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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:24

15.10.09 - 12:24


La campagne de vaccination contre la grippe A/H1N1 commencera lundi, pour le personnel médical tout d'abord. Cette campagne volontaire et gratuite est tout de même contestée par un collectif de citoyens, qui a décidé d'assigner l'Etat en justice.


Le collectif Initiative Citoyenne, c'était d'abord trois ou quatre personnes qui demandaient des informations au gouvernement sur ce fameux vaccin. Aujourd'hui, ils sont plus de mille à vouloir arrêter la machine, en urgence.


Leur avocat Georges Henri Beauthier assigne ce matin l'Etat belge. Il explique: "Mes clients ont décidé de lancer cette assignation, pour arrêter véritablement ce train dans le brouillard. Vous savez que des associations de médecins ont parlé de gestion chaotique, de cette propagande du vaccin. Nous demandons à un tribunal d'arrêter cette campagne, aussi longtemps que la population n'aura pas été informée, aussi longtemps que mes clients n'auront pas été informés sur les effets de ce vaccin".


Les premiers vaccinés, lundi, serviront de cobayes, dit encore le collectif. Et l'enregistrement des patients, prévus sur la plateforme électronique e-health, est carrément une atteinte à la vie privée.


(D'après M. Delporte)


Source: RTBF INFO

 

Texte de la citation en référés ICI

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:19

Les médecins font de la résistance

 

RICARDO GUTIERREZ

mardi 13 octobre 2009, 09:15

 

Le mot d'ordre aux médecins est « formel » : ne pas procéder à l'enregistrement des vaccinations contre la grippe A/H1N1. L'Association belge des syndicats médicaux (Absym) est prête à défendre les médecins qui subiraient « des menaces ou des sanctions ». Plus mesuré, le Groupement belge des omnipraticiens (GBO) regrette les conditions imposées aux généralistes, « dans une précipitation manifeste ».

 

Au moment même, lundi, où le collectif Initiative citoyenne annonçait son intention d'introduire toutes les actions judiciaires qui s'imposent, face à la campagne de vaccination, les syndicats médicaux appelaient leurs membres à faire de la résistance, en s'abstenant de procéder à l'enregistrement centralisé des vaccinations.

 

Le 29 septembre, la ministre fédérale de la Santé, Laurette Onkelinx (PS) annonçait une vaccination « sur base volontaire et gratuite ». D'abord à destination du personnel des hôpitaux, puis des groupes « prioritaires » : dispensateurs de soins, personnel de santé, patients à risque (diabétiques, asthmatiques, insuffisants rénaux…), femmes enceintes, parents d'enfants de moins de 6 mois, personnel des crèches et des écoles.


La ministre demandait que chaque personne vaccinée soit enregistrée par le biais de la plateforme électronique e-health, qui trouve là son premier usage de masse. C'était sans compter sur les syndicats médicaux. Ils appellent leurs membres à opérer les vaccinations qu'ils jugent nécessaires, mais à ne pas les encoder via e-health. Aux yeux du Dr Roland Lemye (Absym), le gouvernement, par cette procédure, « viole la confiance des patients et la confidentialité des données médicales ». Au GBO, le Dr Philippe Vandermeeren suggère à ses confrères de procéder à l'enregistrement dans le dossier médical du patient, « afin que le médecin reste dépositaire de l'information, faute d'obtenir les garanties nécessaires sur la confidentialité du traitement des données via e-health ».


Jeudi, le dossier sera à l'ordre du jour de la Chambre, appelée à voter la loi de pouvoirs spéciaux qui légaliserait a posteriori une série de mesures engagées par le gouvernement… Ecolo annonce un amendement afin d'éviter le risque de passer de la politique actuelle de volontariat à une vaccination obligatoire, alors même que l'efficacité du vaccin et son innocuité restent controversées…


Le 30 septembre, le Dr Reynders, coordinateur de la cellule influenza, révélait que les autorités sanitaires avaient initialement prévu une vaccination obligatoire de l'ensemble de la population, en réquisitionnant les bureaux de vote… « Nous n'en sommes plus là, commente Georges-Henri Beauthier, l'avocat d'Initiative citoyenne. Mais il y a pire, l'Europe estimant que les Etats membres peuvent exempter de toute responsabilité civile les fabricants et les médecins qui administreront ce vaccin expérimental. Inquiétante dilution des responsabilités ! »

Source: Le Soir

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:16

Huisartsen vrezen dat ze zelf verantwoordelijk gesteld kunnen worden als er complicaties optreden bij het toedienen van het vaccin tegen Mexicaanse griep. Dat schrijft De Morgen.

Het vaccin tegen Mexicaanse griep moest in snel tempo ontwikkeld worden, en daarom werd de testprocedure ingekort. "Er zijn huisartsen die nogal sceptisch staan tegenover het vaccin", zegt Rufy Baeke van het Syndicaat van Vlaamse Huisartsen. "Het is met spoed getest, en de mogelijke bijwerkingen zijn niet helemaal duidelijk. Maar als er problemen van komen, hebben de huisartsen het gedaan, zo wordt gevreesd."

Marc Van Ranst van het Commissariaat Influenza stelt dat de kritieken onterecht zijn. "De richtlijnen zijn duidelijk gecommuniceerd en dat zullen we blijven doen. Wie vreest voor juridische problemen kan zich steeds beroepen op het feit dat het vaccin is goedgekeurd door de Belgische en Europese controleorganen." (belga/adv)


bron: De Morgen

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:10

grippe A (H1N1)

 

Les médecins craignent un vaccin anti-grippe mal testé

 

BELGA

Mis en ligne le 09/10/2009


Les médecins craignent de devoir endosser eux-mêmes la responsabilité des éventuelles complications qui pourraient subvenir après l'administration d'un vaccin anti-grippe H1N1, apprend-on vendredi à la lecture de De Morgen.
 
Ce vaccin a été mis au point très rapidement et, de ce fait, la procédure de test a été raccourcie.
 
"Certains médecins sont sceptiques par rapport à ce vaccin", explique Rufy Baeke, du syndicat des médecins flamands. "Il a été testé à la va-vite et les éventuels effets secondaires n'ont pas été bien cernés".

 

Marc Van Ranst, du Commissariat Influenza, estime cette critique non-fondée. "Les directives ont été clairement communiquées et on va continuer à le faire. Celui qui craint des suites judiciaires pourra toujours se référer au fait que le vaccin a été autorisé par les autorités compétentes, en Belgique et en Europe".


source: La Libre
 

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 21:07
Un plan grippe nuisible aux libertés ?

 

GUTIERREZ,RICARDO

Jeudi 24 septembre 2009

Santé

Un collectif citoyen s’inquiète des pouvoirs spéciaux accordés à l’exécutif

Ce n’est plus la grippe pandémique qui inquiète, mais l’arsenal antigrippe que déploie le gouvernement fédéral… Les parlementaires, qui sont appelés à se prononcer sur le projet de loi accordant des pouvoirs spéciaux au Roi pour lutter contre la pandémie, vont recevoir un courrier d’un groupe de citoyens, notamment des médecins et des infirmières. Dans leur ligne de mire : la perspective – éventuelle – d’une vaccination obligatoire contre la grippe A/H1N1.


Ces mêmes citoyens s’étaient déjà inquiétés, le 2 septembre, des risques liés au vaccin et de l’éventualité de voir le gouvernement mettre en place une loi d’exception qui l’autoriserait à prendre toute mesure nécessaire face à la pandémie, sans passer par le Parlement… C’est précisément la teneur du projet de loi voté, mardi, par la Commission de la Santé de la Chambre (lire ci-contre). Un texte qui sera soumis à la séance plénière de la Chambre, le 1er ou le 22 octobre.


« Cette loi accorde effectivement la possibilité au gouvernement de prendre des mesures rapides pour protéger la population , réplique Muriel Gerkens. Des dispositions sur la délivrance des médicaments, la possibilité de réquisitionner des infirmières, des aides-soignantes, etc. Et puis, c’est vrai, la possibilité d’intervenir en urgence en prenant d’autres mesures sans aval parlementaire, mais à condition qu’elles soient délibérées en Conseil des ministres, après avis positif des comités scientifiques. Ceci dit, cette latitude n’est accordée que pour une période limitée de six mois, au plus tard jusqu’au 31 juillet 2010. »


« Cette application du principe de précaution apparaît tout de même gonflée à partir du moment où la plupart des patients affectés par la grippe pandémique ne présentent pas de complications et guérissent spontanément commente l’avocat des citoyens en colère, Georges-Henri Beauthier. Nous avons le net sentiment que les décideurs politiques sont tétanisés par un risque très théorique, qui les incite à prendre des dispositions particulièrement attentatoires aux libertés. »


Au nom de ses clients, Me Beauthier vient d’adresser un courrier de neuf pages à l’ensemble des parlementaires fédéraux, pointant les informations contradictoires qui circulent sur les risques que présente la vaccination, notamment par la toxicité avérée des adjuvants, ces substances qui améliorent l’efficacité du vaccin.


Mercredi dernier, des professionnels français de la santé demandaient que « les preuves scientifiques soient fournies démontrant que cette vaccination est nécessaire et sans danger, notamment pour les femmes enceintes et les jeunes enfants ».


« A priori, nous n’envisageons pas, en Belgique, de campagne de vaccination obligatoire, réplique Muriel Gerkens.  Les vaccins ne seront d’ailleurs administrés que s’ils reçoivent l’aval de l’Agence européenne pour l’évaluation des médicaments (NDLR : décision attendue pour la semaine prochaine) et de son homologue belge. Il est vrai que certains des adjuvants sont toxiques. Nous comptons interpeller le gouvernement sur la question, la semaine prochaine, mais cela ne doit pas nous empêcher de prendre les mesures de précaution qui pourraient s’avérer nécessaires.»


Le plan national de lutte contre la grippe continue à déployer son arsenal… Mercredi, un groupe de travail du Commissariat national Influenza recommandait aux patients de maladies inflammatoires chroniques, comme l’arthrite, les maladies inflammatoires intestinales et le psoriasis, de se faire vacciner.


Tous les patients qui appartiennent à ces « groupes à risque » seront vaccinés gratuitement contre la grippe A/H1N1. Dès que le vaccin sera disponible.
 

source: Le Soir

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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 20:47

Elisabeth Guigou : "La grippe est un prétexte à des lois d'exception"

 

NOUVELOBS.COM. 08.09.2009. 
 
 
L'ancienne garde des Sceaux estime que "la circulaire secrète" qui prévoit en cas de pandémie certaines mesures qui limitent le travail judiciaire, est en "contradiction flagrante" avec la Constitution.
 
L'ancienne garde des Sceaux socialiste, Elisabeth Guigou, a réagi vivement mardi 8 septembre au plan gouvernemental pour la justice en cas de pandémie de grippe A. Elle juge que la grippe est devenue un "prétexte à des lois d'exception" qui "nient les principes démocratiques", s'appuyant sur une "circulaire secrète" qui prévoit, en cas de pandémie, des "mesures en contradiction flagrante" avec la Constitution. Elisabeth Guigou indique dans un communiqué que "cet été, par une circulaire secrète aux présidents et procureurs généraux des cours d'appel, le gouvernement a prévu, en cas de pandémie de grippe H1N1, une série de mesures en contradiction flagrante avec les principes de notre Constitution et nos engagements internationaux". La députée PS de Seine-Saint-Denis affirme que "sans consultation des professionnels de justice et de santé, au mépris des droits du Parlement, le gouvernement envisage, par ordonnances, de supprimer la présence de l'avocat au début de la garde à vue".

"Un prétexte"

Le gouvernement envisage également "de prolonger les délais de détention provisoire sans audience ni débat devant le juge des libertés et de la détention et de généraliser les audiences à huis clos".

"La grippe devient le prétexte à des lois d'exception qui jouent sur la peur et nient les principes démocratiques", juge-t-elle.Pour elle, "le gouvernement doit renoncer à ces projets, réunir le Parlement et organiser des débats publics et citoyens". La lutte contre une "éventuelle pandémie passe par l'information et la participation de tous et non par de lois d'exception imposées sans transparence et sans débat", conclut Elisabeth Guigou.

(Nouvelobs.com)
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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 20:00

AH1N1.jpg

C'est ce jeudi que les parlementaires doivent se prononcer sur la loi accordant les pouvoirs spéciaux au gouvernement en cas d'épidémie de grippe A/H1N1. Pour certains, cette loi d'exception est une loi rédigée à la va-vite.

 

Cela rappelle les années 80 lorsque, face à un déficit abyssal, les gouvernements de l'époque gouvernèrent par pouvoirs spéciaux et alignèrent les "arrêtés numérotés"... Cette fois,  les pouvoirs spéciaux sollicités par le gouvernement sont destinés non plus à combler le déficit des finances publiques mais à faciliter la prise de mesures rapides et efficaces en cas de lourde épidémie de grippe A/H1N1.

 

Comme, par exemple, lever les filtres des lourdeurs administratives pour répondre avec diligence à la réquisition de personnel infirmier, par exemple. Le constitutionnaliste Marc Verdussen, professeur à l'UCL, explique que l'objectif est de pouvoir aller plus vite que ce que le législateur peut faire en temps normal. "C'est un objectif de rapidité qui est requis par la situation de crise", souligne-t-il.

 

Une proposition "liberticide"?

 

Des voix s'élèvent sur la pertinence de pouvoirs spéciaux pour une épidémie qui ne se déclare pas. Initiative citoyenne, une association qui réclame plus de transparence et d'informations sur l'efficacité et les risques du vaccin, considère cette proposition de loi trop émotive, trop vite rédigée et même "liberticide".

 

Ce texte sera voté à l'aveuglette par les parlementaire qui feront ainsi le jeu du lobby pharmaceutique, prétend l'association; et si dans la forme la liberté de se faire vacciner reste préservée les juristes de l'association constatent que, subrepticement, l'obligation pourra devenir la règle.

 

Georges-Henry Beauthier, avocat de l'association, l'affirme: "Ceux qui ne seraient pas d'accord avec la vaccination pourraient eux-mêmes êtres poursuivis. Certains parlementaires s'étonnent même qu'un tel article puisse être contenu dans cette loi."

La loi sera soumise en séance plénière au vote des parlementaires jeudi après-midi.

 

(T.N. et F. Baré)

 

Source: RTBF info

 

 

"Disons que c'est un mal nécessaire. Je n'aime pas tout mais c'est indispensable. Donc je dis et je répète: on ne fait rien. On se donne la possibilité de faire.[...] Nous devons gérer éventuellement, une épidémie fulgurante en Belgique en ne sachant pas en plus, si le virus va muter ou pas. [...] Certains disent que non et d'autres disent peut-être bien."  Laurette Onkelinx

Certains mettent la dangerosité et l'efficacité de ce vaccin en cause (journaliste)...

"
Mais je trouve ça un peu fou de dire ça: il n'y a pas encore de vaccin qui soit accepté à l'heure actuelle. Alors que le vaccin n'est pas accepté puisque j'ai dit qu'on ne ferait rien en Belgique sans avoir l'autorisation des autorités européennes, alors qu'on n'a pas encore cette autorisation, que les tests ne sont pas encore terminés, on dit déjà que ce n'est pas bon." Laurette Onkelinx

L'avis du collectif "Initiative citoyenne":  Un tel projet de loi liberticide indispensable, vraiment? Sur base de quoi et de l'avis de qui? Quelles preuves de l'indépendance de tel ou tel expert ou de telle ou telle instance? Ca rime à quoi? Mme La Ministre ne doit plus se leurrer: les citoyens ne veulent plus se contenter d'affirmations, fussent-elles celles d'un ministre ou de telle agence ou de tel expert, c'est TOTALEMENT insuffisant sur le plan rationnel, logique et scientifique!

Il n'y a AUCUNE épidémie fulgurante si ce n'est une épidémie de mauvaise foi: en effet, une vaccination contre cette grippe bénigne est inutile et, si le virus venait à muter, le vaccin actuellement fabriqué deviendrait encore plus inutile! Et, quand bien même on referait un vaccin, le virus irait encore plus vite à cause de la pression sélective et recommencerait à muter...

Notre collectif juge les propos de Mme Onkelinx légers peu responsables! Alors que des experts dénoncent de par le monde le manque de recul certain qu'on aura avec ce vaccin et le laps de temps assurément trop court des essais cliniques, Mme Onkelinx laisse sous-entendre que toute critique serait malvenue ou, à tout le moins prématurée! Alors que, dans la réponse qu'elle nous a faite, elle avoue que le vaccin contiendra du squalène, une substance particulièrement à même d'engendrer des troubles auto-immuns ( ceci étant DEJA démontré chez l'animal et très fortement soupçonné chez l'être humain), elle trouve "un peu fou" qu'on critique la perspective hasardeuse d'une vaccination massive! Quant à laisser sous-entendre que, le feu vert européen n'étant pas encore tombé, cela pourrait consister en une sorte de "gage de fiabilité" et de qualité des instances d'évaluation au niveau européen, c'est un peu court! 
 

 
Depuis des mois, les autorités nous annoncent une vaccination en octobre! Ce n'est en effet pas pour rien si le pharmacologue français, Dr Marc Girard dénonce un calendrier fixe d'autorisation de mise sur le marché (AMM), chose qu'il n'a encore jamais vue en 25 ans de pratique comme expert du médicament! Soyons lucides: pouvons-nous seulement imaginer  que les instances européennes ou que l'OMS nous disent à présent: "attendez, le vaccin est trop risqué, on en reparle dans 3 mois quand on en aura refait un autre"??


L'Europe a déjà approuvé le vaccin Prepandrix de GSK contre le H5N1 en 2008 et celui-ci contenait pourtant déjà le dangereux squalène (AS03)! Le feu vert européen n'est donc nullement une garantie de sécurité et d'un bon rapport bénéfices/risques!

Cessons de nous leurrer et pensons à NOTRE santé!
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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 00:12
Un vaccin contre la démocratie ?

Alain Faniel



Mis en ligne le 21/09/2009


Pourquoi préparer un tel plan catastrophe pour une grippe plus contagieuse que dangereuse ?
100 millions d'euros pour les vaccins et beaucoup d'ombre. Que cache la "loi d'exception" ?


La Libre Belgique" du 27 août 2009 a rapporté les propos tenus la veille par la ministre fédérale de la Santé.
Celle-ci avait invité la presse pour faire le point "en toute transparence sur les moyens mis en œuvre pour combattre la grippe". Parmi ceux-ci, une "loi d’exception" déposée sous peu au Parlement.


Le projet en a été entériné par le gouvernement fédéral le 17 juillet 2009. Il doit permettre "d’agir vite et efficacement" en prenant des arrêtés royaux motivés par l’urgence. Pour quoi faire ? Réquisitionner du personnel non médical, par exemple pour une campagne de vaccination massive dans les écoles (1). Faire appel à l’armée pour distribuer les vaccins. Augmenter le nombre de dons de sang annuels autorisés. Donner aux communes accès à la banque de données fédérale de la santé pour réquisitionner des médecins


L’ampleur de ces dispositions peut surprendre. Mais la Belgique a commandé à GSK 12,6 millions de doses de vaccin pour un montant de cent millions d’euros. Il faudra bien les écouler ! Quoique. Les premiers lots devraient arriver sous peu, mais pas question d’administrer le vaccin "avant d’avoir reçu le feu vert européen", attendu vers la mi-octobre.


Ne met-on pas la charrue avant les bœufs ? La rentrée de septembre devrait favoriser une rapide contagion, mais le vaccin ne pourra pas être utilisé avant la mi-octobre ! Et si l’Europe ne donnait pas son accord ? La question ne semble pas envisagée. En revanche, les cent millions d’euros seront sans doute dépensés. En effet, la Ministre "a invoqué la confidentialité du contrat conclu avec GSK" (2) pour refuser de dire si l’Etat serait en partie remboursé en cas de non utilisation d’une partie du stock de vaccins.


L’intention des autorités françaises d’imposer le vaccin à toute la population a suscité de nombreuses réactions. Rien de tel chez nous. Rassurez-vous, bonnes gens : "Le vaccin, qui sera gratuit, ne sera pas obligatoire en l’état actuel". En l’état actuel, donc, on évite toute polémique. Mais qui nous dit qu’il n’y aura pas, au plus fort de la crise, un changement d’attitude ? Ne risque-t-on pas, à ce moment-là, d’étouffer les voix discordantes au nom de la raison d’Etat ?


Car enfin, une "loi d’exception" n’a de sens que pour faire face à une situation d’une gravité exceptionnelle. Apparemment, la crise financière et le sauvetage des banques avec l’apport massif de capitaux publics ne rentraient pas dans ce cas de figure. Personne n’a dû être réquisitionné et l’armée n’est pas intervenue.


Pourtant, des milliers de gens ont perdu leur emploi, vont le perdre ou craignent de le perdre. Des jeunes désespèrent d’en trouver. D’autres, déjà chômeurs, ont peur qu’une "disponibilité" insuffisante ne les entraîne vers les CPAS. Les pensionnés s’inquiètent de voir que le "fonds argenté" n’est toujours pas alimenté. Le nombre de faillites déclarées au mois d’août en fait "le plus noir jamais connu en Belgique". Ceux qui ont encore, grâce à leur travail, un revenu plus ou moins décent, craignent pour leur pouvoir d’achat. Les prix du gaz et de l’électricité vont remonter C’est sûr, les choix de demain se feront entre la rigueur et l’austérité.


La peur est donc bien présente dans une bonne partie de la population. Voici qu’on lui en agite une autre. Le mot même de pandémie évoque les grandes pestes ou le choléra. Chacun peut, demain, en être victime : riche ou pauvre, jeune ou vieux. La grippe va frapper aveuglément. Devant ce danger comparable au terrorisme, il faut adopter des mesures qui frappent l’imagination, des mesures anti-terroristes, en somme, avec ce que cela implique : bousculer un peu les libertés démocratiques.


Les autorités n’ont pas "vu venir" la crise financière et se sont montrées incapables de prendre des mesures concertées, au niveau européen ou mondial ? Là, elles sont prêtes : la grippe peut venir, tous les moyens sont mobilisés pour y faire face. Dormez, bonnes gens, la situation est sous contrôle.


Bien sûr, on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Constituer des stocks de Tamiflu, de vaccins et de masques, ça a un coût. Seuls les pays développés pourront y faire face. Un hasard ? La pandémie profite à quelques grands groupes pharmaceutiques, alors qu’on pourrait développer des antiviraux génériques au niveau mondial. Mais que fait donc l’OMS ?


Bien sûr, la "loi d’exception" sera temporaire. Du moins en l’état actuel. Car il suffira de changer la date de son échéance à la faveur d’une loi "contenant diverses dispositions" si "la situation l’exige".


Pourquoi donc une loi d’exception ? Plus elle fait de victimes, moins cette grippe semble dangereuse. Les mesures de prévention prônées par les instances officielles sont nécessaires, bien sûr. Il est bon d’inciter à se laver les mains et à jeter ses mouchoirs usagés dans une poubelle hermétique. Mais faut-il vraiment, pour éviter la contagion, cesser d’embrasser ses enfants et ne plus saluer ses collègues qu’à la japonaise ?


Ne serait-il pas plus profitable de rappeler à nos concitoyens qu’une bonne hygiène de vie est la première des préventions ? La consommation de tabac ou d’alcool, mais aussi la fatigue et le stress diminuent l’immunité et les défenses naturelles. Oser inciter les gens à éviter le stress, notamment au travail, n’est évidemment pas un discours facile à tenir, ni même à entendre. Leur proposer de quitter plus tôt leur écran de télévision pour aller tout simplement dormir une bonne nuit ne passe pas bien non plus. Il y a d’autres mesures simples : une alimentation saine et équilibrée, une consommation accrue de fruits et de légumes frais, une activité physique, une attitude positive pour accepter, si nécessaire, les quelques jours de repos imposés par la grippe. Pourquoi préparer un tel plan catastrophe pour une grippe plus contagieuse que dangereuse ? Une telle mobilisation au niveau mondial permettrait d’éradiquer des fléaux autrement ravageurs et meurtriers.


Je n’écoute pas volontiers ceux qui parlent de "grand complot" mais là, je me pose des questions. S’agit-il de nous préparer dès à présent à d’autres épidémies ? La guerre biologique est-elle réellement pour demain ? Pourquoi constituer un tel stock de vaccins et prévoir que l’armée puisse les distribuer si c’est pour nous laisser libres de ne pas "en profiter" ? Quand va-t-on nous imposer ce vaccin ? Et surtout : que va-t-on nous inoculer à travers lui ? Quel écho donne-t-on jusqu’ici à ceux qui mettent en question l’innocuité des vaccins en général et de celui-ci en particulier ?


Il est temps que les citoyens et leurs mouvements et organisations qui se préoccupent des questions de santé mais aussi de démocratie fassent entendre leur voix ! Pour l’instant, cependant, je n’entends guère que l’information officielle. Et elle m’inquiète.


source: La Libre

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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 01:25



PAS D'UNANIMITE JURIDIQUE NON PLUS CONCERNANT CETTE LOI D'EXCEPTION:

extrait du journal Le Soir du jeudi 24/09/09




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26 septembre 2009 6 26 /09 /septembre /2009 17:45

website van Het Nieuwsblad, hier.

BRUSSEL - Een groep burgers heeft onze regering een vragenlijst voorgelegd over het vaccin tegen de Mexicaanse griep. Volgens hen voeren de overheid en de media een tegenstrijdig discours over de pandemie en is er dringend nood aan duidelijkheid. De initiatiefnemers eisen binnen de tien dagen antwoorden of anders stappen ze naar de rechtbank. 

 

'De berichten die de bevolking te horen krijgt over de Mexicaanse griep zijn verontrustend', stelt dokter Kris Gaublomme, een van de initiatiefnemers. 'De ene dag zeggen ze dat we ons geen zorgen moeten maken, de volgende dag wordt ons verteld dat de ziekte heel veel doden zal eisen. De berichten zijn tegenstrijdig en zaaien paniek.'








In oktober zou een vaccin tegen de Mexicaanse griep beschikbaar zijn. Nog voor de eerste inenting plaatsvindt, wil de ongeruste groep burgers duidelijkheid van de overheid. Ze hebben de regering een vragenlijst over het vaccin voorgelegd. 



Zo willen ze weten:


Waaruit wordt het vaccin samengesteld? Soms bevatten vaccins toxische bestanddelen.


Waarom wil men het vaccin verplichten? 


Waarom overweegt men een uitzonderingswet op vaccinatie?  


Hoe weet men zeker dat de inenting geen zware bijwerkingen kan hebben op lange termijn?


Is het vaccin betrouwbaar? Is het verantwoord om risicogroepen als zwangere vrouwen in te enten, terwijl deze niet betrokken zijn in de ontwikkeling en tests van het vaccin? 


Er zijn meer dan twaalf miljoen doses van het vaccin besteld door de regering. Wat als deze uiteindelijk onbruikbaar blijken te zijn? Krijgt de regering het bestede belanstinggeld dan terug?


Voorziet de regering een schadevergoeding voor al wie slecht reageert op het vaccin? 


Als er tegen 15 september geen antwoorden zijn, dan dreigt de groep naar de rechtbank te stappen. 'Als de regering nalaat zijn informatieplicht te vervullen, dan zullen we duidelijkheid afdwingen via andere wegen', aldus Georges-Henri Beauthier, advocaat van de burgerbeweging.



 loa (le soir)

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