son personnel ont « oublié » de fournir à l’équipe de télévision toutes les informations ayant trait aux quatre avertissements qui avaient été adressés aux autorités de Santé par des professionnels de santé du pays.

 

Voir ci-dessous le documentaire danois avec sous-titrage anglais

« Les filles vaccinées - des malades trahies ».

Ce documentaire sur la vaccination HPV au Danemark a eu un énorme impact

 

Une page de Facebook qui a été fermée avait été créée pour les victimes présumées du Gardasil au Danemark. Ce groupe précisait avoir 398 membres avant que le documentaire soit diffusé. A peine deux semaines plus tard, le nombre des membres atteignait 938. Parce que chaque personne qui demande une adhésion est personnellement contactée par les administrateurs du groupe pour vérification, il y a aujourd’hui encore 40 autres personnes qui sont en attente de pouvoir adhérer au mouvement.

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

Tout à l’honneur des autorités danoises de Santé, il faut reconnaitre que ces dernières font un maximum d’efforts pour répondre de manière appropriée à la crise à laquelle elles sont confrontées au sujet du programme de vaccination contre le HPV.

 

Sur le plan de la Santé, le Danemark est divisé en cinq régions. Dans chacune de ces régions, les autorités ont établi des points de contacts pour pourvoir examiner le cas des personnes soupçonnées d’avoir réagi négativement au Gardasil. Jusqu’ici, il n’existe pas de protocole officiel pour examiner et traiter les personnes qui se présentent.

 

Les autorités sanitaires danoises se rendent compte que les effets secondaires sont extrêmement graves et veulent approfondir les recherches. Malheureusement, il faudra des mois, si pas des années de recherche pour découvrir ce qui s’est exactement passé chez ces jeunes-filles et on risque de ne pas trouver très vite des protocoles de traitement sans une coopération à l’échelle mondiale. Que vont entretemps devenir les survivantes ?

 

Le programme de vaccination contre le HPV ne devrait-il pas être interrompu jusqu’à ce que ces recherches aboutissent ?

 

Est-ce que les responsables de la Santé au Danemark vont vouloir risquer 2.500 effets secondaires graves pour 100.000 vaccinés, comme il est précisé dans les notices de Merck pour tenter d’éviter 12,1 cas de cancer du col utérin pour 100.000 ?

 

Les femmes danoises sont-elles prêtes à accepter pareils risques ? Est-ce que les danoises pensent qu’il est raisonnable de mettre en balance 2.500 cas de problèmes de santé potentiellement dévastateurs pour sauver 12 personnes sur 100.000 d’un diagnostic de cancer pourtant traitable ?

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

Le Gardasil a été introduit au Danemark en 2009. En 2008, la plus jeune femme qui est décédée d’un cancer du col de l’utérus au Danemark était âgée de 30 ans. Trois ans après l’introduction du Gardasil (2012), la plus jeune femme qui devait mourir du cancer du col avait seulement 20 ans. Comment cela se fait-il ?

 

      Portons notre attention sur le graphique suivant (situation au Danemark)

 

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

Pourquoi les cas de décès dus au cancer du col utérin ont-ils augmenté si rapidement après l’introduction du Gardasil ? N’est-ce pas là, sur le plan de la sécurité, un signal qui devrait pousser à entreprendre une enquête sérieuse ?

 

Une des études que Merck avait présentées à la FDA préalablement à l’approbation et à la commercialisation du vaccin avait montré que les personnes qui, avant la vaccination, avaient été exposées aux types de HPV repris dans le vaccin pouvaient avoir 44,6% plus de risques de recevoir un diagnostic de lésions précancéreuses. Est-ce que l’augmentation du taux de décès par cancer du col utérin ne pourrait pas être une indication que cette étude était tout à fait correcte ?

 

Les autorités sanitaires et politiques danoises doivent comprendre que ce qui s’est passé dans leur pays avec le Gardasil n’est pas du tout propre à leur seul pays. Tous les pays dans lesquels les vaccins contre le HPV sont utilisés connaissent des situations similaires. Il s’agit en fait d’un problème mondial.

 

Les vaccins constituent des interventions médicales sur des populations saines. Le principe de précaution doit absolument s’appliquer. Suspendre temporairement les programmes de vaccination contre le HPV jusqu’à ce que tous les problèmes de sécurité et d’efficacité soient résolus, ne peut relever que du bon sens le plus élémentaire.

 

Toutes les personnes qui sont les plus sensibles au risque d’événements indésirables graves doivent être identifiées, examinées et éliminées des programmes de vaccination contre le HPV. Les survivants actuels des dommages causés par le vaccin HPV doivent être identifiés, reconnus et doivent pouvoir bénéficier d’un traitement médical approprié.

 

Il faut que l’on arrête de sacrifier des enfants sur l’autel du « Plus Grand Bien ». Les profits ne doivent jamais prendre le pas sur la santé des enfants !

 

Source : Sanevax

 

Références additionnelles :

 

http://nyhederne.tv2.dk/samfund/2015-03-26-sundhedsstyrelsen-skjulte-vaccine-advarsler-for-tv-2

http://nyhederne.tv2.dk/samfund/2015-03-25-laeger-advarer-frygter-bivirkninger-ved-hpv-vaccine

Watch original Danish documentary here.

Common symptoms in Danish girls

http://eco.iarc.fr/EUCAN/CancerOne.aspx?Cancer=25&Gender=2

http://sanevax.org/fda-approved-gardasil-9-malfeasance-or-stupidity/

http://www.initiativecitoyenne.be/article-japon-le-ministere-retire-sa-recommandation-en-faveur-des-vaccins-hpv-gardasil-cervarix-118509090.html

 

Rapports d’effets secondaires  des vaccins contre le HPV

Mise à jour des chiffres au mois de MARS 2015

 

VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA.

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

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24 avril 2015 5 24 /04 /avril /2015 07:30

Vaccin Cervarix : 

«  Il m’est pénible de voir ma propre fille souffrir pareille agonie ! »

 

Par Lupita Carrillo, Mexico, SaneVax.org, 19 avril 2015

 

Valéria : « Je veux tout juste redevenir normale

 

Je m’appelle Lupita Carillo. J’habite dans l’état de Sonora au Mexique. Ma fille, Valeria, 11 ans était une fille normale, très athlétique jusqu’à ce qu’elle reçoive, le 29 mai 2014, la seconde dose du vaccin contre le papilloma virus humain, le Cervarix. Une semaine plus tard son état de santé s’est transformé. Elle a commencé à perdre ses forces dans sa jambe droite, puis dans sa jambe gauche. Essayer de marcher la faisait souffrir.

 

Nous avons décidé de consulter un médecin parce que je ne pouvais plus supporter de la voir dans pareilles douleurs et sans force. Jeudi, elle fut examinée par un médecin qui a pensé qu’il pourrait y avoir quelques problèmes avec son nerf sciatique ou quelque chose du genre. Il a suggéré de faire un examen par résonance magnétique et nous a orientées vers un spécialiste.

 

Le mercredi suivant, le spécialiste nous a envoyées chez un neurologue pédiatrique. C’est comme cela que Valérie a pu obtenir une prescription pour de la prednisolone.

 

Le lendemain à 14h.00, ma fille a été admise à l’hôpital. Le lendemain matin, elle était presque complètement paralysée. La seule chose qu’elle pouvait encore faire c’était bouger la tête. Elle resta paralysée pendant environ cinq jours. Il était évident qu’il fallait d’autres examens. On lui prescrivit plus de prednisolone, mais à des doses plus faibles.

 

En dépit du fait que jusqu’alors son diagnostic avait été une réaction du type Guillain-Barré potentiellement causé par le vaccin, les médecins ont refusé de faire une ponction lombaire. Ils ont rejeté les symptômes pourtant évidents et ont prétendu que ses problèmes étaient simplement dus à des troubles psychiatriques.

 

Je crois que ce « diagnostic » n’était en fait rien d’autre qu’une tentative pour éviter d’effectuer des tests qui auraient pu établir des liens entre l’état de santé de Valeria et l’administration du Cervarix. Je me suis sentie abandonnée par le système médical qui était censé s’occuper de ma fille pour la maintenir en bonne santé.

 

Au cours de ma recherche désespérée d’un remède à l’état de santé de Valeria, je l’ai emmenée chez un médecin privé qui a prescrit des injections périodiques d’immunoglobuline humaine, un traitement très coûteux que les services de santé ont refusé d’administrer.

 

Ma fille a été en thérapie physique pendant environ 6 mois et n’a toujours pas reçu de diagnostic précis. Elle éprouve des problèmes de régulation de température. Elle a toujours des palpitations cardiaques, de la faiblesse et des tremblements dans les bras et les jambes. Elle souffre sans arrêt. En raison de sa tachycardie, les médecins ont jugé qu’un moniteur Holter lui était nécessaire. On effectua aussi une nouvelle analyse de sang pour rechercher les métaux lourds, ainsi qu’une électromyographie. Les deux examens ont montré que les résultats étaient normaux.

 

Je ne parviens pas à décrire ce que peut représenter le fait de voir sa propre fille vivre sans arrêt pareille agonie. Pendant longtemps, j’ai pensé que les services médicaux de Mexico nous avaient abandonnés. Il avait fallu presqu’un an pour qu’ils s’engagent vraiment à essayer de trouver des réponses aux problèmes de santé de ma fille. Dans l’intervalle, Valérie  a développé de nouveaux symptômes. Elle souffre maintenant d’une limitation de son champ visuel et de dysautonomie. Elle est actuellement sous traitement pour ces problèmes. Elle souffre encore de sa hanche gauche et de la paralysie flasque de la jambe. Pour ces problèmes, les médecins ont prescrit du Tylenol.  Elle a maintenant besoin d’une canne pour pouvoir marcher seule. Elle est fortement affectée par le froid et certains jours, elle n’arrive pas à tirer son plan elle-même. Son état me fait peur et je suis remplie de doutes.

 

Toute ma vie a changé après le Cervarix

 

Tout ce que je veux, c’est trouver des réponses et des traitements appropriés pour les problèmes de santé de ces filles. Il faut absolument que leurs conditions de santé soient reconnues et traitées adéquatement. Expliquer leur état en prétendant qu’elles souffrent de troubles psychiatriques, c’est vouloir cacher leurs problèmes sous le tapis, comme dit le proverbe, et la chose est inacceptable.

 

Ma fille et moi-même voulons retrouver la vie que nous avons connue avant ce Cervarix. Ce n’est sûrement pas trop demander.

 

On peut lire l’article dans son entièreté sur SaneVax.org

 

Source: Health Impact News

Rapports d’effets secondaires  des vaccins contre le HPV

 

Mise à jour des chiffres au mois de MARS 2015

VAERS : Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA

La maman de Valeria, victime du vaccin Cervarix: "il m'est pénible de voir ma fille vivre pareille agonie!"

P.S. Seuls 1 à 10% des effets secondaires seraient généralement rapportés

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13 mars 2015 5 13 /03 /mars /2015 08:23

Le Pr Lee est un médecin pathologiste américain. Il explique dans cette interview plusieurs données importantes, tant pour les victimes qui doivent constituer leur dossier dans le cadre d'une procédure judiciaire que pour les personnes et les familles désirant éviter de devenir victimes à leur tour du vaccin anti-HPV Gardasil:

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5 mars 2015 4 05 /03 /mars /2015 15:04

Gardasil : l'impatience des familles face au silence judiciaire

 

En France, depuis fin 2013, 49 jeunes filles, qui estiment être victime de graves effets indésirables apparus à la suite de leur vaccination par le Gardasil, ont déposé plainte au pénal. Quinze mois plus tard, l’enquête préliminaire est toujours en cours et aucun juge d’instruction n’est nommé. Et les familles attendent.

 

En novembre 2013, la première plainte à l’encontre du vaccin Gardasil relançait le débat sur la vaccination contre le cancer du col de l’utérus. Dans les mois qui ont suivi, d’autres plaintes sont venues s’ajouter au dossier, avant que l’affaire ne soit transmise en décembre 2013 au pôle de Santé publique du Tribunal de Grande Instance de Paris. Mais aujourd’hui, plus d’un an après les premières plaintes, aucun Juge d’instruction n’a été saisi du dossier. L’enquête préliminaire, conduite par le Parquet, paraît s’éterniser. Une attente difficile pour les familles qui portent plainte. "Je n’ai aucune nouvelle et je ne sais pas si l’enquête avance, nous confie Laurène, l’une des jeunes filles défendue par Me Camille Kouchner. C’est long, très long ! J’attends qu’un Juge d’instruction soit nommé. Mais j’ai l’impression de ne pas être considérée. Est-ce que la plainte va aboutir ? Je ne sais pas, je ne suis au courant de rien, c’est ça le plus compliqué, c’est cette attente…" Aujourd’hui, âgée de 25 ans, la jeune femme souffre d’une maladie de Verneuil, une affection de la peau très handicapante, en raison des abcès qui apparaissent au niveau des plis du corps (aine, aisselles, pubis…). Une maladie qu’elle a déclarée en 2008, seulement trois semaines après l’injection du vaccin. Elle était alors une adolescente lambda sans souci de santé. Elle vit désormais au rythme des soins médicaux pour soigner ses boutons et abcès. "Plus question de me mettre en maillot et d’aller à la plage !". Alors aujourd’hui, elle voudrait comprendre. "Aucune étude à grande échelle n’est menée sur les effets indésirables à long terme du Gardasil et en particulier sur la maladie de Verneuil. Il y a aussi beaucoup d’incertitudes sur la composition du vaccin…  A force, je me pose même des questions sur l’indépendance de la Justice…"

 

Un avis partagé par la maman d’une autre jeune fille, Julie, dont l’histoire ressemble étrangement à celle de Laurène : vaccinée en 2008, l’adolescente commence à souffrir d’un abcès sous l’aisselle, seulement 15 jours après sa vaccination par le Gardasil. Deux mois après, le diagnostic tombe : maladie de Verneuil. Aujourd’hui, elle ne cache pas son exaspération. "On est lassées. On sait que le dossier n’est pas à la poubelle. Mais on attend une réponse de la justice et ça ne vient pas. On aimerait que nos filles soient traitées comme des êtres humains et qu’on s’intéresse à elles. C’est long et d’autant plus que le temps judiciaire n’est pas le même que le nôtre. On a l’impression que nos gamines sont oubliées, négligées… Elle évoque aussi les difficultés rencontrées face à des professionnels de santé, souvent peu compréhensifs. Vous savez, je ne suis pas du tout contre la vaccination, mais j’en ai assez d’être prise pour une hystérique… On a juste besoin d’une reconnaissance, de ne plus être montrées du doigt…"

 

Face à cette impatience, le Parquet de Paris est peu disert : "l’enquête est toujours en cours, plutôt en voie d’achèvement. Cela prend du temps parce qu’il faut analyser toutes les données médicales. C’est un travail minutieux..." Reste que pour une affaire de santé publique de cette nature, la peur que l’affaire soit étouffée, est compréhensible. Quinze mois sans réponse, c’est long.

 

Gardasil, un vaccin controversé. Depuis sa mise sur le marché en 2006, le Gardasil, essuie de violentes critiques. Il existe en effet un certain nombre de zones d’ombres autour de ce vaccin qui protège contre les papillomavirus, des virus sexuellement transmissibles (HPV 16 et 18) et potentiellement cancérigènes. En premier lieu, les preuves de son efficacité ne seraient pas suffisamment probantes au regard du manque de recul. C'est en tout cas, l'un des arguments pointés par un collectif de médecins signataires d'une pétition en mars 2013 pour réclamer une "mission parlementaire sur l'opportunité de la vaccination" contre ce cancer. Au total, plus de 700 médecins, connus pour leur indépendance vis-à-vis de l'industrie pharmaceutique, remettent ainsi en cause la vaccination contre le cancer de l'utérus, qui cause chaque année en France environ 1000  décès. Autre point de discussion, le Gardasil est un vaccin onéreux (123 euros l’injection) et remboursé à 65 %, donc source d'une dépense lourde pour l'Assurance maladie. En octobre 2012, la Cour des comptes évoquait dans un rapport un vaccin "inapproprié", avant de conclure que "la priorité devrait être donnée à l'organisation du dépistage par frottis". Ce test de dépistage permet de détecter les lésions précancéreuses et cancéreuses du col afin de les traiter le plus tôt possible afin d’éviter qu’elles n’évoluent en cancer. Grâce au frottis, la mortalité liée au cancer du col de l’utérus  a été réduite de moitié en l’espace de 20 ans. Un dépistage systématique et organisé pourrait même permettre d'atteindre "en quelques années une couverture de dépistage de 80 % des femmes et ainsi de réduire de plus de 20 % le nombre de décès", explique l’Institut national du cancer (Inca). Pourtant, malgré l’efficacité du frottis, les recommandations de la cour des comptes et les alertes répétées de scientifiques, les autorités de santé n’envisagent aucunement d’abandonner la stratégie vaccinale. Bien au contraire, dans un contexte où les jeunes filles françaises semblent bouder la vaccination (moins de 30 % sont vaccinées), l’objectif est de "doubler la couverture vaccinale d’ici cinq ans", dixit François Hollande à l’occasion du lancement du 3e plan cancer. De son côté, l’OMS préconise dorénavant de vacciner les jeunes filles, entre 9 ans et 13 ans, avant qu’elles ne soient "sexuellement actives". Une position qui rejoint celle du Haut Conseil de la santé publique, qui avait estimé en septembre dernier que le vaccin devait être proposé aux petites filles, en milieu scolaire.

 

Du côté de Merck, le laboratoire qui commercialise le Gardasil, on surfe sur ces divers soutiens. Une nouvelle version du vaccin, le Gardasil 9, vient d’être autorisée par l’Agence américaine du médicament (FDA). Selon une étude menée par le laboratoire Merck et publiée dans le New England of Medecine, le vaccin protégerait contre 9 souches de HPV et élargirait ainsi la protection contre le cancer de l’utérus de 70 % à 97 %, éliminant ainsi quasi totalement ce cancer chez les femmes vaccinées. Avec toujours un encouragement à faire vacciner les petites filles dès l’âge de 9 ans… mais aussi les jeunes garçons.

 

Source : Le Journal des femmes

 

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18 février 2015 3 18 /02 /février /2015 22:21

GARDASIL :

 

« Je pensais avoir fait suffisamment de recherches – J’avais tort »

 

Par Kleren, County Louth, République d’Irlande, 7 février 2015

 

Ma fille Laura vient d’avoir 17 ans. Elle est sans aucun doute une nouvelle fille dont la vie a été ruinée par le vaccin Gardasil contre le HPV.

 

Quand Laura a rapporté le formulaire de consentement qui lui avait été remis à l’école en 2010, je l’ai lu complètement. J’ai aussi pris la peine de consulter le site de l’organisation mondiale de la santé (OMS) pour m’informer quelque peu au sujet de ce vaccin du fait qu’en Irlande c’était nouveau et que je n’avais pas beaucoup d’information à ce sujet.

 

Après avoir lu leur information, de même que celle qui était fournie par nos services de santé, je me suis non seulement sentie rassurée à propos de la sécurité de ce vaccin, mais j’ai aussi compris qu’il s’agissait d’une chose importante pour « ma petite fille », comme pour sa santé future. J’avais stupidement pensé que tous les détails bons et mauvais avaient été repris sur l’information écrite pour permettre aux parents et aux filles de pouvoir faire correctement leurs choix éclairés.

 

Il ne faut pas oublier que la promotion de ce vaccin avait été faite par l’école, par le Département de l’Education Nationale, par le Service Exécutif de la Santé en Irlande (HSE) de même que par l’OMS. Il était donc compréhensible que nous ayons pu penser que ce vaccin devait être bon pour tous nos enfants. Il était certain que ces organisations respectables n’auraient pu se permettre de prendre le moindre risque avec la vie et la santé de notre génération. J’étais donc satisfaite. J’avais fait ma propre recherche et avais pris toutes les précautions nécessaires.

 

Le jour où Laura reçut son premier vaccin, comme après les deux autres injections qui ont suivi, je fus appelée à l’école parce que Laura se sentait faible. D’une certaine manière, je pouvais m’y attendre parce que Laura avait toujours eu peur des aiguilles. En fait, j’aurais dû lui parler plus clairement des vaccins et de leur utilité pour la convaincre de passer outre la crainte de l’aiguille. Ce jour-là, il y eut aussi pas mal de discussions alarmistes parmi les étudiants. C’est la raison pour laquelle j’ai pris pour acquis que c’étaient toutes ces choses qui avaient soulevé l’anxiété des filles et faire en sorte que certaines se sentaient faibles ou pas très bien.

 

L’infirmière qui avait fait les vaccins me suggéra de ramener ma fille à la maison, de lui permettre de se reposer, et que tout finirait pas s’arranger.

 

Dans les mois qui ont suivi, Laura me téléphonait de l’école en se plaignant de ne pas se sentir bien, d’avoir des faiblesses et des vertiges.  Nous avons pensé que tout cela était dû à ses menstruations bien que ses « périodes » n’avaient posé aucun problème auparavant. Le médecin de famille finit par prescrire un médicament. Mais malgré tout, Laura continuait de se sentir tout le temps fatiguée. Sa mémoire à court terme et sa concentration se détérioraient. Pour la première fois, elle a commencé à éprouver des intolérances alimentaires, en particulier par rapport à la levure, au gluten et aux produits laitiers. Elle a aussi commencé à souffrir de troubles visuels et de sensibilité au bruit. Ses muscles lui faisaient mal. Elle éprouvait aussi des douleurs articulaires. Il lui fut incapable de continuer à faire du sport.

 

Avant que tout cela n’arrive, Laura jouait basket bal pour le groupe « les Dames de Drogheda » et l’équipe de son école. Elle aimait faire du Kayak pendant les week-ends et pendant les vacances scolaires. Elle était alors en super forme, très active et heureuse. Toutes ces activités extra scolaires et sociales sont aujourd’hui devenues impossibles pour elle.

 

Même ses meilleurs amis  ont cessé de l’appeler parce que, de toute manière, elle n’avait pas la force de sortir avec eux. La vie que Laura avait connue était en train de changer petit à petit. Pour mettre les choses en perspective, ma mère qui avait dans les 80 ans, avait des activités à l’extérieur pendant que Laura passait ses journées allongée sur son lit. A plusieurs occasions, nous avons dû nous servir de la chaise roulante de maman quand Laura n’avait plus la force de marcher. Il était évident pour tout le monde que quelque chose n’allait vraiment pas.

 

Nous avons multiplié les visites chez notre médecin traitant ; bien que ces visites se soient espacées quand Laura est devenue plus âgée. Personne ne semblait avoir la moindre idée de ce qui se passait. Les tests succédaient aux tests. Les analyses sanguines avaient été approfondies au maximum. Le prélèvement de tous les échantillons possibles et imaginables n’avait donné aucun résultat. Tout revenait négatif, comme si Laura était en parfaite santé. En conséquence nous ne recevions aucune aide, aucun conseil, aucun médicament aucun supplément alimentaire. Chaque fois, nous rentrions à la maison dégonflés, désespérés, déçus.

 

J’étais à ce point stressée et inquiète que je ne pouvais plus dormir. En plein milieu de la nuit je me retrouvais devant Google pour chercher des réponses. Nuit après nuit, je me creusais la cervelle pour essayer de comprendre ce qui était arrivé. Quand tout cela avait-il commencé à mal tourner et pourquoi ?

 

Je ne sais pour quelle raison, mais ce n’est qu’au début de l’année 2012 que j’ai commencé à penser à la vaccination contre le HPV. Était-il vraiment possible que le vaccin à propos duquel j’avais réunis tellement d’éléments rassurants, soit la cause de tous les problèmes de santé de Laura ? Avant que tout cela n’arrive, Laura avait toujours été en excellente santé. Rejeter tout ce qui s’est passé après les injections, était-ce vraiment de la folie ?  J’ai au contraire finalement pensé que tous les éléments se mettaient maintenant en place : l’époque à laquelle elle a reçu ses vaccins, l’apparition des symptômes, etc.

 

Dès que je fis part de mes soupçons à notre médecin de famille, ce dernier écrivit une lettre à un pédiatre consultant. J’ai pu obtenir une entrevue. Il ne fallut pas cinq minutes de discussion pour que ce pédiatre me précise que mes craintes étaient non fondées et me rassure une nouvelle fois en me disant qu’il s’agissait d’un vaccin très sûr. Il a posé le diagnostic ME/CFS et a expliqué à Laura qu’elle irait beaucoup mieux dans six mois.

 

Dieu merci, avons-nous pensé. C’est enfin la lumière au bout du tunnel et une merveilleuse nouvelle – il ne s’agit heureusement pas d’un effet à long terme du vaccin. […]

 

Les six mois étaient passés et on se rapprochait des douze mois alors que la santé de Laura ne s’était toujours pas améliorée. En fait, en septembre 2013, Laura n’était plus capable de fréquenter l’école sauf de temps en temps pour une demi- journée ou quelques cours à la fois.

 

Les semaines passaient et Laura était toujours allongée sur son lit, épuisée parce que son sommeil n’était nullement réparateur. Elle souffrait beaucoup et savait à peine communiquer. Les semaines sont devenues des mois. Elle ne circulait pratiquement plus dans la maison et passait le plus clair de son temps au lit. Quand elle était au plus mal,  j’ai un jour vu que son jeune frère Conor la nourrissait à la cuiller parce qu’elle n’avait plus la force ni l’énergie de se nourrir par elle-même. On aménagea un lit d’appoint dans la chambre de son frère parce qu’elle se sentait terriblement seule et craignait fortement cette solitude.

 

Pendant ce temps, j’ai poursuivi mes recherches sur le ME/CFS. Nous avons essayé divers suppléments alimentaires pour pouvoir lui venir en aide. Mais tous ses symptômes ne correspondaient pas au ME/CFS.

 

La vaccination contre le HPV n’a cessé de me revenir à l’esprit comme étant la cause possible de tous ses problèmes. Une nuit, j’ai tapé « dommages dus à la vaccination contre le HPV » - le mot « dommage » me paraissait le mot le plus adéquat. Cette recherche me conduisit à des centaines d’articles et de sites qui traitaient de graves effets secondaires, parfois à long terme de la vaccination HPV et en particulier du Gardasil, le vaccin que Laura avait reçu.

 

Devant moi, sur mon écran, j’ai pu voir des milliers de filles qui, comme ma Laura, présentaient les mêmes symptômes causés par la vaccination contre le HPV, certains de ces symptômes étaient pires ; certaines filles étaient déjà mortes. J’ai à peine le courage de lire ces histoires tant je les trouvais pénibles ; J’ai pleuré comme je n’ai jamais imaginé pouvoir pleurer.  Chaque jour, je ressens une culpabilité incommensurable pour avoir signé ce formulaire de consentement.

 

Il y a maintenant quatre ans que Laura a reçu son vaccin Gardasil. Grâce à l’information que nous avons pu obtenir d’autres jeunes-filles dont la santé avait également été endommagée par le vaccin et grâce à leurs familles, Laura a pu faire quelques progrès.

 

Elle suit un régime très strict et essaye de désintoxiquer son corps des métaux lourds qui se trouvaient dans les vaccins. Elle a des séances d’acupuncture ; elle prend de la vitamine B12 et elle sent que ces mesures lui font du bien. Elle a aussi pu trouver d’excellentes marques d’Oméga 3 qui l’aident beaucoup.

 

Laura nous dit qu’elle se sent mal quand elle repense à l’époque où on l’a appelée pour faire les premières injections. Mais qui pourrait lui en vouloir, Nous prions Dieu qu’elle puisse récupérer de toutes ces souffrances. Il n’empêche que le Gardasil lui a volé toutes ces années, comme toutes les expériences qu’elle aurait pu avoir et qui ne reviendront jamais plus.

 

L’une de ses inquiétudes c’est sa fertilité. Beaucoup d’autres filles ont connu une insuffisance ovarienne dès l’âge de 16 ans.

 

En ce qui concerne le futur de Laura, les choses ne sont pas claires. Elle a, bien sûr fait quelques progrès. Elle termine son école secondaire en continuant à manquer de nombreux cours. Elle doit même régulièrement s’absenter pendant plusieurs jours d’affilée. Chaque semaine, elle essaie de privilégier les cours dont elle a absolument besoin pour pouvoir éventuellement rattraper quand elle se sentira mieux. Elle tient beaucoup à avoir les meilleurs points possibles.

 

Au stade où nous en sommes, elle pense qu’elle devrait reporter ses études de quelques années. C’est à nouveau un coup très dur, mais Laura se plaint rarement ; elle fait tout pour rester réaliste et optimiste, car elle ne veut pas voir que je me fasse du souci.

 

Au travers de cette horrible expérience, nous avons rencontré des gens très bien et très bons qui ne demandaient qu’à nous venir en aide et qui ont manifesté un tout grand intérêt pour Laura. Malheureusement, personne n’a, jusqu’ici, pu nous montrer le chemin de la guérison.

 

Nous espérons que, grâce à l’histoire de notre expérience, nous parviendrons à aider d’autres personnes, comme aussi à nous aider mutuellement.

 

Source : SaneVax

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